Autour de Julien Green au cœur de Léviathan
Voici de quoi nourrir l’âme et l’esprit de ceux que la mort de Julien Green, le 13 août 1998, a laissés seuls au cœur du silence. Ils ne manqueront pas de noter que la diversité des sujets des deux colloques ici réunis s’accompagne d’une mystérieuse impression d’unité. Le secret de celle-ci ne serait-il pas dans l’audace d’une œuvre qui, saisie par l’un ou l’autre de ses aspects, dit toujours, grâce à des mises en scène implacables, le plus grave de tous les conflits : celui de l’humain et de ...
Note de l’éditeur
Journées Julien Green des 7 février et 14 novembre 1998.
Éditeur : Presses universitaires de Franche-Comté
Lieu d’édition : Besançon
Publication sur OpenEdition Books : 19 décembre 2019
ISBN numérique : 978-2-84867-698-2
DOI : 10.4000/books.pufc.2086
Collection : Annales littéraires | 707
Année d’édition : 2000
ISBN (Édition imprimée) : 978-2-84627-004-5
Nombre de pages : 258
Marie-Françoise Canérot
Avant-proposPremière Journée. 7 février 1998 Autour de Julien Green
Sylvie L. F. Richards
Les désenchantés : Julien Green, les Américains à Paris entre les deux guerres, et l'orientalisme de Frère FrançoisValérie Catelain
La transparence du silenceAnne-Cécile Pottier-Thoby
De l’intertexte biblique dans VarounaDominique Van Hooff
Entre le visible et le dicible : l’art du portrait chez Julien GreenCatherine Mayaux
Quelqu'un derrière la fenêtreDeuxième Journée. 14 novembre 1998 Plongée dans l’univers de « Léviathan »
Christine Pommier
Léviathan, un conte cruelMarie-Françoise Canérot
Léviathan : une écriture de la mélancolieMichèle Raclot
La vision cinématographique du romancier dans LéviathanAlvaro de la Rica
Léviathan, une poétique visionnaireJean-François Bourgain
Espace et drame intérieur dans LéviathanFabienne Bercegol
Présence du corps dans LéviathanHélène Dottin
La chipie au livre noir, un personnage de tragi-comédieEamon Maher
Léviathan : roman existentialiste ?Voici de quoi nourrir l’âme et l’esprit de ceux que la mort de Julien Green, le 13 août 1998, a laissés seuls au cœur du silence. Ils ne manqueront pas de noter que la diversité des sujets des deux colloques ici réunis s’accompagne d’une mystérieuse impression d’unité. Le secret de celle-ci ne serait-il pas dans l’audace d’une œuvre qui, saisie par l’un ou l’autre de ses aspects, dit toujours, grâce à des mises en scène implacables, le plus grave de tous les conflits : celui de l’humain et de l’inhumain ?
Docteur ès lettres (Paris 4, 1985), puis en poste à l'Université de Poitiers.
Diplômée d'un DEA de littérature française à l'Université de Paris-Sorbonne, Michèle Raclot a soutenu un doctorat avec "Le sens du mystère dans l’œuvre romanesque de Julien Green" en 1986.
Elle a obtenu le doctorat ès lettres en 2002 à l'Université de Zurich avec une thèse intitulée "Étude de l'espace dans la trilogie sudiste de Julien Green".
Professeur honoraire de l'Université du Mans, elle est présidente honoraire de la Société Internationale d’Études Greeniennes (SIEG) qu'elle a fondé avec Marie-Françoise Canérot en 1993.
Elle s’intéresse également aux phénomènes interculturels et a signé de nombreux articles à ce sujets.
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