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Remerciements

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Texte intégral

1Qu’il nous soit permis, au début de ce travail, de remercier chaleureusement tous nos collègues et amis qui, tout au long de nos recherches doctorales, puis de notre travail de mise au propre du texte pour publication, nous ont aidé, de leurs conseils, par leurs relectures ou au travers des nombreux échanges que nous avons eu la chance d’avoir avec eux.

2En premier lieu, ce sont nos deux promoteurs, Agnès Guiderdoni - chercheuse qualifiée du Fonds national de la recherche scientifique auprès de l’Université catholique de Louvain (Louvain-la-Neuve) et co-directrice du centre de recherche dans lequel nous avons eu la chance de mener nos recherches, le GEMCA (Group for Early Modem Cultural Analysis) - et Lambert Isebaert, professeur à l’UCL, auxquels nous souhaiterions adresser toute notre gratitude pour avoir patiemment révisé et corrigé notre texte au fur et à mesure de son évolution, et pour avoir enrichi de leurs idées nos différents exposés. Cette publication est en partie également la leur.

3Nous tenons également à remercier les membres de notre comité d’accompagnement et de notre jury de thèse, Anne-Élisabeth Spica (professeure à l’Université de Lorraine), Marc van Vaeck (professeur à la Katholieke Universiteit Leuven) et Ralph Dekoninck (professeur à l’UCL), que nous avons sollicités tout au long de notre travail, avant la défense de notre thèse mais également plus tard, comme en témoigne la préface signée par Anne-Élisabeth Spica. Cette publication doit beaucoup à leur disponibilité et à leurs précieux conseils.

4Nous ne pourrions pas ne pas mentionner toutes les personnes qui nous ont soutenu et aidé, sans jamais manquer de nous encourager : Anne-Emmanuelle Ceulemans, professeure à l’UCL, Laurent Grailet, doctorant à l’Université de Liège, Caroline Heering, chargée de recherche du FNRS à l’UCL, Mathieu Minet, ancien assistant à l’UCL, Goran Proot, qui a écrit une thèse sur le théâtre jésuite dans les anciens Pays-Bas, et Aline Smeesters, chercheuse qualifiée du FNRS auprès de l’UCL.

5Nous ne pouvons pas davantage oublier le personnel et les conservateurs des nombreuses bibliothèques et fonds d’archives, pour nous avoir ouvert leur porte et nous avoir accompagné dans nos recherches ou nous avoir communiqué des reproductions de qualité pour la présente publication. Nous sommes particulièrement reconnaissants à l’égard des équipes de la Bibliothèque royale de Belgique, notamment du Cabinet des manuscrits (avec pour conservateur et conservateur-adjoint les docteurs Bernard Bousmann et Michiel Verweij), où la plupart des documents qui sont l’objet de cette étude sont conservés.

6 N’oublions pas non plus nos proches, qui nous ont accompagné tout au long de l’élaboration de notre thèse puis de son remaniement, et qui nous ont permis de traverser cette épreuve (parfois très rude).

7Enfin, ce travail n’aurait pas pu être publié sans la bourse d’aspirant que le FNRS nous a octroyée pour mener nos recherches doctorales dans les meilleurs conditions, sans le soutien indéfectible de Silvia Mostaccio, professeure à l’Université catholique de Louvain, et sans l’aide des Presses universitaires de Louvain (Louvain-la-Neuve).

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