Remerciements

1Ce livre trouve une grande partie de sa matière dans la thèse de doctorat que j’ai soutenue à l’université Michel-de-Montaigne (Bordeaux III), en décembre 2010, sous la direction de Jean Terrel : Le problème de l’histoire : histoire profane et histoire sacrée dans l’œuvre de Th. Hobbes. C’est donc vers Jean Terrel, pédagogue patient, jamais avare de ses lumières sur la pensée de Hobbes, la pensée politique et l’âge classique, soucieux de réunir ses étudiants et de les faire travailler ensemble, que va d’abord ma gratitude.

2J’ai aussi une pensée pour le « groupe Hobbes » de Bordeaux, dont les séminaires et les colloques ont enrichi mes études et m’ont permis de les diffuser. En effet, sans les discussions continues que j’ai eues avec Jauffrey Berthier, Arnaud Milanese, Bernard Graciannette, Éric Marquer et José Médina, entre autres, ce travail n’aurait pas pu voir le jour.

3Je remercie également mes centres de recherches et leurs directeurs. Ce livre doit en grande partie sa parution à une aide à la publication accordée par l’équipe Sciences, Philosophie, Humanités (SPH, Bordeaux III), dont je salue le directeur, Valéry Laurand. Quelques années auparavant, le centre Lumières, Nature et Société (LNS, BordeauxIII), sous la direction de Charles Ramond, m’avait accordé une allocation décisive pour l’achèvement de la thèse qui préparait ce livre.

4Je remercie enfin ceux qui ont su me transmettre leur intérêt pour la philosophie, alors que j’en commençais l’étude : Édith Bottineau-Fuchs, Pierre Raymond, Bernard Besnier et, il y a bien longtemps, Jean et Madeleine Lavaure.