Références
p. 23-32
Texte intégral
Il existe peu de biographies qui soient de nature à montrer un progrès clair,
paisible, constant de l’individu. Notre vie est, comme l’univers
dans lequel nous sommes contenus, un incompréhensible
mélange de liberté et de nécessité.
Goethe, Poésie et vérité.
Nous sommes donc dans une sorte de cercle.
La compréhension des commencements ne peut être obtenue pleinement
qu’à partir de la science donnée dans la forme qu’elle a aujourd’hui,
et par un regard en arrière sur son développement. Mais sans une
compréhension des commencements ce développement est,
en tant que développement du sens, muet. Il ne nous reste
qu’une solution, c’est d’aller et venir en « zigzag » ;
les deux aspects de ce mouvement doivent s’aider l’un l’autre.
E. Husserl, La crise des sciences européennes.
Au plus haut niveau, ce n’est pas d’après leur composition que les œuvres
d’art sont énigmatiques, mais d’après leur contenu de vérité. […] Toute
œuvre d’art présente un caractère énigmatique différent mais comme si
cependant la réponse, telle que celle du Sphinx, était toujours la même,
encore que ce ne soit qu’au travers de la diversité et non dans l’unité que
l’énigme promet, peut-être fallacieusement. Savoir si la promesse est une
tromperie constitue l’énigme.
T. W. Adorno, Théorie esthétique.
1J’ai longtemps hésité avant d’écrire ce texte. J’y cherchais, en effet, une « nécessité ». Celle de montrer « la cohérence des travaux, la démarche méthodologique suivie et les perspectives d’avenir des recherches présentées » en était certainement une. Mais comment parler de tout ceci sans parler de soi (entreprise redoutable s’il en est, le moi étant, comme l’on sait, toujours haïssable), et sans évoquer ces événements d’une vie, si futiles soient-ils, qui aident pourtant, tant bien que mal, à comprendre ce que l’on a fait, la peine que l’on y a prise, les difficultés que l’on a rencontrées ? Que resterait-il en effet de ces travaux, et de ces démarches – si l’on fait abstraction de celui qui en est l’auteur et qui les a accomplies –, sinon la succession un peu aride de leur progression dans le temps, une ligne à peine tracée dans le sable ? Il me faudrait donc joindre les trois bouts de l’aveu (sous la forme de la déclaration d’intention et de la profession de foi), du raccourci biographique (sans tomber dans l’indélicatesse de quelque chose qui ressemblerait à des mémoires), de la justification d’un projet et d’un trajet (en évitant le style impersonnel d’un curriculum). À cette condition, il m’est apparu, à la fin, en surmontant les hésitations et les perplexités initiales, qu’il était bien possible de faire d’une nécessité, somme toute institutionnelle, une vertu malgré tout intellectuelle, en accomplissant, à un moment précis de ma vie, cette sorte de bilan que Francesco Guicciardini, dans les périodes critiques de sa vie, ne cessait de dresser dans l’exercice d’éclaircissement, d’examen et de mise au point qu’il appelait « fermare il punto ».
2À cet effet, j’ai commencé par chercher quelques précédents plus proches de nous, non pas certes pour m’inscrire dans une quelconque tradition, mais pour trouver une indication, une trace, un fil qui m’aidât à surmonter les résistances qui peuvent toujours surgir quand on est obligé de parler de soi. Il n’y a pas, dans la littérature du moi, un seul exemple où celui qui dit « je » n’ait pas été conduit, d’une façon ou d’une autre, à justifier son entreprise, une fois tombés tous les masques derrière lesquels, en général, ce « je » s’abrite. J’ai alors cherché quelques exemples non pas dans la littérature du « cœur mis à nu », où l’on vous dit, avec Montaigne, « je suis moy mesme la matière de mon livre », ou bien, avec Rousseau, « je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme, ce sera moi ». Somme toute, ce n’est pas ce qu’on me demande. J’ai cherché plutôt du côté de ces auteurs qui, pour une raison ou une autre, se sont vus contraints, à un moment de leur vie, de rendre compte de leur œuvre, et d’en donner une justification intellectuelle. Je n’en citerai que trois, en espérant que la disproportion ne prêtera pas à sourire. Après tout, comme je l’ai dit, il ne s’agit que de références.
3Ugo Foscolo, exilé en Angleterre, écrit en 1818 un texte, longtemps attribué au commanditaire, John Hobhouse, sur la « littérature contemporaine en Italie », qui se termine par un long chapitre sur lui-même. Sigmund Freud, en 1925, rédige, pour un ouvrage collectif, une longue étude autobiographique, en reprenant et en remaniant des conférences prononcées, en 1909, à la Clark University, ainsi que l’histoire du mouvement psychanalytique qu’il avait esquissée en 1914. À la veille de la Première Guerre mondiale, en 1915, Benedetto Croce écrit un Contributo alla critica di me stesso qu’il devait, par la suite, reprendre et mettre à jour en 1934 et en 1941.
4On pourrait ajouter à ces témoignages, si dissemblables en eux-mêmes, mais répondant pourtant à une même « nécessité », l’Ecce homo de Nietzsche et Comment j’ai écrit certains de mes livres de Raymond Roussel. Et comment ne pas évoquer, à la fin, le récit de sa propre vocation, et de sa propre entrée en littérature, avec lequel se termine, dans Le temps retrouvé, et à l’intérieur de l’œuvre elle-même, comme son indispensable aboutissement, la Recherche de Marcel Proust ?
5J’ai donc relu ces textes, et j’ai médité sur les raisons qui avaient poussé leurs auteurs à les écrire. Ainsi Foscolo, l’exilé volontaire qui fuyait l’Italie autrichienne, avait été amené, vers la fin de sa vie, à rechercher les racines de cette tradition perdue, mais qui seule lui paraissait la sienne, dans la lignée des hommes de lettres et amis qui l’avaient précédé et qui l’avaient initié à la littérature : la tradition de Cesarotti, Parini, Alfieri, Pindemonte et Monti1. Freud, de son côté, poursuivait une bataille, engagée dès ses premiers écrits, pour défendre et illustrer, contre toute « déviation », la technique d’analyse de l’âme qu’il avait inventée et dont il revendiquait, tout en reconnaissant ses dettes vis-à-vis de la médecine mentale du xixe siècle, la paternité et la nouveauté. Quant à Croce, il essayait d’élucider, surtout, ses rapports de filiation et d’innovation avec Hegel, en écartant les assimilations abusives et hâtives que l’on commençait à établir entre sa philosophie et celle du penseur allemand. Pour Proust enfin, qui, comme il le fait dire au narrateur, ne se croyait pas doué pour la littérature, et qui, dans son existence de mondain désœuvré, avait en vain essayé d’écrire des romans, il s’agissait de justifier, dans le récit d’un véritable rite orphique, et d’une conversion presque initiatique, la révélation, qu’il eut lors de la matinée chez la princesse de Guermantes, de sa vocation d’« homme de lettres », avec la mission d’ériger, au risque d’y perdre sa vie, l’œuvre qu’il nous a laissée.
6Il serait pour moi presque indécent, cela va sans dire, de prendre ces témoignages pour autre chose que ce qu’ils sont : des monuments, comme ceux des Sepolcri, devant lesquels on peut bien s’arrêter un instant pour s’en inspirer, comme le voulait Foscolo, ou bien pour « sentire e meditare », comme le disait Manzoni. Je peux, alors, dire au moins ceci : après tout, j’ai été, moi aussi, un exilé volontaire, fuyant une Italie qui n’était pas encore tout à fait sortie des errements et du conformisme du Ventennio2 fasciste ; cela pourrait donc avoir un sens, maintenant, que je m’interroge sur ce que fut cette époque, et sur les débuts incertains, les tâtonnements maladroits, les premières prises de conscience des années de formation. Je pourrais aussi parler de ce que furent, plus tard, les « batailles » auxquelles je me suis trouvé mêlé et auxquelles j’ai participé, avec amis et ennemis, alliés et adversaires, en montrant ce que furent, à chaque fois, les tactiques et les stratégies utilisées, les objectifs et les enjeux visés, les alliances et les liens noués. Je pourrais, enfin, déclarer les dettes contractées, et témoigner des enseignements reçus, en revendiquant, en même temps, la spécificité de mon travail contre les annexions qu’on ne manque jamais de faire, par paresse « journalistique », et qu’on a faites aussi pour certains de mes écrits, aux territoires de l’une ou l’autre « école ». Quant à la « vocation », si de vocation on peut parler, il est bien vrai qu’elle se révèle souvent tardivement, et d’une façon inattendue, dans les hasards des œuvres et des jours, et au croisement de chemins qui paraissent ne mener nulle part, quand « tout nous semble perdu ». C’est bien à ce moment-là, quelquefois, que « l’avertissement arrive » : tout ce qu’on a fait et qu’on continue de faire, dans les heurs et malheurs d’un labeur incessant de tous les jours, reçoit alors un sens, en devenant « conscience de soi et du monde » ; les « voix angéliques », ou bien le messager ailé, vous disent ce qui vous reste à faire, et comment toute l’errance antérieure devait nécessairement amener là, à ce point d’impasse mais de sauvetage aussi, sans que vous le sachiez, vous qui n’aviez cru agir que sous la contrainte de circonstances fortuites ou de contingences occasionnelles.
7Un « grand intellectuel » parisien, dont j’ai été le collaborateur et l’ami, Michel Foucault, me disait un jour, en 1975, avoir été le premier surpris de l’accueil et des effets de son œuvre. Il n’avait jamais pensé, dans sa jeunesse, devenir un « grand intellectuel », et n’avait compris que plus tard le vrai sens de ce qu’il avait fait et de ce qu’il continuait de faire. Toutes proportions gardées, il serait impropre de ma part aussi de parler d’une quelconque « vocation » juvénile (du type : « je veux être Chateaubriand ou rien »), ni même de la conscience précoce de ce « plan de carrière » que certains enfants reçoivent, comme un viatique et une tâche à accomplir, dès leur berceau. Je n’ai été que l’un de ces innombrables fils d’enseignants, élevé à l’ombre discrète d’une bibliothèque familiale, qui rédigeait très tôt des dissertations dont on ne voulait pas croire souvent qu’elles fussent « farina del suo sacco ». Thomas Mann, qui l’a vécue lui-même, a raconté l’histoire de ces enfants dans Tonio Kröger : une adolescence un peu maladive, des lectures furtives et désordonnées, prolongées tard dans la nuit, quelque nostalgie pour la vie plus « saine » de camarades entreprenants et sportifs, les tentatives précoces, et un peu fébriles, de fuir l’ennui de l’école par des lectures qui influencent l’esprit quand il n’est pas encore assez formé pour assimiler vraiment ce qu’on lui propose comme nourriture. Cette nourriture, ce furent pour moi, pêle-mêle, les grands philosophes allemands (Kant, Schopenhauer et Nietzsche), et surtout l’inépuisable répertoire de la littérature européenne, française et russe en particulier, dont était fournie la bibliothèque paternelle. Rien de bien original dans tout ceci : aucun programme bien défini, aucun secours pour ce partage qu’il serait bon d’établir, assez tôt, entre les vices et les vertus du travail intellectuel, aucune direction bien tracée, et ce début de névrose (dont Sartre dit ne s’être libéré qu’à cinquante ans) qui fait croire que n’est vrai que ce qui est écrit dans les livres. C’est là un mauvais pli qui risque de mettre pour longtemps en porte-à-faux avec la vie ; ce qui fut, un peu, mon cas. De mes études secondaires, il ne me reste que le souvenir, cruel et caricatural, de quelques petites manies et de quelques mauvaises habitudes d’enseignants qui ressemblaient un peu tous au Topaze de Pagnol. Mais personne ne me donna jamais la moindre indication pour savoir à quoi servent les études, et où elles peuvent bien mener, sinon à cet enseignement qui est souvent une fatalité pour les fils d’enseignants. De toute façon, j’aurais été, tout au plus, professeur dans un lycée, comme mon père ; l’Université me paraissait comme quelque chose de vague, de lointain, et d’inaccessible, une carrière pour laquelle, je le dis sincèrement, je ne croyais pas, dans ma jeunesse, avoir les qualités requises. Je ne me sentais pas prêt, sans doute à cause de toutes mes lectures désordonnées, à m’enfermer dans une discipline quelconque, et il m’était vite apparu que je ne deviendrais jamais un éminent spécialiste dans tel ou tel domaine du savoir (ce qui était, dans les années 1960, en Italie, la condition nécessaire pour enseigner à l’Université ; mais les choses ont-elles vraiment changé, depuis ?). J’ai ainsi pratiqué, pendant longtemps, une sorte d’amateurisme professionnel jusqu’au jour où, vers la quarantaine, après une série d’expériences que j’eus l’occasion et le loisir de faire dans des recherches quelque peu erratiques, je finis par comprendre, moi aussi, le sens de ce que j’avais fait, de ce que j’étais en train de faire, et de ce autour de quoi tournaient toutes mes investigations, menées en sillonnant en long et en large, avec interruptions, échecs et reprises, les vastes avenues, comme on dit, du savoir européen.
8La « cristallisation » se produisit au carrefour de pistes un peu irrégulières que, par nécessité ou volontairement, j’avais suivies ou tracées dans mes cours ou pour moi-même : des enquêtes sur la naissance de la pensée de Freud, des incursions dans l’histoire du droit et de la procédure pénale, la lecture de Husserl et le chemin ouvert par certains travaux de Michel Foucault. Je compris alors, presque malgré moi, que ce qui orientait toutes ces recherches, et ce vers quoi me poussaient toutes ces lectures, c’était une sorte de projet obscur, et à coup sûr démesuré, de reconstituer la naissance, le développement et les transformations de la conscience dans la culture et dans l’histoire occidentales. Il ne s’agissait là, naturellement, que d’une ligne d’horizon, d’une sorte de règle cartésienne pour bien se conduire dans le travail intellectuel, car je n’ai jamais vraiment pensé (du moins jusqu’à maintenant), affronter de plain-pied un tel projet, dans le but, par exemple, d’en faire un livre. Cette entreprise, Hegel l’avait déjà accomplie, dans la Phénoménologie de l’esprit : mais, justement, dans la téléologie de son système, où l’État prussien apparaît comme la réalisation finale du stade de l’« auto-conscience » ou de ce qu’il appelle l’« Esprit absolu », l’histoire s’arrête au seuil de cet autre épisode représenté, tout au long du xixe siècle, par l’émergence et la constitution de la figure, énigmatique et inquiétante, de l’inconscient. Cette figure, dont il avait eu le pressentiment dans ses leçons sur Socrate, traverse, comme un éclair, toute la littérature romantique, surtout allemande ; et la médecine mentale, la physiologie et les frustes expériences sur la suggestion et l’hypnotisme commenceront à la cerner comme l’ensemble de forces obscures que le sujet, avec sa volonté, sa conscience, sa raison, ne domine pas et qui le traversent de part en part. Comment en était-on arrivé là, et que devenaient alors tous ces discours, méthodes, disciplines qui présupposent, quel que soit leur domaine, une centralité du sujet (et donc de la conscience), la centralité de ce qu’on appelle le sujet de la science, le sujet cartésien, avec le type de vérités qu’il peut produire et dont il se porte, depuis le xviie siècle, garant ? C’est de cette interrogation, confuse au départ, et devenue peu à peu claire et distincte, que se sont nourris tous mes travaux, dans les différents domaines où je les ai menés ; c’est là aussi leur seule cohérence et leur ligne de continuité profonde, quelque irrégulier, sinueux et un peu imprévisible, comme un vol d’oiseau, que puisse paraître, à première vue, leur tracé.
9Dans ce texte, je ne parlerai donc de moi, et de mes travaux, qu’en m’interrogeant, et pour m’interroger, sur la lente, et laborieuse, émergence d’un problème qui permet d’en lire, rétrospectivement, la cohérence et, projectivement, les prolongements possibles. Cette cohérence n’est donc pas disciplinaire, ni même méthodologique. À la place des disciplines s’ouvre le champ des discours, des événements, des pratiques qui ont été tour à tour abordés et traversés. Quant à la méthode, si on peut parler de méthode, elle s’est, elle aussi, constituée peu à peu, et sur le terrain, à partir des questions qui se sont posées et des questions que j’ai posées. De là un style de recherche et une démarche où il ne s’est agi ni d’enrichir une discipline bien établie (quelle que soit la masse d’informations que l’on finit par recueillir, et qui frise souvent l’érudition), ni d’appliquer une technique d’analyse déjà mise au point quelque part (comme s’il s’agissait d’un outil prêt à l’usage). À l’accumulation de connaissances « déjà là », j’ai préféré l’indication de quelques pistes ; au commentaire du « déjà su », j’ai opposé la description de quelques pratiques. Entreprise risquée, et qui m’obligera, fatalement, à parler moins de résultats acquis que de difficultés et d’obstacles rencontrés. C’est ici, en effet, que s’élabore un problème, et qu’à un certain moment, toujours imprévisible, on finit par en prendre conscience. Ainsi, Wilhelm Meister, après tant d’expériences, avait-il fini par savoir qui tenait les fils de sa vie.
10 Quant aux territoires traversés, il s’agira moins, dans ce rapport, d’en dresser le catalogue monotone que d’en tracer une sorte de relevé cartographique ; et le paysage qui se dessinera sera moins celui d’un pays aux limites bien définies que celui d’un archipel fractal, aux contours accidentés. Les pays trop connus, en effet, je les ai un peu évités, ou bien contournés, préférant des explorations, qu’on pourrait appeler ethnographiques, dans ces zones incertaines, dans ces espaces blancs qui étaient désignés, dans les anciennes cartes, par la redoutable formule : « Hic sunt leones ». Quand j’ai dû, par la force des choses, traverser des territoires et des contrées déjà bien explorés, j’ai toujours essayé de signaler quelque parcours inhabituel, ou bien de rectifier, si cela était possible, quelque ligne de frontière. Et cette rectification a été, et est toujours, fonction de trois variables, dont il me faudra rendre compte : le type de démarche entreprise, les questions posées, le regard porté sur les choses. Pour parler de tout ceci, je dirai donc, avec Freud, que « je chercherai à bâtir un récit dans lequel les attitudes subjectives et objectives, les intérêts biographiques et historiques, sont arrangés dans une combinaison nouvelle », et j’adopterai la phrase de Goethe que Croce à mise en exergue de son Contributo : « Pourquoi ce que l’historien fait aux autres, ne devrait-il pas le faire à lui-même ? »
Notes de bas de page
1 Melchiorre Cesarotti (1730-1808), Giuseppe Parini (1729- 1799), Vittorio Alfieri (1749-1803), Ippolito Pindemonte (1753- 1828), Vincenzo Monti (1754-1828), hommes de lettres représentants à titres divers des Lumières et du « préromantisme » italiens.
2 Le terme « Ventennio » renvoie aux vingt années du régime fasciste, de 1922 à 1943.
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