Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
À Noé et Merlin, qui, arrivés ensemble, m’ont fait entrer dans l’histoire des mères
1Les recherches à l’étranger ont un coût : pour ce travail, il a été assumé par le soutien de mon laboratoire de rattachement, l’IMAf, Institut des Mondes Africains (et ses différents prédécesseurs). J’ai également bénéficié, entre 2000 et 2005, du très avantageux statut de Membre de l’Institut Universitaire de France, qui permettait à la fois de généreux financements et une décharge partielle d’enseignement à l’Université.
2Cet ouvrage, issu d’une Habilitation à Diriger des Recherches, s’est appuyé sur le concours direct et indirect de très nombreuses personnes que je souhaite remercier ici – que celles et ceux que j’aurais pu oublier au passage n’en prennent pas ombrage : j’ai bien conscience que ce manuscrit doit son existence à plus de gens que je ne peux en citer nommément…
3Je remercie Odile Goerg d’avoir accepté, au tout début de ces recherches, d’être ma garante ; d’avoir relu méticuleusement le manuscrit ; de m’avoir patiemment fait part, des années durant, de références bibliographiques utiles, de réflexions personnelles, d’informations connexes à mon sujet – et même de m’avoir envoyé plusieurs cartes postales représentant des scènes de maternité !
4Jean Allman a non seulement nourri mes réflexions depuis 1999 par maintes conversations, et a partagé avec moi sa connaissance des archives et plus généralement, du Ghana – laquelle ne cesse de m’impressionner ; mais elle m’a aussi et surtout gratifiée d’une amitié précieuse, qu’elle sait réciproque.
5Au Ghana, je suis particulièrement redevable à certains archivistes : Cletus Azangweo et Mr. Mensah, respectivement directeur et directeur-adjoint du PRAAD au début des années 2000, pour leur accueil et leur soutien ; Franck Ablorh, et Joseph Anim-Asante, pour leur connaissance du fonds archivistique ; et Kilian Onai, pour sa ténacité et sa rigueur.
6Pour localiser mes informatrices, j’ai été aidée à Accra par Abena Dove Osseo-Asare, Lydia Osei-Brantuo et Abena Busia ; à Tamale par Abdullai Idrissu. Plusieurs sages-femmes en exercice et enseignantes à l’école de sages-femmes m’ont également fourni des renseignements utiles, comme Mary Opare (de l’école de sages-femmes et d’infirmières de Legon), Felicia Darkwah (idem) et Katherine Ababio, présidente de la Registered Midwives Association. Le Professor Addae m’a aimablement donné une copie d’un dossier introuvable aux Archives. Adwoa Abankwa a été une assistante de recherches et traductrice particulièrement débrouillarde.
7A Accra, je dois à Emily Asiedu (dite « Auntie » ou « Ante ») d’avoir compris l’expression « home away from home » – c’est un privilège irremplaçable que de se sentir chez soi quand on ne l’est pas…
8 Nombre de collègues ont plus ou moins ponctuellement participé à cette recherche en me fournissant des documents ou des références : John Parker, qui m’a donné la cote du précieux dossier sur la mortalité infantile aux Archives britanniques ; Stephan Miescher, qui a trouvé des documents aux Archives de Koforidua ; Rebecca Shumway, qui a photocopié pour moi une page de journal ; Saskia Walentowitz, qui m’a informée de l’existence d’un petit film des actualités British Pathé sur la consultation post-natale à la Maternité.
9En France, mes réflexions et mes connaissances ont été enrichies par les journées d’études de la Société d’Histoire de la Naissance, dirigée par Paul Cesbron et Marie-France Morel. Maï Le Dû, rencontrée dans ce cadre, a su répondre à plusieurs de mes questions techniques – celles auxquelles feu le Dr Monique Astier, amie de ma famille, n’avait pas eu le temps de répondre avant de disparaître.
10Enfin, mes échanges avec Pascale Barthélémy, qui a travaillé notamment sur les sages-femmes de l’AOF ont été fructueux et plus qu’agréables.
11Je me réjouis d’avoir rejoint le comité de rédaction de la revue Clio, dont je remercie tous les membres de m’avoir cooptée – tout particulièrement Michelle Zancarini-Fournel et Françoise Thébaud.
12Merci à celles qui ont relu, annoté et corrigé des chapitres de ce travail : Nicole Foucher, Pascale Barthélémy, Odile Journet-Diallo, Véronique Blanchard, Armelle Chatelier ; et à Fabrice Melka, wesmestre de l’IMAf, qui sait répondre à toutes mes questions incongrues ayant un rapport avec l’informatique.
13Enfin, merci est un terme bien faible pour dire ma gratitude à Catherine qui me soutient (me supporte, selon l’anglicisme devenu courant mais en l’occurrence adéquat !) depuis des années.
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Être mère en situation coloniale
Ce livre est cité par
- (2020) Livres reçus. Annales. Histoire, Sciences Sociales, 75. DOI: 10.1017/ahss.2021.48
Être mère en situation coloniale
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