Le mobilier céramique gaulois de la nécropole Avicenne
Bobigny, Seine-saint-Denis
p. 85-100
Résumé
The morpho-technological study of ceramic is one of the way of defining a chrono-cultural region. Thanks to morphological and technological methods (petrography, radiography…), a study of a large scale has been conducted on the ceramic of Bobigny. The analysis of this significant set gave the opportunity to get a new view on the potery production of the central area of the Ile-de-France, during the second Iron Age. It underlines such socio-culturals practices.
Entrées d’index
Mots-clés : technologie céramique, âge du fer, Parisii, radiographie
Keywords : ceramic technology, Iron Age, Parisii, radiography
Remerciements
Je tiens à remercier l’ensemble des membres du centre archéologique de Seine-Saint-Denis, en particulier O. Meyer, Y. Le Béchennec et S. Marion, qui m’ont donné la possibilité d’étudier le mobilier de Bobigny dans les meilleures conditions. Ma gratitude va ensuite à A. Lefèvre pour m’avoir formé à l’analyse typo-morphologique de la céramique et enfin à S. Van der Leeuw pour ses conseils précieux en analyse technique. Que soit enfin remercié O. Buchsenschutz pour avoir accepté de diriger ce travail de thèse.
Texte intégral
1L’étude morpho-métrique et technique de la céramique est couramment utilisée, en céramologie, pour identifier une aire chrono-culturelle. Cette méthode est fondée sur l’identification de fabrics ou groupe techno-morphologiques. Cependant l’étude technique, en Protohistoire, est souvent confrontée à d’importants a priori. En effet, la diversité des faits techniques existants se trouve souvent réduite à deux grandes classes grossièrement esquissées : la « céramique façonnée aux colombins » et la « céramique tournée ». Or, les travaux ethnographiques ont montré que la mise en évidence de chaînes opératoires précises apportait des éléments fondamentaux concernant l’identification des aires chrono-culturelles de production et de diffusion de ce mobilier (Gosselain 2002). De plus, dès 1995, A. Pierret soulignait, dans sa thèse, consacrée au mobilier gaulois et gallo-romain de Levroux (Indre), l’utilisation de techniques mixtes combinant plusieurs techniques dont celles du colombin et du tournage (Pierret 2001). L’identification de ces techniques a permis de souligner la présence de différents types de production et a servi à mettre en évidence la présence de productions locales et d’autres issues du commerce. De plus, son travail démontrait que l’étude de ces dernières permettait d’apporter des éléments intéressants concernant le contexte chrono-culturel dans lequel ce mobilier avait été produit. Depuis, quelques travaux ponctuels ont confirmé l’intérêt d’une telle démarche pour le mobilier laténien bien que les publications restent encore peu (Augier et Renault 2004 ; Desenne, Collart et al. 2005 ; Malrain, Pinard et al. 2002) car les chercheurs n’ont pas toujours la possibilité de l’appliquer.
Contexte et méthodologie
Le site gaulois de Bobigny
2Les limites de la zone centrale de l’Île-de-France, futur territoire des Parisii, à l’époque laténienne, ont été esquissées par S. Marion dans le cadre de sa thèse (2004) (fig. 1). Au centre de celle-ci, le site gaulois de Bobigny y joue un rôle singulier. En effet, treize années de travaux archéologiques ont révélé l’existence d’une vaste bourgade à caractère artisanal associée à un important complexe funéraire. Cinq opérations portant sur près de 10 ha ont mis au jour un site occupé dès la fin du ive siècle av. J.-C. L’essentiel de l’occupation se développe au iie siècle av. J.-C. et perdure jusqu’au ier s. av. J.-C. Une réoccupation ponctuelle du site est à noter entre la fin du iie et le début du iiie siècle apr. J.-C. La quantité (83 000 tessons) et la qualité du mobilier céramique découvert ont permis d’engager une étude céramologique d’ampleur.
3Cette recherche s’appuie sur une analyse à la fois technologique et morphologique du mobilier. Elle a débuté, en 2004, par l’analyse du mobilier découvert dans une nécropole Avicenne. Ce site est daté du iiie siècle av. J.-C. par le mobilier associé et la stratigraphie (Marion et al. à paraître). Le présent article résumera les principaux résultats obtenus lors de cette étude.
4Le travail mené plus particulièrement sur ce mobilier s’organise autour de trois axes de recherche principaux. Le premier se propose de considérer la céramique dans toutes ses composantes en réfléchissant à la fois sur sa morphologie, la pâte utilisée, les techniques de façonnage et de traitements de surfaces choisis. Cette approche vise la détermination de groupes techno-typologiques ou groupes de production. Ce travail ouvrira la possibilité de repérer des groupes externes à la région. Bien plus, la mise en évidence de ces groupes permettra de réfléchir sur leur association à des pratiques funéraires précises et à leur disposition auprès de défunts appartenant à un sexe et à un âge précis. Le second axe de recherche concerne l’utilisation et la diffusion de la technique du tournage sur le site au iiie puis au iie siècle av. J.-C. En effet, si les précédentes recherches soulignent clairement que des mutations technologiques s’opèrent entre le iiie siècle et le iie siècle sur l’ensemble de l’Europe celtique, les techniques céramiques n’ont, jusqu’à maintenant, pas été prises en compte dans le débat, faute d’analyses très précises. Or, l’introduction de cette technique permet de réfléchir à la part consacrée à la production potière et aux voies de diffusion de cette technique. Enfin, cette étude permettra de définir le mobilier découvert en contexte funéraire et de le confronter à celui de l’habitat daté de la même période. Elle apportera les premiers éléments de réflexion concernant l’existence ou l’absence d’une production à vocation funéraire.
L’étude technique, une méthode adaptée au mobilier
En complément des analyses morphologiques et métriques habituelles, une série d’études propres à révéler les caractéristiques techniques de ce lot a été réalisée.
5Ces données techniques se composent des informations concernant le type de pâte employé (analyses pétrographiques en cours au Laboratoire de géologie de l’université de Jussieu), les techniques de façonnage utilisées, les décors mis en œuvre et les différentes traces d’utilisations visibles. La méthodologie utilisée repose, tout d’abord, sur des analyses macroscopiques à l’œil nu et à la loupe binoculaire (fig. 2). Dans 90 % des cas, elles permettent de définir clairement les quatre champs techniques précédemment cités. Toutefois, 10 % des pièces présentent des finitions de surfaces si importantes qu’elles rendent impossibles les lectures macro et microscopiques des traces de façonnage. Dans ce cas, nous avons réalisé des radiographies des céramiques. Ces analyses nous ont permis d’observer l’orientation de la porosité et des vides à l’intérieur des objets ainsi que la présence de joints de colombins (fig. 3-5) (hôpital Avicenne, APHP, service du professeur Bräuner et Laboratoire de restauration Arc’Antic de Nantes, N. Huet dir.). L’utilisation de la radiographie pour décrypter les traces techniques ne constitue pas une nouveauté en soi (Titterington 1935 ; Rye 1977 ; Pierret 2001 ; Van Doesselaere 2005). La principale innovation repose sur l’utilisation combinée de clichés réalisés sur des films de radiographie standard à ceux exécutés, dans un second temps, sur un film beaucoup plus fin, utilisé en mammographie. Ce dernier présente l’avantage de posséder un grain beaucoup plus fin et permet donc d’obtenir des images plus détaillées de la structure des céramiques. De plus, l’utilisation d’un matériel numérique permet une acquisition beaucoup plus rapide des images.
6Enfin, l’ensemble des traces observées est reporté sur un dessin technique de l’objet à partir d’un code graphique élaboré à l’occasion (Durgeau 2005) (fig. 5). Il s’inspire en grande partie de ceux utilisés par R. Martineau (2000) et A. Livingstone-Smith (2001).
Le mobilier de la nécropole Avicenne : premiers résultats
7Le mobilier découvert sur le site de la nécropole Avicenne est composé de 88 individus céramiques. Ce chiffre peut paraître faible en comparaison de ceux habituellement mentionnés pour les découvertes de Picardie et de Champagne (Demoule 1999 ; Desenne et al. 2005). Rappelons cependant qu’en 2001, on ne dénombrait que 64 céramiques découvertes en contexte funéraire pour 60 sites différents dans toute l’Île-de-France (Marion 2004). Si les opérations archéologiques menées ces cinq dernières années ont permis de multiplier le nombre de sites funéraires, la céramique y reste encore rare. En effet, l’essentiel de ces opérations a été mené en Seine-et-Marne, aux marges nord de l’ancien territoire Sénon, où les sépultures sont très rarement accompagnées de dépôt céramique (Barray 2003). Le mobilier provenant de la nécropole Avicenne prend donc une importance particulière.
8Sur cet ensemble de 88 formes, trente-cinq sont placées dans des inhumations (fig. 6), 28 dans des structures de crémation (fig. 7) et 25 dans des contextes qu’il nous reste encore à identifier (fig. 8). L’essentiel des structures d’inhumation est accompagné d’une seule céramique et lorsqu’il y en a plusieurs, ce chiffre ne dépasse jamais deux poteries. Au contraire, sur les dix structures de crémation, seuls quatre contextes ne contiennent qu’une seule céramique. Les autres ensembles se composent de deux à six poteries.
Cette étude a permis de mettre en évidence l’existence d’au moins deux groupes distincts de céramiques.
Fig.8. Localisation et répartition des céramiques selon les contextes de dépôt
Contextes de dépôt | Nombre de structures | Nombre de céramiques | % |
Inhumations | 30 | 35 | 39 |
« Crémations » | 13 | 28 | 32 |
Structures de nature indéterminées (ossements dans céramique) | 22 | 25 | 29 |
Premier groupe
9Le premier se compose d’individus façonnés au colombin seul ou dans une forme concave. Ils sont peu ou pas décorés et l’essentiel de leur décor est composé de lignes polies. Ils sont exécutés dans une pâte noire, semi-fine à semi-grossière à inclusions de quartz et de calcaire et présentant, pour la plupart, une faible résistance mécanique (31 individus).
10Ce groupe est disséminé à travers toute la nécropole, toutefois une partie importante est déposée dans des inhumations (20/31) (fig. 9). De plus, sur ces 20 céramiques, 16 sont placées près d’un immature, dont 15 à droite de celui-ci. Toutes techniques confondues, les céramiques déposées près d’un immature ne représentent que 23 individus. Enfin, ces pièces sont aussi celles qui ne présentent pas ou que très rarement des traces d’utilisation. Ces caractéristiques pourraient éventuellement donner à penser qu’une partie importante de ces pièces ont été façonnées dans un but funéraire (fig. 10).
Fig.9. Répartition des céramiques selon leur groupe techno-morphologique et leur contexte de dépôt
Techniques | Inhumation | Crémation | Indéterminé |
Façonnage au colombin seul et dans un support | 20 | 3 | 8 |
Façonnage à l’aide du tour | 6 | 11 | 3 |
Deuxième groupe
11Le second groupe (20 poteries) est composé d’individus, présentant des pâtes plus fines mais de natures très différentes. Ils sont façonnés à partir de techniques très diversifiées mais montrent tous des traces d’utilisation du tour ou plutôt d’utilisation d’un dispositif rotatif. L’utilisation du « tour » se fait soit au moment de la mise en forme, sur une ébauche préalablement façonnée au colombin, soit seulement sous forme de tournassage, c’est-à-dire au moment de la finition sur des pièces semi-sèches (fig. 11). Ces techniques mixtes de façonnage sont bien connues en ethnoarchéologie (Roux 1994) et ponctuellement en archéologie (Augier et Renault 2004). Toutefois, elles n’avaient pas encore été mises en évidence, de manière précise, pour cette période et dans cette région.
12Ces céramiques peuvent aussi être découvertes en contexte d’inhumation (6 céramiques), mais elles sont dans ce cas toujours associées à une autre céramique façonnée au colombin seul. On remarque qu’elles sont essentiellement déposées dans les structures de crémation (11 céramiques).
13Ces céramiques présentent des décors nombreux et variés composés de lignes polies, de baguettes ou de cannelures (fig. 12). Elles montrent une bonne résistance mécanique et ne comportent pas de trace de sur-cuisson due à leur dépôt sur un bûcher. Enfin, on remarque fréquemment, sur ces pièces, de nombreuses traces d’usure résultant peut-être de leur utilisation avant leur dépôt dans les sépultures. Ces traces montrent qu’elles ont été utilisées avant d’être déposées en contexte funéraire.
14Le vase est ensuite disposé sur une tournette lorsque les surfaces sont encore humides pour permettre sa mise en forme à l’aide du d’un dispositif rotatif.
15Dans l’état actuel de notre travail, nous avons souligné une tendance consistant à déposer des céramiques façonnées au colombin seul, à profil simple et ne présentant pas de traces d’utilisation, à droite des immatures inhumés. Il conviendrait de vérifier que cette pratique constitue bien un caractère culturel propre au site voire à la région occupée par les Parisii. Mentionnons toutefois que les nécropoles à inhumations du iiie siècle, comprenant du mobilier céramique, restent encore peu nombreuses, une comparaison pertinente sera donc peu aisée à faire. La seconde constatation repose sur la forte présence de céramique présentant des traces de tournage dans les structures de crémation datées au plus tard entre La Tène C1 et le début de La Tène C2. Cette donnée permet d’affiner nos connaissances concernant la diffusion du tournage et/ou des objets tournés dans la région. Le dernier élément de réflexion porte sur la présence de nombreuses céramiques façonnées à partir de techniques mixtes c’est-à-dire où le tournage est utilisé à différents moments de la chaîne opératoire. La multiplicité de ces utilisations pourrait souligner l’introduction progressive d’une nouvelle technique et/ou la présence de céramiques importées dans le corpus. L’étude en cours du mobilier céramique provenant des structures d’habitat, datées du iie siècle av. J.-C., tentera d’apporter des éléments de réponse à cette question.
Bibliographie
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Auteur
Doctorante, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne – UMR 8546 : Archéologies d’Orient et d’Occident. Sujet : La céramique de La Tène à Bobigny dans son contexte régional, sous la direction d’Olivier Buchsenschutz.
Soutenance prévue en 2011.
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Antoine Bourrouilh, Paris Pierre-Emmanuel et Nairusz Haidar Vela (dir.)
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