Avertissement
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Texte intégral
1Les citations d’articles et d’ouvrages contemporains sont toujours traduites dans le corps du texte, la citation originelle figurant en note. En revanche, les citations de chercheurs contemporains figurant uniquement en note ne sont jamais traduites.
Pour les citations d’auteurs antiques
2Tous les passages en grec proviennent des textes établis dans les éditions des Belles Lettres (CUF) et, sauf cas contraire signalé, toutes les traductions des orateurs attiques sont basées sur les traductions des éditions des Belles Lettres. Les phrases ou parties de phrase directement utiles à l’enquête ont néanmoins été retraduites pour s’approcher au mieux du texte originel. Même si cela conduit parfois à des formulations peu élégantes en français, la distance produite a été jugée préférable à des approximations qui n’auraient pas rendu justice à la spécificité des expressions grecques.
3Les traductions des autres corpus grecs ou latins reprennent toujours à l’identique les traductions des éditions des Belles Lettres. Le nom du traducteur n’a pas été mentionné. Pour le retrouver, se reporter au volume correspondant. Quand les œuvres n’ont pas été éditées par les Belles Lettres, la référence de l’ouvrage dont est tirée la traduction est indiquée en entier.
Pour les renvois aux orateurs attiques
4Les références aux orateurs attiques sont énumérées dans l’ordre alphabétique des auteurs puis dans l’ordre croissant des numéros attribués aux discours. En note et dans les tableaux, le système anglais de renvoi est utilisé : le nom abrégé de l’orateur est suivi du numéro de discours avant celui du paragraphe. La virgule distingue plusieurs paragraphes d’un même discours et le point-virgule, plusieurs discours d’un même orateur. La liste des discours et de leurs titres est fournie dans l’appendice 2.
5La convention qui place le nom des orateurs entre crochets pour les discours dont l’authenticité a été mise en cause n’a pas été suivie. Comme il en est question dans l’introduction générale, l’enquête se situe du point de vue de l’énonciation : peu importe dans quel corpus figure le discours pourvu qu’il ait été écrit pendant la période classique. Les crochets servent donc à différencier les discours présents dans le canon des dix orateurs attiques mais n’étant pas des discours judiciaires à proprement parler. Les quelques discours n’ayant selon toute probabilité pas été rédigés avant la fin du ive siècle sont encadrés par les signes { }.
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