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Systèmes de translitération et de datation

p. 9-10


Texte intégral

TRANSLITÉRATION DE L’ARABE

1La translitération de l’arabe adopte les normes de la revue Arabica.

TRANSLITÉRATION DU SYRIAQUE

2Les transcriptions du syriaque suivent la prononciation du syriaque occidental, à l’exception des noms propres appartenant au domaine oriental (Mésopotamie, Perse), qui adoptent par convention la prononciation du syriaque oriental (ex. : Išoʿbokht, et non Yešūʿbūkt).

ܐ

ܒ

b

ܓ

g

ܕ

d

ܗ

h

ܘ

w

ܙ

z

ܚ

ܛ

ܝ

y

ܟ

k

ܠ

l

ܡ

m

ܢ

n

ܣ

s

ܥ

ʿ

ܦ

p

ܨ

ܩ

q

ܪ

r

ܫ

š

ܬ

t

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a

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ō

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e

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ē

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ē

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i

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ī

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u

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ū

3NB : le ōlap (ܐ) n’est pas transcrit en début de mot. Concernant les lettres bgdkpt, nous ne distinguons pas les prononciations explosive et spirante. La gémination des consonnes n’est pas mentionnée. Les consonnes muettes sont placées entre parenthèses.

TRANSLITÉRATION DES AUTRES LANGUES

4Les transcriptions du pehlvi, de l’hébreu et de l’araméen ne sont pas harmonisées et conservent l’orthographe rencontrée dans les publications contemporaines ou les sources traduites.

DATATION

5Les dates relatives à des musulmans sont proposées dans le double calendrier hégire/ère chrétienne. En revanche, les événements concernant les non-musulmans sont datés selon la seule ère chrétienne.

6La référence aux siècles adopte, autant que possible, la double datation hégire/ère chrétienne. Néanmoins dans de nombreux cas où la correspondance entre les calendriers est trop approximative, le calendrier julien est privilégié.

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