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Les contributeurs

p. 143-145


Texte intégral

1Jocelyn Benoist est professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur des Archives Husserl de Paris (École normale supérieure), membre de l’Institut universitaire de France et White’s Visiting Professor à l’Université de Chicago. Il est l’auteur notamment des Limites de l’intentionalité (Paris, Vrin, 2005) et de Sens et sensibilité. L’intentionalité en contexte (Paris, Cerf, 2009).

2Jocelyn.Benoist@univ-paris1.fr

3Christiane Chauviré, ancienne élève de l’ENS, a commencé à travailler en épistémologie (Galilée), puis s’est consacrée au pragmatisme américain et à la sémiotique de Peirce, et enfin à Wittgenstein. Elle enseigne actuellement comme professeur la philosophie de la connaissance et du langage à Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle est l’auteur de dix-sept ouvrages dont L’Immanence de l’ego, PUF, 2009 ; Lire le Tractatus (éd.), Vrin, 2009 ; L’Œil mathématique. Essai sur la philosophie mathématique de Peirce, Kimè, 2008 ; Le Moment anthropologique de Wittgenstein, Kimè, 2004 ; Voir le visible, la seconde philosophie de Wittgenstein, PUF, 2003 ; Lire les Recherches philosophiques de Wittgenstein (en coéd. avec Sandra Laugier), Vrin, 2006 ; La Philosophie dans la boîte noire ? Cinq pièces faciles sur Wittengstein, Kimè, 2000 ; Ludwig Wittgenstein, Le Seuil, 1989.

4christiane.chauvire@noos.fr

5Giuseppe di Salvatore, né en 1977, a travaillé à Rome dans le domaine de la philosophie de la religion (sa thèse (laurea) portait sur la phénoménologie de Jean-Luc Marion). Il a traduit et édité la Phénoménologie et philosophie religieuse de Jean Héring (Bompiani, Milano, 2009). Il s’occupe actuellement de phénoménologie et de philosophie du langage. En 2007, il a soutenu sa thèse de doctorat (dont il prépare la publication partielle) sur les théories de l’intentionnalité à l’Université de Rome « Tor Vergata ». Il a édité (en collaboration avec Cristian Bota) et traduit une anthologie de philosophie du langage de Eugenio Coseriu, Il linguaggio e l’uomo attuale, Centro Studi Campostrini, Verona, 2007. En 2008, il a passé une année de recherche à l’Université de Genève avec un projet de recherche sur l’expressivité langagière et épistémique (livre à paraître), dont l’intervention dans ce volume fait partie.

6blumen19@hotmail.com

7Janette Friedrich, née en 1961, est philosophe, travaille à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’Université de Genève, et est directrice de programme au Collège international de philosophie à Paris et membre du laboratoire « Histoire et épistémologie des sciences du langage » du CNRS. Ses recherches portent sur l’histoire et l’épistémologie des sciences de l’homme, notamment sur la tradition soviétique des années 1920 et les penseurs allemands (K. Goldstein, A. Schütz, K. Bühler). Elle a notamment édité La Signification historique de la crise en psychologie de Lev Vygotskij (Paris, Delachaux et Niestlé, 1999) et la Théorie du langage de Karl Bühler (Marseille, Agone, 2009). Son programme de recherche actuel est intitulé : Réflexion, savoir et connaissance – aspects philosophiques d’une relation fondamentale pour les sciences de l’homme.

8Janette.Friedrich@unige.ch

9Charlotte Gauvry est doctorante à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et agrégée de philosophie. Elle prépare une thèse sur la notion de contexte chez Heidegger et Wittgenstein sous la direction de Jocelyn Benoist. Elle s’intéresse aux premiers cours de Heidegger du début des années 1920, particulièrement à leur héritage herméneutique et, parallèlement, aux Recherches philosophiques de Wittgenstein et à leur lecture contextualiste.

10Charlotte.Gauvry@univ-paris1.fr

11Maria Gyemant, agrégée de philosophie et doctorante boursière du gouvernement français, prépare actuellement sa thèse en cotutelle à l’Université Paris 1Panthéon-Sorbonne sous la direction de Jocelyn Benoist et à l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca sous la direction d’Andrei Marga. Ses recherches portent sur la phénoménologie du langage, telle qu’elle prend forme dans les premiers écrits d’Edmund Husserl (1893-1913). L’enjeu de ce travail est d’établir si la question de l’inconscient peut se poser à partir d’une théorie de la signification construite sur le concept d’intentionnalité.

12gyemantmaria@yahoo.com

13Perrine Marthelot est agrégée de philosophie et docteure de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses travaux de recherche, menés sous la direction de Jocelyn Benoist, portent actuellement sur l’analyse des conditions de possibilité de la signification dans l’œuvre de Karl Bühler. Sa thèse est intitulée Karl Bühler : du contexte à la situation, la signification.

14perrine.marthelot@gmail.com

15Daniel Hugo Rellstab est assistant supérieur en linguistique allemande à l’Université de Berne, en Suisse. Il a fait ses études à Berne et à Bloomington, Indiana, et a soutenu sa thèse de doctorat sur la conception de la langue naturelle chez Charles Peirce. Ses domaines de recherche sont : Charles Peirce, l’interface de la sémantique et de la pragmatique, langue et gender, et la communication interculturelle et plurilingue.

16URL: http://www.germanistik.unibe.ch/rellstab

17daniel.rellstab@germ.unibe.ch

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