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    Plan détaillé Texte intégral La description du paysage par César Géographie de l’Auxois Géologie et ressources en eau L’amphithéâtre du site L’occupation humaine Notes de bas de page

    La bataille d'Alésia

    Ce livre est recensé par

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    Le terrain

    p. 39-46

    Texte intégral La description du paysage par César Géographie de l’Auxois Géologie et ressources en eau L’amphithéâtre du site L’occupation humaine Notes de bas de page

    Texte intégral

    La description du paysage par César

    1La description du paysage d’Alésia est la plus détaillée et la plus précise de toutes celles que César a insérées dans le De Bello Gallico  :

    2Ipsum erat oppidum Alesia in colle summo admodum edito loco, ut nisi obsdidione expugnari non posse videretur. Cuius collis radices duo duabus ex partibus flumina subluebant. Ante id oppidum planifies circiter millia passuum III in longitudine patebat ; reliquis ex omnibus partibus colles mediocri interiecto spatio pari altitudunis fastigio oppidum cingebant1.

    3Ne nous laissons pas induire en erreur par les « faux amis », ces mots latins passés en français presque sans changer de forme, mais dont le sens n’est plus tout à fait le même ; altitudo ne signifie pas « altitude » mais simplement « hauteur », une collis n’était pas une « colline » mais une « hauteur » : une traduction est toujours une trahison (traduttore, traditore dit le proverbe italien), mais l’historien doit s’efforcer de rendre le sens réel tel qu’il le comprend. Je traduirai :

    4« Quant à elle – par opposition à ce qui vient d’être dit – la forteresse d’Alésia se trouvait au sommet d’une hauteur bien saillante, en sorte qu’elle paraissait ne pouvoir être emportée, si ce n’est par un blocus. De cette hauteur, deux cours d’eau baignaient les pieds de deux côtés. En avant de la forteresse s’ouvrait une plaine d’environ trois mille pas de longueur ; dans les autres directions, des hauteurs de même élévation entouraient la forteresse à une faible distance ».

    5On ne saurait mieux dire en si peu de mots, mais il nous est possible d’ajouter quelques précisions et d’insister sur des détails qui aident à comprendre les attitudes des assiégés et des assiégeants2.

    Image

    Fig. 9 : Site d’Alésia : travaux du siège (52 avant J.-C.).

    Géographie de l’Auxois

    6Le Mont Auxois est l’extrémité d’un long interfluve qui sépare la vallée de l’Oze – celle qu’utilise la voie ferrée de Paris à Dijon – au nord et celle de l’Ozerain au sud. Cet interfluve s’étend très loin vers l’est, jusqu’à la région de Sombernon. Le Mont Auxois en constitue l’extrémité ouest mais l’érosion l’en a isolé par un col profond d’une quarantaine de mètres, au-delà duquel se trouve la pointe actuelle, appelée le Pennevelle3.

    7Le sommet est un plateau qui s’allonge sur deux kilomètres ; il se termine en pointe à l’ouest, là où Napoléon III a fait dresser une statue colossale de Vercingétorix en 1865. Il se termine également en pointe à l’est, au lieu-dit « la Croix-Saint-Charles » ; vers le centre sa largeur atteint 800 mètres ; sa surface totale est d’environ 97 ha. Il est faiblement ondulé, sauf à l’est où la Croix-Saint-Charles constitue un replat à un niveau inférieur d’environ 25 mètres, dominé par une crête militaire. Le périmètre total est d’environ 4 625 m, 4 325 m seulement en excluant ce replat.

    8Saillant à ses deux extrémités, le Mont Auxois n’a que deux versants, l’un assez rectiligne au-dessus de l’Ozerain, l’autre dessinant une longue courbe du côté de l’Oze. Le rebord du plateau sommital est à 395 m, sauf à la Croix-Saint-Charles ; le fond des deux vallées encadrantes est, en moyenne, à 150 m plus bas. Depuis les rivières, ces versants ne sont pas très larges, 500 m ou un peu plus, mais cela ne suffit pas à définir la raideur des pentes. Pour en juger, il faut les voir, de préférence en hiver, lorsque la forêt, qui en masque les parties supérieures, a perdu ses feuilles. Plus encore, il faut les escalader à pied, en se rappelant que les Gaulois étaient installés sur le plateau sommital et non là où se trouve Alise : c’est possible en venant de la gare des Laumes et en empruntant dans le village une vieille rue – interdite aux véhicules à la montée – qui passe devant la chapelle Sainte-Reine et le Musée Alésia, puis l’escalier moderne qui arrive à la statue de Vercingétorix, mieux encore en partant de la D. 103 à la hauteur du Moulin Savy par le chemin du Clous, puis en longeant le cimetière communal. Qui donc, après avoir fait cet exercice, oserait prétendre encore que le Mont Auxois est « une taupinière » ? Or il s’agit tout de même de deux accès relativement aisés. Ce qui frappe partout ailleurs, c’est la présence au sommet des pentes d’une falaise calcaire, haute d’une vingtaine de mètres, absolument verticale, entourant complètement le mont. On la voit mieux sur le versant sud, mais elle existe aussi sur le versant nord, où la forêt la cache davantage. Elle est présente même en-dessous de la Croix-Saint-Charles, elle y est seulement moins puissante, ainsi qu’à l’extrémité ouest et au-dessus du village d’Alise-Sainte-Reine, d’où partent les deux seules voies carrossables atteignant le plateau, l’une vers la statue de Vercingétorix, l’autre desservant les fouilles de la ville gallo-romaine et les champs. Tous ces points faibles étaient jadis barrés par des murs en pierres sèches, dont certains éléments subsistent encore et témoignent que le Mont Auxois a bien été un oppidum protohistorique. Ailleurs, il y a, à travers la falaise, quelques passages qu’on peut escalader péniblement – cet exercice relève presque de l’alpinisme – mais ils étaient également barrés par des murs en pierres sèches, certainement antiques, quoique, peut-être, d’époques différentes.

    Géologie et ressources en eau

    9L’ossature géologique de toute la région est formée par des couches sédimentaires du secondaire. Des calcaires tendres du bathonien couvrent à peu près les deux tiers du plateau sommital au-dessus d’une mince couche de marnes dites « à ostrea acuminata » ; en dessous on trouve les solides calcaires du bajocien formant la falaise, plus bas toute la base est taillée dans les marnes du lias. L’ensemble a été affecté par des failles4 orientées du sud-ouest vers le nord-est ; c’est une de ces failles qui marque l’arrêt du bathonien à l’ouest et fait resurgir le bajocien à la Pointe sur laquelle se dresse la statue de Vercingétorix. Ce sont probablement d’autres failles qui ont aidé à la formation du col qui isole le Mont Auxois du Pennevelle. Le bathonien et le bajocien sont découpés par des diaclases, quelques-unes affleurent à la Pointe en donnant l’impression fausse qu’il s’agit d’un dallage fait de main d’homme.

    10Il y a une circulation d’eau importante à l’intérieur des calcaires, si bien que le Mont Auxois possède deux nappes aquifères, l’une au-dessus des marnes « à ostrea acuminata », l’autre au-dessus des marnes du lias. Ces diaclases et cette abondance de l’eau ont facilité la dislocation des bords de la falaise et le glissement des éléments qui en ont été séparés : ils constituent aujourd’hui en travers des marnes du lias des barres rocheuses, plus ou moins longues, hautes de trois à quatre mètres, parsemant les pentes inférieures : il faut les contourner lorsqu’on veut remonter ces pentes.

    11Ce n’est pas tout. L’érosion a arraché à la falaise de menus débris qui constituent à son pied des éboulis aussi élevés qu’elle et en pente très raide. Il y en a également qui proviennent du chapeau bathonien et que l’érosion est venue déverser par dessus la falaise au point de la recouvrir parfois complètement ; tous ces déblais, quelle qu’en soit l’origine, sont aujourd’hui stabilisés par la forêt, mais leur hauteur et leur pente les rendent à peu près impossibles à gravir eux aussi. Certains débris, entraînés plus bas, sont venus s’accumuler derrière les barres rocheuses, ce qui explique que les deux versants présentent souvent l’aspect de gradins irréguliers. En outre, l’eau que retiennent ces débris donne parfois naissance à des sources.

    12Les eaux du niveau aquifère supérieur sourdaient au-dessus de la crête militaire que les calcaires bathoniens forment au-dessus de la Croix-Saint-Charles. À l’époque gallo-romaine, elles alimentaient des installations assez complexes dédiées à un dieu de source, Apollo Moritasgus. On ne peut douter qu’elles coulaient déjà au temps de l’Indépendance, et si aujourd’hui on aperçoit difficilement un filet d’eau, c’est parce que la plupart des veinules ont été captées à la fin du xviie siècle, par un aqueduc souterrain qui suit le flanc nord du Mont Auxois et conduit l’eau à l’hôpital d’Alise.

    13Le niveau inférieur alimente sur le versant nord la « Fontaine des Dartreux », également captée à la fin du xviie siècle. On lui trouva un goût désagréable tandis qu’elle sembla excellente pour soigner les maladies de peau ; aussi n’est-elle utilisée que pour les bains de l’hôpital. Les cartes de l’I.G.N. l’indiquent comme « Source Sainte-Reine, oratoire ». D’autres sources existent sur les pentes nord-ouest, alimentées soit par ce niveau, soit par les déblais accumulés derrière des barres rocheuses : au nord-est, il y avait la source « sous le Ret », abandonnée aujourd’hui mais que signalent les débris d’une construction d’époque moderne.

    14Le versant sud est mieux pourvu que le versant nord en points d’eau alimentés par le niveau aquifère inférieur ou par les débris accumulés derrière les barres rocheuses. À la hauteur de la Croix-Saint-Charles, un petit ponceau fait passer sous la D 103 j l’émissaire de la source de la Gissère. Plus bas, il y a une autre source importante à la ferme de Saint Georges ; le hameau des Celliers possède un lavoir et un abreuvoir dont l’eau sort directement du rocher. Le village d’Alise est particulièrement bien doté : le lavoir communal a un débit très important même dans les étés les plus secs ; près du terrain de sport, une fontaine moderne laisse couler sans arrêt l’eau d’une source repérée et captée un peu plus haut et l’aménagement de ce terrain a été très gêné par d’autres arrivées d’eau ; au cœur du village, « La Perrière » sourd au fond d’une grotte ; dans la rue de l’Hôpital, la « Source de Sainte-Reine » recevait déjà un culte à l’époque gallo-romaine. Presque toutes les maisons du village possèdent un puits, quelle que soit leur altitude, souvent dans leur cave. Autrefois, il y avait des chènevières dans presque tous les jardins, avec des « nasoux », petits trous d’eau dans lesquels on faisait rouir le chanvre. On se rappelle encore qu’au siècle dernier, le développement des vignes a conduit bien des cultivateurs à recouvrir de terre des venues d’eau afin de cultiver au-dessus d’elles.5

    L’amphithéâtre du site

    15Des Montagnes de Flavigny et de Bussy, depuis le Mont Réa aussi, tous points où César est certainement passé au cours de ses reconnaissances, on est frappé par la grande plaine en croissant, qui s’étale à l’ouest devant le Mont Auxois ; il s’agit évidemment de la plaine qui s’étendait ante id oppidum... circiter millia passum in longitudinem6. De fait, on compte quelque 4 500 m, équivalents à 3 000 pas romains, de la Montagne de Flavigny à la Montagne de Bussy, distance à mesurer en arc de cercle, mais pas en « ligne droite » comme on l’a parfois prétendu ; « en ligne droite » se disait en Latin recta regione ou recto rigore. Il s’agit d’une plaine alluviale constituée par le débouché des vallées de l’Oze et de l’Ozerain, par un élargissement de celle de la Brenne dans laquelle ces deux rivières vont se jeter, par la fin de celle du Rabutin, affluent de l’Oze. Le sous-sol est constitué, en-dessous de la terre arable, d’argile qui recouvre généralement un niveau de gravier blanc-jaunâtre consolidé. Tout cela est très plat sauf un dos de terrain, assez étroit, fait d’alluvions anciennes, qui commence au pied du Mont Auxois et s’avance en pente douce jusqu’au carrefour situé au sud de l’agglomération des Laumes. La plaine continue à l’ouest de la Brenne jusqu’aux premières pentes du massif de Mussy-la-Fosse.

    16Par delà les étroites vallées de l’Oze et de l’Ozerain7, les Montagnes de Bussy et de Flavigny ont non seulement la même altitude mais encore la même structure géologique et, par conséquent, le même relief que le Mont Auxois ; leurs pentes sont tout aussi difficiles à gravir, présentant des falaises et des barres rocheuses analogues aux siennes, toutefois leurs versants sont entrecoupés par quelques ravins plus accessibles par lesquels se faufile parfois un chemin rural. Il y a des sources des mêmes origines géologiques que celles du Mont Auxois, à des niveaux qui correspondent aux leurs.

    17Au-delà de la plaine « de trois mille pas » se dressent des hauteurs de même constitution géologique que le Mont Auxois et les deux Montagnes, présentant les mêmes caractères topographiques et hydrographiques, toutefois sans falaises verticales et avec des barres moins accentuées. Tel est le Mont Réa au nord de l’Oze, le massif de Mussy-la-Fosse allongé du sud au nord à l’ouest de la Brenne.

    L’occupation humaine

    18Le relief et l’hydrologie n’ont pu subir que des modifications insignifiantes depuis 52 av. J.-C. Par contre la végétation a pu être modifiée par l’action de l’homme : malheureusement, nous n’avons actuellement aucun moyen d’apprécier ce qu’elle était autrefois. Il y a aujourd’hui beaucoup de forêts, mais elles sont souvent très récentes et résultent simplement de la croissance naturelle des arbres sur des terrains abandonnés par les cultures depuis un siècle à peine ; de même qu’ont disparu les moulins qui utilisaient l’eau des rivières, de l’Ozerain en particulier. Pour l’Antiquité, nous n’avons que quelques indications bien vagues que fournit le De Bello Gallico lui-même : il devait y avoir des forêts car les assiégeants et les assiégés ont eu besoin de beaucoup de bois. Les uns et les autres ont consommé des grains et du bétail trouvés dans la région. Les forêts, les cultures et l’élevage, voici encore un mystère du siège d’Alésia.

    19Outre le relief, il faut prendre conscience de l’amplitude du site. Le visiteur pressé lui-même peut s’en rendre compte du sommet du Réa, ou mieux encore du lieu-dit « le Purgatoire » au-dessus de Mussy-la-Fosse, tous deux accessibles en voiture. De ces points, on a des vues remarquables sur l’ensemble, sur le Mont-Auxois et sur les vallées encadrantes, sur la plaine de 3 000 pas, sur « les Montagnes de Bussy et de Flavigny ». Il se rend compte qu’il y a environ 4,5 km du Réa au Pennevelle, plus de 6 km du Purgatoire au même Pennevelle, tout cela à vol d’oiseau. Les soldats de 52 av. J.-C. ne se déplaçaient pas à vol d’oiseau, la vitesse d’un homme est de l’ordre de 4,5 km/heure en terrain plat, de jour. Les cavaliers ne vont pas beaucoup plus vite. Ce sont des considérations qu’il ne faut pas oublier en étudiant les opérations du siège, bien qu’il soit difficile d’en faire l’application.

    20L’occupation humaine au temps de la Guerre des Gaules ne nous apparaît pas encore clairement. Lors des travaux de 1861-1865, on a découvert des « villages gaulois » dans quelques endroits où l’on a fouillé pour trouver les traces des lignes de César, mais qu’étaient en réalité ces « villages gaulois » ? À quand remontaient-ils ? Nous l’ignorons. Nous commençons à savoir qu’à l’époque gallo-romaine, il y a eu beaucoup d’établissements dans les campagnes environnantes, mais dans quelle mesure ont-ils succédé à des installations de l’époque de l’Indépendance ? Tout ce que nous savons, grâce à César, c’est que ses soldats ont eu à aller chercher du blé et du fourrage dans les campagnes environnantes8.

    21Faute de fouilles en profondeur sur le plateau, on a cru parfois que l’oppidum d’Alésia n’était qu’une place refuge occupée seulement en cas de danger. Nous savons depuis peu qu’il s’y trouvait au contraire un habitat stable avec un grand espace libre à l’endroit où sera plus tard le forum de la ville gallo-romaine. À vrai dire, nous aurions dû nous en douter en lisant attentivement le récit du siège. César y qualifie Alésia quinze fois d’oppidum et une fois seulement d’urbs ; il n’y a pas à chercher une urbs distincte de l’oppidum. Dans le latin de César, les deux mots sont synonymes, on peut facilement s’en assurer en lisant le récit du siège d’Avaricum et celui de Gergovie, qualifiées chacune une ou deux fois d’urbs et une dizaine de fois d’oppidum. Il n’y a pas davantage à chercher à Alésia une arx (citadelle) parce que César a employé ce mot en VII, lxxxiv, 1. C’est encore un synonyme. Il y avait simplement sur le Mont Auxois une seule agglomération, fortifiée par des murs en pierres sèches renforçant les défenses naturelles dues au relief. Ces murs ont été trop peu étudiés, à peine repérés parce qu’ils sont en mauvais état et installés en haut des pentes dans des situations où ils sont très difficiles à atteindre. Peut-être sont-ils d’époques différentes, mais certains étaient incontestablement en fonction à l’époque du siège, en particulier celui qui entoure la Pointe autour de la statue de Vercingétorix9.

    Notes de bas de page

    1 B.G., VII, lxix, 1-4.

    2 Il est nécessaire d’avoir sous les yeux les cartes à grande échelle de l’Institut Géographique National au 1/50 000e ou de préférence au 1/25 000e (XXIX, 21, Montbard, 5-6 et 7-8 ; XXIX, 22, Semur-en Auxois, 3-4 et 1-2).

    3 Orthographe ancienne : le Pevenel.

    4 Sur la géologie du Mont Auxois, v. Ch. Petit, Formation de versants dans l’Auxois : l’exemple du système de base de corniche du Mont Auxois, p. 11-18.

    5 J. Le Gall, La soif n’a pas torturé les défenseurs d’Alésia.

    6 « devant cet oppidum... sur environ 3 000 pas de longueur ». Le pas romain était un double pas correspondant à 1,479 m.

    7 Elles ont une largeur maxima de l’ordre du km à la hauteur du rebord des falaises et seulement une cinquantaine de mètres à celle des plafonds alluviaux.

    8 B.G., VII, lxxiii, 1 ; lxxiv, 2.

    9 Cf. M. Mangin, Vercingétorix assiégé dans Alésia : les défenses du Mont Auxois.

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    1 B.G., VII, lxix, 1-4.

    2 Il est nécessaire d’avoir sous les yeux les cartes à grande échelle de l’Institut Géographique National au 1/50 000e ou de préférence au 1/25 000e (XXIX, 21, Montbard, 5-6 et 7-8 ; XXIX, 22, Semur-en Auxois, 3-4 et 1-2).

    3 Orthographe ancienne : le Pevenel.

    4 Sur la géologie du Mont Auxois, v. Ch. Petit, Formation de versants dans l’Auxois : l’exemple du système de base de corniche du Mont Auxois, p. 11-18.

    5 J. Le Gall, La soif n’a pas torturé les défenseurs d’Alésia.

    6 « devant cet oppidum... sur environ 3 000 pas de longueur ». Le pas romain était un double pas correspondant à 1,479 m.

    7 Elles ont une largeur maxima de l’ordre du km à la hauteur du rebord des falaises et seulement une cinquantaine de mètres à celle des plafonds alluviaux.

    8 B.G., VII, lxxiii, 1 ; lxxiv, 2.

    9 Cf. M. Mangin, Vercingétorix assiégé dans Alésia : les défenses du Mont Auxois.

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    Le Gall, J. (2000). Le terrain. In La bataille d’Alésia (1‑). Éditions de la Sorbonne. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22571
    Le Gall, Joël. « Le terrain ». In La bataille d’Alésia. Paris: Éditions de la Sorbonne, 2000. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22571.
    Le Gall, Joël. « Le terrain ». La bataille d’Alésia, Éditions de la Sorbonne, 2000, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22571.

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    Le Gall, J. (2000). La bataille d’Alésia (1‑). Éditions de la Sorbonne. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22514
    Le Gall, Joël. La bataille d’Alésia. Paris: Éditions de la Sorbonne, 2000. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22514.
    Le Gall, Joël. La bataille d’Alésia. Éditions de la Sorbonne, 2000, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psorbonne.22514.
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