Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1J’ai tant de personnes à remercier qu’un autre volume serait probablement nécessaire. Je n’aurais jamais pu mener à bien une telle entreprise sans le concours dévoué de soutiens qui m’ont apporté une assistance et une expertise inestimables.
2Je tiens à exprimer toute ma gratitude aux personnes qui ont eu la gentillesse d’accepter de faire partie du jury de soutenance de cette thèse dirigée par Patrick Boucheron : Jean-Philippe Genet, Élodie Lecuppre-Desjardins, Annick Peters-Custot, Guillaume Calafat et Étienne Anheim.
3Cette étude est le reflet de longues années universitaires, d’enseignements suivis avec profit dans le cadre de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. La direction d’études idéale que m’ont apportée Jean-Philippe Genet puis Patrick Boucheron a forgé mon grand attrait pour la recherche. D’autres enseignements importants ont également renforcé ma détermination à mener à bien ce travail, parfois contre vents et marées, ceux d’Olivier Mattéoni pour Paris 1 ou de Jean-Claude Schmitt et de Gisèle Besson pour l’EHESS. Je dois beaucoup à l’aide discrète et constante de Pierre-Marie Morel. À cet entourage se sont ajoutés les conseils et l’encadrement administratif de Christine Ducourtieux, Noemi Rubello et Françoise Bornes. Je tiens à tous les remercier chaleureusement.
4Le parcours intellectuel qui fut le mien a été l’occasion de nombreuses rencontres avec d’autres savants qui m’ont fait profiter de leur science. En premier lieu, la belle structure que représente pour moi le LaMOP m’a permis d’effectuer mes premiers pas en tant que chercheur. Mes collègues chercheurs, de par nos échanges, m’ont ouvert des pistes de réflexion fort utiles pour moi et les avis de Cédric Quertier comptent parmi les plus importants. L’EHESS a également été très importante pour moi. L’amitié et le soutien sans faille de Marion Pouspin furent des étais qui m’ont fait grandir : ma reconnaissance est sans borne. De même, l’accueil dont fit preuve l’Institut d’histoire et de civilisation de Byzance du Collège de France m’a permis de mener avec bonheur une vie intellectuelle bercée entre Orient et Occident. Les avis de Marie-Hélène Blanchet comptent pour une part essentielle dans la formation de ce travail de thèse : sans ses conseils, rien n’aurait été possible. Je tiens également à remercier Thierry Ganchou, Raul Estangüi Gómez, Jean-François Vannier et Guillaume Saint-Guillain pour leur sollicitude et leur bienveillance. Enfin, cette thèse doit énormément aux influences modernistes et contemporanéistes. Les travaux et très nombreux conseils de David Do Paço forment la matrice originelle de toute cette entreprise : sans les longues discussions passionnées que nous avons depuis près de dix ans, mes réflexions seraient restées bien en deçà du niveau où elles sont parvenues. Je tiens également exprimer ma reconnaissance à Christine Lebeau, Mathilde Monge et Marie-Carmen Smyrnelis.
5Enfin, au plus près du cercle des proches, je ne peux faire abstraction de l’amour, l’amitié, l’aide et le soutien dont ont fait preuve ma famille et mes amis. Ma famille, mes parents, ma sœur, mon frère, ma grand-mère, ont su m’offrir l’éducation et la passion pour les livres qui me sont toujours restées chevillées au corps. Mon épouse Audrey et mes enfants Maud, Théodore, Augustin et Daphné savent entretenir ce feu, cet enthousiasme pour l’Histoire, en me faisant toujours effectuer ce pas de côté, parfois incongru, qui est vital à tout historien. Je ne leur dirai jamais assez combien ils me sont chers et précieux. Avec eux, c’est l’ensemble de ma famille, de mes cousins, qui ont su faire preuve de compréhension vis-à-vis de mon cas. Cette même compréhension semble également avoir animé mes proches amis Damien, Marie, Hélène, David, Marion, Julien, Pierre, Chloé, Polo, Nat, Boris, Margaux, Simon, Joy et tant d’autres encore. De leurs remarques, de leurs avis sont nées certaines des idées dont je suis le plus fier.
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