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Conclusion de la deuxième partie

p. 225-226


Extrait

1La Première Guerre mondiale semblait avoir provisoirement cimenté la société tunisienne et renforcé, pour les juifs de Tunisie, leur confiance en la « nation protectrice », leur « patrie d’adoption ». La réalité est cependant plus complexe : les tensions internes sont très fortes dans l’entre-deux-guerres et les juifs de Tunisie sont inquiets. Pourtant, en 1939, leur loyauté envers la France aboutit à de nouveaux engagements pour combattre le nazisme et le fascisme.

2La politique du protectorat n’a cessé d’être ambiguë face aux demandes de mobilisation générale et d’engagements volontaires : si les résidents généraux successifs valorisent les engagements passés, ils continuent à limiter ceux de 1939.

3Après la défaite et l’instauration d’un pouvoir aux ordres de Vichy, l’image de la France se détériore. Pourtant, pour une partie importante de ces hommes, le combat ne doit pas cesser.

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