Le Timon de Vienne
p. 191-196
Résumé
Après le rappel de certains témoignages (Canetti, Kokoschka, Musil) et de l’approche sociologique de Michael Pollak sur l’unicité de la position de Karl Kraus dans le champ littéraire viennois, l’article fournit une analyse de l’utilisation que Kraus a faite de la pièce Timon d’Athènes de Shakespeare. Elle ne figurait pas seulement sur les programmes de son Théâtre de la poésie, mais il faisait du personnage de Timon son alter ego, le « Timon de Vienne », n’hésitant pas à s’en prendre à son propre public.
Texte intégral
1« Le recensement a donné le résultat suivant : Vienne compte 2 030 834 habitants. C’est-à-dire 2 030 833 âmes et moi. » Elias Canetti commente cet aphorisme ainsi : « Le poids et la valeur de ce moi sont plus grands que ceux de tous les autres habitants ensemble. »1 Musil : « Kraus aiguise son couteau quand un autre ose dire moi. »2 Canetti insiste lourdement sur le côté meurtrier du satiriste en citant notamment ses polémiques contre Alfred Kerr, pourtant selon Musil le plus grand « anthropoètophage » de Berlin, mais qui ne pèse pas lourd face à l’ogre-cannibale (« Menschenfresser ») de Vienne (Benjamin)3. La singularité des singularités s’appelle Dieu, et les admirateurs de Kraus n’ont jamais hésité à faire de lui son égal ou au moins son porte-parole. Petit échantillon : « Grand-prêtre de la vérité, habité par le souffle glacial de Dieu » (Trakl)4, « Il est descendu en enfer pour juger les vivants et les morts » (Kokoschka)5, « Une idole qui fut un Dieu » (Canetti)6.
2Moins métaphorique est le jugement du sociologue Michael Pollak7 : « La position que Karl Kraus a occupée dans le champ intellectuel viennois est unique, tout comme le sont les réactions passionnées qu’il a suscitées de son vivant et qu’il continue de susciter. » Pollak s’appuie sur un mot célèbre de Kafka qui classe Kraus parmi les auteurs de « l’enfer de la littérature judéo-allemande » où il exerce le rôle de « grand vigile » sans se rendre compte qu’il a « toute sa place dans cet enfer parmi ceux qu’il faut châtier. » Pour Michael Pollak, disciple de Pierre Bourdieu, Kafka « lui-même obsédé par la question du succès littéraire et qui a fait l’expérience de rêves de domination et de l’angoisse que provoque le rapport avec le public, suggère à Kraus de faire l’analyse sociologique de sa propre position au sein du monde littéraire. » Et le sociologue se propose d’entreprendre à la place de Kafka l’analyse du processus et des stratégies qui ont permis à Kraus de devenir « le juge suprême de la vie intellectuelle (viennoise) » et l’« instance suprême de jugement moral infaillible » (parmi les jugements courants il y avait bien sûr aussi la comparaison avec le pape [Else Lasker-Schüler]). Comment Kraus réussit-t-il à se « proclamer maître de la vie culturelle sans autre garant que soi-même », donc à créer en quelque sorte un champ littéraire autonome à lui seul ?
3Selon Pollak, les étapes en sont les suivantes : une rupture (risquée) avec son milieu. C’est l’« acte fondateur de son rôle de juge moral » fondé sur la « critique interne de son milieu », l’« instrument de moralisation » autrement plus efficace qu’un jugement venant d’une instance extérieure. Ainsi il devient le contraire de ce qu’il était destiné à devenir (« un littérateur journaliste ») en se transformant en « critique de ses concurrents directs les plus sérieux ». Pollak constate une contradiction entre ressentiment (relative marginalité sociale) et grande notoriété en tant que « feuilletoniste ». Il veut surmonter ses ressentiments de dominé, d’abord contre Hofmannsthal et Andrian, deux aristocrates, représentants de la « dégénérescence », puis contre Salten, Herzl et Bahr, ses concurrents du même milieu et métier. Dans le domaine littéraire il se positionne contre l’intériorité viennoise, car il « reste attaché au naturalisme et à une littérature socialement engagée », d’où la proximité initiale avec la social-démocratie. Enfin, il analyse les « moyens de communication, la circulation des idées ». Ici, Kraus produit selon Pollak une critique de « caractère essentiellement sociologique » ! (Bourdieu s’identifiera largement à ce Kraus qui critique les « conditions de production de l’œuvre, de sa diffusion et de sa réception ». Il approuvera les outils polémiques de Kraus comme le collage, les procès, le canular)8. Pollak parle de Kraus comme de son maître de « sociologie en acte des intellectuels ». Un lien de « fidélité infaillible » se crée « entre lui-même et son public ». Par ses « conférences publiques » il fidélise son public grâce à sa présence physique et crée une sorte de champ « autonome » Karl Kraus. Bref, il choisit de s’auto-exclure du champ littéraire viennois et berlinois. Mais, « expulsé du champ, Kraus est encore à sa manière propulsé par les forces de ce champ ». Aux champs dominants il oppose un « anti-modernisme élitiste », un « pessimisme culturel et le fait d’être seul à détenir la vérité. » Cette position, Pollak la qualifie même d’« égologisme littéraire ».
4Il est indéniable que l’analyse sociologique apporte un éclairage fort pertinent sur le phénomène Kraus. Il faut y ajouter les modalités successives de la publication de la revue Die Fackel : de la périodicité (bimensuelle au début) – normalement essentielle à la vie des journaux et revues – Kraus passe à des éditions espacées en utilisant parfois son « silence » comme moyen de communication particulièrement efficace, par exemple en 1914 et en 1933. La taille de la revue peut varier entre 4 et plus de 300 pages. La publicité commerciale, encore relativement présente au début, disparaît totalement. À partir de 1911, Kraus se sépare également de ses collaborateurs pour devenir effectivement l’unique responsable de la Fackel : propriétaire, rédacteur en chef et seul auteur. L’espace réservé aux annonces publicitaires est « non vendable ». (Par tous les moyens Kraus s’oppose aux règles fondamentales du marché, notamment au jeu de l’offre et de la demande). À partir de 1910 il ajoute à l’espace de la Fackel l’institution de ses lectures publiques où il varie « Lesungen aus eigenen Schriften » et le « Théâtre de la poésie » dans lequel sa singularité atteint un nouveau niveau insensé : il concentre en sa personne tout l’appareil théâtral (metteur en scène, acteurs) pour se faire l’interprète authentique de Shakespeare, Goethe, Nestroy et – comble d’audace – Offenbach, et pour s’opposer à l’institution du théâtre et de ses vedettes comme son ennemi intime Max Reinhardt et ses mises en scène fastueuses.
5Michael Pollak a raison d’insister sur le rôle déterminant de la relation, faite de liens « d’une fidélité infaillible », entre Kraus et son public de lecteurs et auditeurs, qualifié de « dévot ». Or, vers la fin de sa vie on peut constater une distension successive de ce lien fondamental. Pourtant, Kraus, au lieu de chercher des moyens pour le resserrer, fait le contraire : il insulte le public, l’accuse d’apostasie, voire le chasse carrément de son temple. C’est dans ce contexte que se situe l’usage qu’il a fait de la tragédie (inachevée) de Shakespeare (et de Thomas Middleton) Timon of Athens. En 1930 il publie aux Éditions Lanyi à Vienne Timon von Athen. Trauerspiel in fünf Aufzügen [Tragédie en cinq actes] Adaptée et revue pour la scène et la radio d’après la traduction de Dorothea Tieck. Mais c’est dès ses premières lectures publiques que le Timon de Shakespeare est au programme, la première fois le 5 février 1912. Et la critique comme lui-même ont tout de suite souligné la quasi-identité entre le satiriste et le misanthrope. (Le disque qui conserve quelques lectures théâtrales de Kraus réunit des extraits du Timon et du Alpenkönig und Menschenfeind de Raimund, une combinaison que l’on trouve aussi dans un programme de lecture de 1925.) De son attitude envers Vienne et l’Autriche Kraus dira : « par rapport à moi, Timon est un représentant du patriotisme local » (Fackel 795-799, p. 50/51).
6Mais mon propos n’est pas d’ordre psychologique. On a suffisamment glosé sur sa vanité et sa haine de soi et des autres. Je prends ici la métonymie Timon de Vienne comme signe fort d’une stratégie de Kraus pour maîtriser et défendre en période de crise le champ autonome qu’il a su créer. Le 16 novembre 1930 il procède à une expérimentation sociologique, « donc une sociologie en acte », elle aussi probablement unique en son genre. Après avoir constaté que son édition-adaptation de Timon d’Athènes fut un échec commercial (150 exemplaires vendus) et que la lecture du Wintermärchen n’avait attiré que 150 auditeurs, il annonce une soirée de lecture au Mittlerer Konzerthaussaal dont la capacité était de 900 personnes. Le programme était rédigé ainsi :
« A u s e i g e n e n S c h r i f t e n. (Karl Kraus lit Karl Kraus)
I. Ansprache : Timons Mahl. (Harangue : Le repas de Timon)
II. T i m o n v o n A t h e n. (Timon d’Athènes) »
7« Aus eigenen Schriften » et « Timon von Athen » étaient imprimés en lettres espacées. À cause de l’absence du nom de Shakespeare, un lecteur inattentif pouvait donc conclure que le programme ne contenait que des « écrits » de Kraus, dont un texte intitulé « Timon von Athen ». La ruse a parfaitement fonctionné, la salle était comble. On a même dû refouler du public. Kraus a eu recours à ce stratagème parce que son public habituel se délectait surtout des satires et polémiques tirées de la Fackel. Quant au comportement de ce public – une masse haineuse (« Hetzmasse ») –, Elias Canetti qui en faisait partie a écrit des phrases éclairantes sur l’instinct meurtrier à l’œuvre dans la satire et sur le plaisir des auditeurs d’assister à des exécutions capitales symboliques dans un lieu public. Il ne faut pas non plus oublier que ce public était très majoritairement acquis aux idées de gauche, et le radicalisme antibourgeois de Kraus avait tout pour lui plaire. L’influence que Kraus exerçait sur la jeunesse contestataire était suffisamment grande pour que le parti social-démocrate procédât dans sa revue théorique Der Kampf à des discussions sur le rôle de Kraus dans le parti (auquel il n’avait jamais adhéré). Or, depuis 1928, Kraus prenait de plus en plus de distance par rapport à la social-démocratie, distance qui se muait en agression délibérée contre l’embourgeoisement et le pangermanisme du parti. Kraus perdait ainsi son seul soutien médiatique à Vienne, car la presse libérale et conservatrice avait pour habitude de le passer sous silence (« totschweigen »). Le refus de lire ses « propres écrits » dont le public était friand revient à un refus de voir son nom usurpé pour des raisons exclusivement politiques. À la place de ses satires que, dans cette optique, il voyait réduites à des opinions politiques, il mettait de plus en plus des monuments culturels au programme de ses lectures publiques (Shakespeare, Nestroy, Offenbach, voire des textes particulièrement ardus de Goethe). Ce qui entraînera un rétrécissement notable du public.
8Kraus avait réservé un traitement-surprise au public piégé de la soirée « Timon » du 16 novembre 1930. Il débuta la lecture par la harangue « Le repas de Timon ». (Pour bien comprendre le texte il faut savoir que le Timon de la tragédie invite ses amis flatteurs et traîtres à un repas où il leur sert de l’eau et des pierres avant de les injurier et jeter dehors). Les délices attendues d’une soirée « Kraus lit Kraus » sont ainsi métaphoriquement transformés en nourriture indigeste (« pierres »), c’est-à-dire en une lecture de Shakespeare.
9« Comme le programme le montre, j’ai trompé l’attente de “eigene Schriften” : de faux amis sont invités au repas de Timon. » Après une longue tirade contre l’état politique et culturel de l’Autriche (où il met la droite et la gauche dans le même sac) il explique son refus de nourrir par ses « eigenen Schriften » « l’animus injuriandi » que les auditeurs partagent avec lui sans en avoir les moyens de l’exprimer au même degré. Pour lui, les traductions-adaptations d’Offenbach et de Shakespeare sont plus importantes que tout ce « qui se passe dans la politique autrichienne ». À cet endroit il commence sa démonstration sociologique :
Si j’avais invité les auditeurs à cette lecture telle qu’elle aura lieu, seulement 150 auraient entendu l’appel comme jadis pour le sublime et aimable Conte d’hiver ; 150 parmi les milliers de lecteurs viennois de la Fackel. […] Si je suis obligé de renoncer à de tels auditeurs, je renonce également à de tels lecteurs ! Par conséquent, 750 des 900 auditeurs rassemblés aujourd’hui devraient logiquement quitter la salle en s’apercevant qu’un faux repas aura lieu.
10Kraus leur laisse deux minutes pour se rendre aux caisses – d’abord fermées à cause de l’engouement – pour se faire rembourser. En procédurier juridique consommé qu’il est il ajoute « qu’il n’existe pas de réclamation juridique », car il peut pour des raisons précises prouver que cette adaptation a sa place dans ses « propres œuvres ». Pour ceux qui exigeraient éventuellement en plus le remboursement de leurs frais de transport et de garde-robe (juridiquement infondés) ils auraient quand-même obtenu pour leur argent le discours « Timons Mahl » qu’il est en train de prononcer et dont le caractère « eigene Schriften » ne fait aucun doute.
11Il attend – bien sûr en vain – la décision du public : « combien d’auditeurs me feront le déshonneur de se décider pour moi contre Shakespeare. » Puis il cite la fin du troisième acte de Timon d’Athènes, notamment la dernière phrase : « Il jette un jour de l’or, le lendemain des pierres. » Et de conclure : « Mais la prochaine fois il (= Timon-Kraus) tentera à nouveau – sans le prétexte de l’offre préférée – une expérience Shakespeare à Vienne. » « Il » lira en effet Timon à nouveau le 20 février 1932 à Vienne. Cette fois-ci il y a un élément nouveau, car il se trouve en concurrence avec le Timon. Tragédie de Ferdinand Bruckner-Theodor Tagger, un objet satirique de choix (Fackel 868872, p. 69-75), mais dont le succès est garanti grâce au soutien quasi-unanime des médias. Il fait de nouveau précéder la lecture d’un discours, cette fois-ci intitulé « Timons eigene Schrift » (« Timon lit Timon ») (Fackel 868-872, mars 1932, p. 101-104). Le titre Timon von Athen est précédé de « Zu Ehren Shakespeares », ce qui laisse un doute sur l’identité de l’auteur. Kraus note que le nombre d’exemplaires vendus s’élève désormais à 200. Son discours reprend les griefs de « Timons Mahl » contre son propre public, « qu’il aurait aimé plus utilisable ». Il insiste sur le contraste « grotesque » entre la minorité digne des acheteurs de la tragédie et les milliers de lecteurs de la Fackel dont la demande d’« eigene Schriften » lui permet de financer l’édition déficitaire de l’œuvre de Shakespeare. Se fondant entièrement dans le personnage de Timon, Kraus envisage même la possibilité de ne plus publier ses « eigene Schriften », voire de renoncer à les écrire… Une mise en cause de la satire dont l’expression la plus aboutie sera Troisième Nuit de Walpurgis.
12Bientôt le nombre de ses auditeurs (et de ses lecteurs) va diminuer dramatiquement, la situation financière de la Fackel va devenir préoccupante. En 1933/34 Kraus prendra une décision qui le singularisera à nouveau et l’isolera même de son public le plus fidèle. Il va prendre la défense de Dollfuss contre la social-démocratie, et l’un de ses adeptes les plus dévots (Elias Canetti) va le traiter de « Hitler des intellectuels » et de « Goebbels de l’esprit »9. De la position unique du juge suprême ne restera que la solitude. Le sauveur unique sera transformé en son contraire, en Judas, autre figure de la singularité. Paradoxe : les derniers fidèles de l’Eglise krausienne seront souvent des catholiques opposés au national-socialisme, en particulier les judéo-chrétiens de la « Société Saint Paul ». On peut s’interroger si la « sacralisation » fait partie des stratégies conscientes d’ordre sociologique (occupation partielle du champ du sacré) ou si on a à faire à un phénomène sui generis non réductible, donc vraiment singulier. En l’occurrence, les lecteurs catholiques des années 1930 voient en Kraus non plus un Timon moderne, mais une réincarnation d’une autre figure de la singularité : le prophète de l’Ancien Testament.
Notes de bas de page
1 Elias Canetti, « Le nouveau Karl Kraus », dans E.C. (1984), La conscience des mots, Paris, Albin Michel, p. 291.
2 Robert Musil, Prosa und Stücke. Kleine Prosa. Aphorismen. Autobiographisches. Essays und Reden. Kritik, Reinbek, Rowohlt, 1978, p. 1406.
3 Walter Benjamin, « Karl Kraus », dans L’Herne 28 (Karl Kraus), 1975, p. 98.
4 Georg Trakl, « Karl Kraus », dans Der Brenner III, 1913, no 18, p. 840.
5 Der Brenner III, 1913, no 20, p. 935.
6 Elias Canetti, « Karl Kraus. École de la résistance », dans E. C. (1984), La conscience…, op. cit., p. 52.
7 Michael Pollak, « Karl Kraus, le juge suprême de la vie intellectuelle – une stratégie », dans Gilbert Krebs et Gerald Stieg (éds), 1989, Karl Kraus et son temps. Paris, PIA, p. 129-137.
8 Austriaca 49, 1999 (Actualité de Karl Kraus), p. 39-40.
9 Voir Gerald Stieg, « La loi ardente. Elias Canetti auditeur et lecteur de Karl Kraus », dans Agone 35/36, 2006, p. 44.
Auteur
Agrégé d’allemand et, jusqu’en 2012, assistant à l’Institut d’allemand d’Asnières (Paris 3). Études d’allemand à l’ENS et à l’Université de Bonn. Choix d’articles : « L’affaire Sloterdijk : une méta-polémique ? », dans V. Robert (éd.), 2003, Intellectuels et polémiques dans l’espace germanophone, Asnières, PIA ; « Les Discours à la Nation allemande de Fichte : un logocentrisme politique », dans I. Behr, P. Henninger (éds), 2005, À travers champs. Études pluridisciplinaires allemandes. Mélanges pour Nicole Fernandez-Bravo. Paris, L’Harmattan, coll. « Les mondes germaniques » ; « La présentation de l’entreprise dans les rapports annuels français et les Geschäftsberichte allemands », dans I. Behr, D. Hentschel, M. Kauffmann, A. Kern (éds), 2007, Langue – économie – entreprise : le travail des mots, Paris, PSN ; « Malaise dans le Parc humain : Freud avec Sloterdijk ? », dans K. Hausbei, A. Lattard (éds), 2008, Identités multiples. Mélanges offerts à Gerald Stieg, Paris, PSN.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Médiations ou le métier de germaniste
Hommage à Pierre Bertaux
Gilbert Krebs, Hansgerd Schulte et Gerald Stieg (dir.)
1977
Tendenzen der deutschen Gegenwartssprache
Hans Jürgen Heringer, Gunhild Samson, Michel Kaufmann et al. (dir.)
1994
Volk, Reich und Nation 1806-1918
Texte zur Einheit Deutschlands in Staat, Wirtschaft und Gesellschaft
Gilbert Krebs et Bernard Poloni (dir.)
1994
Échanges culturels et relations diplomatiques
Présences françaises à Berlin au temps de la République de Weimar
Gilbert Krebs et Hans Manfred Bock (dir.)
2005
Si loin, si proche...
Une langue européenne à découvrir : le néerlandais
Laurent Philippe Réguer
2004
France-Allemagne. Les défis de l'euro. Des politiques économiques entre traditions nationales et intégration
Bernd Zielinski et Michel Kauffmann (dir.)
2002