La guerre dans un fauteuil : le Vietnam, les civils et les médias
p. 141-149
Texte intégral
1L’année du cinquantenaire de l’attaque nipponne sur Pearl Harbor, et quelques mois après la libération du Koweit, les anglicistes français sont invités à se pencher sur la guerre du Vietnam au travers de l’opinion publique américaine. Cet événement intermédiaire s’inscrit-il objectivement dans une évolution historique durable ? Sa représentation dans les médias a-t-elle contribué à fausser les points de vues ou au contraire à faire étaler une vérité maladroitement occultée ? La guerre d’Indochine et celle d’Algérie, si comparables dans leurs causes, leurs effets et leurs conséquences, ont-elles eu un retentissement identique dans la conscience collective en France ?
2S’il reste à prouver la pertinence des sondages et leur adéquation aux courants de pensée d’une époque, il est en revanche instructif d’imaginer l’impact sur le public américain de l’information (ou de la désinformation) et des valeurs culturelles véhiculées par les médias audiovisuels. Nombre des traumatismes subis entre 1964 et 1973, que d’aucuns jugeaient irrémédiables dans la conscience américaine, semblaient largement effacés quand le général Schwarzkopf lança ses troupes à l’assaut de la machine de guerre irakienne. Les conflits successifs ont-ils était différemment perçus en raison d’une évolution des attitudes politiques et éthiques, de convictions nouvelles ou simplement de la prise de conscience de dangers plus imminents ?
La guerre du petit écran
3Pendant le conflit vietnamien les téléspectateurs assistent à des reportages sur les bombardements, les patrouilles, voire les combats rapprochés. Des images de carnage franchissent l’océan pour se répandre dans les foyers à l’heure de grande écoute du « prime-time ». De cette version télévisée de la guerre, Lyndon Johnson dira en 1968 qu’elle a installé le défaitisme chez les Américains. Roosevelt et Truman auraient-ils battu en retraite sous la pression des masses si les caméras vidéo avaient été présentes à Bataan, à Guadalcanal puis à Pusan ?
4C’est surtout à partir de 1965 que l’envoi de troupes s’accélère pour atteindre rapidement le demi-million d’hommes. L’accroissement des bombardements, puis en 1968 l’offensive du Têt, traduisent les mécomptes de l’escalade au point de contraindre Johnson à renoncer à un nouveau mandat présidentiel. Y a-t-il cependant corrélation entre les réactions négatives du public et les déboires de la stratégie militaire ? A l’évidence les familles américaines passent alors davantage de temps devant leur téléviseur qu’à la lecture des journaux. Les images de l’offensive du Têt ne s’accompagnent pas couramment de commentaires visant à situer les combats dans un ensemble de données tactiques ou diplomatiques. Aussi les téléspectateurs sont-ils prompts à déduire de la brutalité des images une impression d’enlisement progressif. S’il est permis de contester a posteriori cette conception pessimiste de l’impact des médias audiovisuels sur l’opinion publique, il est clair en revanche qu’elle contredit l’optimisme de rigueur affiché par l’Administration de Johnson et qu’aucune preuve convaincante ne viendra jamais étayer. En 1968, ce sont essentiellement des soldats américains que l’on voit soumis au feu de l’ennemi, et des civils vietnamiens victimes d’atrocités.
5De cette époque date aussi l’amalgame auquel assiste communément le téléspectateur d’aujourd’hui entre information et spectacle dramatique, comme le démontre brillamment le film Network. Mais, à la fin des années soixante, cette couverture de la guerre n’est pas encore transmise en direct par satellite comme en 1991. Les films sont acheminés par avion et montés avec un décalage générateur d’interversion et d’anachronisme, d’autant que les chaînes sélectionnent les séquences les plus saisissantes sans fournir de commentaire très explicite. Les nouvelles, données séparément sur les radios, peuvent enfin contredire les images que voient les téléspectateurs, outre que les messages et autres informations officielles fournis par l’Exécutif fédéral ajoutent à la confusion des esprits. L’accoutumance aux scènes d’horreur dont on sait qu’à la télévision, elle tarit les réactions émotives et conduit à l’indifférence plutôt qu’elle ne stimule l’agressivité, a pu aussi déterminer un rejet du sentiment communautaire et le repli sur soi. Une fois la guerre banalisée sur l’écran, les civils ont volontiers assimilé la violence déployée à toutes les autres formes d’agression visibles sur le petit écran. Comme le dit en plaisantant le disc jockey Adrian Cronauer dans Good Morning, Vietnam, l’insécurité à Saigon ressemble alors à celle du Bronx.
6Peut-être ces images bouleversantes du conflit vietnamien ne suffisent-elles pas totalement à expliquer l’hostilité du public vis-à-vis de l’engagement militaire. Elles sont toutefois complétées par de nombreux reportages sur les manifestations pacifistes qui créent un effet de masse, conférant ainsi à l’agitation de la rue ou des campus la dimension d’une « seconde guerre de Sécession », avec discours enflammés et foules imposantes où abondent des jeunes gens en âge d’être appelés sous les drapeaux.
7La télévision renforce de surcroît l’influence de tous ceux qui dans l’opinion publique sont à quelque titre détenteurs d’un contrepouvoir. Les grandes universités américaines manifestent plus que les « colleges » un pacifisme que justifie leur crainte de voir l’extension de la conscription et en conséquence la baisse des effectifs. A vingt-cinq ans d’écart, les témoignages d’anciens étudiants confirment leur indifférence à la guerre tant qu’ils ne sont pas directement concernés par le « draft », les jeunes Noirs ayant été enrôlés avant la révolte des campus sans éveiller de sympathie particulière.
8Aux Etats-Unis, la protestation politique intervient en même temps que l’avènement de la contreculture. Aussi les images télévisées associent-elles les marches pacifistes à l’expression souvent cacophonique de nouveaux courants de pensée, depuis la conscience alternative de Timothy Leary et la musique de Bob Dylan jusqu’aux idéaux de la « Great Society » de Johnson. On mesurera aisément l’ampleur des réactions hostiles, par rapport à celles, fort sporadiques en France sous le gouvernement de Guy Mollet durant la guerre d’Algérie. Il faut dire qu’à l’époque les journaux télévisés étaient soigneusement muselés.
Le rock et la guerre
9La guerre du Vietnam englobe deux phases de la contreculture. Dans les années soixante se développe une pensée qui conteste les valeurs de l’Establishment, où se mêlent revendication libertaire, utopie communautaire et affirmation de l’Eros. C’est aussi l’aveuglement du pouvoir politique que condamne Frances FitzGerald quand elle accuse les troupes américaines de spolier les Vietnamiens :
10« In raiding the villages, the American soldiers had actually walked over the political and economic design of the Vietnamese revolution, [...] they had looked at it, but they could not see it, for it was doubly invisible : invisible within the ground and then again invisible within their own perspective as Americans. »1 Ce jugement qui à l’évidence rappelle Invisible Man de Ralph Ellison suggère les idées-force de la contreculture sur la primauté des perceptions et sensations, des ressources innées des individus et communautés victimes de l’oppression, et sur les dangers du pouvoir occulte de l’idéologie capitaliste infiltrée dans les esprits.
11A l’orée des années soixante-dix, on constate que le subjectivisme créateur et l’idéal communautaire de la décennie précédente se sont dilués dans une profusion de mouvements disparates, tous nés de l’opposition au racisme, à l’impérialisme, au capitalisme et à la technocratie, mais détournés vers des attitudes où domine une nouvelle conscience inquiète des contraintes naturelles. Le retour à la sphère du privé de la « me-generation » s’accompagne d’un néo-individualisme fondé sur le micro-groupe pour découvrir des issues au-delà du labyrinthe des techno-structures. A la « commune » des hippies va se substituer l’adhésion à des modes de comportement où cultures spécifiques du corps, de l’esprit et de l’âme font redécouvrir la recherche personnelle du bonheur.
12Simultanément il reste l’espoir ténu des pacifistes de mettre fin à la guerre en raison du mouvement de l’Histoire (The Times They Are A’Changing), mais pour les faucons et les colombes qui s’affrontent sur le territoire américain, les opérations militaires se termineront de manière désastreuse avec des scènes de panique à Saigon, le pénible retour des GIs prisonniers et ensuite les tribulations des « boat people », sans compter les échos du génocide perpétré par les Khmers rouges.
13Wayne Hampton estime que le Vietnam fut le catalyseur de la contestation de masse2. Si à l’évidence la pop music s’empare facilement du marché que constitue la population jeune hostile à l’Establishment, les opinions divergent sur l’impact du rock en matière d’engagement pacifiste. Abbie Hoffman a reconnu lui-même que l’amour du rock fait de bons consommateurs, pas nécessairement des révolutionnaires opiniâtres3. L’âge de la fleur au fusil étant révolu, force est aussi de constater que déjà, la Deuxième Guerre mondiale n’aurait sans doute pas valu, loin s’en faut, l’accès des chansons patriotiques au hit parade. Mais l’Amérique n’est nullement passée, vingt ans après la victoire de 1945, de la résignation à la révolte face aux conflits armés. En 1965, seulement 29 % de la population des jeunes entre 21 et 29 ans estime que les Etats-Unis ont tort de combattre au Vietnam. Si les conditions du marché et, à un degré moindre, les restrictions, imposées par la Federal Communications Commission réduisent le passage de certaines chansons rock sur les ondes, il faut bien reconnaître que Eve of Destruction est le seul tube « anti-Vietnam » à se maintenir dans les vingt premiers du hit parade en 1965. Ni Donovan (Universal Soldier, 1965, The War Drags On, 1965), ni Simon et Garfunkle (Seven O’Clock News/Silent Night, 1966) n’arrivent dans les cent premiers. Si I Feel Like I’m Fixin to Die Rag est resté dans les mémoires de la génération des « sixties », son succès demeure limité en 1968.
14La même année, c’est au moment de l’offensive du Têt que la tendance s’inverse pour mettre à égalité dans les sondages, partisans et adversaires de la guerre. Alors que le climat politique s’alourdit avec l’assassinat de Robert Kennedy et de Martin Luther King, puis les émeutes à la Convention démocrate de Chicago, le showbusiness tire rapidement parti de cette atmosphère de tension pour lancer sur le marché des chansons anti-Vietnam au sein d’albums qui font ainsi vendre en même temps une douzaine d’autres compositions. Les plus populaires sont Scarborough Fair, Sky Pilot, Unknown Soldier (The Doors). Leur thématique est quasi invariable dans la dénonciation d’une cause perdue, du sacrifice de la jeunesse et la souffrance des recrues. Bob Seger et d’autres évoquent aussi la menace aveugle d’une nature sauvage, cette jungle asiatique où, de manière absurde, s’engloutissent de jeunes vies. Les évocations du commandement irresponsable et l’impression d’ignorer les vrais enjeux rappellent singulièrement la thématique de The Red Badge of Courage de Stephen Crane sur la guerre de Sécession.
15Dans l’année qui suit l’accession de Nixon à la Présidence, les colombes constituent 60 % de la population des jeunes Américains, celle qui forme la clientèle des disquaires. Parallèlement la vente de la musique rock a augmenté dans les mêmes proportions chez Columbia. Nul doute que cette vogue ait incité les maisons de disques à de lourds investissements dans les chansons pacifistes entre 1969 et 1973. C’est toutefois davantage la dénonciation des iniquités du « draft » que le soutien aux déserteurs qui stimule l’imagination des compositeurs (Fortunate Son, 1969).
16Après l’invasion du Cambodge et la fusillade de Kent State où quatre étudiants trouvent la mort, une vingtaine de chansons rock traitent du pacifisme et au moins indirectement du Vietnam entre 1970 et 1971. Ce sont par exemple Imagine de John Lennon, Machine Gun et Izabella de Jimi Hendrix. C’est alors un véritable raz-de-marée pacifiste qui déferle au travers de la pop music. CBS, prudente sous Johnson, reconnaît aisément les goûts de la « youth culture » qui fournit l’essentiel de la clientèle des disques. Plus réticente est RCA qu bénéficie de contrats militaires avec le Ministère de la Défense. La production consiste souvent en mélodies nostalgiques sur un paradis perdu. Si le thème pastoral ne se prête guère à une résistance frontale, il s’inscrit sans équivoque dans une tradition lyrique de la musique populaire commerciale. On sait qu’en matière de médias audiovisuels — à la différence de la presse écrite par exemple — les effets polémiques nuisent au marché et a fortiori les éventuels appels à la mutinerie. C’est bien ce que confirme alors John Morthland pour qui les jeunes de l’époque ne sont pas suffisamment motivés pour s’engager directement contre la guerre4. Dans les deux dernières années du conflit vietnamien, les pacifistes privilégient le thème du retour des prisonniers, et l’amertume de la défaite dans l’incompréhension (Lost in The Flood de Bruce Springsteen, 1973).
17Le dise jockey (Robin Williams) du film Good Morning, Vietnam qui introduit le rock dans les camps militaires apporte d’abord aux yeux des officiers (non à ceux du général) une subversion plus culturelle que politique. Il s’identifie à une forme d’hédonisme incompatible avec la discipline militaire par ses plaisanteries scabreuses et ses allusions à la drogue. C’est l’information qu’il donne sur l’attentat perpétré à Saigon et gardé secret par la hiérarchie militaire qui motive son renvoi, outre son innocente amitié avec un terroriste. Cette fiction repose sur une réalité des attitudes chez les appelés qui rend aujourd’hui ces situations tout à fait crédibles.
18En définitive moins porteuse que l’aliénation de la jeunesse (Don’t trust anyone above thirty !) et que les chagrins d’amour, l’exploitation de la guerre par l’industrie du disque est restée plus intermittente qu’on ne l’a dit. L’opposition à l’Establishment militaire et politique a été rétrospectivement amplifiée au travers de la nostalgie de ceux qui, aujourd’hui dans les médias, ont eu vingt ans dans les années soixante. Chaque génération tend en effet à transfigurer l’agitation juvénile de ses plus belles années en souvenirs épiques. Comme le dit déjà une chanson de 1972, Those Where the Days, My Friends.
La guerre vue de Hollywood
19Déjà mobilisée par les campagnes sur les droits civiques au début des années soixante, les stars hollywoodiennes occupent l’avant-scène des médias à la fin de la décennie. Cette polarisation de l’intérêt du spectateur sur « tinsel-town » n’est pas nouvelle. Cette fois la communauté de Beverly Hills, de Bel Air ou Malibu ne se déchire pas en choisissant massivement des options antagonistes.
20John Wayne produit Les bérets verts en 1968 pour affirmer son soutien à l’effort militaire au Vietnam dans une action simpliste qui ne soulève guère l’intérêt du public, mais en revanche lui vaut les sarcasmes des opposants à la guerre. Wayne exerce moins d’influence que des acteurs plus jeunes comme Paul Newman qui, la même année, soutient activement la campagne des primaires d’Eugene McCarthy dans l’hiver glacial du New Hampshire. Quatre ans plus tard Shirley MacLaine figure sur la couverture de Newsweek pour sa participation aux efforts de McGovern afin de décrocher sa désignation sur le ticket démocrate aux élections de 1972. MacLaine et son frère Warren Beatty, lui aussi dévoué à la cause du pacifiste McGovern, laissent toutefois la première place dans les médias à Jane Fonda. En France où elle réside, elle est nourrie des idées qui conduisent aux événements de mai 1968 avant de regagner Hollywood pour tourner On achève bien les chevaux. Elle va pendant trois années défrayer la chronique.
21Après Easy Rider (1969) le gauchisme hollywoodien se développe autour de Tom Hayden et de Bert Schneider, auteur du documentaire Hearts and Minds (1974) sur le Vietnam qui lui vaut un oscar. C’est dans ce climat que Jane Fonda entreprend de créer le groupe Free the Army avec Donald Sutherland. Elle fait la grève de la faim et une tournée des popotes pour dissuader les militaires de retourner au combat. Elle invite aussi les Gis de retour à parler des atrocités commises contre la population civile vietnamienne. Pendant l’été de 1972, elle se rend à Hanoï pour dénoncer les bombardements américains sur le Vietnam du Nord, dus selon elle à des criminels de guerre. Elle s’adresse alors aux pilotes de l'US Air Force leur demandant d’interrompre leurs raids et, assise sur un canon, fait l’éloge de la révolution populaire, ajoutant que les malheurs qui accablent l’Amérique ne pourront pas affecter les Vietnamiens tant qu’ils se battront. Du Vietnam communiste elle dit enfin « Never in my life have I been in a country of people that are so loving and so nonalienated »5. Elle se réjouit de la condition des prisonniers américains dont elle estime que la rééducation (elle ne dit pas lavage de cerveau) sera bénéfique. Protégée par son statut de star, Jane Fonda rentrera ensuite aux Etats-Unis sans être inquiétée par les services de sécurité. C’est surtout au printemps suivant qu’elle crée un choc dans l’opinion. Elle affirme en effet que les prisonniers américains libérés qui se disent victimes de tortures ne sont que des « menteurs et des hypocrites »6. Plusieurs législatures d’Etat (Caroline du Sud, Indiana, Maryland) émettent alors des protestations officielles demandant par exemple le retrait de l’affiche de certains de ses films.
22A l’évidence, Jane Fonda a par certaines outrances fragilisé les attitudes de nombreux pacifistes en galvanisant contre eux des partisans de la guerre qui ont pris pour argument le défaitisme de ses propos. Plus généralement, Jane Fonda a illustré par ses prises de position une tendance des médias qui s’est depuis amplifiée. A l’affût du sensationnel, les reporters ont enregistré et répercuté des propos parfois irréfléchis dont l’ardente spontanéité faisait choc et servait de « scoop », en misant davantage sur la célébrité du locuteur que sur ses responsabilités politiques. Ils ont ainsi gagné en indice d’écoute ce qu’a pu perdre l’opinion en matière de vérité historique.
23Inversement, les faux-pas, les contradictions de l’Exécutif empêtré dans son gradualisme confus, sa stratégie de la provocation et enfin sa guerre d’usure ont été aggravées par le refus du gouvernement de fixer honnêtement le prix du sang dans une guerre lointaine. C’est sans doute leurs omissions, révélatrices de leur dédain de l’opinion, qui ont aussi fait perdre à Johnson puis à Nixon leur crédibilité dans une large fraction du public. Accusés dans leur ensemble de carriérisme et d’incompétence, les militaires aux abois ont corollairement eu des réactions divergentes comme semble par exemple l’attester la publication récente des opinions d’officiers à West Point7. Il reste que, pour les téléspectateurs, les offensives les plus spectaculaires des marines ressemblaient à « a sledgehammer on a floating cork »8.
Notes de bas de page
1 Frances FitzGerald, Fire in the Lake, New York, Vintage, 1973, p. 172.
2 Wayne Hampton, Guerrilla Minstrels, Knoxville, UP Tennessee, 1986, p. 15.
3 Abbie Hoffman, Soon to be a Motion Picture, New York, Vintage, 1980, p. 177.
4 John Morthland, « Kent Aftermath, Teen Turmoil Poison at B.O. », Rolling Stone, 25 juin 1970, p. 8.
5 US Foreign Broadcast Information Service, 18 juillet 1972, p. K-14.
6 Hollywood Reporter, 23 avril 1973, p. 2.
7 James J. Carafon, « West Point at War, Officer Attitudes and the Vietnam War, 1966-1972 », Journal of Popular Culture, vol. 21: 4, Spring 1988, pp. 25-35.
8 George Henry, America’s Longest War, New York, Wiley, 1979, p. 156.
Auteur
Université Jean Moulin Lyon III.
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