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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral 1. Nature de la relation qui unit le Topique à la Question 2. Structures du Topique et nature de son Introducteur 3. Place des énoncés à Topique antéposé dans le dialogue 4. Étude des constructions à Topique « intégré » ou postposé 5. Rôle de la construction [TOP, Q] dans l’interaction Conclusion Notes de bas de page Auteur

    Dialogues homme/machine

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    Chapitre VII. Structure interne des énoncés comportant une question : topique-question

    Mary-Annick Morel

    p. 149-167

    Texte intégral 1. Nature de la relation qui unit le Topique à la Question 1.1. La Question comporte une reprise lexicale d’un constituant du Topique 1.2. La question comporte un substitut quireprésente anaphoriquement le Topique (Cf. (2) (6) (8) (9)) 1.3. La Question ne comporte aucune reprise, ni lexicale, ni par un substitut, du Topique 2. Structures du Topique et nature de son Introducteur 2.1. Le Topique peut ne pas comporter d’introducteur 2.2. Le Topique est introduit par une préposition ou une locution prépositionnelle Prépositions simples Locutions prépositionnelles 2.3. Le Topique est introduit par une conjonction de subordination 2.4. Le Topique peut être introduit par une locution verbale suivie d’une complétive ou d’un SP 2.5. Le Topique peut être « complexe », c’est-à-dire qu’il peut être constitué de deux ou plusieurs sous-topiques complémentaires 3. Place des énoncés à Topique antéposé dans le dialogue 4. Étude des constructions à Topique « intégré » ou postposé 4.1. Questions portant sur le thème en cours 4.2. Cas d’ambiguïté possible 4.3. Reformulation de la question à la demande de la machine 5. Rôle de la construction [TOP, Q] dans l’interaction 5.1. [TOP, Q] est révélatrice du bon fonctionnement de l’interaction 5.6 La construction [TOP, Q] est nécessaire pour rétablir le bon fonctionnement de l’interaction Conclusion Notes de bas de page Auteur

    Texte intégral

    Corpus étudié

    : phase I (sauf N° 1)

    : phase II

    : Phase III (sauf N° 1)

    1Nous avons relevé un nombre important de cas (environ 100 énoncés, soit 30 % du total des questions en phase I ; et environ 150 énoncés soit 20 % du total en phase III), où l’énoncé se présente sous une forme « disloquée », que l’on peut schématiser ainsi :

    TOPIQUE, QUESTION ou TOP, Q

    2Cette construction particulière est indépendante de la forme syntaxique de la Question1 et se caractérise par le fait que le Topique se situe avant le marquage explicite de l’interrogation (est-ce que, je voudrais savoir, mot interrogatif ou verbe avec inversion du sujet).

    3Il ne s’agit pas du cas où la phrase interrogative comporte un redoublement pronominal du sujet, comme dans l’exemple suivant :

    4(1)

    E28- (...) l’admission est-elle automatique (...) (3-12)

    5mais de cas où le Topique est, sans ambiguïté possible, disjoint de la question elle-même :

    6(2)

    E31 – mm„ (h) et : ce rapport de cinq pages est-ce que c’ est sur un sujet précis : le : (...) (3-14)

    7ce qui entraîne parfois une réitération de la marque interrogative, déjà donnée avant le Topique :

    8(3)

    E22 – (.) (h) est-ce que : : du point de vue e : chances d’être : / d’être accepté (h) est-ce qu’on a plus de chances d’être pris en dess d’ergonomie (...) (3-16)

    9voire une hypercorrection de la phrase interrogative qui présente alors un double marquage :

    10(4)

    E29 – (...) et sans ça pour c’qui est de la psychologie du travail est-ce que : les, attributions du : : / du psychologue : / donc e du travail (h) dans une entreprise par exemple° sont-elles fréquemment /„ (h) e diverses (...) (3-12)

    11Nous avons donc entrepris l’étude de ce type d’énoncé à différents niveaux, regardant d’abord la nature de la relation qui unit le Topique à la Question, puis la structure du Topique et la nature de son introducteur, et enfin la place et le rôle de ces énoncés « disloqués » dans l’interaction.

    1. Nature de la relation qui unit le Topique à la Question

    12Nous avons identifié trois types de relation, selon que la Question comporte ou non une reprise d’un constituant du Topique.

    1.1. La Question comporte une reprise lexicale d’un constituant du Topique

    13Cette reprise peut être textuelle (5) (15) ou synonymique (cf. (3) : être accepté – être pris)

    14(5)

    E16 – et, dans le cas de la recherche en en / en ergonomie (h) cette recherche se fait où (...) (3-2)

    1.2. La question comporte un substitut quireprésente anaphoriquement le Topique (Cf. (2) (6) (8) (9))

    15(6)

    E9 – bon je sais que un psychologue du travail ça peut être amené à faire passer des tests :
    M12- oui
    E10- mais j’aimerais savoir si il fait que ça ou si il fait autre chose (3-4)

    1.3. La Question ne comporte aucune reprise, ni lexicale, ni par un substitut, du Topique

    16(7)

    E44- (...) et alors sinon le dess qu’est-ce qu’il y a comme matières (1-2)

    2. Structures du Topique et nature de son Introducteur

    17Le Topique peut être constitué d’éléments, plus ou moins complexes (nom, GN, SN, ou SP) ou d’une phrase. Il peut être également décomposable en plusieurs constituants : nous parlerons alors de Topique complexe. Enfin, dans la majorité des cas et surtout en phase III, il est précédé d’un introduteur.

    2.1. Le Topique peut ne pas comporter d’introducteur

    18Il s’agit alors d’un N (8), d’un GN, d’un SN (2) ou d’une phrase

    19déclarative (9).

    20(8)

    E69 – un dess de psycho, et puis ensuite ergonomie c’est pareil (1-3)

    21(9)

    E2 – e : en maîtrise y a une première spécialisation (.) je voudrais savoir si y avait l’équivalent (...) (3-10)

    22Les Topiques sans introducteur sont plus fréquents en I (34 %) qu’en III

    23(26 %)

    2.2. Le Topique est introduit par une préposition ou une locution prépositionnelle

    Prépositions simples

    Avec. Après. Dans (29). En. Entre. Parmi. Pour. Sur.

    24(10)

    E10 – est-ce que/ avec un, un : dess de psychologie du travail (h) est-ce qu’on peut s’occuper de la réor/ réorientation professionnelle (3-10)

    25(11)

    E26 – après le dess d’ergonomie, l’étudiant est donc e/ apte, à : travailler (3-3)

    26(12)

    E20 – (...) en dess e psychologie du travail je : voulais savoir quelles étaient les matière qui (...) (3-10)

    27Il convient de souligner la grande fréquence de pour en tant qu’introducteur de Topique.

    • Pour + syntagme substantival

    • pour + syntagme infïnitival

    soit 12 % de l’ensemble des cas de Topique antéposé en phase III comme en phase I

    28(13)

    E46 – (h) d’accord (h) bon sinon en / maintenant pour la : / la formation en elle-même disons que : (h) est-ce que c’est compatible avec une autre formation comme la psychologie du travail (1-7)

    29(14)

    E74 – m, d’accord /–/ (h) pour préparer/un dess : e : (h) de psychologie du travail (h) est-ce que vous pouvez me donner une liste de livres à lire (3-14)

    Locutions prépositionnelles2

    • à propos de, à la suite de, au niveau de (50), au sujet de, au sein de ;

    • dans le cas de, dans le domaine de (48)

    • en cas de, en ce qui concerne (40), en dehors de (48), en fonction de, en matière de

    • par rapport à

    • du point de vue de, point de vue

    • pour ce qui est de, pour parler de

    • que ce soit... ou...

    • quant à

    • sur le plan de

    30(15)

    E151- d’accord, mais sinon enfin point de vue sélection y a/y a plus° de sélection quand même pour rentrer en dea qu’en dess (1-3)

    31(16)

    E11 – (...) au ni/ au sujet du classement des étudiants en fin
    d’année, (h) est-ce qu’ ilya.e : : disons une entente avec les entreprises et l’institut de psychologie ou pas (3-9)

    32(17)

    E18- bon (h) e : ensuite° : , e : <h> ah oui je voudrais savoir également (h) e : bon j’ai parlé d’ergonomie / e : en matière de psychologie du travail i/e des débouchés sont-ils également plus nombreux que (...) (3-9)
    Les locutions prépositionnelles introductrices de Topiques sont plus fréquentes et plus variées, face à la Machine (20 % du total en phase III), que face à l’Opératrice (6 % du total en phase I). Il faut également souligner l’emploi fréquent, surtout en phase III, de la locution au niveau de, qui devient parfois un véritable tic dans la bouche du locuteur (11 emplois dans la communication n° 19)

    33(18)

    E22 – au niveau du : : : / des salaires, pour un poste d’ergonome, , quels sont-ils (3-15)

    34(19)

    E17 – et au niveau de la recherche en ergonomie quel est le type d’institution en en/ e : e, est susceptible de recruter des psychologues ergonomes (3-19)

    2.3. Le Topique est introduit par une conjonction de subordination

    35Les conjonctions les plus fréquentes sont, ce qui n’a rien pour surprendre dans une situation d’échange oral, quand (21) (38) et si (20) (22) (26) (37) (40) (51), mais on rencontre également : comme, une fois que (28) et après que. Elles introduisent le plus souvent un verbe opérateur (faire, prendre, avoir, dire) à la première personne (je) ou, plus souvent, précédé de on.

    36(20)

    E65 – et alors si on prend physio
    065- oui
    E66 – est-ce qu’ il y a aussi un mémoire (1-2)

    37(21)

    E23- (...) quand on parle d’enseignement, c’est une série de séminaires (...) (1-4)

    38(22)

    E34 – (...) e : si je fais : e : : / bon en maîtrise j’fais un certificat disons d’psychologie sociale (h) e : : je/je pourrais e : : faire ma demande, enfin il n’y aura pas de problème, pour e rentrer en dess (3-7)

    39Il est notable que l’emploi de si est deux fois plus fréquent en phase III (11 % du total) qu’en phase I (6 % du total).

    2.4. Le Topique peut être introduit par une locution verbale suivie d’une complétive ou d’un SP

    Il s’agit alors :

    • soit d’un rappel explicite de certaines informations fournies dans le dialogue antérieur
      vous venez de dire... (23) (30)
      vous avez parlé de....

    • soit d’une vérification d’informations obtenues par d’autres sources :
      j’ai entendu (dire) que... (24) (25)
      je sais que...

    • soit encore (plus rarement) d’une hypothèse avancée par l’étudiant :
      je suppose que...

    40Les trois cas se trouvent dans les deux phases (I et III). Toutefois en phase I domine légèrement le type vous m’avez dit que... alors qu’en phase III c’est le type j’ai entendu (dire) que... qui l’emporte. Cette différence va de pair avec la plus grande personnalistion du dialogue et des énoncés en phase I.

    41(23)

    E14 – là vous venez de dire en faisant les deux mais je croyais qu’ on avait le droit d’ être inscrit à un seul dess par année (1-4)

    42(24)

    E16 – et : j’ai entendu dire 2, (h) que pour e faire e : : le dess de psychologie : du travail, au niveau de la maîtrise : il faut choisir ses valeurs e, alors quelles se / quelles seraient ces / les valeurs e : recommandées (3-11)

    43(25)

    E12 – oui/ (h) <toux> et sinon vous : : / j’ai entendu parler d’un diplôme d’études : supérieures spécialisées d’ergonomie (h) e : j’aurais voulu savoir en quoi : cela consistait (3-12)

    44Il est notable que la Question elle-même est, dans ce cas, le plus souvent précédée d’un marqueur d’accompagnement3 : mais (23), alors (24), quand même (30).

    2.5. Le Topique peut être « complexe », c’est-à-dire qu’il peut être constitué de deux ou plusieurs sous-topiques complémentaires

    45On peut décomposer, dans l’exemple (26) suivant, le Topique en deux sous-topiques.

    46(26)

    E28– e : ce stage : si l’on fait les deux dess de psychologie du travail et d’ergonomie, e : : est-ce qu’il faut faire deux stages, ou bien est-ce que le même stage peut être envisagé sous les deux angles (3-13).
    TOP : t1 – ce stage
    t2 – si l’on fait les deux dess... ergonomie
    Il en est de même dans l’exemple (18) cité ci-dessus :
    TOP : t2 – au niveau du : : : / des salaires.
    t2 – pour un poste d’ergonome

    47Quant à l’exemple (24) ci-dessus, il présente un Topique décomposable en trois sous-topiques.

    TOP. j’ai entendu dire, , (h) que
    t1 – pour faire e : : le dess de psychologie du travail,
    t2 – au niveau de la maîtrise :
    t3 – il faut choisir ses valeurs e,

    3. Place des énoncés à Topique antéposé dans le dialogue

    48Les énoncés de la forme [TOP, Q] semblent avoir une position très particulière et jouer un rôle spécifique dans l’interaction. Nous essaierons de le montrer en confrontant leurs emplois à ceux des questions où le Topique est postposé ou « intégré » et en nous appuyant sur l’analyse proposée par Bally4.

    493.1. Les énoncés de forme [TOP, Q] n’apparaissent jamais dans les premières questions du dialogue, ni en phase I, ni en phase III. Les questions posées au début par l’étudiant sont, en effet, toujours des questions très générales, portant sur la définition des disciplines concernées, les débouchés ou la forme des cursus. De fait la première requête est directement introduite par l’introducteur type je voudrais savoir (ou ses variantes).

    50(27)

    Ej – bon/ alors e : tout d’abord je voudrais poser des questions sur les débouchés en : ergonomie (1-2)

    513.2. Dans la suite du dialogue, la construction [TOP, Q] apparaît, aussi bien en phase I qu’en phase III, essentiellement à trois moments particuliers dans le déroulement de l’échange :

    1. lors d ’ un changement de thème

    2. lors de la reprise d’un thème antérieur

    3. pour une demande de confirmation

    521. Changement de thème.

    53(28)

    E15- oui /–/ bon ensuite ° : une fois qu’on sa / qu’on a sa maîtrise il faut rentrer en dess (h) e : la sélection s’opère comment (3-5)

    542. Reprise d’un thème antérieur.

    55La reprise d’un thème antérieur se rencontre plus fréquemment en I qu’en III du fait que face à la Machine le dialogue est beaucoup plus linéaire.

    56(29)

    E40 – mm (h) et alors e : dans / dans tous les couples que vous / vous m’avez donnés tout-à-l’heure
    042 – oui
    E41 – (h) e : lequel serait l’plus : (1-2)

    573. Demande de confirmation.

    58Les demandes de confirmation d’une information se situent soit immédiatement après que l’information a été donnée, soit en fin de dialogue, lorsque l’étudiant effectue une sorte de récapitulation des questions qui lui semblent importantes. Là encore le fait est plus fréquent en I qu’en III.

    59(30)

    E100 – mm, , et vous dites bon c’est / c’est / enfin c’est en expansion quand même y a : ! c’est-à-dire y a / y a d’la place pour ces / ces boulots là (1-3)

    4. Étude des constructions à Topique « intégré » ou postposé

    60Il s’agit d’énoncés où le marqueur de la question est donné en premier, avant l’introduction du Topique.

    61On constate que la construction [TOP, Q] cède la place à une construction à Topique intégré ou à Topique postposé [Q, TOP] dans trois cas :

    1. lorsqu’il s’agit de questions portant sur le thème en cours

    2. lorsqu ’ il peut y avoir ambiguïté

    3. en phase III seulement, lorsque l’étudiant reformule sa question à la demande de la Machine.

    4.1. Questions portant sur le thème en cours

    62L’exemple suivant (31) montre clairement le phénomène. L’énoncé est de la forme [TOP, Q], car il introduit un thème nouveau, alors que les suivants sont de la forme [Q, TOP].

    63(31)

    E26 – après le dess d’ergonomie, l’étudiant est donc e / apte, a : travailler
    M27 – oui
    E27 – et : m : , „ est-ce qu’il e est préférable le : / qu’il complète sa formation par autre chose, , après le dess
    M28 – après le dess cela est préférable
    E28 – et qu’est-il préférable / après le : dess e de : / de faire
    M29 – après le dess, vous pouvez (...)
    E29 – et quel / dans quel type de formation peut-on s’engager, après le dess (3-3)

    4.2. Cas d’ambiguïté possible

    64Lorsqu’il peut y avoir une ambiguïté sur le domaine spécifique de référence de la question, l’étudiant redonne a posteriori le Topique. Il ne faut pas oublier que le domaine sur lequel porte la demande d’information de l’étudiant est remarquablement binaire ; il comporte en effet

    • deux disciplines : ergonomie et psychologie du travail

    • deux niveaux : maîtrise et troisième cycle

    • deux diplômes de troisième cycle : dea et dess

    • deux champs d’investigation : cursus universitaire et débouchés professionnels.

    65(32)

    E111 – m d’accord, , (h) bon et sinon c’est bien payé e : ergonome .<h> (1-3)

    66(33)

    E31 – (...) est-ce que, en dess on prend simplement / on se spécialise simplement en psychologie du travail (...) (3- 10)

    67(34)

    E40 – oui donc ça va continuer à progresser normalement e : / enfin comme débouché quoi (1-3

    68(35)

    E5 – et : les : m / les autres couples de certificats préférentiels, pour e : l’ergonomie sont : / sont lesquels à part e : (...) (3- 3)

    69(36)

    E18 – mais disons ça s’juge surtout au niveau d’la maîtrise quoi pour l’dossier quand même (1-3)

    4.3. Reformulation de la question à la demande de la machine

    70On est frappé par le fait que systématiquement, en phase III, lorsque l’étudiant reformule, à la demande de la machine, une Question qui comportait un Topique antéposé, cette reformulation fait disparaître la structure [TOP-Q]. L’énoncé reformulé ou bien intègre le Topique dans la phrase, ou bien le présente postposé à la Question.

    71(37)

    E19 – si on choisit un dess de / d’ergonomie on ne fait : e(h) on : , l’ enseignement ne comporte que les points que vous venez de mentionner
    M demande une reformulation
    E20- e : le dess e d’ergonomie, se compose, , e : de / de quels enseignements (3-3)

    72(38)

    E30-... oui vous m’avez dit qu’en /qu’en : que pour le dess il y avait différents secteurs, mais quand on passe le dess il y a/ autre chose que la psychologie du travail, qu’est-ce que / qu’est-ce qu’on nous propose
    M demande une reformulation
    E31- alors je voulais savoir de quoi se compose le dess (3-10)

    73De ce fait nous concluons que la structure [TOP, Q] est une contruction spontanée, qui disparaît sous la contrainte.

    5. Rôle de la construction [TOP, Q] dans l’interaction

    74La distribution des deux constructions, construction à Topique antéposé [TOP, Q] et construction à Topique intégré ou postposé [Q, TOP], telle que nous venons de la présenter corrobore en fait l’analyse de Bally5 sur la position respective du Thème et du Propos dans les interrogations.

    75« Psychologiquement, il est naturel qu’on donne la première place au (t’) [le terme sur lequel porte le but de l’énoncé, le propos], qui est essentiel pour le parleur ; l’entendeur a, au contraire, intérêt à savoir d’abord de quoi il s’agit avant d’apprendre à quoi il doit répondre ».

    76La construction [TOP, Q] montre que l’attention du questionneur est davantage centrée sur l’intelligibilité de sa question pour son interlocuteur, alors que la construction à Topique intégré révèle qu’il se concentre davantage sur le but même de sa question.

    77Ainsi dans le type de dialogue finalisé que nous étudions, la construction [TOP, Q] semble être une construction spontanée

    • révélatrice du bon fonctionnement de l’interaction

    • ou nécessaire pour le rétablir

    78comme nous allons essayer de le montrer maintenant.

    5.1. [TOP, Q] est révélatrice du bon fonctionnement de l’interaction

    79Le fait que le Topique soit énoncé en premier permet à l’expert consulté (opératrice ou machine) de délimiter d’emblée dans l’ensemble du domaine d’investigation le secteur particulier sur lequel va porter la Question. Aussi, en phase I comme en phase III, l’opératrice ou la machine ponctue-t-elle souvent la formulation du Topique par un oui phatique, ce qui a pour effet de détacher la formulation de la Question elle-même.

    80(39)

    E55 – oui : , mm /–/ (h) et alors donc sinon en : en psycho expé (h) pour e la : maîtrise
    055- oui
    E56 – qu’est-ce qu’i () y a à : / enfin quel est / quel est l’programme (1-2)

    81(40)

    E26 – est-ce qu’il y a : e : : , /par exemple en ce qui concerne le travail e : (h)„/ bon c’est /à partir/si on fait les deux dess (h)
    026- oui
    E27 – e : il y a-t-il e : „ (h) est-ce / peut-on s’ présenter à la fois comme ergonome et à la fois comme psychologue du travail (3-7)

    82Mais il se produit, en phase I seulement, un phénomène encore plus révélateur du rôle de ces Topiques antéposés. Très souvent, en effet, l’opératrice répond immédiatement après la formulation du Topique, sans attendre la question elle-même

    83• soit que le but de la requête lui soit immédiatement apparu

    84(41)

    E73 – oui alors et au niveau des débouchés ensuite
    067 -au niveau des débouchés bon ben alors (...) (1-6)

    85• soit qu’elle ait mis en relation ce Topique avec une question antérieurement formulée

    86(42)

    E32- m, et pour la psychologie du travail oui / e : (1-6)

    87Dans cet exemple (42) l’opératrice interprète le Topique en fonction de la question formulée 8 répliques auparavant (43) :

    88(43)

    E24- (...) à l’ergonomie à : / enfin c’est-à-dire quel e : / quel cursus de formation on fait pour y arriver (1-6)

    89Lorsqu’il s’agit du deuxième terme des couples du domaine d’investigation, que nous avons mentionnés ci-dessus (cf. 4.2)., l’étudiant a donc tendance à ne pas formuler la question, faisant confiance à l’opératrice pour la restituer.

    90La même tendance se retrouve en phase III. Simplement, la Machine, conformément au protocole d’expérimentation, attend que l’étudiant ait explicitement formulé sa Question, ou bien, s’il ne le fait pas, exige de lui une reformulation de son énoncé.

    91(44)

    E6 – et ensuite pour le dess d’ergonomie
    M7 – est-ce que vous pouvez formuler votre phrase autrement s’il vous plaît
    E7 – e : : quel / quel est le cont’nu du dess d’ergonomie (3-7)

    92Cette exigence de formulation explicite de la question nous semble parfaitement justifiée, dans la mesure où

    93• un même Topique peut correspondre à des Questions très différentes. (On peut évidemment envisager de pallier cette difficulté en recourant à l’historique du dialogue)

    94(45)

    E32 – d’accord d’accord, et pour e ! pour l’ergonomie alors
    030 – pour l’ergonomie, bon l’ergonomie, e : / est : , l’application des, de la : psychologie du travail, et de la physiologie (1- 3) [Q=Définition]

    95(46)

    E2 – oui : , , et pour e : l’ergonomie :
    M3 – pouvez-vous formuler votre phrase autement s’il vous plaît E3- e : quel certificat, faut-il faire au niveau d’la maîtrise pour : , faire ensuite un dess/ d’ergonomie (3-19) [Q= Cursus universitaire]

    96• le référent de la Question non formulée se trouve situé très loin dans le dialogue antérieur :

    97c’est le cas de l’exemple (45) ci-dessus cité. L’opératrice répond en effet en fonction de la première question (E1) posée par l’étudiant, soit 31 répliques auparavant. Cette exigence nous semble en tout cas nettement plus justifiée que celle qui consiste à demander la reformulation d’un énoncé de structure [TOP, Q], sous prétexte qu’il ne comporte pas une forme de question conforme à la norme de l’écrit.

    98(47)

    E30 – ouais, , et le taux de réussite par an c’est e : , / c’ est combien
    M31- pouvez-vous formuler votre phrase autrement s’il vous plaît
    E31 – le pourcentage de réussite
    M32 – s’agit-il d’une question ? si oui pouvez-vous formuler votre phrase autrement s’il vous plaît
    E32 – quel est le : : / pourcentage, de réussite, des étudiants inscrits en dess d’ergonomie (3-9)

    5.6 La construction [TOP, Q] est nécessaire pour rétablir le bon fonctionnement de l’interaction

    99Lorsqu’il surgit une difficulté dans l’interaction, on constate que l’étudiant recourt à la construction à Topique antéposé, ou plus précisément à « Topique complexe » antéposé. Ce fait apparaît nettement en phase I, dans deux cas :

    1001) lorsque l’opératrice signifie à l’étudiant qu ’elle ne comprend pas le but de sa question.

    101(48)

    036 – j’comprends pas très bien c’ que vous voulez savoir
    E42 – mm (h) e : „ <cl> (h) e : oui oui oui alors e en fait / e/ dans le domaine : du : /du travail sur / enfin en / en dehors des postes (h) de : / de recrutement sur quels postes ouvre (h) e : la psychologie du travail (1-8)

    1022) lorsque l’étudiant a perdu, lui-même, le fil des informations qu’il voulait obtenir.

    103(49)

    E88 – qu’est-ce que je voulais vous demander aussi : e : je sais plus (h) oui pour la psychologie scolaire aussi / e la : / la psychologie du travail
    082- oui
    E89- pour le dess
    084- oui
    E90 – j’aurais aimé savoir aussi pour e : une fois le / le dess e : / du travail obtenu (h) e : : , s’il existait vraiment des débouchés (...) (1-7)

    104De là on peut conclure que l’étudiant centre davantage son attention sur l’intelligibilité de son énoncé pour son interlocuteur, quand il surgit une difficulté dans l’interaction.

    105Or en phase III, les énoncés à Topique complexe sont fréquents et beaucoup plus nombreux qu’en phase I. On peut donc interpréter ce fait comme une preuve linguistique des efforts que fait l’étudiant pour instaurer un dialogue plus interactif avec la Machine.

    Conclusion

    106L’analyse détaillée de la structure interne des questions a donc mis en lumière des phénomènes qui n’étaient pas prévisibles ou du moins qui n’avaient pas été prévus, lors de l’élaboration du protocole d’expérimentation.

    107La construction à Topique antéposé [TOP, Q] semble bien être une construction spontanée et spécifique de ce type de dialogue finalisé, nécessaire à la bonne marche de l’interaction ou à son rétablissement

    108Le fait que la structure [TOP, Q] soit une construction spontanée nous semble corroboré par deux observations :

    109• spontanément, en phase I, l’étudiant commence par énoncer un introducteur de Topique. Puis, sans doute parce qu’il est mis en confiance par l’attitude très coopérative de l’opératrice, il ne formule pas le Topique et passe directement à la Question, ou bien encore il insère le Topique à la Question ou le postpose, lorsqu’il le juge nécessaire pour éviter une ambiguïté.

    110(50)

    E73- (h) et : justement au niveau est-ce que la : / la : / les possibilités de : / d’envisager de faire de la recherche sont plus ouvertes que dans les autres certificats (...) (1-8)

    111(51)

    E35 – mm„, e : , / oui e/ e / justement e : le dans les / dans : si on a fait une° : : / est-ce qu’y a des dérogations possibles sur les : / les cours e : (h) parce que° bon par exemple là e : vous dites qu’il y a : / des : cours de de stat°s et d’informatique et : e :
    035 – oui
    E36 – si on : / moi je fais un : un : C4 e : mmsh (h) (1-4)

    112Dans cet exemple (51), dans et si on a fait se présentent comme des introducteurs de Topique qui ne sont pas suivis d’un Topique explicite, puis vient la Question « est-ce qu’y a des dérogations possibles... », et enfin la formulation d’un Topique postposé pour éviter l’ambiguïté sur la Question (vous dites que..si je fais...).

    113• lorsque l’étudiant reformule sa question à la demande de la machine, dans la très grande majorité des cas, il produit un énoncé à Topique intégré, donnant ainsi la priorité à la norme au détriment de l’intelligibilité vis-à-vis de son interlocuteur. La structure [TOP, Q] disparaît donc sous la contrainte.

    114La construction [TOP, Q] semble révélatrice de la stratégie de questionnement de l’étudiant, qui considère comme nécessaire de fournir d’abord le domaine de référence, avant de formuler sa Question, voire avant même de savoir quelle en sera la formulation. Ainsi s’explique, à notre avis, les phénomènes suivants :

    • certains énoncés de requête ne comportent que le Topique, la Question étant soit immédiatement déductible du Topique lui-même, soit « récupérable » dans le contexte antérieur. Ceci prouve, à notre avis, l’importance prioritaire accordée au Topique. Le fait se rencontre aussi bien en phase I qu’en phase III.

    • dans certains cas, la marque de la Question, donnée au début de l’énoncé, est reprise après la formulation du Topique (ce qui donne parfois des hypercorrections, cf. notre introduction), qui est de ce fait isolé de la Question elle-même et ainsi mis en relief. Cela se produit surtout en phase III.

    115(10)

    E10 – est-ce que/ avec un, un : dess de psychologie du travail (h) est-ce qu’on peut s’occuper de la réor/réorientation professionnelle (3-10)

    • les introducteurs de Topique sont beaucoup plus fréquents, beaucoup plus variés et plus riches en phase III qu’en phase I.

    • les Topiques complexes, décomposables en sous-topiques qui spécifient progressivement le domaine de référence de la Question, sont fréquents en phase III, alors qu’ils n’apparaissent guère en phase I que lorsqu’il se produit des ratés dans le dialogue.

    116Ces deux derniers faits (fréquence et variété des introducteurs de Topique +fréquence des Topiques complexes) nous semblent traduire le souci qu’a l’étudiant de rendre le dialogue face à la Machine plus efficace et plus interactif. On ne peut donc pas dire que, sur ce point, le questionneur, face à la Machine, allège et simplifie son langage. Il le structure, au contraire, davantage en soulignant plus fortement les différentes composantes nécessaires pour un traitement adéquat de sa requête.

    Notes de bas de page

    1  Cf. chapitre III.

    2  Les locutions mises en italiques se rencontrent dans les deux phases étudiées (I et III). Les autres ne se rencontrent qu’en phase III

    3  Cf. chapitre III.

    4  (1966), p. 212.

    5  (1966), p. 212.

    Auteur

    Mary-Annick Morel

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    1  Cf. chapitre III.

    2  Les locutions mises en italiques se rencontrent dans les deux phases étudiées (I et III). Les autres ne se rencontrent qu’en phase III

    3  Cf. chapitre III.

    4  (1966), p. 212.

    5  (1966), p. 212.

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    Morel, M.-A. (1989). Chapitre VII. Structure interne des énoncés comportant une question : topique-question. In M.-A. Morel (éd.), Dialogues homme/machine (1‑). Presses Sorbonne Nouvelle. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11470
    Morel, Mary-Annick. « Chapitre VII. Structure interne des énoncés comportant une question : topique-question ». In Dialogues homme/machine, édité par Marie-Annick Morel. Paris: Presses Sorbonne Nouvelle, 1989. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11470.
    Morel, Mary-Annick. « Chapitre VII. Structure interne des énoncés comportant une question : topique-question ». Dialogues homme/machine, édité par Marie-Annick Morel, Presses Sorbonne Nouvelle, 1989, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11470.

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    Morel, M.-A. (éd.). (1989). Dialogues homme/machine (1‑). Presses Sorbonne Nouvelle. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11350
    Morel, Marie-Annick, éd. Dialogues homme/machine. Paris: Presses Sorbonne Nouvelle, 1989. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11350.
    Morel, Marie-Annick, éditeur. Dialogues homme/machine. Presses Sorbonne Nouvelle, 1989, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.psn.11350.
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