Héra en Béotie et en Thessalie*
p. 83-86
Texte intégral
1Note portant sur l’auteur†
2Au début de son article Hera dans la RE en 1912, l’historien des religions Samson Eitrem écrivait que les témoignages du culte d’Héra en Thessalie étaient encore trés pauvres1. Cette affirmation, qui s’impose encore aujourd’hui, doit être sérieusement révisée ; le bref exposé présenté ici veut amorcer cet examen critique. Déjà Eitrem avait rappelé les légendes typiquement thessaliennes qui contredisaient son point de vue : ainsi le mythe des Argonautes, dont Héra était la déesse tutélaire2, ou le mythe d’Ixion, coupable d’avoir aspiré au lit d’Héra3.
3Avant d’examiner de plus près ces légendes, on s’interrogera sur les réalités du culte. Celles-ci sont difficiles à saisir car il n’y a pas de chapitre thessalien dans la Périégèse de Pausanias. On ne réalise pas toujours combien peu nous connaîtrions les cultes béotiens ou péloponnésiens si l’on n’avait pas les livres de Pausanias sur ces régions. C’est grâce à lui que l’on n’ignore pas les Daidala, c’est-à-dire la plus grande fête d’Héra en Béotie4.
4L’enquête linguistique a montré que la Thessalie et la Béotie étaient habitées par des populations grecques apparentées. En effet les deux régions avaient été éoliennes jusqu’à ce qu’une strate dorienne se fut superposée aux précédents habitants au temps de la grande migration égéenne. De la Béotie à la Thessalie le dialecte dorien était largement identique, comme l’avait été auparavant le parler éolien. Il est donc légitime au plan de la méthode de s’interroger sur l’éventualité que Béotie et Thessalie aient pu avoir des cultes communs.
5Dans un poème d’Alcée conservé sur un papyrus5, qu’Eitrem ne connaissait pas encore, Héra a acquis une dimension religieuse nouvelle ; le poète lyrique la nomme « la glorieuse déesse éolienne, génératrice de toutes choses ». L’Héra éolienne rejoint ainsi dans cette définition une Grande Déesse Mère protohistorique. Cette lecture paraît confirmée par la présence des deux divinités qu’Alcée désigne comme les partenaires de la déesse : ce sont Zeus et Dionysos, que la poétesse Sappho mentionne dans le même sanctuaire6. D’après les deux poètes lyriques, Héra apparaît comme la figure essentielle de la triade, Zeus et Dionysos n’étant guère que des parèdres.
6Ce n’est pas seulement la désignation d’Héra comme “Génératrice de toutes choses”, mais aussi la structure de cette triade qui évoque le monde préhistorique des déesses-mères du type de la Cybèle anatolienne7. Les parallèles entre cette dernière et l’Héra éolienne sont si proches qu’outre les deux parèdres flanquant la déesse, on retrouve l’élément extatique caractéristique de Cybèle chez l’Héra de Lesbos : dans son orbite en effet se trouve un Dionysos Kemelios et Omestes8, c’est-à-dire qui déchire et mange tout cru la chair des faons.
7D’après Sappho cette triade remontait aux temps héroïques : les Atrides l’auraient déjà priée après la destruction de Troie ; dans certaines interprétations modernes du poème, ils lui auraient même édifié un sanctuaire (mais cette restitution du texte fragmentaire doit être rejetée). Assurément les Atrides avaient une dévotion particulière à l’égard d’Héra ; elle était très ouvertement la déesse principale des Achéens et, avec eux, elle était arrivée en Crète. Cette Héra achéenne, au contraire de l’éolienne, était surtout une déesse du mariage, épouse de Zeus, les noces de Zeus et d’Héra étaient au cœur des cérémonies du culte, comme nous le connaissons pour les périodes historiques à Argos, Samos, Cnossos et en bien d’autres sites9.
8Toute autre était la “Génératrice de toutes choses”. Si l’on cherche en Grèce une Héra typologiquement comparable, on doit s’arrêter à Olympie. Là, dans l’Héraion, on la voyait trônant, d’après la description de Pausanias (V, 17, 1), tandis que Zeus était debout auprès d’elle. Elle était de toute évidence la divinité principale dans ce temple ancien ; et les seize femmes d’Élide, qui tissaient le péplos pour la fête pentétérique d’Héra, étaient en même temps des Ménades au service de Dionysos10. Ainsi l’élément extatique, qui est si caractéristique pour la triade de Lesbos, ressort ici clairement du texte de Pausanias sur Olympie (V, 16, 7). Cette Héra que l’on honorait à Olympie au pied de la colline de Kronos, comment a-t-elle pu revêtir ces traits éoliens ?
9La tradition mythologique donne une réponse que je serais tentée d’accepter. Salmoneus, fils d’Aeolos, ancêtre des Éoliens, aurait quitté la Thessalie pour se fixer en Élide11. Il était un grand adorateur d’Héra. Les deux tragédies que Sophocle composa sur sa fille Tyro avaient l’Héraion d’Élide comme arrière-plan12. On sait que Salmoneus trouva sa fin dans le Tartare car il avait exigé d’être adoré comme Zeus par les habitants de l’Élide13. L’Héra éolienne protégea jusqu’au bout le sacrilège ; elle s’en prit à Pélias qui avait tué l’épouse de Salmoneus venue en suppliante dans son sanctuaire ; pour se venger de lui elle soutint de toute sa puissance son neveu Jason, le chef des Argonautes. Que Jason ait été cher à Héra est une constante de la tradition : on a toujours considéré comme une preuve de l’importance d’Héra en Thessalie le départ du navire Argo de Iolkos sous la protection de la déesse14 ; à cela s’ajoute le rôle des Argonautes comme fondateurs mythiques des sanctuaires d’Héra en plusieurs centres du monde antique, et jusqu’à la lointaine embouchure du Silaris15.
10Au début de son épopée des Argonautiques, Apollonios de Rhodes (I, 14) donne à Héra le surnom plein de signification de Pelasgis. Le poète hellénistique érudit reflétait sans doute Hérodote (II, 50), selon lequel le culte d’Héra serait passé des Pélasges, populations primitives de la Grèce, aux immigrés helléniques. Ajoutons que la région de Thessalie, à laquelle appartient la cité portuaire d’Iolkos, s’appelle Pelasgiotis, nom qui est déjà attesté chez Hécatée de Milet, le prédécesseur d’Hérodote (Jacoby, F.Gr.Hist., 1 F 133) ; on le trouve dans sa description de l’Europe. Comme on l’a déjà rappelé, chez Alcée, Héra, qui est appelée la « glorieuse déesse éolienne, génératrice de toutes choses », présente des traits propres à une déesse- mère protohistorique. L’autorité d’Hécatée et d’Hérodote rendent licite l’application à l’Héra primitive, non pas de la notion moderne de préhistorique, mais du qualificatif de pélasge, là où cette désignation est démontrable. En Thessalie en effet, l’Héra pélasge a pu se transformer en Héra éolienne. Sous ce nom elle resta, comme il ressort du poème déjà cité d’Alcée, une divinité mère, une grande déesse avec deux parèdres. Comme les Éoliens étaient des Grecs, ils nommèrent Zeus l’un des deux, alors que la Cybèle anatolienne avait Titias et Kyllénos comme parèdres16.
11La question de savoir comment le plus grand dieu grec passe de la situation de parèdre à celle d’époux d’Héra est aux racines de la religion grecque. Comme on le sait depuis l’Orestie d’Eschyle (Eum., 213 sqq.), le lien matrimonial qui unit Zeus à Héra était le modèle du mariage humain et se trouvait ainsi au fondement de l’ordre grec. Ce n’est pas en territoire éolien, mais dans la partie achéenne du Péloponnèse, lieu par excellence de la culture mycénienne, qu’a lieu chacune des transformations dans les rapports entre les deux divinités. C’est probablement d’abord à Argos, dans les antiques cérémonies pour Héra, que ses noces avec Zeus ont été introduites comme l’accomplissement majeur qui prit la place des anciens rites. Sur le sceptre de la statue de culte classique de Héra à Argos était perché un coucou, et cet oiseau apparaît également sur l’entablement de son temple17. Selon le mythe étiologique, c’est sous la forme de cet oiseau que Zeus s’était uni pour la première fois à Héra. Or les habitudes du coucou étaient bien connues des peuples indoeuropéens18 et Zeus était donc désigné comme « un intrus dans un nid étranger ». Ainsi la substitution de la religion des Pélasges, imprégnée d’éléments féminins, par celle des Achéens n’est pas survenue sans ruse. Cependant le mariage de l’Héra achéenne et de Zeus devint une sorte de dogme de la religion mycénienne et gagna, avec l’expansion des Mycéniens, d’autres lieux de culte de la déesse en Grèce, jusqu’en Eubée, en Crète et à Samos. En revanche, à Lesbos, les rois achéens, avant le retour au Péloponnèse, priaient une autre Héra, l’Héra pélasge-éolienne. Certains traits de cette très ancienne divinité étaient encore présents, au-delà de la religion mycénienne, non seulement à Lesbos, mais aussi dans une autre région d’établissement éolien, la Béotie.
12A. Schachter a réuni en 1981 les sources antiques sur le culte d’Héra en Béotie19. Evidemment elle était, là aussi, épouse de Zeus et déesse du mariage, comme l’illustrent ses épiclèses de Teleia, Gamelia, Nympheuomene. Cependant l’Héra de Platées au pied du Cithéron, que le Spartiate Pausanias, chef des armées grecques contre les Perses, priait sans nommer Zeus (Hér., 9, 61-62), cette Héra avait conservé beaucoup de la puissance qu’elle avait avant le temps mycéniens. On célébrait en son honneur la fête des Daidala à laquelle presque toute la Béotie prenait part ; lors des processions en l’honneur d’Héra, chaque communauté apportait sur le Cithéron des statuettes sculptées dans du bois de chêne ; on les entassait sur un bûcher et on les brûlait. Cette fête, célébrée à intervalles irréguliers, fut, d’après Schachter, transformée à l’époque romaine20. Cependant son origine remonte à la préhistoire. Martin Nilsson y voit une fête primitive du feu (“le feu annuel”)21 ; Karl Meuli, de son côté, en fait une cérémonie destinée à apaiser une redoutable puissance chthonienne22. Comme l’explication de Nilsson paraît trop générique, trop étendue dans l’espace et le temps - le phénomène du “feu annuel” se rencontre dans toute l’Europe et, à travers les siècles, jusqu’à nos jours -, on limitera ici l’examen à l’antique Éolide, et cela aux époques hautes.
13Yves Béquignon, spécialiste de la Thessalie, a interprété comme un rite agraire un feu comparable sur le mont Oeta qui découlait du mythe de la mort par le feu d’Héraclès23. Sa lecture s’accorde avec celle de Meuli, et peut être mise en rapport avec l’Héra éolienne que je verrais volontiers présente sur les deux montagnes. “Génératrice de toutes choses”, elle présentait aussi des traits chthoniens : déesse de la terre, les récoltes, qui appartenaient au culte agraire, étaient de sa compétence. Pour la relation de cette antique déesse- mère avec les sommets, il suffit d’évoquer la déesse des montagnes, Cybèle. La relation particulière de cette Héra ancienne avec le feu ressort des trois arguments suivants :
- d’après Hérodote II, 50, le culte d’Héra avait été transmis par les Pélasges en même temps que celui de la déesse du foyer Hestia.
- d’après Hésiode, Théogonie, 927 sqq., Héra avait engendré d’elle-même, sans Zeus, le dieu du feu Héphaistos.
- d’après l’Hymne homérique à Apollon (306 sqq.), Héra avait engendré, sans Zeus, Typhon soufflant le feu. Hésiode, Théogonie, 821 sqq. appelle ce dernier le fils de Gaia et de Tartare, ce qui souligne le sombre caractère de la naissance de Typhon. Mère de ce monstre, Héra était une puissance qui, même pour Zeus, pouvait être redoutable. Typhon était le plus redoutable adversaire de Zeus qui, avec la foudre, le jeta dans le Tartare.
14Ces sources, toutes anciennes, démontrent que l’Héra éolienne était une divinité puissante, qui pouvait inspirer la peur, et dont la colère devait être apaisée, comme l’avait entendu Meuli. L’usage de décorer des daidala comme des poupées-fiancées pour les brûler ensuite au sommet du Cithéron peut être compris comme un rite de substitution ; on ne peut exclure en effet que les poupées de bois puissent remplacer les victimes humaines amenées là lors d’un rituel encore plus ancien. La mort par le feu d’Héraclès sur le mont Oeta pointe en cette direction, et cela d’autant plus qu’il y avait des tensions entre le fils et l’épouse de Zeus.
15La fête des Daidala, comme on l’a déjà rappelé, était célébrée à intervalles irréguliers24. Peut être, à l’occasion de catastrophes naturelles ou de famines, tentait-on d’apaiser la “Génératrice de toutes choses”, de la supplier pour la prospérité des récoltes comme des pâturages pour les animaux. J’ai tenté, dans un écrit précédent, de la présenter comme la maîtresse des pâturages, et avec ceux-ci des bœufs25. Je reste fidèle à cette idée, notamment en raison de l’interprétation des idoles de bois béotiennes comme des daidala. Elles représentent à mon sens l’Héra pélasge-éolienne du Cithéron, divinité également chthonienne, et dont l’image en conséquence pouvait devenir une offrande funéraire. C’est dans ce but que la forme plate des idoles de bois fut traduite en terre cuite. Comme les idoles plates proviennent en majeure partie de tombes béotiennes de la deuxième moitié du vie siècle av. J.-C., elles témoignent d’une ou plusieurs célébrations de la fête des Daidala dans l’archaïsme récent. Ces idoles ont dû être si impressionnantes qu’elles ont laissé leur marque sur la coroplastique béotienne. Les connaisseurs de l’histoire béotienne pourraient y voir un écho des cérémonies du Cithéron. Pour la cessation de l’usage d’offrir aux défunts des daidala d’argile, on peut évoquer les conséquences des guerres médiques et les liens avec Athènes que celles-ci entraînèrent pour Platées comme pour son culte d’Héra.
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Références bibliographiques
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Notes de bas de page
1 Eitrem 1912, 370 ; Roscher 1886-1890, col. 2082 évoque au contraire en conclusion un « antique culte thessalien d’Héra ».
2 Kossatz-Deissmann 1988, 659.
3 Lochin 1990.
4 Schachter 1981, 245-250 ; Simon 1972, 210-214.
5 Lobel/Page 1955, 176, frg. 129, 5-9.
6 Lobel/Page 1955, 15, frg. 17.
7 Pour les parèdres de Cybèle : Neumann 1959 ; Naumann 1983, passim ; Güntner 1994.
8 Lobel/Page 1955 (n. 5), frg. 129, 8-9. Picard 1946, 463 sqq. ; Simon 1967, 105-106.
9 Argos et Samos : Kossatz-Deissmann 1988, 661-662 ; Knossos : Roscher 1886-1890, col. 2085.
10 Paus., 5, 16, 6-7. Simon 1985, 54-57.
11 Simon 1994.
12 Radt 1977, 463-472.
13 Sources citées dans Simon 1994.
14 Kossatz-Deissmann 1988, 659 ; Pelias et Nelée à Olympie : Paus. V, 8, 2.
15 Sources réunies par Zancani Montuoro 1937, 209.
16 Neumann 1959 à propos d’Apollonios de Rhodes, I, 1126-1129.
17 Simon 1985, 50, Abb. 41.
18 Gossen/Steier 1922.
19 Schachter 1981, 238-251.
20 Schachter 1981, 247-248.
21 Nilsson 1955, 130-132.
22 Meuli 1975, 933-934.
23 Béquignon 1937 ; Nilsson 1955, 131.
24 Schachter 1981, 249-250.
25 Voir ci-dessus note 10.
Notes de fin
Auteur
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