La céramique attique du IVe siècle d’Ensérune
p. 209-216
Texte intégral
Introduction
1Cet oppidum protohistorique est situé à 10 km à l’ouest de Béziers dans la plaine côtière du Bas Languedoc occidental. La céramique attique y est attestée depuis le second quart du VIe s. (Dubosse 1998), mais c’est au IVe s. qu’appartient la plus grande partie du mobilier. Nous présentons ici les résultats préliminaires de l’étude des deux types de vases les plus fréquemment mis au jour : les vases à boire et les grands vases ouverts, les autres formes (hydrie, péliké, lécythe, plat à poisson, lékanis, canthare, calice et petit bol) étant rarement attestées. Elle s’organise autour de cinq thèmes : les limites de l’étude dues à la spécificité d’un mobilier issu de fouilles anciennes ; la mise en évidence de l’importance du IVe s. par rapport à l’ensemble des vases postérieurs à 475 av. J.-C. ; la fréquence de chaque forme par rapport à l’ensemble des fragments ; la datation et l’évolution qualitatives et quantitatives des arrivages ; les attributions des vases figurés du IVe s. à des ateliers athéniens.
1. Les limites de l’étude
2La céramique attique d’Ensérune est issue d’une collection ancienne. Les méthodes employées par les différents fouilleurs qui se sont succédés sur le site depuis 1915, engendrent de nombreuses difficultés d’analyse (Dubosse 1997). La plus évidente est le ramassage sélectif des tessons à vernis noir. D’une part, ces derniers sont sous-représentés, particulièrement dans l’habitat où ils représentent moins de 25 % du total des fragments, contre 47 % dans la nécropole. D’autre part, les fouilleurs ont privilégié les éléments de formes dont la proportion en nombre minimum d’individus atteint plus de 50 % pour les vases à vernis noir alors qu’elle est voisine de 25 % pour les vases figurés. Si l’on considère l’ensemble du mobilier attique, la proportion en nombre minimum d’individus est de 35 % dans la nécropole où les vases sont mieux conservés contre 25 % dans l’habitat. Enfin, la grande fragmentation du mobilier provenant de ce dernier secteur et l’absence fréquente de contexte stratigraphique rend malaisée la datation précise de la majorité des tessons.
3L’ensemble pris en compte pour le IVe s. se compose de 1932 vases ou fragments donnant un nombre minimum d’individus de 527. Il se répartit de la façon suivante : 1032 fragments et 227 individus pour l’habitat, 900 fragments et 300 individus pour la nécropole. Nous avons inclus dans nos comptages les fragments dont la datation se situe à la période charnière fin Ve-début IVe s. pour lesquels nous n’avions aucun moyen de trancher. Il s’agit essentiellement de petits fragments de coupes à figures rouges.
4Le protocole de comptage adopté est le suivant : le mobilier (nombre total de fragments avant recollage) a été réparti entre les différentes classes typologiques. En l’absence de contexte stratigraphique, les ensembles ainsi obtenus ont ensuite fait l’objet d’une distribution endo-chronologique dont la base est généralement le quart de siècle (néanmoins la fourchette est parfois beaucoup plus large en l’absence d’élément déterminant). Le nombre minimum d’individus a été obtenu à partir de ces tableaux typo-chronologiques, en pondérant par un, chaque fois qu’il ne correspondait aucun élément de forme au groupe de fragments considéré. Dans la majorité des cas, le nombre minimum d’individus (NMI) accentue la tendance observée à partir du nombre total de fragments (NTF).
2. L’importance du IVe siècle
5Pour bien réaliser l’importance de la céramique attique du IVe s. à Ensérune, il nous a semblé utile de commencer notre étude par une comparaison avec l’ensemble de la période classique. Pour ce site, prendre en compte la céramique postérieure à 475 a son importance. En effet, le deuxième quart du Ve s. est le moment où la céramique attique atteint son niveau le plus bas dans l’évolution des importations, pour employer une formule familière, c’est “le creux de la vague”. C’est aussi à partir de cette date qu’apparaît la céramique attique dans la nécropole. La nature différente des deux contextes archéologiques, que sont l’habitat et la nécropole, ne font pas l’objet d’une comparaison. Le résultat de l’analyse du mobilier recueilli dans l’un ou l’autre secteur est présenté simultanément lorsqu’il apporte des informations concernant les arrivages de céramique attique sur le site.
670 % des fragments mis au jour dans l’habitat et 80 % de ceux de la nécropole ont été produits au IVe s. (fig. 1). Si nous répartissons le mobilier par formes, la proportion de fragments du IVe s. appartenant au service du vin est très importante (fig. 2 et 3). Nous sommes conscients que le nombre de fragments de certaines catégories n’est pas suffisant pour faire l’objet d’un calcul de pourcentage. En considérant donc les données concernant les séries les moins bien représentées comme des tendances à confirmer, nous les avons tout de même présentées dans ces deux graphiques pour leur intérêt dans notre démonstration. La proportion de fragments du IVe s. est supérieure à 95 % pour tous les grands vases. Elle est supérieure ou égale à 70 % pour les coupes à tige, les fragments de coupes de type indéterminé (à tige ou sans tige). Il en va de même pour les coupes-skyphos, skyphos et bols. Les Boisais et les vases de la classe de Saint-Valentin datés du IVe s. rassemblent la moitié des tessons de ces types. Les coupes sans tige ne représentent qu’un tiers du total des fragments mais cette sous-représentation n’est pas pertinente. Elle est dépendante de plusieurs facteurs liés au contexte de l’habitat. Dans ce secteur, en effet, de nombreux bords à courbure continue ont sûrement été classés parmi les coupes de type indéterminé. D’autre part, les coupes de Castulo, plus facilement reconnaissables et datées de la seconde moitié du Ve s., composent une partie importante de cette catégorie. Néanmoins, 60 % des coupes sans tige du IVe s. proviennent de la nécropole. Nous considérons que ce pourcentage est une indication plus proche de la réalité (due en partie à la meilleure conservation et au prélèvement plus efficace des vases en contexte funéraire).
7Quant à la répartition des fragments entre l’habitat et la nécropole, elle donne des résultats très semblables, que l’on prenne en compte tous les fragments postérieurs à 475, ou que l’on se limite au IVe s. Pour l’ensemble de la période classique, l’habitat rassemble 56 % des fragments et la nécropole 44 %. Pour le IVe s., nous obtenons : 53 % pour l’habitat et 47 % pour la nécropole. Distribués par classe typologique, les taux de fréquence du mobilier appartenant à la période classique ou seulement au IVe s. sont similaires (avec une variation inférieure à 3 %). Ceci est constaté pour toutes les formes, sauf la coupe sans tige, sous représentée dans l’habitat pour le IVe s. (cf. infra).
3. La proportion de chaque forme au IVe siècle
8Sans aborder pour l’instant le facteur chronologique, la proportion des quatre grands types de vases par rapport à l’ensemble s’établit de la façon suivante : 30 % de cratères et canthares à pouciers, 50 % de coupes, 10 % de skyphos, 10 % de bols. Soit un tiers de grands vases pour deux tiers de vases à boire. Un graphique illustre la distribution des fragments entre ces quatre grandes catégories typologiques (fig. 4). Si l’on considère la provenance, les résultats ne sont pas très différents, exception faite d’une proportion de coupes plus importante dans l’habitat. Le tableau de la figure 6 présente le détail de la répartition typologique des fragments.
9Parmi les grands vases, le cratère en cloche est le type le plus fréquent. Il représente 75 % du total des fragments (plus de 60 % des individus). La coupe rassemble plus de 80 % du nombre total de vases à boire (60 % des individus). Les skyphos sont tous de type A et majoritairement à figures rouges. Parmi les bols, le type à bord déversé compose la série plus importante. Les bols de type indéterminé, pouvant appartenir à l’une ou l’autre forme, porte généralement un décor plutôt représentatif des bols du premier type.
10La coupe à tige ou de type indéterminé, la coupe-skyphos, la classe de Saint-Valentin et le cratère en cloche sont mieux représentés dans l’habitat. Le Boisai et le skyphos se répartissent de façon à peu près égale dans les deux contextes. Les formes à vernis noir : cratère en calice, canthare à pouciers et bols sont largement majoritaires dans la nécropole, la coupe sans tige y est aussi bien représentée (fig. 5).
4. La datation et l’évolution des arrivages
11Le tableau de la figure 7 présente la distribution chronologique de la céramique du IVe s. d’Ensérune en nombre total de fragments et en nombre minimum d’individus. Les résultats suivants sont donnés d’après le nombre total de fragments.
12Les grands vases ouverts rassemblent 565 fragments dont 146 individus. 80 % des cratères en cloche à figures rouges (Boardman 1989, fig. 341-343), soit 345 fragments, ainsi que les deux fragments de cratères en calice à figures rouges (Paul Zinserling 1994, pl. 64/3) appartiennent aux trois premiers quarts du IVe s., sans qu’il soit possible d’affiner plus la datation du fait de la grande fragmentation des vases. Ceux qui peuvent être datés avec précision appartiennent pour 8 % au premier quart et 7 % au second quart du IVe s. Enfin, 49 des 57 fragments de cratères en calice à vernis noir (Morel 1981, pl. 140, F4631a ; Kopcke 1964, pl. 17) ont une datation lâche dans les trois derniers quarts du IVe s. Seuls huit tessons peuvent être datés de manière plus précise : trois sont sûrement du second quart, cinq du quatrième quart du siècle. Un canthare à pouciers (Agora XII, n° 701) est daté du troisième quart et les 57 autres vases du dernier quart du IVe s. (Agora XII, n° 704).
13Parmi les vases à boire, les coupes représentent 1367 fragments (dont 381 individus). Les 335 fragments de coupe à tige de type Β (Paul Zinserling 1994, pl. 83-85) se répartissent comme suit : 22 % appartiennent à la période charnière fin Ve-début IVe s., 78 % à la première moitié dont 12 % sont certainement du second quart du IVe s.
14Les 104 fragments de coupe sans tige comprennent quelques coupes de types “late plain rim” (Agora XII, n° 513-515) et “delicate class” (Agora XII, n° 494-496), une coupe de type “inset lip” à figures rouges (Agora XII, n° 471) datées du début du IVe s. Cependant la quasi-totalité des autres fragments sont trop petits pour bénéficier d’une identification typologique fine. Chronologiquement, 20 % d’entre eux sont de la fin du Ve ou du début IVe s., 80 % de la première moitié du IVe s., dont 40 % pour le premier quart. Sur 646 fragments de coupes de type indéterminé, 20 % sont de la fin Ve-début du IVe s. et 80 % appartiennent à la première moitié du IVe s.
15Une remarque est commune à la datation de toutes les coupes : le nombre minimum d’individus renforce leur nombre pour la première moitié du IVe s. Il montre une réduction des pièces datables de la période charnière fin Ve-début IVe s. dans la mesure où il rassemble des fragments dont la datation est plus précise.
16Les dix-huit fragments de coupes-skyphos de type “heavy-wall” (Boardman 1989, fig. 368 et Agora XII, n° 621) sont datés du premier quart du IVe s. et sept des dix fragments de Boisai (Agora XII, n° 558) sont datés du deuxième quart du IVe s.
17Le groupe des skyphos et canthares-sessile représentent 157 fragments dont 75 individus. 20 % des skyphos de type A à figures rouges, à vernis noir, à décor en surpeint blanc et de la classe Saint-Valentin (Agora XII, n° 349-352) sont datés de la fin du Ve ou du premier quart du IVe s. et 30 % appartiennent au deuxième ou troisième quart. Le reste (50 %), difficilement datable, se répartit à peu près équitablement entre les trois premiers quarts du IVe s. La classe de Saint-Valentin se compose de six fragments de skyphos et de deux fragments de canthares-sessile (Agora XII, n° 633) qui sont pour la plupart du premier quart du IVe s.
18Le groupe des bols comptent 87 fragments dont 21 à bord déversé (Agora XII, n° 802-808) et 12 à bord rentrant (Agora XII, n° 830-837). Parmi les bords de bols à bord déversé, un date du premier quart du IVe s, quatre datent du second quart et seize du troisième quart. On ne peut proposer qu’une datation lâche pour les douze fragments de bols à bord rentrant : 375-300. La dimension réduite des 54 fragments restants ne permet ni d’en déterminer le type ni d’en proposer la datation à l’intérieur des trois premiers quarts du IVe s à l’exception de 4 tessons qui peuvent être sûrement datés du dernier quart.
19Si on fait la synthèse de ces informations, on peut distinguer trois phases : la période charnière autour de 400, la première moitié du IVe s. et la seconde moitié du siècle.
La première phase représente 14 % de la céramique attique. Elle se compose de 3 % de cratères en cloche et 97 % de vases à boire (85 % de coupes, 12 % de skyphos).
La seconde phase rassemble 72 % du mobilier. On y trouve 30 % de cratères et 70 % de vases à boire (60 % de coupes, 6 % de skyphos et 2 % de bols).
A la seconde moitié du IVe s. correspondent les 16 % du mobilier restant. Cette dernière phase rassemble les cratères en calice à vernis noir, les canthares à pouciers, la majorité des bols et des quelques skyphos.
20Les importations de céramique attique atteignent donc leur acmé durant le premier quart du IVe s. Elles se maintiennent au même niveau au deuxième quart puis les arrivages chutent brutalement dans le troisième quart du IVe s.
21Si on effectue un tri en fonction de la provenance, la période charnière représente 15 % de la céramique provenant de l’habitat et de la nécropole. A la première moitié du IVe s. correspondent 80 % du mobilier de l’habitat et 65 % du mobilier de la nécropole. Les vases de la seconde moitié du IVe s. ont essentiellement été mis au jour dans la nécropole. En effet, on observe une disparition quasi-complète de la céramique attique dans l’habitat après 350 où 5 % seulement de la céramique est postérieure à cette date alors qu’elle correspond encore à 20 % dans la nécropole.
5. Les vases figurés attribués
22En ce qui concerne l’étude des vases à figures rouges, 18 cratères en cloche, 57 coupes et 4 skyphos ont été attribués à des groupes stylistiques ou sont proches de mains d’artistes athéniens, soit un total de 79 pièces (Beazley 1928 ; Dubosse 1998, index stylistique). Nous avons détaillé dans le tableau de la figure 6 les ateliers du IVe s. dont les productions sont représentées à Ensérune. Les cratères sont majoritairement du style de Kertch, les coupes se répartissent seulement autour de trois ateliers parmi les plus importants du IVe s. (l’atelier du Peintre de Méléagre, celui du Peintre d’Iéna et le Groupe YZ) et les skyphos appartiennent au “Fat Boy Group” ou y sont apparentés. Certaines productions ne sont connues ni à Marseille ni à Ampurias comme celles du Peintre des Amazones ou du Peintre de Yalta (Jully 1976, 46). D’autres ne sont attestées qu’à Ensérune ou dans sa région proche comme le Peintre de Mouret 10.2 (Beazley 1963, 1455), ou sont mieux représentées ici que nulle part ailleurs (cf. le “Sub-Meidian Cup-Group” pour la fin du Ve s. : Beazley 1963, 1394).
Conclusion
23Pour conclure nous mettrons trois points en relief :
L’inventaire effectué en 1990 a triplé le nombre de fragments de la première moitié du IVe s. (Dubosse 1997, fig. 3). Ils représentent actuellement 70 % du mobilier, modifiant l’idée que l’on se faisait des arrivages de céramiques grecques sur le site. On assiste au début du IVe s. à une arrivée brutale de céramique attique à Ensérune composée pour 98 % de vases à boire et de cratères. L’influence d’Ampurias se fait plus intense, cela ne fait aucun doute, mais ne pourrait-on pas faire aussi le lien avec la refondation du comptoir d’Agde par Marseille au début du IVe s. (Sanmarti 1995, 44-46 ; Garcia/Marchand 1995, 102-103 ; Garcia 1995, 160) ?
En ce qui concerne le site lui-même (et bien que la comparaison doive être utilisée avec beaucoup de prudence du fait de la différence évidente des contextes), il faut souligner la similitude des fréquences de la céramique attique entre l’habitat et la nécropole jusqu’en 350. La céramique attique utilisée dans l’habitat se retrouve dans le mobilier funéraire dès la mise en place de la nécropole. On y retrouve quelques vases des deuxième et troisième quarts du Ve s. antérieurs à son utilisation ; puis, à partir de 425 et pendant toute la première moitié du IVe s., la céramique attique est attestée dans les mêmes proportions que dans l’habitat. Après cette date, la céramique attique se raréfiant, elle disparaît de la vaisselle utilisée dans l’habitat et son usage semble réservé à la nécropole. Il en serait de même pour les quelques vases italiotes qui atteignent le site à la fin du IVe et au début du IIIe s.
Pour les ateliers dont les vases figurés sont représentés sur le site et en comparaison avec les productions variées qui arrivent dans les comptoirs phocéens, un oppidum indigène comme Ensérune présente un faciès relativement homogène qui se retrouve sur les sites voisins. Pour nombre d’entre-eux, l’étude précise du mobilier attique, souvent issue de fouilles anciennes, est encore à faire. Une fois réalisée, la synthèse de ces informations contribuera à la compréhension des circuits de distribution qui ont permis ces arrivages importants de céramiques d’importation sur le littoral du Languedoc occidental.
Bibliographie
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La céramique attique du IVe siècle en Méditerranée occidentale
Ce livre est cité par
- Sanmartí, Joan. (2020) A Companion to Greeks Across the Ancient World. DOI: 10.1002/9781118341339.ch18
- KAMGAING, Pierre-Claver. (2022) À propos de grands oublié·e·s du nouveau Code pénal camerounais. ADILAAKU. Droit, politique et société en Afrique, 2. DOI: 10.46711/adilaaku.2022.2.1.14
La céramique attique du IVe siècle en Méditerranée occidentale
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