Nîmes : projet urbain, image et réalité
Réalités d'une ville, autopsie d'un projet
p. 363-369
Texte intégral
"Nous ne croyons pas que la vérité reste la vérité quand on lui enlève sonvoile".
Nietzsche
"Tout discours est menacé par cette réversibilité ou absorption de ses propres signes, sans trace de sens".
Jean Baudrillard, De la séduction, 1982.
Du projet de ville
1La ville occupe le devant de la scène. Schéma, charte, contrat, projet... autant de projets de ville, autant de variantes formelles et de procédures, autant de pensées sur la ville. Réalité de la ville ou concepts fédérateurs, socialement utiles ? Faut-il y voir une façon de projeter un avenir à la ville, de donner du sens au futur ("Le futur de Nîmes est passionnant à vivre" dira Jean Bousquet, maire, présentant ses vœux aux Nîmois) ? Si le projet urbain reste "l'image d'un état que l'on pense atteindre" (Petit Robert), il doit entraîner chacun dans l'action, atténuer les conflits, renforcer les cohérences de la cité, dessiner la ville de demain. Retenons toutefois les hésitations de Jacques de Courson qui s'interroge sur la dualité de sens que recouvre tout projet : utopie (de utopos, sans lieu) ou règle d'aménagement ? "projet-placebo ou projet opérationnel" ? "Prospective appliquée" ou "projet de papier"1 ? Le temps serait à l'imagination d'un futur probable, mais à partir de stratégies "douces" en rupture avec les conduites de l'urbanisme opérationnel des années 1970.
2"Retrouver la ville. Telle est la tâche à laquelle Nîmes s'est attelée depuis une dizaine d'années" (Expérience Nîmes, Paris : Centre G. Pompidou, 1993). Cet objectif a-t-il été atteint ? Tel sera le sens de notre interrogation sur la nature du "projet de ville" à Nîmes, annoncé aux lendemains des élections de 1983, modulé après les inondations de 1988, reformulé au seuil des années 1990. Quelles sont les réalisations anciennes, à venir ou en cours, qui le soutiennent. La démarche actuelle, présentée comme structurante à partir de la fin des années 1980, reflète-telle une modification, de fond ou de forme, par rapport à la gestion de l'espace du début de la décennie, caractérisée comme un "semis" urbain2. A-t-elle modifié radicalement l'espace antérieur ?
3Le projet actuel, connu sous le titre de "Expérience Nîmes, vers une ville sans banlieues", propose-t-il une réflexion sur la ville comme entité et non plus seulement comme support d'expériences architecturales sans grande homogénéité ? Fait-il apparaître une autre manière de concevoir la ville, différente de celle qui prévalait jusqu'ici et qui était fondée sur un lien étroit entre développement économique et développement urbain ? Le pari qui consiste à faire de la ville un " facteur de développement" a-t-il réussi ? Dans ce contexte, l'architecture et l'urbanisme ont-ils une place déterminante et lisible dans les stratégies municipales.
Dire le projet de ville : deux temps, un événement
4Dès 1983, afin de "donner une âme à Nîmes", le projet repose au départ d'avantage sur l'idée de croissance économique que de développement urbain. Ce qui compte alors, c'est d'attirer les investisseurs, de faire preuve "d'audace", d'améliorer l'image économique de la ville, de compléter les aides officielles par une politique d'accueil et de "rabais" sur l'achat de terrain. On fait appel aux "jeunes créateurs", on les encourage à "conquérir leur réussite à Nîmes" (Programme "À Nîmes, l'audace ça marche"). Cependant, la confrontation de 11 équipes d'architectes locaux a permis de lancer l'idée de "projet urbain" tout en permettant "le défoulement des idées" (Midi Libre, 10 Novembre 1983) sans pour autant que l'ensemble des propositions soit jugé crédible. Le pari de l'investissement urbain — le projet de la zac "Nîmes ville active" ou de l'opah en centre-ville — repose sur la volonté de créer des emplois ("Un million de travaux générera près de trois emplois sur un an", Jean Bousquet, 1984). Faire de Nîmes une ville moderne à partir de grands équipements structurants consacre trois idées-force :
exploiter la richesse locale, celle de "l'or gris", ouvrir la ville au tourisme haut de gamme (opérations Atria et Cheval Blanc en centre ville, couverture des Arènes) ;
donner à la culture tout son sens et en faire "l'élément gratifiant" de l'urbain (projet de la médiathèque Carré d'Art) ;
assurer la promotion médiatique de la cité (de son maire) par le biais du star-système et de signatures prestigieuses (les grands noms de l'architecture et des Beaux-arts signeront des œuvres dans la ville, Foster, Wilmotte, Nouvel, Kurokawa, Gregotti, Raysse, Starck, Viallat...).
5L'œuvre urbaine placée sous l'autorité du maire ("la responsabilité d'un maire, c'est l'urbanisme" (Jean Bousquet, Archi Créée, no 209, 1986) doit transformer la ville en un véritable espace productif. C'est le temps des "signatures" des "œuvres" dispersées dans la ville, quand le discours parle d'une "ville en miettes", en "fragments isolés", qu'il faut "recomposer, recoudre, réunifier". Le projet souligne alors les vertus d'une urbanité retrouvée, celle qui fait "de l'espace urbain un espace quotidien, intégrant non seulement le lieu mais aussi le temps" (Expérience Nîmes, op. cit.).
6Les inondations du 3 octobre 1988 ne sont-elles pas cet événement qui rétablit l'ordre du temps et de la réalité de la ville dans sa composition sociale et dans son occupation d'un espace géographique, c'est-à-dire dans son urbanisme ?
7Le nouveau discours prend appui sur cette réalité pour officiellement nuancer la démarche de la pensée urbanistique. "Les animateurs de l'agence d'urbanisme, conscients des limites du plan général que les inondations leur commandaient d'élaborer, ont répondu à cette demande en la déviant. Au lieu d'un plan général, l'idée a été avancée d'un "plan d'ordonnancement" qui articule entre eux plusieurs projets transversaux grâce auxquels la ville puisse s'unifier"(Expérience Nîmes). Il s'agirait de découvrir au sein de l'espace urbain des " traces, traverses, lignes de force", des hiérarchies, des contraintes et des ouvertures qui structurent cet espace sans pour autant que la population en soit parfaitement consciente.
8Non plus seulement "rapiécer, recoudre" une ville "déchirée en miettes" mais remédier aux dysfonctionnements, s'attacher à limiter et contraindre, proposer des agencements protégeant les points de vue et les compositions urbaines.
9Quatre axes dont trois essentiels structurent le tout :
la "perspective Foster " ou axe nord-sud Nîmes-Campagne prolongeant les Allées Jean-Jaurès au-delà de l'autoroute jusqu'au sommet de la Costière, "une crête d'où l'on découvre la ville et qui peut, par cette qualité abriter le projet d'une chapelle de Niki de Saint-Phalle"... "C'est un geste gratuit, non totalitaire. C'est un geste esthétique avec lequel l'urbanisation future devra composer" (Expérience Nîmes) ;
le boulevard périphérique est-ouest pensé comme "ligne tangentielle", rocade des années 1970 qu'il faut intégrer, par anticipation, dans l'espace public de la cité ;
"l'axe vert ", trouée de verdure souhaitée plus que réelle qui associerait la ligne des garrigues au nord du Jardin de la Fontaine et la plaine du Vistre en passant, simple coïncidence heureuse, par un cheminement qui traverse la vieille ville ;
le boulevard Kennedy à l'ouest, moins valorisé dans le projet.
10Le projet s'appuie sur une gestion "entrepreneuriale" de la ville dont l'objet est de valoriser "ce que signifie construire et penser la ville". Guy Henri justifie idéologiquement cette démarche en citant les trois mots clés qui la structurent : "liberté, rigueur, invention" (Expérience Nîmes).
Relire le projet de ville : la confrontation aux structures de la ville
11Y a-t-il tant de distance entre ces deux temps du projet urbain ? Au point de parler d'un renversement, d'un changement de cap ? L'exposition "Expérience Nîmes" au centre Georges Pompidou donne la vedette aux études plus qu'aux réalisations, à la réflexion plus qu'à l'action. Frédéric Edelman, dans Le Monde, ne parle-t-il pas des "résultats d'une démarche assez largement fondée, une forme d'effacement des individus devant les enjeux de la ville" pour ajouter que le temps des stars serait achevé, au profit de celui des propositions à long terme.
12Notre hypothèse de recherche est qu'il n'y a pas de rupture entre ces deux temps, mais que leur succession produit, faute de cohérence interne, un éclatement de la gestion, ramenant le projet à la stratégie initiale du "semis". L'on passe sans doute du semis superstructurel au semis infrastructurel, mais il n'existe pas de lien organique entre les deux. Le plan d'ordonnancement ne serait-il pas alors ce simple élément d'un discours indispensable certes, mais dont la formalisation dans l'ordre du réel se heurterait à la logique des pratiques sociales ? Les images proposées reprennent celles de la cité idéale, mêlant ville et campagne en "harmonie", prolongent les perspectives tracées au xviiie siècle à partir des quais de La Fontaine (axe Foster), jouent sur la rencontre de l'axe et du périphérique pour rappeler le croisement Cardo/Décumanus de la ville romaine.
13Faut-il trouver les cohérences du projet dans ces aboutissements de lignes, dans ces prolongements qui doivent évoquer et la campagne et le passage, dans ces traversées qui doivent signifier les "réseaux de possibles", dans ces lieux qui sont référencés "espaces publics" ?
14Comment penser les cohérences qui fonderaient l'unité de la cité lorsque le projet nie les seules modifications fondamentales du xxe siècle, constituées par les grands ensembles périphériques, notamment la zup. Ne propose-t-il pas l'image de la ville des années 1950, celle d'avant ces transformations massives, où sont tolérées seulement les extensions d'habitat individuel (la garrigue) ou celles du "Nouveau Nîmes" des années 1980 (au Sud, le long d'un périphérique que l'on veut transformer en "boulevard urbain" selon le projet d'Emilio Donato).
15Certes, cette image a d'abord une visée externe et participe de la médiatisation de la ville. Mais peut-elle se soustraire à une justification interne destinée à une lecture par la population qui vit sa ville ? Il ne semble pas alors qu'elle soit perçue par les habitants comme un projet de ville, car elle ne modifie pas la démarche antérieure de densification des axes nord-sud et est-ouest par un semis de réalisations plus ou moins médiatisées. On passe par exemple d'un équipement ponctuel comme l'hôtel Atria à proximité de l'amphithéâtre romain à un axe censé structurer le paysage urbain le long d'une coulée verte du nord au sud. Mais il s'agit toujours de densifier un "Decumanus des affaires" et un "Maximus du tourisme", par des opérations simplement mieux liées entre elles. L'université au Fort Vauban ne procède-t-elle pas de la même démarche ?
16Le Contrat de Ville — qui concerne principalement les grands ensembles — retenu dans les "cinquante premiers quartiers au niveau national" (Journal municipal de décembre 1993) ne porte-t-il pas davantage sur les infrastructures et les liaisons que sur le cadre bâti lui-même ? Ne signifie-t-il pas une sorte de partage des compétences entre la ville et l'état dans la conduite de l'urbain : à l'État le financement des "corrections" de l'urbanisme des années 1960, à la ville le soin de se repenser dans "ce paysage de rêve" qui caractérisait la cité "avant les dégâts de l'urbanisation d'après-guerre" (Frédéric Edelmann, op. cit.).
17Ne faut-il pas également s'interroger sur l'introduction d'une nouvelle échelle, celle de "l'espace public" comme fondatrice du nouvel "art de ville" ? "Sur la lancée du Plan d'ordonnancement, établi en 1991, l'agence d'urbanisme définit aujourd'hui une échelle d'intervention où l'espace public assume une fonction génératrice des formes urbaines. Des réalisations ponctuelles marquent l'espace, le projet global en toile de fond : une cohérence est affirmée sans uniformité, une continuité sur le mode des résonances" (Nîmes, l'espace public. Le Moniteur architecture-AMC, no 52-53, 1994). On retiendra alors une certaine contraction de l'urbanisme nîmois ("Plusieurs projets présentés en 1991 sont aujourd'hui en sommeil... L'échelle des projets s'est resserrée... Il s'agit de faire la ville avant la ville... L'idée est donc d'agir par des réalisations ponctuelles qui marquent l'espace comme autant de bornes territoriales comme l'avaient fait les urbanistes de Ferrare au xvie siècle" (Nîmes, l'espace public, op. cit.). Qualifier l'espace public suffit-il pour faire la ville ? La ville naît certes du lieu, mais "renouer avec l'art urbain", avec une "continuité historique" cela peut-il construire "ce fil conducteur" qui assure la qualification des territoires ? (Extraits du discours de Joseph Juvin directeur de l'agence d'urbanisme. op cité).
18La vision humaniste de la cité reposant sur une "nouvelle culture de la ville" ne manque pas de générosité, mais elle se heurte aux réalités de la vie quotidienne. Si les apparences formelles du projet urbain paraissent avoir changé, la matrice du discours demeure la même qui propose de modifier, de transformer le rapport de l'individu à sa ville par le biais de produits qui s'inscrivent dans le tissu urbain, produits qui sont voulus "œuvres" signées et référencées.
19De même, la nature des interventions antérieures ne paraît pas avoir été transformée, non pas que l'on puisse comparer des interventions ponctuelles (comme l'aménagement d'un complexe commercial en centre ville, la Coupole) et celles plus structurantes, comme la "coulée verte", mais parce que par rapport aux options fondamentales, ces types d'équipements ne sont pas vraiment différents.
20Les seules vraies ruptures de l'espace urbain nîmois sont contenues dans la zup définie dans le discours municipal comme "un étrange espace" et dont le projet de "réinsertion" passerait avant tout par "le renforcement de la desserte collective". Faut-il voir là une nouvelle étape de l'expérimentation nîmoise telle que l'annonce Jean Bousquet et qui devrait reposer sur la question du logement social et de la ségrégation résultant d'une concentration excessive de celui-ci. "Il faudrait d'abord casser cette ségrégation, et ensuite avoir beaucoup d'imagination pour faire des logements différents, des appartements que l'on puisse vendre 100 000 francs au lieu de 300 000 francs, même si tout le confort n'y est pas dès le départ" (Jean Bousquet, Le Moniteur Architecture, op. cit.). Etranges paroles qui détonnent dans l'univers "soft" d'une ville à la conquête d'une identité que l'on s'efforce de transformer.
Les pesanteurs du système urbain
21Le système de gestion actuel de l'espace poursuit la même démarche, car il repose sur la même volonté de remodelage que celui mis en place par l'équipe dirigée par Jean Bousquet à partir de 1983. Résumé par la notion de "modernité" opposée à l'archaïsme et à l'immobilisme supposé des gestions antérieures, il se heurte à l'identité de la structure urbaine et à celle de la société nîmoise. Il n'induit pas de modification profonde de nature et le repli sur l'espace public semble signifier un certain épuisement de sa logique dominante. Il ne peut dès lors qu'éclater. Le symbole de cet épuisement pourrait être en 1995 la dévolution aux service municipaux d'un hôtel acheté à grands frais par la collectivité pour créer une structure d'accueil haut de gamme, longtemps pensée comme exemplaire d'une politique fondée sur l'or gris (Le Cheval Blanc).
22La cohérence des interventions est limitée à un seul concept : la marchandisation de la ville. Or le projet ne serait structurant qu'à la condition d'accompagner un développement économique, ce qui n'est pas le cas. L'exploitation du potentiel touristique (l'or gris) a pu masquer provisoirement l'essoufflement du modèle de développement fondé sur un lien étroit entre essor économique et essor urbain depuis l'antiquité, mais le projet urbain n'accompagne désormais plus aucune perspective de développement économique. Ainsi, la création d'antennes délocalisées de l'université est-elle conçue dès l'origine comme élément d'animation du centre-villle, quand l'investissement des années 1970 (IUT, faculté de médecine) était considéré comme un atout pour combattre la crise et un facteur d'avenir.
23Le rêve d'une ville d'avant les banlieues ne s'apparente-t-il pas à une "révolution conservatrice", à une démarche faisant retour sur le passé malgré ses apparences modernistes ? Retour sur un âge d'or supposé, qui fait largement référence à Rome, au classicisme et au xviiie siècle.
24Ce projet ne convient plus à la société nîmoise. En témoignent les conflits urbains, qui se multiplient le long du Cardo et du Decumanus : autour de l'environnement, du plan de circulation et de transport en commun… etc. Par ailleurs, le Contrat de ville n'a pas apaisé le sentiment de marginalisation de la population des grands ensembles. Ce qui est présenté comme une vision globale et à long terme est amendé par petites touches, la cohérence d'ensemble étant dès lors remise en cause (exemple le réseau de transports publics).
25L'argument selon lequel toute modification entraîne l'expression d'une insatisfaction ne suffit pas à expliquer la nature de ces conflits. Le projet ne satisfait pas les habitants d'une ville dont la plupart des indicateurs sont négatifs (taux de chômage, d'assistance, fermetures d'entreprises, niveau de salaires, etc.). Ces conflits traduisent l'absence de véritable projet cohérent pour le développement urbain, l'urbanisme, dans son temps de réflexion, ne suffisant pas à déterminer un mode de développement qui réponde aux préoccupations de la population.
26Ce projet se voulait l'équivalent des plans Mareschal ou Raymond, au xviiie siècle, qui reposaient sur un élan industriel, générateur d'essor citadin. Ce lien ayant disparu, le projet se heurte à la réalité d'une ville dont les ressources sont limitées : le volume de la dette représente actuellement trois années de recettes, contre deux en moyenne pour les cent premières villes de France, 21 % du budget et 16 668 F/habitant… Le remodelage espéré au cours des premières années de mandat a échoué. Ne s'agit-il pas désormais d'un mode de gestion de la crise de l'urbain. On pourrait dire que cette démarche témoigne d'une incapacité d'injecter de l'urbanité dans l'urbanisme, autrement dit, de réaliser ce qui était l'objectif assigné, à savoir faire de la ville, construire de l'urbain autrement que selon les schémas historiquement déterminés.
Notes de bas de page
Auteurs
Maître de Conférences, GREGAU ARPES, Université Paul Valéry Montpellier III.
Maître de Conférences, GREGAU ARPES, Université Paul Valéry Montpellier III.
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