Reconstruire et construire des universités
p. 40-49
Texte intégral
L’ETAT DES UNIVERSITÉS FRANÇAISES AU SORTIR DE LA 2ème GUERRE MONDIALE
1Les destructions de la guerre n’ont pas tellement affecté les bâtiments de l’enseignement supérieur, à l’exception notable de ceux de l’université de Caen (1894), entièrement détruite lors des bombardements qui ravagent la ville en juillet 1944. Le développement spectaculaire des campus universitaires en France dans les années 1950 et 1960 doit donc être analysé dans le contexte du développement urbain de ces villes et dans le cadre de la politique générale d’aménagement du territoire, et non dans celui de la reconstruction. En ce sens, l’histoire des campus universitaires français est d’avantage comparable à la politique des grands ensembles et à la logique de zonage de l’urbanisme réformateur qu’à la refonte des villes détruites. La reconstruction de l’université de Caen demeure une exception. Reconstruite rapidement et inaugurée dès 1957, elle est déplacée en périphérie sur les hauteurs de la ville, près du château, dans le cadre de la procédure de remembrement urbain qui touche les villes sinistrées. Exception historique, elle s’impose néanmoins comme une référence souvent citée dans les revues et sur les différents chantiers de constructions universitaires, notamment à Bordeaux. Cet intérêt tient à ses qualités autant qu’à son achèvement précoce dans l’histoire des universités françaises qui en fait un des rares exemples dont il est possible de s’inspirer.
2Le patrimoine de l’enseignement supérieur, disponible au lendemain de la guerre, était essentiellement constitué d’universités ou de facultés aux dimensions modestes et bien incorporées au tissu urbain le plus dense. L’accroissement considérable des besoins, l’évolution des enseignements, l’importance prise par la recherche placent les nouvelles constructions à une autre échelle. Le départ en périphérie répond à la nécessité de trouver des dizaines, parfois des centaines d’hectares indispensables aux nouvelles implantations, et non à la fascination qu’exercerait un modèle de campus importé d’outre-Atlantique. Les chiffres confirment l’analyse que dresse J. Raynaud, directeur de l’Équipement scolaire, universitaire et sportif en 19651. L’évolution des besoins suit le baby-boom qui a vu les effectifs scolaires s’accroître de près de 1 412 000 enfants entre 1952 et 1956, impliquant d’anticiper leur accueil en aval dans l’enseignement supérieur où, chaque année, un plus grand pourcentage d’une classe d’âge, en particulier les filles, fait son entrée.

Henry Bernard et Edouard Hur. Nouvelle Université de Caen. Les deux architectes sont fortement influencés par le classicisme structurel de Perret et par sa proposition non retenue pour le camouflage du Trocadéro en 1935. Photographie publiée dans L’Architecture française, no 179-180,1957, p. 57.
3En 1950, le nombre d’étudiants en France était de 135 000. Il atteignait déjà 309 000 en 1960. Une décennie - de 1955 à 1965 - suffit pour multiplier par deux et demi le nombre d’étudiants français, alors que la précédente augmentation d’une semblable ampleur s’était étalée sur une trentaine d’année2. Le problème fut donc posé d’abord de manière quantitative avant de l’être qualitativement.
4Plus que l’imitation du modèle du campus américain, probablement assez mal connu d’ailleurs des architectes comme des maîtres d’ouvrages publics, le départ des universités françaises vers la périphérie est la conjonction de cet accroissement des effectifs, de la pression foncière en centre-ville accentuée par la crise endémique du logement, et des difficultés d’expropriation rencontrées. La construction de locaux d’enseignement doit s’accompagner de la construction des œuvres d’étudiants - cités universitaires, maisons et restaurants d’étudiants-, la situation du logement étudiant devenant critique dans la plupart des grandes villes. Dès 1947, deux professeurs de médecine lyonnais recommandaient le déplacement des établissements d’enseignement et des internats des centre-villes insalubres et pollués aux périphéries pour que les enfants et les étudiants puissent bénéficier de meilleures conditions climatiques3. Les surfaces dégagées en périphérie sur des terrains agricoles ou de grandes propriétés sont importantes et sans commune mesure avec les terrains morcelés des centre-ville : 90 ha pour le campus des sciences à Rennes, 100 ha sur le site de Montmuzard à Dijon, 109 ha pour la cité scientifique de Lille, 175 ha à Saint-Martin-d’Hères et de Gières aux portes de Grenoble, jusqu’à 718 ha pour le campus de La Source près d’Orléans. Avec ses 253 ha répartis sur les communes de Talence, Pessac et Gradignan (T.P.G.), le campus bordelais, hors faculté de médecine implantée sur un autre site, est l’un des plus vastes de France, d’une surface plus grande que le centre historique de Bordeaux compris entre la ceinture des cours et la Garonne. Il est admis que Louis Sainsaulieu en fut l’urbaniste en chef. Cependant, l’acquisition de ce vaste ensemble universitaire ne résulte pas d’un plan concerté, mais de l’addition d’opportunités foncières, d’une succession de demandes des différentes facultés formalisées au fil des besoins, et d’un jeu de chaises musicales qui témoigne des rapports de forces entre tous les acteurs.

Henry Bernard et Edouard Hur. Nouvelle Université de Caen. Plan publié dans L’Architecture française, no 179-180,1957, p. 57.
Le départ vers la périphérie de Bordeaux
5La constitution de ce campus prend naissance au cours de la séance du 12 octobre 1941 du conseil de l’université qui propose de scinder la faculté des sciences entre Bordeaux et un terrain de 12 000 m2 à Talence où serait accueilli l’Institut de zoologie qui doit être détruit en centre-ville4. Si ce terrain n’appartient pas aujourd’hui au campus T.P.G., il constitue cependant la première mention d’un déménagement de l’université en périphérie. Malgré l’opposition du doyen à une scission de la faculté des sciences, le conseil de l’université poursuit des négociations pendant toute la durée de l’Occupation. Dès juillet 1941, il est également envisagé d’acquérir le parc de Suzon à Talence pour y aménager un « stadium près des facultés », laissant ainsi penser que le déménagement des facultés en périphérie est assez largement envisagé dès cette époque, au-delà du transfert du seul Institut de zoologie. À la même époque, les 45 ha du château Monadey sont acquis, par voie d’expropriation le 2 octobre 19425, afin de réserver une grande partie de ces terrains pour les facultés et le sport universitaire. Après la guerre, ce site, en partie viabilisé, fut l’objet de nombreuses tractations entre le ministère de l’Éducation nationale, désireux de décongestionner les établissements d’enseignement secondaire technique et universitaire de Bordeaux, et la ville de Talence, confrontée, comme l’ensemble des communes de France à cette époque, à un grave déficit en logements6. De nombreux projets incluant notamment une cité universitaire sont envisagés. Finalement, l’essentiel du Domaine est affecté aux installations du CREPS, le reste constitué par l’ancien terrain de l’hippodrome étant finalement dédié à l’ENSAM et au lycée Alfred-Kastler. Au terme de l’accord signé entre l’État et la ville de Talence, le maire de la commune dut renoncer à un aménagement d’habitat sous forme de maisons individuelles au profit de blocs d’habitations par appartements jugés alors « ô combien peu recommandables, sous le rapport d’édilité et d’urbanisme7 ».
6C’est en fait sur les terrains Beaumartin, Promis et Bonnefont, situés au nord-est du Domaine Monadey, que la faculté des sciences s’implante à partir de l’année 1951. La ville de Bordeaux fait l’acquisition du terrain Promis au profit de l’université en échange des terrains réservés cours Barbey et de la Marne8. Si l’on ajoute que le déplacement de la faculté de droit est envisagé dès juillet 1951 sur un terrain militaire situé en marge du parc de Suzon, c’est d’emblée un ambitieux ensemble universitaire majeur qui commence à prendre place àTalence en 1951-1952 sur un site choisi notamment « parce qu’il se situe sur la route nationale Bordeaux-Bayonne, à trois kilomètres du centre de Bordeaux et à moins de quinze cent mètres des boulevards extérieurs9 ». En outre, si, à cette époque, aucun plan d’ensemble, plus vaste, n’est conçu, ni même envisagé, la commune de Talence offre des réserves foncières importantes à proximité des premiers terrains acquis.
Les derniers projets d’Expert à Talence
7Dans la continuité de ses projets pour le centre-ville, les premières études de la faculté des sciences sur le site de Talence sont confiées à Expert qui, selon le doyen, est « parti avec la même foi et le même enthousiasme10 ». Expert adresse rapidement, dès le 2 juillet 1951, trois études limitées au seul terrain Beaumartin, puis, un mois plus tard, le 3 août, une quatrième ainsi qu’une maquette11. Dans l’état actuel de nos recherches, aucune de ces quatre études, les seules produites par l’architecte parisien à Talence, ne nous est parvenue. Nous pouvons cependant en restituer l’esprit grâce aux échanges épistolaires entre le doyen et son architecte. Expert apprécie le nouveau site qu’il juge « très pittoresque, admirablement planté. Tel quel, il limite et conditionne les solutions possibles. Il a en effet été planté pour la position clef qu’occupe le château [Bonnefont]. Il correspond exactement à l’esprit qui est recherché pour une université moderne, à savoir, une composition extrêmement libre, c’est-à-dire des bâtiments comme semés à l’anglaise, dans le pittoresque apparent le plus complet. Cela ne veut pas dire qu’il faille omettre le côté pratique qui convient à une faculté des sciences et répondre aux nécessités et à ce que vous avez appelé de l’expression très juste “les articulations”12. »
8Le doyen apprécie l’idée de bâtiments semés dans un parc à l’anglaise, mais s’interroge sur la difficulté à obtenir cet effet avec de grands bâtiments dont la plupart ont 100 m de long13. Analysant le projet no 4 d’Expert, le doyen lui reproche d’avoir disposé les bâtiments perpendiculairement aux courbes de niveaux14 et d’avoir créé une entrée secondaire très ample sur le chemin des Briques (actuelle rue Pierre-Noailles), jugée inutile. Expert privilégie l’axe nord-sud que lui suggère la présence du château Bonnefont, mais contraire à la topographie du terrain en forme de légère dépression creusée par le mince cours d’eau qui le traverse d’est en ouest. Le doyen critique également les articulations entre les bâtiments qui ne correspondent pas à celles souhaitées et sont probablement traitées sous forme de galeries souterraines selon un principe expérimenté depuis le XIXe siècle dans quelques grands établissement hospitaliers15. Le doyen suggère aussi de densifier en hauteur et demande le regroupement des bâtiments de physique et de chimie. Enfin, la taille de l’amphithéâtre central, visible depuis le parc, est jugé beaucoup trop importante.
9Malgré de nombreuses relances, Expert tarde à fournir un projet modifié16. Sans nouvelle de son architecte fin décembre 1951, le doyen prend une initiative qui lui semble devoir débloquer la situation, mais qui à l’opposé du but recherché, va paralyser Expert, probablement vieillissant et fatigué par plus de vingt ans d’études inabouties. Le doyen Brus demande à l’architecte de l’université, Robert Touzin, de dessiner un schéma qui formalise ses suggestions. Touzin s’exécute et dessine, le 28 décembre 1951, sous la dictée du Doyen, un plan et une perspective.

Robert Touzin. Plan, n.d., inspiré du projet no 4 d’août 1951 d’Expert formalisant les critiques et les suggestions faites par le doyen Brus à l’attention de son architecte parisien. Plan accompagnant une lettre du doyen à Expert adressée le 28 décembre 1951. A.R.B. 2008.22.2712.

Robert Touzin. Perspective correspondant au plan précédent, n.d., datable du 28 décembre 1951. A.R.B. 2008.22.2712.
10Bien qu’il en soit une critique, gageons que le projet esquissé par Touzin à la demande du doyen reste fidèle au modèle palatial, à la recherche de monumentalité et au respect de la symétrie chère à Expert. Mais, quelle que soit la distance qui sépare le projet no4 d’Expert de la version critique qu’en proposent Brus et Touzin, l’architecte parisien se dit déconcerté : « Je n’ai jamais été conduit à faire de l’architecture dirigée [...]. Mon élan a été coupé17. » Le doyen se défend de faire de « l’architecture dirigée » : « Si c’est faire de “l’architecture dirigée” que veiller au respect d’un programme longuement réfléchi, correspondant à des besoins, à des réalités à préciser à son architecte l’articulation souhaitée pour les bâtiments ; lui faire connaître ses goûts ; lui demander que le point de vue fonctionnel ait priorité sur le point de vue architectural - tout ceci évidemment sans intransigeance et dans la confiance mutuelle-, je puis vous affirmer que mes vingt-cinq collègues et moi ne concevons pas un autre mode de travail pour la construction de notre nouvelle faculté des sciences, et n’admettons pas la possibilité d’un désaccord avec notre architecte et nous sur ce principe18. »
11En conclusion, le doyen regrette les quatre mois perdus et insiste sur sa volonté « d’adopter désormais des méthodes de travail plus efficaces ». Mais la municipalité de Bordeaux ne laissera pas le temps à Expert de réagir. Le 31 janvier 1951, Jacques Chaban-Delmas met un terme à la collaboration de l’architecte parisien lors d’une réunion qu’il préside en présence du recteur et des doyens des facultés de sciences et de droit. Il est reproché à l’architecte de ne pas respecter le programme, de ne pas faire passer le point de vue du maître d’ouvrage avant celui « de l’artiste » et son « manque de réalisme19 ». Le Compte rendu de la réunion résume les propos de Chaban-Delmas qui sonnent comme une sentence : « Tant que vous aurez cet architecte, vous n’arriverez à rien. J’en suis navré, homme charmant [...]. C’est un architecte pour monuments, perspectives, pas pour laboratoires20. » Le recteur rejoint le maire affirmant qu’il convient de ne « plus perdre son temps avec un fantaisiste ». Le sort d’Expert scellé, le maire de Bordeaux aborde son remplacement bien que ce soit l’Université, sous couvert du Ministère, qui ait le libre choix de son architecte. Chaban-Delmas réclame un spécialiste des laboratoires, évoque Jacques Carlu21, mais surtout René Coulon dont les laboratoires de la sidérurgie et des charbonnages de France publiés dans L’Architecture d’Aujourd’hui sont cités en référence22. Le Conseil de l’université officialise le renvoi d’Expert le 8 février 1952 et appelle à la nomination d’un nouvel architecte ayant une expérience dans le domaine de la construction de laboratoires. Dès le 26 mars 1952, c’est René Coulon qui est désigné par le Conseil de l’université sur proposition du doyen. Robert Touzin, architecte honoraire de l’université, et son fils Jacques Touzin, sont nommés pour l’aider dans sa mission.23
12Plus encore que celui de D’Welles, le renvoi d’Expert scelle la fin d’une pratique de la profession et d’une méthode de conception héritée de la longue culture classique et de son enseignement, une quinzaine d’années avant l’écroulement du système Beaux-Arts en mai 1968. Si la maîtrise d’ouvrage et la municipalité de Bordeaux portent une part de responsabilité, déjà évoquée, dans cet échec, les critiques renouvelées quant à la méthode et au manque de prise en compte des contraintes fonctionnelles liées au programme, au profit presque exclusif de la composition et d’un parti artistiques, confirment une forme d’autisme d’une profession qui peine à évoluer malgré les coups de boutoir d’une avant-garde virulente dressée contre l’académisme. Âgé de soixante-dix ans, Expert achève dans la douleur une carrière brillante se heurtant, à Bordeaux comme à Marseille, où il est un temps chargé de l’épineux problème de la reconstruction du Vieux-Port, aux mêmes difficultés d’évolution.
Notes de bas de page
1 J.Raynaud, sans titre, A.F., Constructions scolaires. Enseignement supérieur. VIII, no 275-276,1965, p. 4.
2 Cette tendance n’a fait que se confirmer depuis. La population étudiante atteignait le nombre de 2 347 700 à la rentrée 2011, soit une augmentation de 1 639 % quand la population totale française n’augmente dans le même temps que de 56,3 %.
3 P.Delore et M.Milhaud, Enseignement et climatisme, AF, no 70,1947, p. 12-16.
4 Il s’agit de l’immeuble Olibet situé au 40 rue Lamartine. Compte rendu de la séance du C.U.du 12/10/1941. A.R.B. 2008.69-R29.
5 Lettre du maire de Talence au recteur n.d. A.R.B. 2008.35.136. La lettre date probablement du 10/10/1952.
6 « Note détaillée demandée par la Direction Générale de l’Equipement Scolaire Universitaire et Sportif. 23 octobre 1957 ». A.R.B. 2008.35.106.
7 Idem p. 10.
8 L’évocation de ces terrains remonte, la séance du C.U. du 08/06/1951. Compte rendu des séances du C.U A.R.B. 2008.69. R31.
9 Lettre du recteur de l’académie de Bordeaux au recteur de l’université de Liège, le 26/05/1953. A.R.B. 2008.35.73.
10 Lettre du Doyen Brus à Expert le 24/01/1952. A.R.B. 2008.22.587.
11 Voir la longue lettre que le Doyen Brus adresse à Expert le 24/01/1951. A.R.B. 2008.22.587.
12 Idem.
13 Idem.
14 Dans son projet no 1, Expert proposait pourtant une implantation parallèle aux courbes de niveaux. Lettre du Doyen Brus à Expert le 24/01/1951. A.R.B. 2008.22.587
15 Le Doyen évoque le témoignage défavorable du Directeur de l’Hôpital de Purpan à Toulouse où existe ce dispositif.
16 Le 11/12/1951, le Doyen est à Paris où Expert lui montre la même étude. Lettre du Doyen Brus à Expert le 24/01/1951. A.R.B. 2008.22.587
17 Propos rapporté par le Doyen Brus dans sa lettre du 24011951/déjà citée. A.R.B. 2008.22.587
18 Idem.
19 Compte rendu manuscrit, non signé, de la réunion du 31/01/1952, portant la mention. Hier 31/1/1952 visite, maire Bx,. D. Sc ». A.R.B. 2008.22.587.
20 Idem.
21 Jacques Carlu (1890-1976) Grand prix de Rome, co-auteur du Palais de Chaillot (1937) réalise à cette époque quelques travaux en Aquitaine, comme les locaux de l’O.R.T.F. à Bordeaux, ou le lycée Max Under à Libourne.
22 Voir chapitre II.
23 Compte rendu de la séance du C.U du 26 mars. A.R.B. 2008. 69-R31.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
50 questions à la ville
Comment penser et agir sur la ville (autour de Jean Dumas)
Jean-Pierre Augustin et Michel Favory (dir.)
2010
L’espace public à l’épreuve
Régressions et émergences
Vincent Berdoulay, Paulo C. da Costa et Jacques Lolive (dir.)
2004
Le Team X et le logement à grande échelle en Europe
Un retour critique des pratiques vers la théorie
Bruno Fayolle-Lussac et Rémi Papillault (dir.)
2008
Villes fortifiées en projet
Propos d’ateliers Jingzhou et Xiangfan dans le Hubei
Jean-Paul Callède (dir.)
2018
La croissance périphérique des espaces urbains
Petites villes et villes moyennes au sud de l’Aquitaine
Guy Di Méo
1986