Dessins séries 1-13. Planches 1-26
p. 82-86
Texte intégral
a. L’Orangin & les Coloquinelles : Cucurbita polymorpha Colocyntha
1Pepo rotundus arantiiforma. Bauh. Pin. 311. Cucurbita minima lutea amara. J. B. 2. p. 231. Cucurbitula pilae palmariae non multo major sphaerico. Tournef. 105. Cucurbita… magnitudine aurantii. J. B. 2. p. 226. & aliae. J. B. colocynthis pomiformis cortice maculato. Bauh. Pin. 314. Les fausses Oranges & les fausses Coloquintes.
2Des feuilles médiocrement découpées, d’une longueur égale à celles de leur queue, & à peu-près à l’écartement des noeuds ; les fleurs mâles & femelles également distribuées sur toute la plante, qui en acquiert une grande fécondité ; le fruit de forme sphérique, d’un diamètre seulement double de celui de la fleur ; ce fruit, fort réguliérement à trois loges, très-abondant en graines assez grosses, sa pulpe jaunâtre, fibreuse, pourvu d’un peu d’amertume, se desséchant facilement, & acquérant alors une odeur un peu musquée ; la peau formant une coque assez solide, d’un vert noir dans sa fraîcheur, & dans sa maturité d’un jaune orangé très vif : tels sont les caractères qui semblent désigner l’Orangin comme la race la plus près de l’état primitif du Pépon.
3Cette race est en même temps assez constante, si ce n’est dans sa grosseur, comme le no 5, & dans sa couleur moins foncée, ou même toute pâle & qui quelquefois demeure verte presque tout l’hiver ; mais par l’effet des fécondations croisées, j’en ai vu naître les métis les plus sensiblement participans des Citrouilles, tels que les numéros 1af, 1bf & 1bg, ou de certains Pastissons, comme 1cg, 1ch.
4Si l’on veut moins circonscrire la race de l’Orangin, les Coloquinelles n’en seront que des variétés. Dans toutes, la peau ou coque est beaucoup plus mince, aussi est-elle fort sujette aux panaches & aux bandes claires. J’en ai vu de lactées comme dans les Cougourdettes. La pulpe assez mince & sèche dans la plupart des Coloquinelles, se trouve plus épaisse & plus fraîche dans quelques autres qu’on pourroit regarder comme tenant en cela des Pastissons, & les montrant tels qu’ils ont dû être avant d’avoir éprouvé ces contractions régulières qui s’y rencontrent aujourd’hui.
Cucurbita pepo subsp. pepo Groupe Rond à Peau Lisse (Round, Smooth-Rinded Group) (Paris 2000e)
5Le Groupe Rond à Peau Lisse (Round, Smooth-rinded Group) qui peut aussi être désigné comme le Groupe Orange, a été cultivé durant des siècles en Europe comme plantes d’ornement. Des formes de ce groupe figurent dans le Vienna Codex de Leonhart Fuchs, un manuscrit achevé en 1562, et dans le travail de Besler qui fut publié en 1613 (Paris 2000e). Duchesne a fait allusion en abrégé aux descriptions de ces courges par C. Bauhin (1623), J. Bauhin (1651) et Tournefort (1700). Il a suggéré que cette race représente C. pepo dans son état le plus primitif. Jussieu et Tillet, en rapportant la présentation par Duchesne de son mémoire devant l’Académie des Sciences, écrivent qu’« … il [Duchesne] les [pépons] examine d’abord séparément, ensuite il cherche a prouver qu’elles sont toutes originaires d’une espece primitive en sauvage qui est selon lui l’orangin… ». Duchesne considérait cette race, c’est-à-dire ce groupe Rond à Peau Lisse comme un C. pepo ancestral. C’est une remarquable observation car les résultats d’une récente recherche centrée sur le polymorphisme de l’ADN (Paris et al. 2003) ont révélé que l’‘Orange Ball’, un membre de ce groupe de cultivars, était (sur 44 testés) le plus étroitement apparenté au ‘ Miniature Ball’, une forme cultivée ne figurant pas dans la collection de Duchesne et qui apparaît comme un C. pepo ancestral.
PLANCHE 1
6No 1. Datée février 1770. 6,7 x 7,2 cm. Sphérique, légèrement côtelée près du pôle pédonculaire, d’un orange foncé très vif. C’est une courge connue comme ‘ Orange’. Un cultivar semblable ou identique arriva en Europe au milieu du 16e siècle, ayant été illustré par Fuchs avant 1562 au plus tard (Paris 2000e). Le Cucurbita minima lutea amara décrit par Bauhin (1651), mentionné par Duchesne comme indiqué plus haut, correspond probablement spécifiquement à ce cultivar.
PLANCHE 2
7Nos 1aa, 1ab, 1ac, 1ad, 1ae, 1af. Datée 29 mars 1774. Six fruits ronds, globuleux à ellipsoïdes, sont figurés. L’un est ellipsoïde, fort gros, légèrement côtelé, et d’un orange intense, rappelant beaucoup les citrouilles des États-Unis. Un second, également orange intense, est sphérique et un peu plus grand que l’original no 1. Les quatre autres sont jaune pâle, à peu près de la taille de l’original no 1, sphériques et globuleux. Sur le Document 5 : « Six productions variées par augmentation de grosseur ou diminution de couleur ».
PLANCHE 3
8Nos 1ba, 1bb, 1bc, 1bd, 1be, 1bf, 1bg. Datée 27 février 1773. Huit fruits, ellipsoïdes à globuleux-aplatis (2 fruits de 1bb). L’un (no 1bf) est ellipsoïde, plus grand que l’original no 1 et d’un orange intense, ressemblant beaucoup aux citrouilles des États-Unis. Le plus petit (no 1be) est sphérique et plus petit que l’orangin, seulement 5,2 x 5,2 cm, avec de larges bandes vert moyen et d’étroites rayures jaune moyen. Les couleurs incluent de l’orange intense, du jaune pâle, du gris-vert pâle, du vert foncé virant à l’orange intense, de même que de larges bandes d’un vert moyen ou moyen-foncé alternant avec d’autres plus étroites d’un orange intense ou jaune moyen. Les nos 1ba et 1bb montrent des sillons longitudinaux et le no 1bd est verruqueux. La raison de cette diversité dans la descendance serait, d’après le Document 5, que le no 1b aurait été un « autre individu élevé dans une autre collection à Meudon, entouré de diverses Coloquinelles à bandes, de Giraumons et de Pastissons ».
PLANCHE 4
9No 1ba*. Datée 26 mars 1773. Dessin au trait en noir et blanc de quatre petits fruits, pratiquement sphériques et un peu plus gros que l’original, sur une branche isolée d’une plante. Les fruits ne possèdent pas de sillons et donc 1ba* ne peut pas représenter la même plante que 1ba ci-dessus.
PLANCHE 6
10Nos 1ca, 1cb, 1cc, 1cd, 1ce, 1cf, 1cg, 1ch, 1ci. Datée septembre 1773. Dessin au trait en noir et blanc de neuf fruits, dont seulement trois sont sphériques et petits comme l’original no 1. Tous les fruits sont dans l’ensemble ronds mais cela va d’ovale allongé à globuleux-aplati. Trois fruits sont plusieurs fois plus grands que l’original, dont le no 1cf qui est ellipsoïde.
PLANCHE 5
11Nos 1cba, 1cbb. Datée 1774. Deux fruits ellipsoïdes considérablement plus grands que l’original et similaires au no 1cb ; l’un avec des zébrures en alternance vert-noir et orange moyen, l’autre légèrement côtelé et entièrement orange vif. Le Document 5 donne l’origine de la taille plus grande : « Produit un 4e generation du No 1cb élevé au milieu de divers Giraumons ».
PLANCHE 7
12No 2. Non datée. 6,7 x 7,5 cm. D’un intense orange foncé. Légèrement aplati, ressemble à un cultivar de l’orangin, l’‘Orange Ball’.
PLANCHE 8
13No 3. Non datée. 5,3 x 7,2 cm. D’un intense orange foncé. Plus aplati que le no 2 et montre distinctement deux écorchures (dommage physique). Ressemble à une mandarine.
PLANCHE 8
14No 3a. Datée mars 1773. Dessin au trait en noir et blanc de deux fruits sur une portion de rameau d’une plante. Fruits globuleux-aplatis, un peu cannelés et plus gros que l’original no 3.
PLANCHE 11
15No 4. Datée 6 mars 1772. 7,7 x 8,3 cm. D’un orange moyennement intense. Similaire aux nos 1 et 2. Sphérique, comme le no 1, mais pas aussi intensément orange, comme le no 2. Diffère des nos 1 et 2 en étant légèrement côtelée et un peu plus grosse.
PLANCHE 12
16No 5. Datée 1er février 1770. 9,2 x 9,3 cm. D’un orange foncé intense. Fruit sphérique mais distinctement côtelé sur toute sa longueur. Egalement nettement plus gros que les no 1-4.
PLANCHE 12
17No 5a. Datée 7 avril 1772. Sphérique mais nettement plus grande que l’original no 5 et non côtelée, jaune clair au lieu d’orange intense.
PLANCHE 9
18No 5bis. Datée 19 mars 1770. 25,5 x 17,0 cm. La désignation 5bis suggère qu’il s’agit probablement d’une aberration du no 5. Le fruit est beaucoup plus gros, longuement ellipsoïde, avec des sillons, des rayures en alternance larges et jaune clair et étroites et jaune moyen, et il est fort verruqueux. Les commentaires de Duchesne dans le Document 5 indiquent que lui aussi le considérait comme une aberration, résultat d’une hybridation involontaire.
PLANCHE 10
19No 6. Datée 30 novembre 1769. 6,8 x 8,5 cm. Ressemble à une ‘Flat’ mais en plus gros. Montre de larges bandes vert sombre marbrées d’orange alternant avec d’étroites rayures orange foncé.
PLANCHE 13
20No 6a. Datée 27 mars 1770. Deux fruits entiers et un coupé, globuleux-aplatis, avec de peu profondes cannelures longitudinales et plus gros que l’original no 6. Bicolores, d’un intense orange foncé sur la plus grande partie de leur surface mais avec des extrémités vert foncé, sans les rayures longitudinales de l’original. Le fruit coupé montre une chair fine, jaune, entourée d’une épaisse peau orange. Le caractère bicolore est dû à un allèle du gène B, pour bicolor fruit.
PLANCHE 13
21No 6aa. Datée 6 mars 1773. Fruit bien plus grand (plus de 25 cm de long) et plus sphérique que le no 6a. La couleur est jaune intense au lieu d’orange et les cannelures longitudinales sont plus nettes. La zone circulaire vert moyen autour de la petite cicatrice du style indique que le no 6aa portait l’allèle bicolore B.
PLANCHE 14
22No 6b. Datée 10 janvier 1770. Deux fruits de taille différente, l’un étant considérablement plus gros que l’autre et l’original no 6. Les deux sont globuleux-aplatis avec l’extrémité stylaire déprimée, des sillons évasés et peu profonds, des bandes orange foncé alternant avec des rayures jaunes et étroites dans les sillons, et une mince chair orange clair.
PLANCHE 14
23No 6c. Hiver 1771. Petit fruit, sphérique, avec de larges zébrures jaune-orange clair alternant avec d’autres, dans de peu profondes sillons, étroites et jaune-orange pâle, et avec beaucoup de petites verrues.
PLANCHE 15
24No 6d. Datée 19 février 1770. Petit fruit sphérique, jaune-vert clair passant à l’orange moyen, côtelé au niveau de l’extrémité pédonculaire. Ressemble aux orangins no 1-5, mais n’est pas d’un orange aussi intense.
PLANCHE 15
25No 6e. Datée 29 mai 1770. Deux fruits, considérablement plus grands que l’original no 6, ellipsoïdes, d’un intense orange, légèrement côtelés près de l’extrémité pédonculaire.
PLANCHE 16
26No 7. Datée 26 décembre 1769. 9,7 x 12,4 cm. C’est une version bicolore de ‘Flat’ mais nettement plus grande que le no 6. En fait cette courge est quadricolore, vert foncé/intense et orange, et vert moyen et orange, résultat d’une combinaison de la panachure bicolore, répartie dans le sens latitudinal, avec des rayures longitudinales. Les rayures foncées/intenses sont larges, les claires sont étroites. Bauhin (1651) fut probablement le premier à donner une description des courges bicolores et Weinmann (1739) fut peut-être le premier à les illustrer, bien qu’incorrectement. Cette planche et d’autres dessins de courges bicolores de Duchesne sont les premiers à représenter de manière réaliste la panachure bicolore chez Cucurbita (Paris 2000c). La teinte orange est répartie vers l’extrémité pédonculaire (proximale). Cette répartition est fort commune, comme l’a indiqué Duchesne et l’a confirmé et discuté Shifriss (1965, 1981).
PLANCHE 16
27No 8. Datée 1er décembre 1769. 9,3 x 9,2 cm. Courge rayée sphérique, bicolore, mais avec la zone verte restreinte à l’extrémité du fruit et la teinte générale donnée par une alternance de larges bandes d’un jaune moyen très clair avec d’autres étroites et jaune clair. Le fruit présente aussi quelques grosses verrues.
PLANCHE 17
28No 9. Datée 12 janvier 1770. 7,9 x 9,9 cm. De forme globuleuse à aplatie, c’est encore une autre courge rayée bicolore mais dont la coloration est d’une intensité intermédiaire entre celles des no 7 et 8, elle présente de larges bandes d’un vert foncé moyennement intense avec d’étroites rayures vert-gris clair, avec panachure de jaune orange moyen dans les larges bandes et de jaune clair dans les étroites rayures. Elle est libellée Cucurbita aspera minima sphaerica crocea variegata [J. Bauhin 1651, p. 223].
PLANCHE 18
29No 9a. Datée 17 février 1772. Elle illustre tout ou partie de trois fruits. Celui du haut est entier, celui du bas, vu de son extrémité stylaire, apparaît entier et celui du bas à droite semble être la moitié d’un fruit coupé en son milieu. Plus gros que l’original no 9 et nettement plus sphériques et moins intensément colorés, avec des rayures vert moyen pour les larges et vert clair pour les étroites. Le fruit du haut montre une tache jauneorange de la panachure bicolore mais ce caractère n’est pas visible sur le fruit de gauche ; des fruits bicolores ou entièrement verts peuvent se trouver ensemble sur le même pied (Shifriss 1965). Le fruit coupé montre une chair fibreuse, plutôt épaisse, présentant des zones vert clair et d’autres jaune clair. La panachure bicolore est connue pour affecter la couleur de la chair : là où la peau est jaune ou orange, la chair en dessous est de la même couleur (Shifriss 1987).
PLANCHE 18
30No 9b. Datée 4 mars 1772. Un peu plus petit que l’original, légèrement aplati et bicolore mais sans les rayures foncées ; on observe un assombrissement de la peau le long des tracés vasculaires, dans les sillons peu profonds, ce qui est typique du phénotype produit par le génotype d/d l-1/l-1 L-2/— (Paris & Nerson 1986).
PLANCHE 19
31No 10. Datée 9 janvier 1770. 10,0 x 10,4 cm. Cette courge, presque sphérique, avec de larges rayures vert sombre alternant avec d’autres, étroites, vert pâle, est plus grosse que les précédentes et verruqueuse.
PLANCHE 19
32No 10aa. Datée 25 janvier 1772. Globuleux-aplati, d’un intense orange, et moins verruqueux que l’original no 10.
PLANCHE 19
33No 10ab. Datée 14 mars 1772. Ovoïde-piriforme, considérablement plus grand que l’original no 10, avec de larges rayures jaune pâle et d’autres, étroites, ainsi que des taches jaune-orange pâle moyen.
PLANCHE 20
34No 10ac. Datée 5 mars 1772. Fruit ellipsoïde, considérablement plus grand que l’original, blanc à vert pâle.
PLANCHE 20
35No 10ad. Datée 8 mai 1772. Fruit piriforme, considérablement plus grand que l’original, un peu côtelé, avec deux petites verrues, vert clair à jaune clair.
PLANCHE 21
36No 11. Datée 8 janvier 1770. 7,1 x 8,6 cm. Globuleux-aplati mais avec une extrémité stylaire quelque peu en pointe et allongée, de légers sillons, des verrues éparses et de larges bandes blanc à orange pâle alternant avec d’étroites rayures vert sombre, dans les sillons ; des points verts sont aussi présents dans les larges bandes. Un peu réminiscent d’un ‘ Mandan’.
PLANCHE 22
37No 11a. Datée février 1770. Globuleux-aplati, un peu plus petit que l’original no 11. Quadricolore, le dessin bicolore étant en surimpression des larges bandes claires et des étroites rayures foncées. Apparemment, le pédoncule s’est rompu, avec les rayures orange, claires et foncées, entourant l’extrémité pédonculaire et les vertes, claires et foncées, recouvrant le reste du fruit.
PLANCHE 22
38No 11aa. Datée 25 janvier 1772. Fruit presque sphérique et beaucoup plus gros que les nos 11 et 11a, mais avec une coloration similaire à celle du no 11a.
PLANCHE 23
39No 11b. Datée février 1771. Fruit globuleux, à peu près de la même taille que le no 11, avec de larges bandes vert moyen alternant avec d’étroites rayures vert foncé, à l’exception d’une tache jaune-orange dans la zone équatoriale du fruit où les bandes sont jaune-orange moyen et les rayures jaune-orange intense. Libellé Cucurbita aspera, amara, fructu parvo, globoso colore vario J. B. [J. Bauhin 1651, p. 230].
PLANCHE 23
40No 11ba. Datée 19 janvier 1772. Fruit piriforme, considérablement plus allongé que les nos 11 et 11b, d’un intense vert foncé partout.
PLANCHE 24
41No 11c. Datée 7 avril 1772. Fruit sphérique, un peu plus gros que le no 11 ; de larges bandes jaune moyen alternant avec d’étroites rayures jaune pâle. Libellé Cucurbita aspera cortice molli albo magnitudine arantij [J. Bauhin 1651, p. 226].
PLANCHE 25
42No 12. Datée 30 décembre 1769. 12,3 x 10,3 cm. Piriforme, relativement grand. Quadricolore, avec un dessin bicolore surimposé aux rayures alternativement claires et foncées, vert à l’extrémité stylaire et sur une partie de la zone équatoriale, légèrement verruqueux.
PLANCHE 25
43No 12a. Datée 28 février 1771. Deux fruits similaires au no 12 mais avec des verrues éparses et pas aussi intensément colorés, l’un étant entièrement ou presque orange. Les verrues sont plus proéminentes que sur l’original no 12.
PLANCHE 25
44No 12b. Datée 18 février 1771. Trois fruits oblongs plutôt que piriformes, avec le même dessin de coloration, l’un est coupé pour montrer une chair plutôt mince, d’un orange moyennement intense mais qui est vert clair sous les zones de peau vertes, en concordance avec Shifriss (1987).
PLANCHE 26
45No 13. Datée 13 décembre 1769. 13,4 x 13,4 cm. Sphérique et le plus gros de ce groupe de courges, presque de la taille d’une petite citrouille. Quadricolore, avec un dessin bicolore surimposé à l’alternance de larges bandes foncées avec d’étroites rayures claires. Il est intéressant que la couleur orange recouvre la plupart du fruit, le vert étant séparé en deux zones, l’une en cercle autour de l’extrémité stylaire et l’autre, plus grande, autour de la zone équatoriale et vers l’extrémité pédonculaire.
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