Remerciements
p. 703-704
Texte intégral
1Nombreuses sont les personnes et institutions qui m’ont aidée pendant le temps de mes recherches.
2Françoise Zonabend et Jean Jamin furent particulièrement attentifs et bienveillants, me prodiguant conseils et encouragements. Je remercie de tout cœur Jean Jamin de m’avoir suggéré de reprendre, comme titre de cet ouvrage, le bel intitulé de son article consacré à Paul Rivet, lui-même allusion aux deux essais de Max Weber sur le métier et la vocation du savant et du politique. J’eus la bonne fortune de bénéficier pendant cinq ans, entre 1999 et 2004, de vacations d’archiviste à la bibliothèque du musée de l’Homme et de classer les volumineux fonds d’archives Paul Rivet, du Musée d’ethnographie du Trocadéro et du Musée de l’Homme, de l’Institut d’ethnologie. Sans la découverte de cette documentation, pour une très large part totalement inédite, cette biographie ne serait pas ce qu’elle est devenue. Je n’oublierai pas tous ces petits bonheurs d’archives, découverts au gré du rangement, et qui sont autant de jalons dans mon long apprivoisement de Paul Rivet. Jacqueline Dubois, Catherine Delmas, Salima Boukris, les trois directrices successives, et Dominique Morelon, qui m’a proposé ces vacations, m’ont accueillie avec sympathie, et tout le personnel de la bibliothèque (Corinne Bolze, Valérie Thephaut, Anne Chapus, Christina Debreux, Adrien Mattatia, Michèle Moulin, Bernadette Poux, Odile Eliot, Bénédicte Martin, Christine Carrau, Marie-Christine, etc.) a fait preuve d’une curiosité amicale pour mes travaux.
3Afin de partir à Bogota, en 1999, sur les traces de Paul Rivet, j’ai bénéficié de crédits de mission accordés par l’École des Hautes Études en Sciences Sociales et le Laboratoire d’anthropologie sociale du Collège de France. Nombreux sont ceux qui m’ont aidée à préparer ma mission d’études à Bogota, m’ont conseillée, et accordé un peu de leur temps pour évoquer la figure de Paul Rivet : Marc Augé, Michel Agier, Philippe Descola, Thierry Lulle dont l’aide précieuse m’a permis de séjourner dans de bonnes conditions à Bogota, la directrice de l’ICAN (Instituto colombiano de antropología) Maria Victoria Uribe, l’ancien recteur de l’Université nationale et directeur du département d’anthropologie Guillermo Paramo, Jon Landaburu ; les étudiants formés par Paul Rivet à l’Institut ethnologique, entre 1941 et 1943, que j’ai pu rencontrer : Alicia Dussan de Reichel-Dolmatoff, Blanca Ochoa de Molina, Luis Duque Gómez, Roberto Pineda Giraldo.
4Ceux qui, à Paris, par leur expérience directe de Paul Rivet, m’ont permis de me familiariser avec lui : François Chevalier et sa femme, l’ambassadeur de l’Équateur alors en poste à Paris Juan Cueva, Jacques Faublée (†), Dario Lara, Claude Lévi-Strauss, Gilles Martinet (†), Guy Stresser-Péan, Abdon Yaranga Valderrama.
5Celles et ceux qui ont accepté de me faire part de leur documentation personnelle, de leur savoir, de me communiquer leurs travaux scientifiques avant parution : Marie-Claire Bataille, Claude Bataillon, Julien Blanc, Alice Conklin, Vincent Debaene, Claude Doyennel, Marie-France Fauvet Berthelot, Thierry Fournier, Nina Gorgus, Fabrice Grognet, Véronique Hébrard, Laurent Jeanpierre, Régis Meyran, Patrick Petitjean, Nicole Racine, Carole Reynaud-Paligot, François-Xavier Ricard, Filippo Zerilli.
6La famille de Paul Rivet : Pierre Milliez (†), Pierre Castelneau, son exécuteur testamentaire, Madame François Rivet, Maurice Desvimes.
7Les personnes qui m’ont facilité l’accès aux documents d’archives concernant Alfred Métraux : Fernande Schulmann-Métraux, Daniel Métraux, Alain Monnier, Amy J. Buono, Anders Larsson (bibliothèque de l’Université de Göteborg).
8Jean-François Leroux-Dhuys, l’exécuteur testamentaire de Georges Henri Rivière.
9Pierre Mauss (†), l’exécuteur testamentaire de Marcel Mauss.
10Ma mère, mon frère et Laurine, pour leur intérêt soutenu et leur affection. Malgré les difficultés matérielles et ses inquiétudes sur mon avenir, ma mère soutint sans faille ma volonté de poursuivre des études universitaires, et m’encouragea dans cette voie. Son sens de la solidarité familiale, sa générosité, n’ont jamais été pris en défaut.
11Mon époux, dont le soutien constant fut un réconfort inestimable tout au long de ces années. Il fut mon interlocuteur au quotidien, à l’écoute de mes joies et de mes doutes intellectuels ; il sut trouver les paroles pour me rasséréner et m’accompagner sur cette longue route. Je lui dois beaucoup.
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