Remerciements
p. 397-398
Texte intégral
1Il m’a fallu, pour achever ce livre, plus longtemps que je ne souhaite l’évoquer. Par conséquent, mes dettes envers tous ceux qui l’ont lu, commenté ou tout simplement toléré dépassent l'espace dont je dispose. Certaines dettes sont toutefois trop importantes pour être passées sous silence. Ma plus grande dette est sans doute celle envers le département d’Histoire et de Philosophie des Sciences de Cambridge. Plusieurs membres de cette institution ont enduré les tentatives initiales qui ont abouti à ce produit fini, tout particulièrement Nick Jardine, directeur de recherche, collègue et ami ; à divers moments, les conseils et suggestions de Jim Secord, Simon Schaffer et Andrew Cunningham m’ont notamment été précieux. Je voudrais aussi remercier particulièrement Laurence Brockliss, Janet Browne, Michael Dettelbach, Marina Frasca Spada, Michael Hagner, Jeff Hughes, Rob Iliffe, Shelley Innes, Adrian Johns, Ludmilla Jordanova, Julian Martin, Jim Moore, Édouard Pommier, Marsha Richmond, Harriet Ritvo, Anne Secord, Phillip Sloan, Peter Stevens, Frances Willmoth, Alison Winter et le public de nombreux séminaires et conférences dont les suggestions ont à diverses reprises guidé mes interprétations.
2Tous les textes traduits dans cet ouvrage l’ont été par moi-même, sauf indication contraire. Je suis reconnaissante à Frances Willmoth qui a traduit pour moi des passages du Genera plantarum d’Antoine-Laurent de Jussieu.
3Je remercie également le personnel de nombreuses bibliothèques : la Whipple Library et l’University Library à Cambridge, la British Library à Londres, la Bibliothèque centrale du Muséum national d’histoire naturelle, les Archives nationales et la Bibliothèque nationale à Paris. Le Newnham College de Cambridge, la British Academy, l’Arnold Gerstenberg Trust et la famille Spary ont financé les étapes initiales de la préparation du livre ; la Royal Society, le Girton College de Cambridge, l’université de Warwick et le Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte de Berlin ont contribué à son achèvement.
4Si Paul S. White ne m’avait pas apporté son soutien de si diverses manières, il est difficile d’imaginer comment ce livre aurait pu être terminé. Martin, Stella et Georgina Spary m’ont soutenue malgré leur scepticisme salutaire quant au projet lui-même. Des amis de Cambridge et d’ailleurs, dont beaucoup sont mentionnés ici, m’ont maintenue sur la bonne voie. Enfin, je ne peux qu’exprimer mes regrets sur la perte de Susan Abrams, qui avait non seulement soutenu le projet lui-même, mais aussi toujours montré une approche éclairée de ce domaine particulier qu’est l’histoire des sciences. Tous méritent, en guise de remerciement, bien plus que des mots sur du papier. J’aimerais profiter de l’occasion qui m’est offerte ici à l’occasion de la traduction en français de mon ouvrage pour remercier chaleureusement Claude Dabbak pour son beau travail de traduction.
5Les Publications Scientifiques du Muséum, éditeur du présent volume, remercie à leur tour Véronique Jara-Ron, dessinatrice cartographe au Service des galeries, pour les figures 7 à 9 et Bénédicte Bilodeau du Centre Koyré pour son travail de mise à jour de la bibliographie.
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