1Le programme de recherche Globalmed (2014-2019) intitulé « Les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine : une illustration du marché global du médicament, de l’Asie à l’Afrique », supervisé par Carine Baxerres, associe des équipes de l’IRD (Merit) et du CNRS (Cermes3) en France, de l’université d’Abomey-Calavi au Bénin (Cerpage et Lama), du Noguchi Memorial Institute for Medical Research de l’université Legon du Ghana et de l’université des sciences de la santé du Cambodge. Il a bénéficié d’un financement du Conseil européen de la recherche au titre du septième programme-cadre de l’Union européenne (FP7/2007-2013)/convention de subvention ERC Grant Agreement n^o 337372. Nous sommes très reconnaissants à cette institution publique de financement de la recherche et donc à tous les citoyens européens qui, par leurs contributions fiscales, ont rendu possible la réalisation de ce travail.

2Nos remerciements vont ensuite à tous les acteurs, femmes et hommes, des marchés pharmaceutiques que nous avons ethnographiés et avec lesquels nous avons longuement échangé : producteurs, importateurs, grossistes, détaillants, pharmaciens, chimistes, médecins, sages-femmes, infirmiers, aides-soignants, manutentionnaires, livreurs, représentants pharmaceutiques, vendeurs informels, assistants en pharmacie diplômés ou non, vendeurs de médicaments OTC, téléphonistes, porteurs, préparateurs de commandes, facturiers, contrôleurs de commandes, comptables, emballeurs de commandes, etc.

3Nous remercions également les mères et les pères, les grands-mères et les grands-pères, les tantes et les oncles, les grandes sœurs et les grands frères que nous avons interviewés régulièrement au Bénin, au Ghana et au Cambodge pendant plusieurs mois.

4Nous n’oublions pas les femmes et les hommes, principalement pharmaciens, qui dirigent ou ont dirigé les autorités de régulation et les institutions de santé dans les pays et, pour n’en citer que quelques-uns : Idrissou Abdoulaye, Prosper Ahonlonsou, Corneille Cakpo, Habib Ganfon, Benoît Hounkpevi, Carmelle Hounnou, Dorothée Kindé Gazard, Marina et Achille Massoubodji, Al-Fattah Onifade au Bénin ; Vivian Aubyn, Constance Bart Plange, Samuel Asante Boateng, Ben Botwe, Theophilus Corquaye, Delese Mimi Darko, Nanaa Frempong, James Fripong, Martha Gwansa Lutterodt, Eric Karikari Boateng, Hudu Mogtari, Joseph Nyoagbe, Brenda Opong, Mercy Owusu-Asante, Seth Seaneke au Ghana ; Serges Amari, Charles Boguifo, Assane Coulibaly, Rachel Duncan, Dieneba Kone-Bamba, Guillaume Loukou, Mahama Ouattara, Anglade Malan, Christophe Rochigneux, Olivier Yayo en Côte d’Ivoire ; Youk Lin Taing et Didier Fontenille au Cambodge. Qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés.

5Des remerciements particuliers doivent être adressés à Pascal Millet, Jean-René Kiechel, Jean-François Corty, Luc Grislain, Tina Kauss, Jean-Marie Kindermans, Catherine Lacaze, Piero Olliaro, Jacques Pilloy, qui ont accepté de nous décrire le processus d’innovation de la combinaison artésunate-amodiaquine coordonné par MSF et la Fondation DNDi. Valérie Faillat Proux et François Bompart nous ont permis de visiter le site industriel de Sanofi-Maphar à Casablanca. Nos remerciements vont également à l’archiviste de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Reynald Erard, qui a facilité notre enquête pour étudier la trajectoire des médicaments à base d’artémisinine et à Bright Botwe, archiviste au Public Records and Archives Administration Department au Ghana, qui nous a aidés dans notre enquête au sein des archives du ministère de l’Industrie.

6Nous tenons également à remercier toutes les personnes travaillant pour des organisations internationales et des programmes de santé mondiale au Ghana et au Bénin, ainsi qu’à leurs sièges à Genève, qui ont pris le temps de répondre à nos questions et de contribuer à nos réflexions.

7Au-delà de nos unités de recherche, nous tenons à remercier nos collègues, femmes et hommes, chercheurs et universitaires qui ont nourri nos réflexions et nous ont soutenus dans ce travail de longue haleine. Sans pouvoir les citer tous, nous tenons à remercier en particulier Artadji Attoumane, Doris Bonnet, Alila Brossard Antonielli, Claire Beaudevin, Laurent Brutus, Andrea Butcher, Fanny Chabrol, Nitsan Chorev, Marilena Correa, Akosua Darkwah, Alice Desclaux, Dorothée Dussy, Fred Eboko, Marc Egrot, Jean-Paul Gaudillière, Bénédicte Gastineau, Nils Graber, Véronique Guienne, Rory Horner, Abou-Bakari Imorou, Koichi Kameda, Catherine Le Galès, Charlie Marquis, Andrew McDowell, Caroline Meier zu Biesen, Jean-Pierre Olivier de Sardan, Kris Peterson, Boris Petric, Laurent Pordié, Mathieu Quet, Charlie Marquis, Sandrine Musso¹, Christelle Rabier, Clémence Schantz, Kojo Senah, Marlee Tichenor, German Velasquez.

8Enfin, nous tenons à remercier les personnes suivantes pour leur implication dans la collecte des données. Elles ne sont pas auteures de l’ouvrage mais elles ont toutes largement contribué à la réalisation des études de terrain. Nous remercions pour leur implication dans la collecte de données qualitatives : Anani Agossou, Émilienne Anago, Moïse Djralah, Audrey Hémadou, et Aubierge Kpatinvoh au Bénin ; Emelia Agblevor, Eunice Ayimbila, feu Sandra Serwah Bredu², et Grace Kumi Kyeremeh, et William Sackey au Ghana ; Malinda To au Cambodge. Pour la collecte des données quantitatives, nous remercions Edwige Apetoh, Anani Agossou, Inès Boko, Ruth Boko, Moïse Djralah, Audrey Hemadou, Bernadette Kokoye, et Aubierge Kpatinvoh au Bénin ; William Sackey, Salomey Pomaah Adjani, Alberta Addo, Emmanuel Andam, Esther Appiah, Derrick Frimpong, Raymond Lamptey, Éric Nartey, et Ohene Sakyi au Ghana. Pour l’analyse des données, nous tenons à remercier pour la partie qualitative Eunice Ayimbila et Aubierge Kpatinvoh ; et pour la partie quantitative Hajar Ahachad, Edwige Apetoh, Georgia Damien, Arnaud Gbenou, Michael Addo Preko Ntiri, et Marina Tilly.