Chapitre 9. Les consommateurs de médias consacrés au sport, plutôt des hommes, jeunes et sportifs
p. 153-166
Texte intégral
1Plus de la moitié des personnes de 15 ans ou plus regardent du sport à la télévision et plus d’un quart lisent les pages sport des quotidiens régionaux.
2Les pratiquants sportifs sont les plus grands consommateurs de médias sportifs (retransmissions télévisées d’évènements sportifs, presse spécialisée...), tout particulièrement les pratiquants des sports les plus médiatisés (football, rugby, tennis, cyclisme, basket-ball).
3Plus généralement c’est surtout parmi les hommes que l’on trouve le plus d’amateurs de médias consacrés au sport. À l’inverse, les femmes, qu’elles soient pratiquantes ou non, les utilisent moins.
4On s’intéresse dans ce chapitre aux médias liés au sport (télévision, presse, magazines...) et à la fréquentation des spectacles sportifs. Il s’agit d’étudier comment l’intérêt pour le sport se manifeste autrement qu’à travers la pratique d’activités physiques ou sportives – à travers l’accès à l’information sportive (résultats, analyses...) et au plaisir d’assister à des rencontres sportives - puis de faire le lien avec la pratique sportive.
5Le sport est aujourd’hui présent dans tous les médias : télévision, radio, presse spécialisée ou non. En 2003, plus de la moitié des personnes de 15 ans ou plus ont regardé un match, une course, un tournoi retransmis à la télévision, 27 % Usent les pages sportives des quotidiens régionaux, 18 % un magazine de sport et 15 % un quotidien sportif (tableau 1).
I – Le sport à la télévision
6Regardée par quasiment l’ensemble de la population, la télévision a une place à part dans la consommation des médias et dans les loisirs des Français. Les personnes de 15 ans ou plus passent en moyenne 2 h 40 par jour devant la télévision chaque semaine. Le journal télévisé est le programme le plus regardé (presque chaque jour). Diffusé deux fois par jour sur la quasi-totalité des chaînes hertziennes, cela en fait une offre de programme très importante, d’autant que regarder le journal télévisé peut être un geste d’habitude, au moment des repas par exemple. Les feuilletons et les films, les jeux font aussi partie des émissions que l’on regarde plusieurs fois par semaine. Le sport se regarde quant à lui à raison d’environ une fois par semaine en moyenne.
Une faible part des programmes regardés
7Ces dernières années, l’offre télévisée en matière de retransmission d’événements sportifs a explosé sur les chaînes du câble et sur les six chaînes nationales. Ainsi, l’offre d’émissions sportives par les chaînes de télévision généralistes est passée de 232 heures en 1968 (soit 1 % des programmes diffusés sur les deux chaînes de l’époque) à 2 677 heures en 2004 (soit environ 5 % des programmes des six chaînes actuelles), sans compter l’offre des chaînes spécialisées1. La diffusion croissante des retransmissions télévisées a d’ailleurs eu un impact important sur le sport et sa pratique, en faisant évoluer les règles de certains sports : apparition du tie-break au tennis dans le but de raccourcir les matchs, changement de la règle du point marqué au volley-ball. Difficiles à analyser, les rapports entre sport et télévision oscillent entre un intérêt commercial évident et le développement du sport en assurant sa promotion. Bien que l’offre télévisée en matière de sports ait connu une croissance exponentielle, la consommation de programmes de sport est assez faible par rapport à l’ensemble des programmes regardés, même si elle a pu augmenter en 20 ans. Les retransmissions d’évènements sportifs, les magazines et documentaires sur le sport représentent environ 6 % des programmes (tableau 2).
Tableau 1 - Le sport dans les médias. En %
Médias | % | Médias consacrés au sport | % |
Regarde la télévision au moins une fois par semaine | 97 | Matches, courses, tournois ou autres | 52 |
Magazines ou documentaires sur le sport | 27 | ||
Ecoute la radio | 83 | Emissions ou retransmissions sportives à | 17 |
Quotidien régional | 62 | Pages sport d'un quotidien régional | 27 |
Quotidien national | 25 | Pages sport d’un quotidien national | 9 |
Livres | 68 | Livres sur le sport | 11 |
Quotidien sportif | 15 | ||
Magazine de sport | 18 |
Tableau 2 - Types de programmes regardés à la télévision
Types de programmes | Taux d’écoute (en %) | Rythme moyen | Poids dans les programmes regardés (en %) |
Journal télévisé | 90 | Tous les jours ou presque | 39 |
Films, feuilletons | 100 | 3 à 4 par semaine | 28 |
Jeux, variétés | 63 | 2 à 3 par semaine | 14. |
Magazines ou documentairessur d'autres sujets | 77 | 2 à 4 par mois | 9 |
Evènements sportifs, magazines | 1 par semaine | ||
ou documentaires sur le sport | 53 | 6 | |
Clips | 21 | 3 par mois | 4 |
Ensemble | 100 | 17 par semaine | 100 |
Le sport à la télévision est regardé par des hommes plutôt jeunes
8La moitié des personnes de 15 ans ou plus ont regardé des retransmissions de compétitions sportives (que ce soit régulièrement ou moins souvent), et environ un quart des magazines sur le sport (tableau 1). La quasi-totalité des personnes regardant des magazines sur le sport regardent aussi des retransmissions de compétitions sportives. Les hommes regardent beaucoup plus le sport à la télévision que les femmes. L’âge joue aussi, mais à un niveau moindre. Les hommes et les jeunes de 15 à 20 ans sont les plus grands consommateurs de programmes télévisés sportifs, mais l’intérêt diminue peu avec l’âge : 46 % des personnes de 70 ans ou plus regardent du sport à la télévision (tableau 3). Cela s’explique sans doute par le fait que les jeunes sont les plus sportifs. Après 70 ans ou plus, l’écoute est soutenue sans doute par le fait que les personnes âgées regardent simplement plus la télévision en général.
Les amateurs de sport télévisé regardent plus souvent d'autres programmes
9Les amateurs du sport télévisé (retransmissions, magazines sportifs...) regardent un peu plus les autres programmes que le reste des téléspectateurs, environ 18 programmes par semaine contre 15 chez les autres. En dehors des programmes sportifs qui expliquent une grande part de la différence, les habitudes de consommation sont un peu différentes, ils regardent aussi plus le journal télévisé et un peu plus tous les autres types de programmes, à l’exception des films et des feuilletons (tableau 4).
10Cependant, le nombre moyen d’heures passées devant la télévision est assez proche (environ 19 heures par semaine). Cela signifierait donc peut-être moins de temps consacré à chaque programme que les autres téléspectateurs. On peut émettre l’hypothèse que ces personnes ciblent plus les programmes qu’elles regardent.
II – Les autres médias : la presse, la radio
Les hommes sont aussi des plus grands consommateurs d'autres médias consacrés aux sports
11Comme pour le sport à la télévision, ce sont les hommes et les moins de 50 ans qui sont les plus grands consommateurs de médias consacrés au sport, avec quelques nuances.
12Près de la moitié des lecteurs de quotidiens régionaux lisent les articles sur le sport, ce qui représente une personne sur quatre. La moitié environ y lit aussi les articles culturels. Ce ne sont toutefois pas les mêmes lecteurs, car seul un lecteur de quotidien régional sur cinq lit à la fois les articles sur le sport et les articles sur la culture. On lit moins les pages sportives dans la presse nationale que dans la presse régionale, en revanche, on y lit plus souvent les pages culturelles. Les contenus différents entre la presse régionale et nationale expliquent sans doute une partie de cet écart. En effet, on trouve dans les quotidiens régionaux des articles sur les principaux évènements sportifs mais aussi les résultats de compétitions locales (coupes régionales, compétitions départementales) qui apparaissent rarement dans la presse nationale.
1315 % des personnes de 15 ans ou plus lisent un quotidien sportif (tableau 1) ; notons que le journal L’Équipe est le seul quotidien sportif français. La grande majorité des lecteurs du quotidien sportif sont des hommes (8 sur 10). Il s’agit d’un lectorat plutôt jeune (50 % de moins de 39 ans contre seulement 39 % chez ceux qui ne lisent pas de quotidien sportif) (tableau 3).
14Comme la télévision, écouter la radio est une activité quotidienne : 71 % des personnes de 15 ans ou plus l’allument au moins une fois tous les jours. Parmi elles, 70 % y écoutent les informations et 86 % principalement de la musique. Avec l’évolution importante du nombre de compétitions retransmises à la télévision et la présence du petit écran dans quasiment tous les foyers, la radio est devenue un média secondaire en matière de retransmission sportive : 17 % des personnes qui écoutent la radio y suivent des émissions ou des retransmissions sportives.
Forte complémentarité des différents médias sportifs
15Il y a un lien très fort entre les différents médias consacrés au sport. On peut ainsi y voir une forte recherche d’informations par les personnes intéressées (résultats, commentaires, analyses...). Ce n’est donc pas l’un ou l’autre média qui est privilégié, mais une combinaison de plusieurs. Ainsi, les personnes qui regardent du sport à la télévision lisent plus souvent le quotidien sportif, ou les articles sportifs dans les journaux que l’ensemble de la population. Parmi les lecteurs du quotidien sportif, les trois quarts lisent les articles des pages sport de la presse régionale (tableau 5), et plus de 9 sur 10 regardent du sport à la télévision. On retrouve cette même proportion de personnes regardant du sport à la télévision parmi les personnes intéressées par le sport dans les autres médias, alors que sur l’ensemble de la population, seulement un peu plus d’une personne sur deux en regarde.
16On trouvera ainsi dans la presse écrite le commentaire des compétitions sportives, compétitions qui auront pu être retransmises à la télévision. L’usage complémentaire de ces médias est naturellement rendu possible par le fait qu’on peut lire un quotidien à tout moment de la journée, tandis que les horaires et la durée des retransmissions télévisées de compétitions sportives ou les émissions plus généralement sont imposés.
III – Les évènements sportifs
Les spectateurs sont surtout des personnes de moins de 50 ans et des hommes
17En 2003, 29 % des personnes âgées de 15 ans ou plus ont assisté à un match, une course, un tournoi ou un autre événement sportif. L’intérêt pour les rencontres sportives in vivo est particulièrement marqué chez les hommes, plutôt jeunes : près de la moitié des 15-19 ans sont allés en voir une en 2003, contre 33 % des 30-49 ans (tableau 6). La moitié des personnes ayant assisté à un événement sportif en 2003 disposent d’un diplôme inférieur au bac ou n’ont aucun diplôme (hors lycéens). Cependant, il s’agit d’un effet de structure de la population : dans la population totale, 68 % des personnes ont un diplôme de niveau inférieur au bac ou ne sont pas diplômées. À caractéristique de sexe et d’âge identique, les personnes les moins diplômées assistent finalement moins à un événement sportif. Il semble donc que l’effet du niveau de diplôme soit le même en ce qui concerne les évènements sportifs qu’en ce qui concerne les autres sorties, à caractère plus culturel : cinéma, théâtre, visite de musée, etc.
Tableau 6 - Fréquentation d'évènements sportifs selon le sexe, l'âge, le niveau de diplôme. En %
Est allé voir au moins un événement sportif | Répartition | |
Sexe | ||
Homme | 38 | 63 |
Femme | 21 | 37 |
Age | ||
15 à 19 ans | 48 | 14 |
20 à 29 ans | 40 | 21 |
30 à 39 ans | 33 | 20 |
40 à 49 ans | 32 | 20 |
50 à 59 ans | 26 | 14 |
60 à 69 ans | 18 | 6 |
70 ans ou plus | 8 | 4 |
Niveau de diplôme | ||
Aucun | 15 | 8 |
Inférieur au bac | 27 | 42 |
Bac | 30 | 8 |
Supérieur au bac | 34 | 24 |
Etudiant, lycéen | 45 | 16 |
Ensemble/Total | 29 | 100 |
Pas de concurrence avec les sorties culturelles
18Parmi les personnes ayant assisté à un événement sportif, huit sur dix ont aussi fait des sorties culturelles au cours de l’année 2003, contre six personnes sur dix parmi celles qui ne se rendent jamais au stade ou autres lieux de rencontres sportives. Ainsi, parmi les amateurs de spectacles sportifs, 69 % sont allées au cinéma, 34 % ont visité un musée, 17 % ont vu un spectacle de danse contre respectivement 45 %, 28 % et 10 % des autres Français (graphique). Les écarts sont surtout marqués pour les sorties culturelles les plus répandues. Les sorties à l’opéra notamment qui concerne un public restreint ne sont pas liées au fait d’assister à des événements sportifs. Ainsi, une fois de plus on constate que ces différentes activités n’entrent pas en concurrence, quand bien même elles ne relèvent pas tout à fait des mêmes domaines (voir chapitre 8).
IV – Liens avec la pratique sportive
19On peut se demander si les pratiquants sportifs sont plus que les autres personnes consommateurs d’informations sportives et amateurs d’évènements sportifs, c’est-à-dire si les personnes qui pratiquent des APS ont un appétit plus grand que les autres pour les médias sportifs.
Les sportifs s'intéressent plus au sport dans les médias
20Les pratiquants sportifs semblent encore plus intéressés par le sport dans les médias que les autres Français. Parmi eux, on compte quatre fois plus de lecteurs de magazines sportifs et trois fois plus de lecteurs du quotidien sportif que chez les non-pratiquants. S’ils regardent globalement moins la télévision (17 heures par semaine contre 23 heures pour l’ensemble de la population), ils regardent plus le sport, mais moins les journaux télévisés. Comme les autres amateurs de sport dans les médias, ils cherchent aussi des informations ailleurs, dans une plus grande lecture de quotidiens, qu’ils soient régionaux, nationaux ou bien sportifs. Les pratiquants ont aussi plus tendance à aller voir des évènements sportifs : 36 % d’entre eux ont assisté à un match, une course, un tournoi sportif, contre 11 % des non-pratiquants. Les plus assidus sont encore plus nombreux à fréquenter les stades et autres lieux de rencontres sportives, et le phénomène est particulièrement accentué chez les femmes (tableau 7).
Tableau 7 - Fréquentation d'évènements sportifs selon la fréquence de la pratique sportive. En %
Champ : personnes de 15 ans ou plus.
Lecture : 36 % des pratiquants ont assisté à un spectacle sportif, dont 13 % des personnes qui pratiquent moins d'une fois par semaine.
Source : Insee, enquête « Participation culturelle et sportive », 2003.
Les femmes s'y intéressent moins que les hommes, même les pratiquantes
21Le plus fort intérêt des pratiquants pour le sport dans tous les supports médiatiques provient-il du fait que ce sont un peu plus souvent des hommes que des femmes ? Les tendances décrites ci-dessus s’observent en fait aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Mais l’écart entre les hommes et les femmes dans l’usage des médias liés au sport se réduit en fait peu au sein des pratiquants. Ainsi, que l’on se place dans la population des pratiquants ou non, la proportion d’hommes à regarder du sport à la télévision est environ deux fois plus importante que celles des femmes. Cet écart entre les hommes et les femmes est le plus important sur la lecture de quotidiens sportifs, avec 29 % de lecteurs parmi les hommes contre seulement 6 % de lectrices.
22Les écarts entre pratiquants sportifs et non-pratiquants sportifs sont plus faibles que les écarts constatés pour les hommes et les femmes, mais restent importants. Ainsi, même si les pratiquantes regardent plus le sport à la télévision que les autres femmes, Usent plus la presse sportive et vont plus souvent assister à des matches, des tournois, des courses ou autres événements sportifs, c’est sans commune mesure avec l’intérêt que portent les hommes au sport dans les médias. Cela nous permet de dire que l’intérêt dans les médias bien plus lié au fait d’être un homme qu’à la pratique sportive.
Les pratiquants des sports les plus médiatisés en sont les plus grands consommateurs
23Les journaux ont commencé à développer leurs pages consacrées au sport dès l’instant où ils se sont aperçus que cela augmentait leur lectorat. Notamment, dans les pays anglo-saxons, la publication des résultats des courses de chevaux et des combats de boxe entraînait une augmentation des ventes de la presse écrite2. Aujourd’hui, d’autres sports sont privilégiés dans les médias, notamment à la télévision, en premier lieu le football, mais aussi le rugby, le tennis, le cyclisme et le basket-ball, sports typiquement masculins. Ces cinq sports représentent plus de 63 % du temps d’antenne de l’ensemble des sports diffusés sur les 6 chaînes nationales3. Parmi les hommes, les disciplines pratiquées ont-elles alors un effet sur le penchant pour les médias sportifs ? Les pratiquants d’au moins un de ces cinq sports médiatisés (44 % de l’ensemble des personnes de 15 ans ou plus) sont ceux qui consomment le plus d’informations sportives dans les médias. Ainsi, ils regardent le plus d’épreuves sportives ou de magazines à la télévision. 62 % des pratiquants de ces sports regardent des émissions consacrées au sport à la télévision, contre 45 % pour les personnes ne pratiquant aucun de ces sports (tableau 9). Ils ont également une plus forte probabilité d’aller assister à un événement sportif.
24Les différences de comportement entre les pratiquants de ces sports médiatisés et les autres pratiquants proviennent principalement du fait que ce sont plus des hommes qui les pratiquent. Mais, même parmi les hommes, les pratiquants de football, de rugby ou d’autres sports collectifs, de tennis ou de vélo s’intéressent plus aux médias sportifs que les autres pratiquants. L’âge et le niveau de diplôme jouent aussi mais moins fortement.
Notes de bas de page
1 D’après le CSA.
2 Selon le rapport d'information no 319 du Sénat « Sports, argent, médias », 2003.
3 Selon sporeco. com, d'après le CSA.
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La pratique des activités physiques et sportives en France
Ce livre est cité par
- Roux, Frédéric. (2014) Sport, nature et développement durable. DOI: 10.4000/books.msha.3517
- Procher, Vivien. (2009) Agglomeration Effects and the Location of Foreign Direct Investment - Evidence from French First-Time Movers. SSRN Electronic Journal. DOI: 10.2139/ssrn.1375367
- Évrard, Barbara. Féménias, Damien. Bussi, Michel. (2010) La Côte d’Albâtre : usages et images d’une façade touristique oubliée. Sud-Ouest européen. DOI: 10.4000/soe.1490
- Lepillé, Romain. Evrard, Barbara. Bussi, Michel. Féménias, Damien. (2017) Formes de marche et immersions dans la nature : ressourcements et dépaysements dans les forêts urbaines. Loisir et Société / Society and Leisure, 40. DOI: 10.1080/07053436.2017.1282029
- Millet, A.. Abi Akle, A.. Legardeur, J.. (2020) INFLUENCE OF THE PRODUCT CONTEXT OF USE ON A HYBRID SPORT-HEALTH SEMANTICS. Proceedings of the Design Society: DESIGN Conference, 1. DOI: 10.1017/dsd.2020.67
Ce chapitre est cité par
- Filistrucchi, Lapo. Luini, Luigi. Mangani, Andrea. (2012) Banning Ads from Prime-Time State Television: Lessons from France. SSRN Electronic Journal. DOI: 10.2139/ssrn.2165452
La pratique des activités physiques et sportives en France
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