Chapitre 2. Les modalités de pratique
p. 45-58
Texte intégral
1Les deux tiers des sportifs pratiquent de façon entièrement autonome. Un tiers a au moins une activité physique ou sportive dans un cadre institutionnalisé (club, association, licence, cours). Mais ces deux types d’organisation sont complémentaires : les personnes inscrites en club ont aussi des pratiques non encadrées. Le degré d’institutionnalisation dépend fortement des disciplines. Les sports collectifs, les arts martiaux sont le plus institutionnalisés, la compétition y est très développée et le rythme par conséquent soutenu. Les amateurs de tennis, d’équitation, de sports mécaniques se partagent entre loisir et assiduité. La course à pied, le vélo, le roller ont lieu tout au long de l’année mais plus ou moins régulièrement, tandis que les sports nautiques, la montagne, le golf sont pratiqués principalement pendant les vacances.
2En 2003, 34 millions de personnes de 15 ans ou plus ont une activité physique ou sportive. Pratique autonome, adhésion à une association sportive, compétition, les modalités de pratique varient selon les APS pratiquées : les arts martiaux par exemple demandent un encadrement que l’on trouve le plus souvent dans une association ou un club sportif, les sports collectifs sont traditionnellement orientés vers la compétition, tandis que d’autres encore relèvent bien plus souvent du loisir comme le vélo, même s’il existe aussi des clubs et des compétitions. Nous nous interrogeons ici sur les liens entre le degré d’institutionnalisation des pratiques, la fréquence, le rythme et la nature des APS.
Pratique autonome, pratique institutionnalisée
3Un tiers des pratiquants de 15 ans ou plus a une pratique institutionnalisée au sens où au moins une de leurs APS se fait dans une association ou un club sportif, est assortie de cours ou d’entraînements ou de la détention d’une licence. Par ailleurs, 10 % des pratiquants ont participé à au moins une compétition officielle en 2003, ces derniers étant tous licenciés ou inscrits dans une association sportive (voir Définitions en annexe).
4A l’inverse, les deux tiers des pratiquants ont une pratique entièrement autonome, c’est-à-dire que pour aucune des APS qu’ils pratiquent, ils ne sont inscrits dans une association ni un club sportif, ni prennent des cours, ni possèdent de licence sportive, ni participent à des compétitions officielles (tableau 1).
Tableau 1 - Institutionnalisation et fréquence de la pratique sportive
Effectifs (en milliers) | En % des 15 ans ou plus | En % des pratiquants | |
Modalités de pratique | |||
Pratique autonome* | 22 382 | 47 | 66 |
Pratique institutionnalisée* | 11 700 | 24 | 34 |
association ou club sportif* | 9 758 | 20 | 29 |
licenciée* | 7 084 | 15 | 21 |
cours, entraînement* | 6 264 | 13 | 19 |
Compétition officielle* | 3 302 | 7 | 10 |
Fréquence de la pratique Au moins une fois par semaine (toutes activités confondues) | 25 209 | 53 | 74 |
Ensemble des pratiquants | 34 082 | 71 | 100 |
5Les pratiquants font en moyenne trois APS différentes, et un tiers d’entre eux en font une dans un cadre institutionnalisé. Cela explique que lorsque l’on considère l’ensemble des pratiques, les pratiques autonomes représentent 88 % des activités physiques et sportives et les pratiques institutionnalisées seulement 12 % (voir Méthodologie en annexe). De même, si 10 % des pratiquants font de la compétition, cette modalité ne concerne que 3 % des pratiques, car les compétiteurs ne sont pas exclusivement tournés vers les clubs sportifs et ont aussi des pratiques autonomes. On fait en général de la compétition dans une seule discipline - seuls 4 % des compétiteurs font de la compétition pour deux sports différents, rarement pour plus. Leur goût prononcé pour le sport et leur profil social favorisé se traduisent alors par une palette d’activités plus large que le reste des sportifs avec en moyenne six APS différentes ; mais les pratiques avec compétition n’en représentent qu’un sixième. Pratiques autonomes et pratiques institutionnalisées ne sont donc pas à opposer, elles sont au contraire souvent complémentaires (voir chapitre 7 et Les adolescents et le sport, 2004).
6L’importance relative des pratiques autonomes par rapport aux pratiques institutionnalisées provient en partie du fait qu’on inclut dans le champ de l’étude même des activités qui n’ont été pratiquées qu’une seule fois dans l’année. De plus, certaines APS s’éloignent parfois sensiblement de la conception traditionnelle qui associe sport et compétition à l’instar de la pêche ou la pétanque par exemple. Si l’on se restreint aux pratiques hebdomadaires, le poids de la pratique autonome diminue, tout en restant élevé (74 %), car les APS pratiquées très assidûment sont plus souvent institutionnalisées. À titre d’exemple, le football qui figure parmi les disciplines les plus institutionnalisées compte pourtant deux tiers de pratiquants autonomes. Et même parmi les personnes qui y jouent au moins une fois par semaine, 45 % le font en dehors de tout cadre institutionnel.
La pratique autonome domine dans quasiment toutes les APS
7Exception faite des arts martiaux et du rugby, la pratique autonome est le mode qui domine dans toutes les APS (graphique). Ainsi, on se passe d’encadrement pour un grand nombre de pratiques qui se limitent donc à la sphère privée : on pratique seul, en famille, entre amis, entre collègues... On peut en effet assez facilement pratiquer tout seul la natation, la course à pied, le footing, même à un rythme soutenu, d’où la faible institutionnalisation de ces pratiques (6 % à 7 %). Quand l’aspect détente ou loisir prédomine, on se tourne également moins vers un club ou une association que lorsque l’on souhaite faire de la compétition : le vélo, la randonnée, la pétanque, la pêche comptent également peu de pratiquants inscrits dans une association pour ces APS. Il est en de même pour des pratiques historiquement auto-organisées, nées de sports de rue, comme le roller et le skate (voir chapitre 7), ou encore pour des APS auxquelles on s’adonne principalement pendant les vacances ou à certaines périodes, telles le ski et le canoë.
8Les pratiquants autonomes sont présents dans toutes les APS. Il n’y a ainsi pas d’APS qui seraient propres aux personnes qui ont une pratique institutionnalisée. Mais les pratiquants autonomes sont surtout nombreux dans les APS qui se pratiquent plutôt de temps en temps tout au long de l’année ou pendant les vacances et qui ne nécessitent pas la prise de licence ni d’encadrement institutionnel : la natation, la plongée ; le vélo ; la pétanque, le billard ; la randonnée pédestre ou en montagne ; la chasse ; la pêche.
9À titre d’exemple, les deux tiers des personnes qui ont fait du vélo ont une pratique sportive entièrement autonome (et pour le vélo, et pour leurs autres APS), contre 51 % des pratiquants de course à pied, footing, athlétisme. C’est-à-dire que parmi les coureurs et les athlètes, la moitié sont en club (pour une de leurs APS), mais c’est rarement pour la course ou l’athlétisme.
Graphique - Modes de pratique par APS.En %
Champ : personnes de 15 ans ou plus pratiquant l'APS.
Lecture : parmi les pratiquants d'arts martiaux, 74 % font cette discipline dans un cadre institutionnalisé (8 % avec de la compétition, 66 % sans).
Source : Insee, Enquête « Participation culturelle et sportive », 2003.
Sports d'opposition et sports collectifs : plus institutionnalisés et plus de compétition
10Les sports d’opposition et les sports collectifs sont les APS les plus institutionnalisées. 74 % des adeptes d’arts martiaux, 55 % des rugbymen, 49 % des boxeurs et pratiquants d’autres sports de combat sont inscrits dans une association ou un club, possèdent une licence ou suivent des cours ou des entraînements (tableau 2). Mais c’est aussi le cas en gymnastique et en danse à hauteur de 45 % et du golf pour 40 % des joueurs.
11L’apprentissage de la technique, jalonné d’étapes, comme le passage des ceintures en judo, un entraînement régulier indispensable pour progresser ou entretenir sa forme, expliquent que ces disciplines soient plus souvent que les autres pratiquées dans un cadre institutionnel. Pour les sports collectifs, faire partie d’une association ou d’un club offre également plus de possibilités de trouver des partenaires et de participer à des rencontres.
Tableau 2 - APS le plus souvent institutionnalisées
% de pratiquants institutionnalisés (en club, en association, avec licence ou avec compétition) | Activités physiques et sportives |
> 50 % | 74 % arts martiaux |
40 à 50 % | 49 % sports de combat |
30 à 40 % | 32 % football |
20 à 30 % | 28 % musculation |
12Ce sont d’ailleurs les disciplines qui comptent aussi le plus de compétiteurs : 33 % des rugbymen ont participé à une compétition en 2003, 26 % des footballeurs1 et des golfeurs, 13 % des pratiquants d’autres sports collectifs, 12 % de tennismen, 8 % des pratiquants d’arts martiaux. Ces disciplines s’appuient sur un réseau fédéral très développé : les fédérations respectives sont celles qui délivrent le plus grand nombre de licences2. Toutefois, force est de constater que les taux d’adhésion à une association ou un club sportif, de licenciés et de cours sont peu élevés pour le football, le tennis, les arts martiaux, même s’ils sont au-dessus de la moyenne.
Des pratiques choisies pour la compétition ?
13Peut-on dire alors que c’est la discipline qui détermine le degré d’institutionnalisation ? Dans une certaine mesure, c’est le cas, puisqu’on peut difficilement s’initier ou pratiquer des arts martiaux sans encadrement, ou pratiquer un sport collectif « dans les règles » en dehors de structures institutionnelles. Les personnes qui souhaitent faire de la compétition se tournent moins massivement vers l’athlétisme ou la natation. Étant donné l’organisation actuelle du sport fédéral principalement tourné vers la compétition et le recrutement tôt des champions, les jeunes ont sans doute une gamme de choix plus large que les pratiquants d’âge plus avancés au moment d’opter pour un sport de compétition. Cependant, il apparaît que même les sports où la compétition est le plus présente – les sports collectifs en particulier - et a fortiori dans les disciplines moins compétitives, la compétition ne mobilise qu’une faible part des pratiquants. De plus, ce sont le plus souvent des hommes, jeunes et issus de milieux favorisés (voir chapitre 1).
L'institutionnalisation va de pair avec une pratique régulière
14Les arts martiaux sont les disciplines dont les pratiquants sont les plus assidus : 73 % s’y adonnent régulièrement tout au long de l’année et 82 % à raison d’au moins une fois par semaine (tableaux 6 et 7). La danse et la musculation comptent environ 60 % de pratiquants réguliers et autant qui en font au moins une fois par semaine. Le football, le rugby, le basket, le volley, le handball concentrent aussi plus de joueurs réguliers et hebdomadaires qu’en moyenne, de l’ordre de 40 à 50 %. La gymnastique fait également l’objet d’une pratique fréquente puisque 78 % des pratiquants s’y adonnent au moins une fois par semaine. Ainsi, les APS institutionnalisées sont pratiquées plus régulièrement que les autres.
15Le golf échappe toutefois à cette règle : bien que 40 % des joueurs de golf détiennent une licence ou fassent partie d’un club pour cette discipline, elle n’est pas pratiquée plus fréquemment que la moyenne - sans doute en raison de l’éloignement des parcours de golf et de leur nombre restreint par rapport à d’autres équipements sportifs. La moitié des pratiquants n’en fait que pendant les vacances ou à certaines périodes, les autres n’en font pas très fréquemment non plus. Le fort taux de licenciés de cette discipline provient du fait que la licence est exigée pour l’accès à un parcours quel qu’il soit. Il est donc naturel de voir que les personnes qui ont au moins une pratique institutionnalisée sont celles qui font du sport le plus fréquemment : 97 % d’entre elles en font au moins une fois par semaine quand on prend en compte l’ensemble de leurs pratiques. C’est moins souvent le cas des pratiquants autonomes parmi lesquels les sportifs occasionnels sont plus nombreux. Mais ils ne sont pas de reste car près de 60 % ont quand même une activité physique ou sportive une fois par semaine. Ainsi, globalement, plus des deux tiers des pratiquants sportifs ont une APS à hauteur d’une fois par semaine (tableau 3).
Tableau 5 - Répartition des pratiquants d'APS de vacances selon le niveau de vie. En %
Activités physiques et sportives | 1er quartile | 2éme quartile | 3éme quartile | 4ème quartile | Total |
Canoë, aviron, ski nautique | 11 | 21 | 27 | 40 | 100 |
Voile, planche à voile | 12 | 15 | 18 | 54 | 100 |
Golf | 13 | 20 | 13 | 54 | 100 |
Ski, surf | 13 | 19 | 24 | 45 | 100 |
Randonnée pédestre | 14 | 21 | 28 | 37 | 100 |
Randonnée en montagne | 15 | 18 | 30 | 38 | 100 |
Ten. de table, badminton, squash | 20 | 21 | 25 | 34 | 100 |
Pétanque, billard | 21 | 24 | 28 | 26 | 100 |
Pêche | 25 | 25 | 26 | 24 | 100 |
Ensemble des pratiquants | 21 | 24 | 26 | 29 | 100 |
Les pratiques les moins intensives appartiennent le plus souvent au temps des vacances
16Le ski, le canoë, le hockey et le patin à glace, la voile, la planche à voile, les activités de montagne (randonnée, escalade...) ont presque toujours lieu pendant les vacances ou à certaines périodes (74 % à 90 % des cas). Elles requièrent en effet un milieu particulier pour leur pratique (mer, montagne) ou bien elles correspondent à une saison spécifique (hiver, été) ; elles nécessitent souvent des déplacements, de sorte que peu de personnes peuvent s’y adonner toute l’année à moins d’habiter près des lieux de pratique. Les deux tiers des pratiquants s’y sont adonnés moins de douze fois dans l’année, mais ça a pu être au cours d’une semaine de pratique intensive (tableau 6). Il reste que ce sont des pratiques coûteuses qui mobilisent un public beaucoup plus aisé que la moyenne des pratiquants (voir chapitre 1). Le golf dont la moitié des pratiques se font pendant les vacances se rattache à ce groupe d’APS en raison du profil de ses adeptes plutôt aisés.
17La pétanque, la pêche, le tennis de table, le badminton appartiennent aussi plutôt au temps des vacances : dans la moitié des cas c’est aussi seulement pendant les vacances ou à certaines périodes et peu de fois dans l’année que l’on s’y adonne (tableau 7). Elles concernent néanmoins un public moins favorisé, et sont même plutôt des APS populaires.
Tennis, équitation, sports mécaniques, entre loisir et pratique assidue
18La pratique du tennis n’apparaît pas aussi nettement associée à une période particulière. Environ 30 % des tennismen pratiquent régulièrement tout au long de l’année, 30 % de temps en temps et 40 % à certaines périodes ou pendant les vacances, ce qui correspond peu ou prou à la moyenne (tableau 7). De même, la répartition selon le rythme de la pratique s’en écarte peu : 32 % des pratiquants y jouent au moins une fois par semaine, 27 % une à trois fois par mois, et 41 % moins d’une fois par mois. On trouve ici trois rythmes de pratique avec d’un côté des pratiquants réguliers, de l’autre les amateurs d’un loisir auquel on goûte en de rares occasions, et entre les deux des pratiquants modérés - plutôt des jeunes très sportifs pour lesquels le tennis est un sport secondaire.
19Le cas de la randonnée pédestre est similaire. Celui de la natation semblable, à cela près que plus de la moitié des personnes qui font de la natation ou de la plongée en font pendant les vacances ou à certaines périodes. Mais on ne peut qualifier ces activités de pratiques de vacances au même titre que le ski ou les sports nautiques, car les personnes qui pratiquent la natation en dehors des vacances en font à un rythme plus soutenu, une à trois fois par mois.
20On observe le même phénomène encore plus polarisé pour l’équitation et les sports mécaniques. Leurs pratiquants ont des comportements similaires en termes de rythme et fréquence de pratique. Ce sont des activités que l’on pratique soit peu de fois dans l’année, soit très souvent et alors régulièrement. Cela provient peut-être du fait que ces disciplines sont fortement instrumentées : les personnes qui y investissent en font alors « sérieusement », pour les autres c’est une activité exceptionnelle. Dans ces catégories d’APS se mêlent donc sans doute pratiques principales et pratiques très occasionnelles.
Course à pied, sports de combat, vélo, roller : tout au long de l'année plus ou moins régulièrement
21La course à pied, le footing et l’athlétisme, le vélo, les sports de combats sont aussi des sports qui ont lieu tout au long de l’année, mais la pratique régulière est un peu moins fréquente : elle concerne 30 % à 40 % des pratiquants. La moitié des coureurs et des athlètes déclare néanmoins s’adonner à leur sport au moins une fois par semaine. Pour le vélo et les sports de combat, les pratiquants hebdomadaires sont un peu moins nombreux, mais au total 80 % à 90 % en font au moins une fois par mois. Roller et skate se pratiquent également tout au long de l’année, mais de façon moins régulière. Un tiers des pratiquants en font une à trois fois par mois, mais seulement un quart s’y dédie plus d’une fois par semaine. À noter que les compétiteurs se retrouvent souvent dans ces APS qui s’inscrivent pour eux plutôt en second plan par rapport à leur sport principal.
Tableau 6 - Fréquence de pratique des APS. En %
Activités physiques et sportives | Au moins une fois par semaine | 1 à 3 fois par mois | Moins d'une fois par mois | Total |
Arts martiaux | 82 | 12 | 6 | 100 |
Gymnastique | 78 | 15 | 7 | 100 |
Musculation | 68 | 22 | 10 | 100 |
Danse | 55 | 23 | 22 | 100 |
Course à pied, footing, athlétisme | 51 | 29 | 20 | 100 |
Football | 50 | 25 | 25 | 100 |
Sports de combat | 48 | 39 | 13 | 100 |
Chasse | 46 | 36 | 18 | 100 |
Vélo | 43 | 34 | 23 | 100 |
Rugby | 41 | 27 | 32 | 100 |
Basket-ball, volley-ball, handball | 40 | 29 | 31 | 100 |
Equitation | 36 | 16 | 47 | 100 |
Moto, kart, automobile | 34 | 25 | 42 | 100 |
Golf | 33 | 17 | 50 | 100 |
Tennis | 32 | 27 | 41 | 100 |
Natation, plongée | 28 | 42 | 30 | 100 |
Randonnée pédestre | 27 | 32 | 41 | 100 |
Roller, skate | 26 | 34 | 39 | 100 |
Tennis de table, badminton, squash | 24 | 29 | 47 | 100 |
Pêche | 20 | 29 | 52 | 100 |
Pétanque, billard | 17 | 27 | 56 | 100 |
Voile, planche à voile | 11 | 23 | 66 | 100 |
Ski, surf | 10 | 12 | 78 | 100 |
Canoë, aviron, ski nautique | 10 | 11 | 79 | 100 |
Randonnée en montagne | 8 | 22 | 71 | 100 |
Patinage, hockey | 4 | 9 | 88 | 100 |
Tableau 7 - Période de pratique des APS. En %
Activités physiques et sportives | Régulièrement tout au long de l’année | De temps en temps tout au long de l’année | Seulement pendant les vacances ou à périodes | Total |
Arts martiaux | 73 | 12 | 15 | 100 |
Danse | 62 | 27 | 11 | 100 |
Musculation | 57 | 27 | 16 | 100 |
Football | 49 | 31 | 20 | 100 |
Course à pied, footing, athlétisme | 41 | 35 | 24 | 100 |
Basket-ball, volley-ball, handball | 40 | 29 | 31 | 100 |
Rugby | 39 | 25 | 36 | 100 |
Equitation | 39 | 19 | 42 | 100 |
Chasse | 38 | 18 | 44 | 100 |
Moto, kart, automobile | 36 | 33 | 31 | 100 |
Sports de combat | 34 | 31 | 34 | 100 |
Randonnée pédestre | 32 | 33 | 36 | 100 |
Tennis | 32 | 31 | 37 | 100 |
Golf | 32 | 18 | 50 | 100 |
Vélo | 31 | 39 | 31 | 100 |
Roller, skate | 25 | 39 | 36 | 100 |
Gymnastique | 25 | 39 | 36 | 100 |
Ten. de table, badminton, squash | 23 | 31 | 47 | 100 |
Pêche | 20 | 29 | 52 | 100 |
Natation, plongée | 19 | 27 | 54 | 100 |
Pétanque, billard | 10 | 32 | 58 | 100 |
Randonnée en montagne | 9 | 15 | 75 | 100 |
Voile, planche à voile | 8 | 12 | 80 | 100 |
Canoë, aviron, ski nautique | 8 | 10 | 82 | 100 |
Patinage, hockey | 2 | 25 | 74 | 100 |
Ski, surf | 1 | 8 | 90 | 100 |
Notes de bas de page
Auteur
Mission bases de données et informations statistiques, ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative
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Enquête 2000
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