Pour Tony Estanguet, ça coule de source
p. 91-95
Texte intégral
TOUT DE SUITE APRES LES JEUX OLYMPIQUES D’ATHÈNES EN 2004, JE ME SUIS POSÉ LA QUESTION DE POURSUIVRE OU NON MA CARRIÈRE
1Mais dès que la décision a été prise, quelques semaines après mon retour en France, je savais que toute ma préparation serait axée sur Pékin 2008, et ce, pendant quatre ans. J’ai seulement/décidé de placer des étapes intermédiaires, notamment les championnats du monde, en 2006, puisque je ne m'y étais jamais imposé jusque-là. Une fois le titre mondial en poche, en novembre 2006, j’ai basculé définitivement dans la préparation spécifique pour les JO. Pendant six mois, j’ai réfléchi à de nouveaux axes de travail – physique, technique ou tactique –, ainsi que sur mon matériel, puisque c'est aussi à cette époque que j’ai décidé d’élaborer un nouveau bateau. Autant de choix à long terme pour les Jeux, même si les Mondiaux 2007 figuraient au calendrier. J’ai déstructuré ma préparation et je me suis volontairement mis en difficulté, afin d’explorer de nouvelles pistes de travail. Je me disais : « Tu as tout gagné, les Jeux sont dans deux ans ; si tu restes dans cette dynamique sans te remettre en question, tu risques une grosse désillusion. » J’ai alors imaginé un scénario catastrophe aux Jeux où, pour espérer gagner, je devais impérativement aller chercher des « choses » qu’à l’époque je n’avais pas dans ma panoplie. Techniquement, à l’entraînement, j’essayais, par exemple, de me rapprocher le plus possible des piquets, au cas où j’aurais beaucoup de retard sur une manche...
2À l’époque, ma démarche me semblait la bonne. Je ne voulais pas rester dans le confort du titre mondial et simplement attendre les Jeux alors que je m’estimais déjà prêt en 2006. J’avais même l’impression que tout était trop facile. Je gagnais tout facilement et je me disais que ça ne durerait pas. Je ne voulais pas échouer aux Jeux et me reprocher de ne pas m’être remis en question. Si c’était à refaire, bien sûr, je ne prendrais pas une décision aussi radicale. À trop vouloir déstructurer et tout casser pour reconstruire, j’ai perdu mes points forts et j’ai eu du mal à revenir à mon meilleur niveau. C’était démesuré. Je me suis notamment perdu dans l’évolution du matériel, en étant trop pointilleux sur mon bateau. Je reproche encore parfois à l’encadrement de ne pas m’avoir assez alerté, de ne pas m’avoir dit que je faisais fausse route. Eux m’assurent qu’ils l’ont fait, mais j'étais aussi certainement trop impliqué et je n’ai peut-être pas voulu les écouter. Je savais que mon entourage n’était pas vraiment favorable à tous ces changements. Ils trouvaient ça dangereux. Pourtant, j'ai toujours eu pour habitude de ne jamais reproduire les mêmes schémas d’entraînement d’une olympiade à l’autre. Je ne note, par exemple, jamais mes séances. Et ce n’est pas parce qu’une option s’est avérée concluante avant un titre que je vais forcément la reproduire. J’ai besoin de faire en fonction de mes sensations du moment, des conditions... Et là, je pensais sincèrement que j'étais dans le vrai et que je ne pouvais pas devenir une troisième fois champion olympique dans la simplicité. D’ailleurs, paradoxalement, cette olympiade reste la meilleure pour moi, avec trois médailles aux championnats du monde (2005, 2006, 2007), et c’est ce qui a certainement contribué à ma sortie de route.
3Au deuxième semestre 2007, j’ai pourtant commencé à douter du bien-fondé de cette tactique. Je venais d’accumuler les difficultés pendant plus d’un an et demi et, surtout, c’est à cette époque que j’ai découvert le bassin de Pékin, lors des préolympiques d’août 2007 Je sortais des championnats d’Europe, où je n’avais pu faire mieux que vingt-quatrième, je n’étais pas spécialement en confiance et j’ai tout de suite senti que je ne serais pas à l’aise sur ce bassin. Rien ne se passait comme prévu. Mais je n'ai pas pour autant tiré la sonnette d’alarme à ce moment précis. Je me disais, au contraire, que je devais simplement prendre du temps, terminer l’année 2007 sur cette configuration et que je devrais, de toute façon, prendre des risques aux JO. Seul hic, je touchais énormément de portes, je sortais régulièrement et je ne pouvais pas continuer à perdre ainsi les courses à un an des Jeux. Un mois avant les Mondiaux 2007, je me suis enfin décidé à me remettre en question et à refaire du « Tony Estanguet », en assurant un minimum. Grâce à une navigation un peu plus sûre, un peu moins tendue dans les trajectoires, j’ai retrouvé, temporairement, mon niveau et réussi à décrocher une belle deuxième place, juste derrière mon éternel rival, Michal Martikán, qui plus est en ratant ma finale.
4C’est finalement là, je pense, que s’est jouée une partie de mon échec aux Jeux. Ce bon résultat aux Mondiaux était le pire qui pouvait m’arriver à l’époque. Il m’a conforté dans l'idée que je pouvais continuer à me mettre en difficulté, à essayer de nouvelles options, tout en continuant à progresser, puisque je venais de démontrer que j’étais capable de rivaliser avec les meilleurs sur cette échéance majeure. Je m’enflammais même en me disant que si tout se mettait en place sur une course, je pouvais mettre trois secondes à tout le monde ! Je me suis alors lancé de nouveaux défis, notamment sur le bateau, et je suis allé au bout de mon projet, en faisant une nouvelle fois fi des réserves de mon entourage.
JE SUIS RESTÉ DANS CETTE DYNAMIQUE JUSQU’AUX « PIGES », LES SÉLECTIONS FRANÇAISES, EN MARS 2008
5À Seo de Urgell. Ces « piges », je les ai subies cette année. L’enjeu était décuplé, car non seulement j'y jouais l'unique billet pour les Jeux – et donc la possibilité, pour moi, de prétendre à un troisième titre –, mais je me doutais également que, si j'étais sélectionné, j’avais une chance de devenir porte-drapeau. J’y ai laissé énormément de jus. Elles resteront une étape décisive... dans mon échec. Les précédentes années, j'étais ressorti grandi des « piges ». Compte tenu de la concurrence en France, on ressort normalement consolidé, conforté, d’une victoire aux « piges ». Là, au contraire, j’ai lutté tout au long de ces sélections. Tout le monde disait que c’était une évidence, que j’irais aux Jeux sans aucun problème. Or, moi, je sentais le piège et, pour la première fois, j’avais plus à y perdre qu’à y gagner. J’avais l’impression que tout le monde attendait que j’échoue. Du coup, je me suis isolé, je n’ai pas très bien navigué et je suis ressorti affaibli de ces sélections, en manque de confiance. J’ai mis du temps à m’en remettre. Martikân, lui, avait son billet en poche depuis 2007. Si j’avais pu être sélectionné après les Mondiaux... D’un autre côté, je suis incapable de dire aujourd’hui si l’issue aurait été différente. En revanche, je sais que j’ai dû fournir un effort incroyable pour revenir dans la course après ces « piges », alors que fin 2007, j’étais vraiment dans le coup.
6Ma désignation comme porte-drapeau de la délégation française m’est tombée dessus, moins d’un mois après les « piges ». Cette fonction, j’en rêvais depuis 2004, à titre personnel, mais aussi pour la reconnaissance qu’elle pouvait apporter à ma discipline. Quand j’ai été désigné, j’ai ressenti une forme de soulagement, et de fierté également. Mais il est vrai que, le contexte très particulier dans lequel la cérémonie s’est déroulée, avec la tension due aux questions des droits de l’homme, du boycott... cela a rajouté des contraintes par rapport à ce statut et a eu une incidence dans ma préparation. Beaucoup m’ont d’ailleurs dit que la fonction n’était pas compatible avec la quête d’un titre olympique. Je ne serai pas aussi catégorique. Si je l’avais mieux appréhendé, je pense, avec le recul, que c’était jouable. Mais toujours dans la même logique, je me suis dit que le meilleur moyen pour me mettre en difficulté était de m’investir pleinement dans cette fonction de porte-drapeau. Et qu’avec cette pression supplémentaire, je serais obligé d’être bon pour m’en sortir. À force de vouloir rajouter des difficultés aux difficultés, je pense que je me suis noyé. Mais je ne regrette rien. J’ai fait consciemment tous ces choix et, si cela n’a pas marché, je ne peux que m’en prendre à moi-même. D’autant que j’ai toujours été placé dans d’excellentes conditions, professionnellement parlant. Depuis 2001, je suis professeur de sport et je suis détaché à 100 % pour le canoë. Je n’ai donc aucune excuse de ce côté-là.
7Après avoir été désigné comme porte-drapeau, je me suis replongé dans ma préparation. Mais le début de saison s’est avéré catastrophique. J’avais la tête ailleurs, j’étais énormément sollicité et mon entourage n’a pas osé me remettre à ma place. Je le comprends, après coup, car il est très difficile de parler à un double champion olympique, qui plus est porte-drapeau, et qui s’est lancé un défi incroyable. Tout le monde a voulu me rassurer en me disant que je ne devais pas m’inquiéter, que je connaissais les Jeux olympiques et que ça se passerait bien pour moi. Pourtant, je sentais que je n’étais pas à mon niveau, que j’étais « à côté de la plaque ». Mais j’ai voulu y croire. Je me disais moi aussi que les Jeux, je savais faire, et que si je m’accrochais, j’y arriverais.
8Au début du mois de juin, pourtant, j’ai commencé à douter à nouveau du bien-fondé de ma démarche et j’ai tout remis à plat. À l’époque, je n'étais pas monté une seule fois de la saison sur un podium, je venais de prendre une « déculottée » en Slovaquie par Martikân, et, en termes de confiance, je ne pouvais pas continuer dans cette voie. Je suis revenu vers plus de simplicité et j’ai gagné deux courses internationales, à Prague et à Seo de Urgell, sans pour autant bien naviguer.
9Lorsque je suis arrivé en Chine, fin juillet, j’étais partagé entre deux sentiments : j’y croyais encore, tout en sentant que cela allait être vraiment difficile. Je n’avais jamais abordé de Jeux olympiques dans un tel état d’esprit. D’autant plus que les trois semaines de stage sur le bassin de Shunyi m’ont conforté dans l’idée que, non, décidément, celui-ci ne me convenait pas. Trois fois sur quatre, je touchais ou je sortais. Et je n’ai jamais vraiment réussi à maîtriser cette fameuse porte 3 qui allait me causer bien des soucis plus tard. Sur le bassin d’Athènes, en 2004, je n’étais pas non plus très à l’aise, mais j’avais réussi, à l’époque, à réduire les problèmes petit à petit. Alors que je n’ai jamais réussi à appliquer ma navigation sur ce bassin pékinois. Et je pense que si, un jour, une épreuve de Coupe du monde est organisée là-bas, je connaîtrai les mêmes difficultés. Les heures qui ont précédé la cérémonie d’ouverture des JO, je me suis forcément posé beaucoup de questions quant à la manière dont j’allais gérer et assumer ma fonction de porte-drapeau. Lors de mes deux premières olympiades, j’avais juste l’impression d’aller à un spectacle. Alors que, cette fois-ci, j'étais l’un des acteurs principaux, côté français ! J’y ai certainement laissé beaucoup d’énergie. Mais je ne regrette rien. Le lendemain matin, j’étais même serein, apaisé, content d’avoir vécu une telle expérience. Mais j’avais bien conscience que les Jeux n’étaient pas finis. Au petit-déjeuner, je me suis dit : « On ne pourra jamais t’enlever ce que tu viens de faire, mais il te reste encore une grande chose à accomplir. » C’est à ce moment-là que j’ai aussi pris connaissance, sur papier, du futur parcours de l'épreuve. J’étais presque soulagé, car il me semblait alors moins difficile que prévu, par rapport à tout ce que nous avions travaillé à l’entraînement. Quelques difficultés avaient été supprimées, notamment en finale. Et là, je me suis dit : « Après tout, ça va peut-être le faire ! »
10Lorsque les qualifications ont débuté, la pression était là. Comme en 2000 et en 2004. Je ne me suis pas vraiment inquiété. En revanche, contrairement aux précédentes éditions, je savais que j’étais au pied du mur et je me demandais si j’allais finir premier ou dixième ! Une situation inhabituelle pour moi. Je sentais que je jouais vraiment gros et que je pouvais complètement passer à côté, notamment sur ce bassin. Et qu’à la moindre erreur, c’était fini. Je n’ai pas eu tort de penser ça, vu ce qui s’est passé ensuite. À l’issue des qualifications, pourtant, malgré un résultat en demi-teinte, je me disais que tout restait possible. Je croyais encore que je pouvais aller chercher ce troisième titre olympique.
11Les qualifications ont fini assez tard. J’ai quitté le site vers 19 h 30. Le temps de rentrer, de manger, de regarder la vidéo de mes descentes, je suis allé me coucher sur les coups de 23 heures Le lendemain matin, pour les demi-finales, j’avais de très bonnes sensations. Seul bémol : en raison de mon mauvais classement suite aux qualifications, je n’ai pu assister qu’à une seule descente, alors que d’habitude, vu que je pars dans les derniers, je peux prendre le temps d’analyser une dernière fois le parcours, repérer les éventuelles difficultés en fonction des erreurs, ou non, des autres concurrents. Là, vu que le seul céiste en lice que j’ai pu voir est sorti au bout de quelques portes, je n’ai eu que très peu d’indications, tout en ayant la confirmation que ça allait être très dur. Dans Faire de départ, je me sentais pourtant étonnamment bien et le début de course s’est déroulé comme je l’espérais. Mais, dès la porte 3, j’ai commis une erreur et tout s’est écroulé. C’était fini. Comme prévu, finalement. J’ai lutté contre tous ces obstacles que je n’ai pas vraiment voulu voir. Et la sanction est tombée, comme une évidence. Je n’ai jamais réussi à maîtriser ce bassin et j’ai été éliminé sans avoir pu réellement défendre mes chances. Malgré ma déception, je me suis immédiatement dit que ce résultat était somme toute logique. Il y avait encore une infime chance de me qualifier pour la finale, mais au fond de moi, je savais que je n’irais pas. Vu ma prestation, même en cas de qualification, je n'avais plus aucune chance de prétendre au titre, ni même à une médaille. Une fois les formalités terminées et les sollicitations de la presse – toujours difficiles dans un cas comme celui-là – passées, je suis allé voir les supporteurs dans les tribunes, avant même de faire un débriefing avec l’encadrement. Surtout qu’il y avait encore la course en kayak de Fabien Lefèvre, quelques minutes plus tard, et je ne voulais pas que tout le monde s’apitoie sur mon sort. Beaucoup de gens pensaient que la déception serait insoutenable. Bien sûr, ce résultat était difficile à vivre, je ne le cache pas, mais en tant que sportif de haut niveau, je savais qu’un tel scénario était possible. Même sur mes grandes victoires, à Sydney, Athènes ou Prague, je me disais, au fond de moi, que le succès n’est jamais assuré et que je pouvais très bien perdre. Sauf que c était la première fois que je passais à côté d’un gros objectif. Mais j’ai trouvé, assez facilement et rapidement, des explications à cet échec. Et le soir même, je suis passé à autre chose, en allant voir les épreuves d’escrime. J’ai, bien sûr, regardé la finale, le lendemain, au milieu des spectateurs. Vu le scénario de la course, je pense encore, avec le recul, qu’il y aurait eu de la place pour moi... à mon meilleur niveau. Jamais une finale ne s’était gagnée avec une telle prestation, avec notamment de nombreuses erreurs de la part de Martikán, qui était pourtant au-dessus du lot. Il aurait pu faire mieux, beaucoup mieux. Tout comme moi d’ailleurs !
AU FINAL, J’AI PEU DE REGRETS ET, SURTOUT, JE N’AI AUCUNE AMERTUME
12Je suis certes allé dans le mur, mais, au moins, j’y suis allé tout seul. Et j’ai vécu pleinement toute cette aventure. D’ailleurs, je retire beaucoup de bénéfices de cette troisième olympiade. L’expérience que j’ai vécue tout au long de l’année, la désignation comme porte-drapeau, la « claque » que j’ai reçue, le fait, également, d’avoir pu assister à un grand nombre d'épreuves après mon échec... Ces JO m’auront marqué. Quasiment autant, si ce n’est même plus, que les précédentes éditions. Les deux premières fois, mes victoires ont été presque trop faciles et j’en ai oublié la difficulté de l’aventure. Cette fois-ci, j’en ai bave pendant un an, mais je me suis accroché, j’ai dû gérer des choses compliquées et, en termes d’expérience, j’en suis sorti grandi. Et surtout, riche d’enseignements. Par exemple, nous n’avons pas partagé, au sein de l’équipe de France de canoë-kayak, la même aventure humaine que par le passé. L’enjeu nous a tous aspirés dans le mauvais sens. Et, à titre personnel, j’ai certainement mal appréhendé l’évènement, notamment parce que j’étais à la fois porte-drapeau et athlète. Nous avons tous un peu sous-estimé l’impact qu’aurait mon statut dans cette équipe. Mais mon échec ne doit pas se résumer à une simple défaillance mentale, même si, au vu de ce qui s’est passé tout au long de ces Jeux olympiques dans le clan français, il me paraît évident que nous devons revoir l’approche mentale des grands évènements et mettre en place une vraie dynamique de groupe au sein de l’équipe de France olympique.
13Mais c’est aussi techniquement que je n’ai pas su m’adapter, notamment en raison des difficultés que j’ai rencontrées sur ce bassin, et c’est ce que je retiens aujourd’hui. Il est quand même étonnant qu’avec ma grande expérience des Jeux olympiques, j’aie pu me laisser déstabiliser à ce point. C’est bien la preuve que chaque aventure olympique est différente. Et si je décide de repartir jusqu’à Londres 2012, je saurai m’en souvenir.
TONY ESTANGUET EN BREF
Canoë-Kayak
Né le 6 mai 1978, à Pau (64)
Taille : 1,86 m
Poids : 75 kg
Entraîneur : Yves NARDUZZI
Profession : professeur de sport - MSS/Secrétariat d’État aux Sports
Club : Pau (64)
Jeux olympiques :
champion olympique en 2000 et 2004
Championnats du monde :
champion du monde par équipes et vice-champion du monde individuel en 2007 et 2005.
champion du monde individuel en 2006
vice-champion du monde individuel en 2003
Championnats d’Europe :
champion d’Europe individuel en 2006 et 2000
Résultats significatifs 2007 et 2008 :
Vice-champion du monde 2007 au Brésil
Vainqueur de la Coupe du monde de Prague en juin 2008
Auteur
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Pékin 2008
Regards croisés sur la performance sportive olympique et paralympique
Institut national du sport et de l'éducation physique (dir.)
2008
La pratique des activités physiques et sportives en France
Enquête 2003 – Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative Ministère de la Culture et de la Communication, Insee
Hervé Canneva (dir.)
2005
Les pratiques sportives en France
Enquête 2000
Ministère de la Jeunesse des Sports et de la Vie associative, Institut national du sport et de l'éducation physique, Patrick Mignon et al. (dir.)
2002
Données et études statistiques : jeunesse, sports et vie associative
Recueil des travaux et publications de la Mission statistique de 1999 à 2004
Sandrine Bouffin, Myriam Claval et Hervé Savy (dir.)
2006