1741

1Nouveaux Traités de Trigonométrie rectiligne et sphérique, avec un traité de Gnomonique, Paris, Hippolyte-Louis Guérin & Jacques Guérin, in-quarto [XII-118 pages] + [119 pages, 17 planches].

1746

2Essai sur les probabilités de la durée de la vie humaine, d’où l’on déduit la manière de déterminer les Rentes viagères, tant simples qu’en Tontines ; Précédé d’une courte explication sur les Rentes à Terme ou Annuités, et accompagné d’un grand nombre de Tables, Paris, Guérin frères, in-quarto, [VIII-132 pages + 22 Tables].

3Objections faites à M. Deparcieux, des Académies royales des sciences de Paris et de Berlin, sur son Livre des Probabilités de la durée de la vie humaine ; avec les réponses à ces objections, Paris, Guérin frères, in-quarto, 16 pages.

1752

4« Mémoire sur la manière de tracer mécaniquement la courbure qu’on doit donner aux ondes, dans les machines pour mouvoir les leviers ou les balanciers, au lieu des ovales qu’on a substituées aux manivelles en plusieurs endroits », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1747, Paris, Imprimerie royale, p. 243-258.

5« Description d’un Niveau », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1747, Paris, Imprimerie royale, p. 313-322.

1754

6“Mémoire sur la Conduite des Eaux », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1750, Paris, Imprimerie royale, p. 39-54.

1759

7« Mémoire dans lequel on démontre que l’eau d’une chûte destinée à faire mouvoir quelque machine, moulin ou autre, peut toujours produire beaucoup plus d’effet en agissant par son poids qu’en agissant par son choc et que les roues à pots qui tournent lentement produisent plus d’effet que celles qui tournent vite, relativement aux chûtes et aux dépenses », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1754, Paris, Imprimerie royale, p. 603-615.

8« Mémoire sur une expérience qui montre qu’à dépense égale, plus une roue à auges tourne lentement, plus elle fait d’effet », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1754, Paris, Imprimerie royale, p. 671-679.

1760

9Addition à l’Essai sur les probabilités de la durée de la vie humaine. Contenant trois Tables qui montrent comment une Rente viagère doit croître ou augmenter si, au lieu de recevoir la Rente à la fin de chaque année, le Rentier la laisse comme fonds afin d’avoir une augmentation proportionnée à ce fonds et à l’âge où il arrive d’année en année ; avec quelques Listes ou Ordres de mortalité du genre humain, Paris, chez H.L. Guérin et L.F. Delatour, in-quarto, [29 pages + 4 Tables].

1763

10Mémoire lu à l’Assemblée Publique de l’Académie royale des sciences le Samedi 13 novembre 1762, par M. Deparcieux, de la même Académie sur la possibilité d’amener à Paris, à la même hauteur à laquelle arrivent les eaux d’Arcueil, mille à douze cents pouces d’Eau, belle et de bonne qualité, par un chemin facile et par un seul canal ou aqueduc, Paris, Imprimerie royale, in-quarto, 60 pages, carte.

1764

11« Description d’un nouveau piston, par le moyen duquel les frottemens sont considérablement diminués et les cuirs rendus d’autant plus durables », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1762, Paris, Imprimerie royale, p. 1-10.

12“Mémoire sur la possibilité d’amener à Paris, à la même hauteur à laquelle arrivent les eaux d’Arcueil, mille à douze cents pouces d’Eau, belle et de bonne qualité, par un chemin facile et par un seul canal ou aqueduc », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1762, Paris, Imprimerie royale, p. 337-391 (plus une carte du sud de la Région parisienne).

13« Addition dans laquelle on fait voir que les eaux de toutes les petites rivières qui composent la Seine et autres grandes rivières, ont le goût de marais que l’on trouve à l’eau de l’Yvette », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1762, Paris, Imprimerie royale, p. 392-402.

1765

14« Mémoire dans lequel on prouve que les aubes des roues mues par les courants des grandes rivières feroient beaucoup plus d’effet si elles étoient inclinées aux rayons, qu’elles ne font étant appliquées contre les rayons mêmes, comme elles le sont aux moulins pendants et aux moulins sur bateaux qui sont sur les rivières de Seine, de Marne, de Loire etc. », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1759, Paris, Imprimerie royale, p. 288-300.

1766

15“Mémoire sur le Tirage des Chevaux », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1760, Paris, Imprimerie royale, p. 263-274.

16Mémoire sur le projet d’amener à Paris la rivière d’Yvette, dans lequel on constate que cette eau est très salubre et de la meilleure qualité, suivant les expériences faites par les Commissaires de la Faculté de Médecine, par M. Deparcieux, Paris, Imprimerie royale, in-quarto, 63 pages.

1767

17« Mémoire sur les inondations de la Seine à Paris », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1764, Paris, Imprimerie royale, p. 457-487.

18Analyses comparées des eaux de l’Yvette, de Seine, d’Arcueil, de Ville-d’Avray, de Sainte-Reine et de Bristol, imprimées à la suite du second mémoire sur le projet d’amener à Paris la rivière d’Yvette, lu à l’assemblée publique de l’Académie royale des sciences, le Mercredi 12 novembre 1766, par M. Deparcieux, Paris, Imprimerie royale, in-quarto, 50 pages.

1768

19Troisième mémoire sur le projet d’amener l’Yvette à Paris, lu dans les assemblées particulières de l’Académie des sciences de l’année 1767, par M. Deparcieux, Paris, Imprimerie royale, in-octavo, 63 pages.

1769

20« Second mémoire sur le projet d’amener à Paris la rivière d’Yvette, dans lequel on constate que cette eau est très salubre et de la meilleure qualité, suivant les expériences faites par les Commissaires de la Faculté de Médecine », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1766, Paris, Imprimerie royale, p. 149-182.

1770

21« Mémoire sur le froid de l’Hiver 1767 à 1768, sur la débâcle des glaces et sur un moyen propre à en rendre les suites moins fâcheuses », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1768, Paris, Imprimerie royale, p. 54-82.

22« Mémoire sur un moyen de se garantir de la puanteur des puisards quand on est contraint d’en faire dans le voisinage des maisons », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1767, Paris, Imprimerie royale, p. 133-136.

23« Troisième Mémoire sur le projet d’amener l’Yvette à Paris, lu dans les assemblées particulières de l’Académie des sciences », Histoire de l’Académie Royale des Sciences. Année 1767, Paris, Imprimerie royale, p. 1-43.

1776

24Projet d’amener à Paris la rivière d’Yvette, par feu Antoine Deparcieux, des Académies royales des sciences de France, de Suède et de Prusse, de la Société royale des sciences de Montpellier, des Académies royales de Lyon, de Metz et d’Amiens, et Censeur Royal. Nouvelle Edition mise en ordre et publiée par Antoine Deparcieux, petit-neveu de l’auteur, Avocat en Parlement, Professeur de Mathématiques et de Physique expérimentale, suivie d’un mémoire de M. Peronnet sur les moyens de conduire à Paris une partie des rivières de l’Yvette et de la Bièvre, Paris, chez Claude-Antoine Jombert fils aîné, Quai des Augustins, in-quarto, [XXXVIII+161 pages+une Carte].