Remerciements
p. 5-14
Texte intégral
Au terme de la rédaction de cet ouvrage, nous tenons à remercier toutes les personnes et institutions qui ont permis de mener à bien l’enquête Virage. Cette recherche n’aurait pu exister sans l’investissement d’un large collectif de travail et de nombreux soutiens.
1En premier lieu, nous remercions vivement les femmes et les hommes qui, en acceptant de répondre à notre questionnaire, ont contribué au développement des connaissances sur les violences de genre. Les personnes enquêtées nous ont accordé leur confiance, leur temps, leur histoire et leur intimité. Répondre à une telle enquête, sans aucune obligation ni contrepartie financière, avec juste la volonté de faire avancer la recherche, est aussi un engagement citoyen que nous saluons.
2Notre gratitude va aussi aux 107 enquêtrices et enquêteurs qui ont eu à cœur de recueillir l’histoire de vie des enquêté·e·s avec tact et précision et de les accompagner quand cela était nécessaire vers les structures d’aide aux victimes, cela pendant les neuf mois de la collecte. Merci également à l’équipe encadrante de l’Institut de sondage MV2, en particulier à sa responsable Claire Chivot, qui a su organiser avec efficacité le travail de l’institut en accord avec nos nombreuses exigences de qualité et de calendrier. Nos remerciements vont aussi à l’équipe informatique, et spécialement à Jean-Séverin Levent, qui pendant près d’un an, a effectué un travail considérable avec les programmeurs pour informatiser et tester le questionnaire. Nous gardons du travail préparatoire et de la collecte le souvenir d’une période de travail intense marquée par la volonté de chacun·e de « faire équipe ».
3En amont de la réalisation de l’enquête, un long travail de constitution du budget a été nécessaire. L’équipe de recherche a répondu à de nombreux appels d’offres ; avec le soutien de la directrice de l’Ined de l’époque, Chantal Cases, elle a également sollicité directement les administrations et les cabinets ministériels. Nous avons rencontré de nombreuses interlocutrices et interlocuteurs, que nous remercions pour leur implication durable, puisqu’ils et elles ont généralement assuré la fonction de représentant·e·s de leurs institutions respectives au sein du comité d’orientation de l’enquête.
4Chronologiquement, Roselyne Bachelot, ministre en charge de la Santé, a accordé sur la fin de son mandat le tout premier financement. Najat Vallaud-Belkacem, qui fut ministre des Droits des femmes, puis de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, a eu dans ces deux fonctions successives, un rôle déterminant. Au sein de son cabinet, Jérôme Teillard, directeur de cabinet adjoint et Sophie Buffeteau, conseillère en charge de l’évaluation, de la santé et des études d’impact, ont été des interlocuteurs précieux. Agnès Netter, cheffe de la mission de la parité et de la lutte contre les discriminations au ministère de la Recherche et Eléonora Maria-Sana, dans son service, ont été des soutiens indéfectibles. Au sein du service aux Droits des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes, chargé de la mise en œuvre de cet engagement ministériel, Stéphanie Seydoux, cheffe de ce service et Emmanuelle Latour son adjointe, ont su résoudre les difficultés administratives de l’attribution du budget, puis Aurélie Latourès et Charlotte Groppo ont assuré le suivi ultérieur de ce dossier complexe. La Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des humains (Miprof) nouvellement créée (en 2013) a, en la personne d’Ernestine Ronai, sa responsable, et de son adjointe Sophie Simon, aussi fortement soutenu nos demandes. François Clanché, chef du service statistique du ministère de l’Intérieur, qui venait d’être créé, et Dominique Simon-Peirano, chargée de la lutte contre les violences intrafamiliales et contre les violences faites aux femmes, au sein du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, nous ont accompagnées dans nos démarches auprès du ministère de l’Intérieur.
5Diverses administrations ou institutions publiques ont encore été sollicitées. Nous y avons reçu un accueil très positif, en raison notamment de la satisfaction qu’avait laissé le travail accompli par l’équipe de l’enquête Enveff. Auprès de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives, nous avons bénéficié de l’appui de Béatrice Cœurjoly, Florence Lafay-Dufour et Patricia Coursault. À la Caisse nationale des affaires familiales, Sandrine Dauphin et Clémence Helfter ont été nos interlocutrices. Lucile Bertin et Christine Guillemaut à l’Observatoire de l’égalité femmes-hommes de la Ville de Paris nous ont aidées à constituer le dossier à présenter au conseil de Paris. Aurélie Latourès, au Centre Hubertine-Auclert (centre francilien pour l’égalité femmes-hommes) a transmis notre demande aux conseillers régionaux franciliens qui ont unanimement voté le soutien financier de l’enquête, au-delà des appartenances partisanes. Martin Clément et Sophie Latraverse ont été nos interlocuteurs auprès de Jacques Toubon, Défenseur des Droits.
6Nous avons répondu aux appels d’offres publiés par diverses institutions de recherche. Deux d’entre elles ont considéré notre projet comme recevable pour évaluation, au regard de l’importance du sujet traité. Nous remercions l’Agence nationale de recherche sur le Sida et l’Institut national pour la prévention et l’éducation à la santé (devenu Santé publique France) d’avoir sélectionné notre projet.
7L’association des départements de France a permis la mise en contact avec les services en charge de la lutte contre les violences dans les conseils départementaux et nous remercions leurs chargées de missions Égalité femmes-hommes, spécialement Catherine Boyer pour le conseil départemental de l’Essonne, Anne-Marie Poulain pour le conseil départemental de la Somme, Geneviève Couraud pour le conseil départemental des Bouches-du-Rhône, Françoise Daphnis pour le conseil départemental du Val-de-Marne, Carole Barbelane-Biais pour le conseil départemental de Seine-Saint-Denis.
8Enfin, la Mutualité française, seul financeur de droit privé, a soutenu le projet.
9Les associations féministes de lutte contre les violences et d’aide aux victimes ont joué un rôle important en apportant leur appui à la recherche de financement. Elles se sont toujours mobilisées quand nous les avons sollicitées pour attirer l’attention des financeurs, en particulier des ministères, sur l’importance de la production de statistiques sur les violences. Les associations les plus directement centrées sur l’accompagnement des victimes ont été sollicitées pour rejoindre le comité d’orientation de l’enquête : la Fédération nationale solidarité femmes qui gère le numéro vert 3919, représentée par Maryvonne Bin Heng et Christine Clamens, Femmes solidaires représentée par Catherine Eudeline, le Centre national d’information des femmes et des familles dirigé par Annie Guilberteau, le Collectif féministe contre le viol qui gère le numéro vert 0800 05 95 95, représenté par Marie-France Casalis, Femmes pour le dire, femmes pour agir représentée par la regrettée Maudy Piot, la Fédération France Victimes (anciennement l’Inavem), qui gère le numéro vert 116 006, représentée par Olivia Mons, Élu·e·s contre les violences faites aux femmes, représentée par Geneviève Couraud, le Mouvement français pour le planning familial, représenté par Carine Favier et Morgan Hervo.
10Ces associations d’aide aux victimes ont également été partenaires pour la mise en œuvre des volets complémentaires de l’enquête Virage-Victimes et leurs coordonnées ont été systématiquement fournies aux répondant·e·s en difficulté.
11Les associations LGBT ont elles aussi soutenu le projet auprès des ministères et confié la responsabilité de son suivi à Flora Bolter pour le centre LGBT de Paris-Île-de-France, à Tania Lejbowicz puis Stéphanie Arc pour SOS-Homophobie, et à Mickaël Bucheron pour Flag ! Une centaine d’autres associations LGBT ont participé à la mise en place du volet Virage-LGBT par Internet (voir la liste associée au chapitre 10), et nous remercions Sylvie Fondacci de l’Association HomoSFèRe pour son intermédiation avec l’Inter-LGBT qui rassemble les associations organisatrices de la marche annuelle des Fiertés, ainsi que Christine Nicolas et Erwann Le Hô pour leur invitation aux états généraux du militantisme LGBT de 2015.
12Conformément aux recommandations du Conseil national d’information statistique (Cnis), les grandes enquêtes doivent se doter d’un cadre permettant aux financeurs et aux destinataires des résultats (la société civile notamment) d’être informés du projet, de ses finalités, ses enjeux, ainsi que ses avancées, ce cadre devant être un espace d’échange et de réflexion avec l’équipe de recherche. A ainsi été créé, sous la présidence de la directrice de l’Ined, un comité d’orientation regroupant toutes les structures citées ci-dessus. Il s’est réuni une fois par an pour suivre l’état d’avancement du projet et des échanges bilatéraux ont été conduits avec ses divers membres.
13Au fur et à mesure de nos recherches de financement, diverses instances qui ne pouvaient contribuer financièrement ont manifesté un vif intérêt pour l’enquête, tant pour sa conception que pour ses résultats. Nous les avons alors invitées à rejoindre le comité d’orientation. L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et les services statistiques ministériels, en particulier ceux producteurs de statistiques sur la violence, nous ont accompagné·e·s et ont partagé avec nous leurs savoirs et expériences, mais aussi leurs questionnements et nous ont invité·e·s en retour dans leurs instances de travail. Nous avons ainsi beaucoup appris les un·e·s des autres. Nous remercions particulièrement Carine Burricand, alors adjointe au chef de la division Conditions de vie des ménages de l’Insee, qui pilotait l’enquête Cadre de vie et sécurité, ainsi que Stéfan Lollivier président de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, mais aussi Thierry Dossinger, Yannick Calvet et Maryse Rochon de la Délégation aux victimes (DAV) au sein de la Direction générale de la police nationale, qui édite tous les ans le décompte des féminicides dans le couple. Il en est de même de l’Observatoire national de l’enfance en danger (devenu l’Observatoire national de la protection de l’enfance) qui publie les données administratives sur les enfants maltraités, en particulier Gilles Séraphin, son ancien directeur et Flora Bolter, membre de son conseil scientifique.
14Enfin, au fur et à mesure de l’avancée du projet s’est dessinée la possibilité d’étendre la collecte auprès des étudiant·e·s de certaines universités. La Mission pour la parité et la lutte contre les discriminations du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche a fortement soutenu ce projet, en la personne d’Agnès Netter, et Anne Kupiec, vice-présidente de l’université Paris-Diderot et responsable de son pôle Égalité Femmes-Hommes. Cela a permis de le concrétiser en convainquant le Conseil d’administration de l’université de se lancer dans ce projet pionnier, qui a été suivi par les universités Paris 1-Panthéon-Sorbonne, Strasbourg et Bretagne Occidentale (voir page 10 et suivantes).
15Cette aventure scientifique doit encore son succès au soutien constant des services de l’Ined qui ont permis à l’équipe de franchir toutes les étapes de la mise en œuvre de ce projet quelque peu hors normes : en premier lieu, le service des Enquêtes, notamment Efi Markou, Stéphane Legleye, Géraldine Charrance, Bernard de Clédat et Carmen Calendra, qui ont apporté leur expertise méthodologique et leur expérience des opérations de collecte ; le Service juridique, en particulier Nancy Grynszpan, correspondante informatique et libertés (CIL) ; le service d’Appui au pilotage dont Alice N’Guyen et Sarah Le Gouge ont rédigé l’appel d’offre particulièrement complexe qui a permis de sélectionner l’institut de sondage ; le Service budgétaire, spécialement Marc Girard et Marie-Christine Pennane’ch, qui ont supervisé la gestion des multiples conventions de financement composant le budget pluriannuel de l’enquête, les assistantes de recherche de l’unité Démographie, genre et société, successivement Séverine Fanon, Carole Gabillet-Guette et Neyssa Traore qui ont procédé aux multiples commandes et facturations, le service des Méthodes statistiques, via Nicolas Razafindratsima, Marc Thévenin et Elodie Baril, qui ont conseillé les chercheur·e·s dans la conduite de leurs analyses ; le service de la Documentation qui par l’appui de Karin Sohler nous a épaulé·e·s dans l’élaboration d’une très large bibliographie ; la direction de la Communication qui, sous la responsabilité de Mathilde Charpentier, a soutenu la diffusion des premiers résultats de l’enquête, notamment lors d’une conférence de presse à laquelle ont participé la ministre en charge de l’Éducation nationale et de la recherche, Najat Vallaud-Belkacem et la ministre de la Famille, de l’enfance et des droits des femmes, Laurence Rossignol, qui a aussi fourni les infrastructures permettant d’informer le plus largement possible sur les enseignements de l’enquête et qui, avec Isabelle Milan a réalisé tous les supports de communication de l’enquête (flyers, cartes de visites, affiches) adressés aux enquêtés ; le service des Éditions avec Wanda Romanowski, Martine Rousso et Nicole Berthoux qui ont supervisé la confection de l’ouvrage dans ses multiples versions ; le comité de lecture des Éditions de l’Ined piloté par Alain Blum et Éva Lelièvre, pour leurs relectures avisées et bienveillantes ; Michel Bozon, relecteur attentif et préfacier de cet ouvrage, membre du conseil scientifique de publication présidé par Martine Bungener et constitué de Christine Chambaz, Thibaut de Saint Pol, Anne-Marie Offermans, Geneviève Pruvost, Patrizia Romito avec l’assistance de Justine Dupuis ; enfin la direction de l’Ined, Chantal Cases au démarrage du projet puis Magda Tomasini, pour leur soutien au projet.
16Nous sommes reconnaissantes à tou·te·s les collègues, titulaires ou contractuel·le·s et post-doctorant·e·s qui, dans divers cadres, ont apporté leurs suggestions, leurs conseils, des outils de réflexion tout au long des dix années écoulées entre le démarrage et la fin du projet, en particulier les collègues de l’unité de recherche Genre, sexualité et inégalités de l’Ined, notamment le co-responsable de l’unité Wilfried Rault, mais aussi le conseil scientifique de l’Ined qui en décembre 2011 a donné son aval à la réalisation du projet et ainsi permis de lancer l’opération de collecte au cours de l’année 2015, à laquelle a succédé la livraison des données par l’institut de sondage en 2016, l’apurement des données recueillies et leur analyse par les chercheur·e·s jusqu’à l’écriture et la publication de cet ouvrage collectif en 2020.
17Nous sommes enfin reconnaissantes aux rapporteurs anonymes pour leurs relectures, nous restons seules responsables de ce qui est écrit.
18L’encadré ci-dessous présente l’organisation de l’équipe du projet Virage et la composition des deux comités qui l’ont accompagnée au long de dix années de travail.
19Nous remercions chacun·e pour son investissement conséquent et les riches échanges qui ont alimenté ce travail délicat, où il faut tenir compte des attentes de la société civile, transformer les questionnements en hypothèses de recherche, savoir se mettre à la place des répondant·e·s, victimes ou non, et dans l’habit de l’analyste qui traitera ensuite les données, pour enfin trouver le meilleur compromis entre l’infinité des situations individuelles et l’objectif de production d’un résultat statistique, qui synthétise intelligemment les expériences individuelles et apporte un éclairage aux interrogations des victimes, des associations, des médecins, des journalistes, des policiers, des magistrats, des financeurs, des pouvoirs publics…
Réalisation de l’enquête Virage
Responsable scientifique et initiatrice de l’enquête
Christelle Hamel, sociologue, chargée de recherche à l’Ined, unité de recherche Démographie, genre et sociétés
Responsables scientifiques de l’exploitation de l’enquête
Elizabeth Brown, démographe, enseignante-chercheure émérite à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (Idup) et chercheure associée à l’Ined ;
Alice Debauche, maîtresse de conférences à l’université de Strasbourg, chercheure associée à l’Ined ;
Magali Mazuy, chercheure à l’Ined et au Centre Max Weber (UMR 5283)
Assistantes de coordination
Amélie Charruault (Cnaf-Cridup-Ined), Justine Dupuis (Ined)
Amandine Lebugle (post-doctorante, Ined)
Le service des enquêtes de l’Ined
Efi Markou (ingénieure d’étude), Stéphane Legleye (administrateur de l’Insee et responsable du Service des enquêtes au moment de l’enquête Virage), Géraldine Charrance (ingénieure d’études, statisticienne), Bernard de Clédat (assistant ingénieur), Emilie Bourgeat (chargée d’études contractuelle), Carmen Calendra (chargée d’études contractuelle).
Nos pensées et notre gratitude vont aussi à Martine Quaglia (ingénieure de recherche), décédée au cours de l’enquête, dont la disparition nous a beaucoup affectées.
Conception, réalisation et exploitation de l’enquête Virage
Enquête Virage en population générale
Maïté Albagly (Psytel), Dominique Baux (Service statistique ministériel de la Justice), Elizabeth Brown (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Catherine Cavalin (CNRS), Amélie Charruault (Cnaf-Cridup-Ined), Sylvie Cromer (université Lille 2), Alice Debauche (université de Strasbourg), Justine Dupuis (Ined), Sylvie Grunvald (université de Nantes), Hélène Guedj (Service statistique ministériel Sécurité intérieure), Christelle Hamel (Ined), Amandine Lebugle (Ined), Marylène Lieber (université de Genève), Elise Marsicano (université de Strasbourg), Magali Mazuy (Ined et Centre Max Weber), Anne-Marie Offermans (Université libre de Bruxelles, Belgique) Zahia Ouadah-Bedidi (Université Paris 7-Denis Diderot), Sébastien Picard (Insee), Adeline Raymond (université de Bretagne Occidentale), Patrizia Romito (université de Trieste, Italie), Claire Scodellaro (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Mathieu Trachman (Ined), Laure Turner (Service statistique ministériel Sécurité intérieure).
Enquête Virage-LGBT
Christelle Hamel (Ined), Tania Leibowicz (Ined), Mathieu Trachman (Ined)
Enquête Virage-Université
Zahia Ouadah-Bedidi (université Paris 7-Denis Diderot) a assuré le pilotage de la phase test de ce volet au sein de son établissement, en partenariat avec Bernard de Clédat (Ined) et Christelle Hamel (Ined).
Se sont ensuite jointes l’université de Bretagne Occidentale avec la participation de Marie-Laure Déroff, Christèle Fraïssé, Nicole Roux et Arlette Gautier, puis l’université de Strasbourg avec Alice Debauche, Elise Marsicano et Philippe Cordazzo, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne avec Elizabeth Brown, Claire Scodellaro et Elsa Steichen (directrice de l’Orive).
Enquête Virage-Victimes
Emilie Bourgeat (Ined), Christelle Hamel (Ined), Amandine Lebugle (Ined) et Magali Mazuy (Ined et Centre Max Weber)
Les conseillères spécialistes des violences contre les femmes
Maria Eugenia Uriburu (psychologue) et Maïté Albagly (anciennement écoutante puis directrice du 3919) ont participé à la conception du questionnaire et à la formation des enquêteurs et enquêtrices, puis les ont accompagné·e·s durant la phase de collecte.
Le conseil scientifique de l’enquête
Martine Bungener (chargée de recherche, CNRS, CEMS/EHESS), Michel Bozon (directeur de recherche, Ined), Christine Chambaz (administratrice de l’Insee, ministère de la Justice), Thibaut de Saint Pol (administrateur de l’Insee, Injep), Anne-Marie Offermans (Université libre de Bruxelles), Geneviève Pruvost (directrice de recherche, CNRS), Patrizia Romito (professeure, université de Trieste)
Le conseil d’orientation
Les directrices de l’Ined, Chantal Cases puis Magda Tomasini, ont présidé le conseil d’orientation.
Les institutions publiques
Direction générale de la police nationale (DPGN)
Délégation de l’aide aux victimes (DAV)
Délégation interministérielle pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer (Diefcom)
Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh)
Institut national de la statistique et des études économiques (Insee)
Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite des êtres humains (Miprof)
Ministère délégué à la Ville, Observatoire des zones urbaines sensibles (ONZUS)
Secrétariat général du comité interministériel des villes (SGCIV)
Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE)
ONU-Femmes
Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP)
Services des droits des femmes et de l’égalité (SDFE)
Direction générale de la cohésion sociale (DGCS)
Les associations
Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles (CNIDFF)
Collectif féministe contre le viol (CFCV)
Élu·e·s contre les violences faites aux femmes (ECVF)
FLAG ! Association des policiers et gendarmes LGBT
Fédération nationale solidarité femmes (FNSF)
Femmes solidaires
Institut national d’aide aux victimes et de médiation (Inavem)
Mouvement français pour le planning familial (MFPF)
SOS homophobie
Les personnalités scientifiques
Catherine Cavalin (sociologue, CNRS)
Stéphanie Condon (géographe, Ined)
Marylène Lieber (sociologue, université de Genève)
Maryse Jaspard (sociodémographe, responsable de l’enquête Enveff)
Lavinia Gianetton (sociologue, université de Lausanne)
Anne-Marie Offermans (sociologue, Université libre de Bruxelles)
Patrizia Romito (professeure en psychologie sociale, université de Trieste)
Les financeurs
Ministère des Droits des femmes
Ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche
Ministère de l’Intérieur
Institut national d’études démographiques (Ined)
Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes)
Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS)
Centre Hubertine-Auclert – centre francilien de ressources pour l’égalité femmes-hommes
Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
Observatoire de l’égalité entre les femmes et les hommes – Ville de Paris
Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE)
Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR)
Mission de recherche Droit et Justice
Défenseur des Droits
Mutualité française
Conseil départemental de l’Essonne
Conseil départemental de la Somme
Conseil départemental des Bouches-du-Rhône
Conseil départemental du Val-de-Marne
Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle
Conseil départemental de Seine-Saint-Denis
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