Chapitre 7. Enquête « Relations intergénérationnelles », Luxembourg, 2000-2002
p. 181-195
Résumé
L’objectif de cette enquête, menée en deux volets, est d’identifier les solidarités entre générations du point de vue des solidarités structurelles, des solidarités associatives et des solidarités fonctionnelles d’une part et, d’autre part, d’examiner les transferts financiers entre générations. Les données utilisées pour l’analyse des solidarités intergénérationnelles sont issues de l’enquête panel socio-économique Liewen zu Lëtzebuerg (Psell de 2000 et 2002) sur les conditions de vie et de travail au Luxembourg.
Texte intégral
1Nom précis de l’enquête : « Relations intergénérationnelles », panel socio-économique Liewen zu Lëtzebuerg
2Site web : www.ceps.lu.
3Équipe de recherche : Monique Borsenberger, CEPs/Instead
4Initiateur de la recherche : ce projet de recherche a été initié par le CEPs/Instead, centre d’études sous la tutelle du ministère de la Recherche. Le CEPs/Instead a pour mission de réaliser et organiser des études ponctuelles et longitudinales de population, ainsi que de créer, gérer et exploiter des banques de données scientifiques nationales et internationales comparatives. Il développe également des instruments d’analyse, de modélisation et de simulation pour les politiques socio-économiques, tout en créant et entretenant des réseaux interrégionaux et internationaux de recherche et d’information. Enfin, il organise, au niveau post-doctorant, des formations en rapport avec les recherches envisagées.
1. Problématique et objectifs
1.1. Courant de recherches dans lequel s’inscrit l’enquête
5Alors que les travaux de Parsons avaient conclu à la nucléarisation de la famille et à son isolement au sein de la parenté, de nombreuses enquêtes ont permis de reconsidérer ces conclusions et d’en limiter la portée. En outre, les changements démographiques de ces dernières décennies sont venus modifier profondément le paysage familial. La structure intergénérationnelle de la famille est affectée par le changement de la pyramide des âges de la population : la baisse de la fécondité et l’allongement de l’espérance de vie ont modifié la composition familiale. Tandis que le nombre de générations coexistantes augmente, celui des collatéraux diminue. Dans ce nouveau contexte familial, certains, comme Bengtson, voient la possibilité d’une importance croissante des liens intergénérationnels et, sans doute, une redéfinition des liens familiaux.
6C’est dans ce contexte que le CEPS/Instead a développé un axe de recherche relatif à la famille et aux solidarités familiales. Dans le premier panel, couvrant les années 1985 à 1994, des questions générales sur l’aide reçue et l’aide donnée étaient posées, plutôt axées sur le réseau de solidarités des personnes âgées. En 2000 et 2002, l’objectif de la recherche était centré sur les solidarités exercées au sein de la lignée.
1.2. Objectifs
7L’objectif de cette enquête est, d’une part, de repérer les solidarités entre générations du point de vue de l’entraide, de la fréquence des contacts, de la proximité géographique et des solidarités fonctionnelles et, d’autre part, étudier les transferts financiers et patrimoniaux entre générations. Les travaux de Bengtson et l’enquête « Trois générations » de la Cnav, dirigée par Attias-Donfut, ont servi de base à l’élaboration de ce travail.
1.3. Présentation du type d’enquête
8Les deux questionnaires de l’enquête « Relations intergénérationnelles » (ERI) ont été insérés de manière ponctuelle dans l’enquête longitudinale Psell (panel socio-économique Liewen zu Lëtzebuerg). Le premier, portant sur les relations intergénérationnelles, a été inclus dans la vague d’enquête 2000, et le second, portant sur les transferts intergénérationnels, a été inséré dans celle de 2001. Le panel Psell est une enquête quantitative réalisée en entretiens face-à-face par un enquêteur assermenté et formé par le CEPS/Instead.
9Le panel socio-économique Liewen zu Lëtzebuerg est un instrument qui permet de connaître les conditions d’existence des personnes et des ménages qui vivent au Luxembourg. Dans le cadre de ce programme, de nombreuses informations sont recueillies chaque année sur les principaux aspects de la vie de la population du pays auprès d’un échantillon représentatif de la population : conditions de logement, équipement et composition des ménages, principales dépenses, revenus, précarité, endettement, position scolaire des enfants, position socioprofessionnelle des adultes. Le premier panel a couvert la période de 1985 à 1994, le second panel la période de 1994 à 2002. Un troisième panel a débuté en 2003.
1.3.1. Documents d’enquête
10L’enquête repose sur 7 types de documents :
fiche enquêteur ;
feuille de composition du ménage ;
feuille de changements dans la composition familiale ;
questionnaire destiné au ménage ;
questionnaire individuel « Adulte » (individu de 16 ans ou plus non étudiant) ;
le manuel de consignes aux enquêteurs ;
questionnaire individuel « Enfant » (individu de moins de 16 ans ou de 16 ans ou plus étudiant).
11Ces documents peuvent être consultés au CEPS/Instead. Le questionnaire comporte les questions de l’ECHP (European Community Household Panel, Eurostat) complétées par celles propres au Psell, comme par exemple celles sur les relations intergénérationnelles.
1.3.2. Financement
12Le projet de recherche ERI est financé sur fonds propres, dans le cadre d’une convention annuelle signée par le CEPs/Instead et son ministère de tutelle.
1.3.3. Date et durée de la collecte
13Chaque vague d’enquête se déroule annuellement de la mi-février à la mi-juillet, soit sur une période de cinq mois environ. Le volet 1, portant sur les relations intergénérationnelles, s’est déroulé en 2000 et le volet 2, portant sur les transferts financiers, en 2002.
1.3.4. Taille de l’échantillon
14L’enquête Psell est menée chaque année auprès d’un échantillon d’individus représentatif des ménages et des individus qui les composent, résidant sur le territoire luxembourgeois et liés au système de sécurité luxembourgeois. L’échantillon est basé sur un tirage aléatoire de 2 978 ménages. Il est composé de 8 232 individus. L’échantillon évolue comme la population du pays et prend en compte les naissances, les mariages, les décès, l’immigration, l’émigration.
15Pour le volet 1, 2 374 ménages ont été interrogés, soit 4 605 adultes, c’est-à-dire des individus âgés de 16 ans ou plus, et non étudiants. Pour le volet 2, 2 295 ménages ont été questionnés, soit 4 347 adultes.
1.3.5. Type de population
16La population sondée pour l’enquête Psell résidait au Grand-Duché de Luxembourg. Pour les questionnaires intergénérationnels, la population retenue devait être âgée de 16 ans ou plus, et non étudiante.
1.3.6. Univers d’étude
17National.
2. Description du questionnaire
2.1. Questionnaire « Ménage »
18Il comprend les parties logement et conditions de vie du ménage. En 2000, était incluse une question sur les services rendus au ménage par des membres de la famille extérieurs au ménage, sous forme de liste à compléter.
2.2. Questionnaire individuel « Adulte »
19Il contient les parties : curriculum, formation et vie professionnelle, situation professionnelle, activité professionnelle, recherche d’emploi, activité secondaire, revenus.
20En 2000, le volet « relations entre générations » intègre les parties suivantes :
taille du réseau familial proche : grands-parents, parents, beaux-parents, enfants, petits-enfants ;
proximité de résidence des parents, beaux-parents, grands-parents, enfants ;
services rendus aux enfants/petits-enfants, parents, beaux-parents, grands-parents, autres parents.
21Cette année, le questionnaire était en langue française ou anglaise, au choix de la personne enquêtée. En 2002, le volet « transmissions financières » contient les parties suivantes :
logement principal : statut d’occupation, aides financières en espèces ou en nature reçues pour ce logement ;
autres biens immobiliers : aides financières en espèces ou en nature reçues pour ces biens immobiliers, biens immobiliers mis à disposition de membres de la famille comme logement principal ;
ressources financières versées à des membres de la famille/belle-famille : régulièrement au cours des douze derniers mois, occasionnellement au cours des cinq dernières années ;
ressources financières reçues des membres de la famille/belle-famille : régulièrement au cours des douze derniers mois, occasionnellement au cours des cinq dernières années ;
donations faites à des membres de la famille/belle-famille ;
donations et héritages reçus des membres de la famille / belle-famille.
2.3. Questionnaire individuel « Enfant »
22Il comprend les parties scolarité, revenus et dépenses. En 2000, figurait une partie sur la garde d’enfants.
2.4. Définition et choix des variables concernant l’aide
2.4.1. Volet 1 : les relations intergénérationnelles
23Il s’agissait de recenser les services rendus et reçus au cours de l’année précédant l’enquête (1999) et de cerner ainsi l’entraide entre les membres du ménage et les membres de la famille extérieurs au ménage (ERI). Les questions sur les services rendus étaient posées au niveau individuel. Pour chaque service, l’enquêté indiquait à quel membre de la famille il l’avait rendu (enfants/petits-enfants, parents, beaux-parents, grands-parents, autres parents) et à quelle fréquence (régulièrement, parfois, au moins une fois dans l’année, aucun service rendu). Les types d’aides recensées étaient d’ordre domestique, moral, matériel, financier ou relevaient du domaine des soins. Au total, dix-neuf types de services étaient proposés dans le questionnaire :
aide pour raisons de santé ;
garde d’enfants de moins de 3 ans ;
garde d’enfants de 3 ans ou plus ;
accompagnement, transport de personnes ;
coup de main pour la construction, maçonnerie, toiture, menuiserie, sanitaires, électricité ;
aménagement et décoration du logement, peinture, tapisserie ;
bricolage, réparation auto ;
prêt d’un véhicule ;
linge (lavage, repassage, raccommodage) ;
jardinage ;
ménage, cuisine ;
courses ;
papiers et démarches administratives ;
garde d’animaux, arrosage des plantes ;
soutien scolaire, aide aux études ;
conseils, encouragements, soutien moral ;
soutien financier en période de recherche d’emploi ;
dons ou prêts ponctuels en argent ;
autres, précisez.
24Alors que les services rendus étaient recensés au niveau individuel, y compris dans le cas des couples, les services reçus l’étaient au niveau du ménage, au moyen d’une liste identique à la précédente et selon les mêmes modalités. L’hypothèse retenue pour poser ces questions au niveau du ménage, et non au niveau individuel, était que le plus grand nombre de ces services concernaient le ménage et que, de ce fait, une réponse individuelle risquait d’entraîner des doublons. Par ailleurs, il fallait également ne pas décourager les enquêtés par une durée d’entretien trop longue et répondre à la contrainte de la longueur du questionnaire.
2.4.2. Volet 2 : les transmissions financières
25Dans ce questionnaire, il s’agit d’identifier :
les aides financières et les aides en nature reçues/données dans le cadre du logement occupé ou de la constitution d’un patrimoine immobilier, prêt de logement ;
les aides financières occasionnelles versées à /reçues des membres de la famille au cours des cinq dernières années ;
les aides financières régulièrement versées à /reçues des membres de la famille au cours des douze derniers mois ;
les donations et héritages faits ou reçus au cours de la vie.
3. Collecte des données
3.1. Formation des enquêteurs et déroulement de l’entretien
26Les enquêteurs sont formés par le CEPS/Instead. Chaque année, avant le lancement de la nouvelle vague d’enquête, ils suivent une journée de formation au cours de laquelle sont présentées l’enquête et les modifications par rapport à l’année précédente. La majorité d’entre eux ont plusieurs années d’expérience. L’entretien peut se dérouler en présence ou non d’autres membres du ménage, aucune consigne n’est donnée à l’enquêteur à ce sujet.
3.2. Déroulement de la collecte
27Le premier contact avec le ménage se fait sous la forme d’une lettre adressée au chef de ménage l’informant qu’un enquêteur va le contacter dans les jours qui suivent pour réaliser une enquête. Il est du ressort de l’enquêteur de prendre ensuite rendez-vous par téléphone ou en se rendant à l’adresse indiquée.
28L’enquête est réalisée en une fois. Chaque membre du ménage répond individuellement au questionnaire qui lui est destiné. Dans les ménages de plusieurs individus, lorsqu’une ou plusieurs personnes concernées sont absentes, soit l’enquêteur se rend une deuxième fois au domicile du ménage, soit un autre membre du ménage répond à la place de la personne concernée. Dans ce cas, le questionnaire est identifié pour avoir été complété par un « proxy ».
29La durée de l’enquête peut varier très largement, selon la taille plus ou moins grande du ménage. Elle fait l’objet d’une attention scrupuleuse dans la détermination du nombre de questions que compte chaque questionnaire. Bien qu’il ne soit pas demandé à l’enquêteur de noter explicitement, ni la durée de l’enquête dans sa globalité, ni celle du volet sur les relations intergénérationnelles, la plupart ont estimé la durée de l’enquête complète à une heure en 2000.
3.3. Taux de non-réponse
30Étant donné qu’il s’agit d’une enquête de panel, le taux de non-réponse est extrêmement faible et n’atteint que 6,8 % en 2000. Durant cette sixième vague d’enquête, 6 605 personnes ont été contactées et 6 155 personnes enquêtées, adultes et enfants confondus. Pour les 4 986 adultes contactés et 4 609 interviewés, soit les individus âgés de 16 ans ou plus et non étudiants, qui ont répondu aux questionnaires sur les relations intergénérationnelles, le taux de réponse était de 92,4 %.
3.4. Évaluation de la collecte
31Cette évaluation a été faite en 2000, au cours d’un entretien directif mené auprès de chaque enquêteur concernant le déroulement de l’enquête. Concernant le volet « relations intergénérationnelles », il ressort de la synthèse de ces entretiens que, lorsque les relations entre générations sont bonnes, les individus répondent volontiers aux questions. À l’inverse, en cas de mauvaises relations, de conflits familiaux, ces questions pouvaient être l’occasion de manifestations de fortes émotions, voire d’une agressivité soudaine. De l’avis de la plupart des enquêteurs, le fait d’avoir introduit ces questions dans une sixième vague d’enquête de panel, c’est-à-dire dans un contexte où enquêtés et enquêteurs se connaissent depuis quelques années et ont ainsi pu établir une relation de confiance, est sans doute un facteur important permettant d’expliquer la bonne volonté des individus à répondre à ces questions.
3.5. Traitement des données
32Des analyses descriptives et analyses explicatives ont été menées lors de cette enquête.
4. Résultats de l’enquête
4.1. Réseau familial
taille du réseau familial proche : grands-parents, parents, beaux-parents, enfants, petits-enfants ;
informations concernant le père / la mère / le beau-père / la belle-mère : âge, nationalité, mode de vie, statut matrimonial, statut d’activité, handicap ;
concernant les enfants : âge, nationalité, statut matrimonial, statut d’activité, handicap ;
proximité géographique du père / de la mère / du beau-père / de la belle-mère / des grands-parents paternels / des grands-parents maternels / des enfants ;
possibilité de créer un indicateur de proximité ;
fréquence des contacts. Tous les contacts ont été pris en compte et regroupés qu’il s’agisse d’une visite, d’un contact par téléphone ou par mail. On ne peut faire la distinction entre les différents types de contacts. Huit modalités étaient indiquées pour renseigner la fréquence des contacts :
tous les jours ou presque ;
au moins une fois par semaine ;
deux fois par mois ;
une fois par mois ;
une fois tous les deux mois ;
deux à trois fois par an ;
plus rarement ;
jamais.
33Les analyses menées jusqu’à présent ont montré, à l’image d’autres enquêtes menées en France par exemple, que les solidarités familiales demeurent actuelles et qu’il existe, de surcroît, une certaine intensité des solidarités entre parents et enfants adultes, tant pour l’ensemble de la population que pour celle, plus spécifique, des 45-64 ans. Cependant, malgré le développement des moyens de communication, on constate que la proximité de résidence conditionne encore la fréquence des contacts (rencontres, contacts téléphoniques, etc.).
4.2. Réseau des amis
34Aucune question n’a été posée sur le réseau amical.
4.3. Entraide
35L’étude menée sur les aides apportées par la génération des 45-64 ans à celle de leurs parents a confirmé le lien étroit entre les services rendus et la proximité résidentielle, de même qu’entre les services rendus et l’intensité des contacts ou encore l’âge du parent. Enfin, la lignée d’origine bénéficie davantage d’aides que la lignée d’alliance.
5. Évaluation de l’enquête
5.1. Principaux apports de l’enquête dans le domaine de l’entraide familiale
36Jusqu’à présent cette enquête a permis de confirmer les liens étroits entre les individus au sein de la lignée. Même si l’autonomie résidentielle semble être une norme, tant pour les plus jeunes encore célibataires ou pour les plus anciens qui connaissent le veuvage, des liens demeurent étroits.
5.2. Forces et faiblesses de l’enquête
37Cette enquête, malgré ses imperfections et ses limites, a permis de jeter les bases et d’avoir une vue d’ensemble concernant différents aspects de la question des relations intergénérationnelles.
5.2.1. Forces
38Cette enquête, bien que lourde en termes de coûts et de temps, a pu bénéficier d’un taux de réponse élevé qui garantit une certaine robustesse aux analyses. Rappelons que ce fort taux de réponses est vraisemblablement directement lié au fait que les questions ont été posées dans le cadre d’une enquête panel, auprès d’individus fidélisés qui avaient établi une relation de confiance avec un enquêteur assermenté et lié par le secret professionnel.
5.2.2. Faiblesses
39Un certain nombre d’informations complémentaires auraient été nécessaires pour avoir une approche complète du réseau familial. Il manquait par exemple les informations concernant la fratrie : nombre de frères et sœurs, âge, statut matrimonial, statut d’activité, distance de résidence, fréquence de contacts, services reçus et donnés. Ces informations auraient pu enrichir et éclairer les réponses données quant à la fréquence de visite et les aides aux parents (surtout les parents âgés). Bien qu’envisagées au départ, elles n’ont pu être posées dans le cadre de l’enquête ERI, car le nombre de questions y était limité.
5.3. Modifications à apporter
40Nous essayerons de cerner au plus près le réseau familial, en ajoutant par exemple des questions relatives au réseau composé de la fratrie de l’individu, mais peut-être aussi de ses autres parents.
41Par ailleurs, les questions relatives aux services reçus par le ménage seraient posées au niveau individuel, au moins pour une partie d’entre elles, pour en faciliter l’analyse.
6. Projets d’exploitation pour les années à venir
42Les pistes intéressantes à développer dans l’avenir sont les suivantes :
les solidarités intergénérationnelles, une vue d’ensemble ;
les solidarités des 45-64 ans avec leurs enfants ;
les transmissions financières entre générations.
43À l’heure actuelle, une exploitation longitudinale n’est pas envisagée. De nombreuses analyses restent à mener sur l’enquête effectuée.
Bibliographie
Références bibliographiques
Borsemberger M., 2003, « Les solidarités des 45-64 ans avec leurs parents âgés », cahier Psell 136, CEPs/Instead.
Borsemberger M., Kuepie M., 2003, Structures familiales des ménages et solidarités familiales au Grand-Duché de Luxembourg entre 1985 et 1999.
CEPS/Instead, coll. « Population et Emploi » n° 6.
Annexe
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