Biographies des intervenant-es
p. 445-462
Texte intégral
Christophe Golay
1Chargé de recherche, Académie de droit international humanitaire et de droits humains à Genève (ADH)
2Enseignant, Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
3Christophe Golay est chargé de recherche et l’un des coordonnateurs du Projet sur les droits économiques, sociaux et culturels à l’Académie de droit international humanitaire et de droits humains à Genève. Il est chargé d’enseignement invité à l’IHEID. De 2001 à 2008, il a été le conseiller juridique du Rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l’alimentation. Il a écrit sa thèse de doctorat à l’IHEID sur le droit à l’alimentation et l’accès à la justice.
Publications
4Ziegler, J., C. Golay, C. Mahon and S. A. Way. 2011. The fight for the right to food. Lessons learned. Londres: Palgrave Macmillan.
5Golay, C. 2010. The food crisis and food security: Towards a new world food order? International Development Policy Series. 1: 215-232.
6Golay, C. 2009. Le droit à l’alimentation et l’accès à la justice. Exemples au niveau national, régional et international. Rome: FAO.
Hélène Guétat-Bernard
7Professeure, Département géographie et aménagement
8Université Jean Moulin Lyon 3 et Unité mixte de recherche Dynamiques rurales de l’Université de Toulouse
9Hélène Guétat-Bernard est géographe et socio-économiste du développement, professeure à l’Université de Lyon 3 et membre de l’UMR 1926 Dynamiques rurales de Toulouse en France. Elle travaille dans le champ du développement rural et agricole en interrogeant plus particulièrement la dynamique des rapports de genre dans des contextes de ruralités nord-sud. Elle s’intéresse notamment aux questions de mobilité spatiale et de construction des identités sociales et territoriales. Elle co-encadre un séminaire de recherche sur les Afrique et les Amérique noires et travaille sur des terrains africains et sud-américains. Elle encadre plusieurs thèses sur les questions de filières alimentaires, de patrimoines culinaires, de rapport à l’argent, des liens à la terre.
Publications
10Guétat-Bernard, H. 2010. Genre et développement rural : géographie des femmes et des hommes bamiléké du Cameroun. Rennes: PUR. Collection Géographie sociale.
11Guétat-Bernard, H. 2008. Cultures du café et dynamiques des rapports de genre en pays bamiléké au Cameroun: effet de similitude avec la situation kikuyu au Kenya. Les Cahiers d’Outre-Mer. 61 (243): 339-354.
12Guétat-Bernard, H. et A.-M. Granié. 2006. Empreintes et inventivités des femmes dans le développement rural, Ruralités Nord-Sud. Toulouse: PUM-IRD.
Nandini Gunewardena
13Professor, International Development Studies
14University of California, Los Angeles (UCLA)
15Nandini Gunewardena est une anthropologue économique. Pendant plus de douze ans, elle a travaillé comme praticienne du développement international sur des questions de genre auprès d’organisations multilatérales et bilatérales, dont CARE International, l’Agence canadienne de développement international (ACDI), l’Agence danoise de développement international (DANIDA), l’Agence états-unienne pour le développement international (USAID) et la Banque mondiale. Elle a mené des recherches ethnographiques au niveau communautaire, travaillé à la conception et la mise en œuvre de projets, à l’évaluation des résultats, et à la réforme des politiques publiques pour les rendre sensibles au genre. En 1998, elle a repris l’enseignement à UCLA, entre les départements d’anthropologie et d’études du développement international. Elle s’inspire des théories de l’écologie politique et de l’économie politique féministes, ainsi que des cadres conceptuels des études postcoloniales dans le cadre de ses recherches sur la mondialisation néolibérale, les inégalités de genre, l’insécurité alimentaire et la féminisation de la pauvreté. Elle étudie depuis longtemps la situation des femmes dans l’économie transnationale du sucre, comme en attestent ses nombreuses publications sur ce sujet.
Publications
16Gunewardena, N. 2010. Bitter cane: Gendered fields of power in Sri Lanka’s sugar economy. Signs: Journal of Women in Culture and Society. 35(2): 371-396.
17Gunewardena, N. 2008. Attention to women’s poverty in international development strategies. Voices. 6(1):14-22.
18Gunewardena, N. and A. E. Kingsolver. 2007. The gender of globalisation: Women navigating cultural and economic marginalities. Santa Fe, NM: School for Advanced Research Press.
Barbara Harriss-White
19Professor, Department of International Development
20Queen Elizabeth House, Oxford University
21Les intérêts de recherche de Barbara Harriss-White vont de l’économie des marchés agricoles à l’économie capitaliste et au capital d’entreprise socialement régulés de l’Inde; et de la malnutrition causée par les marchés à de nombreux autres aspects de la privation: pauvreté, discriminations et rapports de genre, problèmes de santé et handicaps, dénuement, discriminations de caste et vieillissement. Depuis longtemps elle s’intéresse aux changements agraires dans le sud de l’Inde et suit l’économie d’une petite ville commerciale dans la région depuis 1972.
22Elle a été titulaire de plusieurs postes de recherche, notamment au Centre for South Asian Studies de l’Université de Cambridge, ainsi qu’au Overseas Development Institute, à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, avant d’être nommée professeure à Oxford pour y enseigner le développement rural et l’économie paysanne. En 1995, elle fondé le M. Phil en Development Studies, et a été la directrice de Queen Elizabeth House de 2003 à 2007. Elle dirige actuellement le Contemporary South Asian Studies Programme de l’Université d’Oxford, où elle a établi le nouveau MSc en Contemporary India au sein de la School of Interdisciplinary Area Studies.
23Depuis 1969, elle a passé un total de 6 années sur le terrain en Asie du Sud, et 6 mois en Afrique occidentale francophone. Elle a effectué des recherches pour 7 agences onusiennes – notamment sur les technologies post-récolte, l’alimentation, les handicaps, ainsi que la sécurité sociale et de l’emploi. Elle est administratrice de l’ONG ActionAid depuis de nombreuses années, et siège aux conseils d’administration de l’International Food Policy Research Institute (IFPRI), de la School of Oriental and African Studies (SOAS) de l’Université de Londres et du South Asia Institute à Heidelberg.
Publications
24Harriss-White, B. and S. Garikipati. 2008. India’s semi-arid rural economy: Livelihoods, seasonal migration and gender. The European Journal of Development Research. 20(4): 547-548.
25Harriss-White, B. and S. Janakarajan. 2004. Rural India facing the 21st century: Essays on long term village change and recent development policy. London: Anthem Press.
26Harriss-White, B. 2003. India working: Essays on society and economy. Cambridge: Cambridge University Press.
Isabelle Hillenkamp
27Chercheure post-doctorante
28Université de Genève, Institut de socioéconomie
29Isabelle Hillenkamp a obtenu son doctorat en études du développement à l’Institut de hautes études internationales et du développement (2009). Ses travaux portent d’abord sur les liens entre marché, démocratie et solidarités au travers de l’économie populaire et solidaire en Bolivie. Après avoir participé à la recherche préparatoire au colloque sur Genre, développement rural et alimentation, elle s’est intéressée aux intersections entre le genre et son terrain de recherche en Bolivie. Ses travaux récents examinent de manière critique l’économie solidaire comme ensemble de pratiques de production, d’échange et de financement situé à la frontière entre production et reproduction.
Publications
30Hillenkamp, I. A paraître. Solidarités, marché et démocratie: éclairages boliviens. Finance & The Common Good / Bien commun. N°37-38.
31Hillenkamp, I. 2011. Gender, social economy and development: lessons from Bolivia. The Social Economy, prop of a new model of sustainable economic development? 3rd International Research Conference on the Social Economy of CIRIEC, Valladolid, Espagne, 6-8 April.
32Hillenkamp, I. 2009. L’approche latino-américaine de l’économie populaire, les inégalités et la pauvreté. Revue de la régulation. N°6. Accessible sur http://regulation.revues.org/index7625.html)
Magdalena León
33Profesora titular
34Universidad Nacional de Colombia, Bogotá
35Magdalena León est une pionnière de la recherche sur le genre et le monde rural en Amérique latine. Depuis plusieurs décennies, elle se démarque par ses apports de chercheuse, d’enseignante et de militante dans le mouvement des femmes. À la fin des années 1950, à une époque où peu de femmes accédaient à l’université, elle a étudié l’économie et la sociologie à l’Université nationale de Colombie et à l’Université de Washington. Ses travaux ont contribué à la naissance d’une sociologie de terrain centrée sur les exclus et des marginalisés: c’est souvent sur le mode de la recherche-action qu’elle a côtoyé les femmes des quartiers pauvres de Bogotá, les paysannes et les travailleuses domestiques. Depuis les années 1970, elle a publié plusieurs livres sur les femmes, la participation politique et le développement économique en Colombie et en Amérique Latine.
36L’ensemble de ses apports aux sciences sociales a été reconnu par le Prix national du mérite scientifique de Colombie en 2000 – année où elle a pris sa retraite de l’Université nationale de Colombie. Son livre Género, propiedad y empoderamiento: Tierra, estado y mercado en América Latina (Genre, propriété et empowerment: terre, état et marché en Amérique latine), coécrit en 2000 avec Carmen Diana Deere, a reçu plusieurs prix internationaux. Magdalena León est aussi l’une des fondatrices et la directrice du Fonds de documentation sur la femme et le genre et de l’École d’études genre de l’Universidad Nacional de Colombie, ainsi que du Réseau femmes et participation politique.
Publications
37Deere, C. D. et M. León de Leal. 2003. The gender asset gap: Land in Latin America. World Development. 31(6): 925-947.
38Deere, C. D. et M. León de Leal. 2002. Who owns the land? Gender and land-titling programmes in Latin America. Journal of Agrarian Change. 1(3): 440-467.
39Deere, C. D. et M. León de Leal. 2001. Empowering women: Land and property rights in Latin America. Pittsburgh: University of Pittsburgh Press.
Jean-Luc Maurer
40Professeur
41Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
42Jean-Luc Maurer est titulaire d’un doctorat en sciences politiques de l’IUHEI de Genève, et travaille comme professeur depuis 1989 au sein de l’IUED (devenu l’IHEID en 2008), dont il a été directeur de 1992 à 2004. Il y dirige actuellement le Centre d’études asiatiques (CEA) et le Master pluridisciplinaire en études asiatiques de l’Université de Genève. Depuis sa fondation en 1996, il préside Krousar Thmey Suisse, la branche helvétique d’une ONG khmère basée à Phnom Penh s’occupant de l’enfance défavorisée et handicapée. Il est membre du Board of Advisors du PNUD à New York depuis 2005.
43Ses intérêts de recherche portent sur les problèmes de développement économique, social et politique de l’Indonésie, de l’Asie du Sud-Est et de la région Asie-Pacifique. Son travail académique se complète d’une longue expérience de consultant, principalement pour le compte de l’agence de coopération suisse (DDC), mais également pour plusieurs institutions internationales de développement (OCDE, BIT, FIDA, Banque asiatique de développement et Banque mondiale). Il a réalisé plus de vingt missions et rapports d’identification, de programmation ou d’évaluation de projets depuis 1975, principalement en Indonésie, mais aussi dans d’autres pays d’Asie du Sud-Est (Vietnam et Laos), ainsi qu’en Afrique (Madagascar, Burundi, Rwanda).
Publications
44Maurer, J.-L. 1998. Indonesian agriculture in prospect and retrospect. In Feeding Asia in the next century. (Ed.) G. Etienne, C. Aubert and J.-L. Maurer. New Dehli: Mac-Millan.
45Maurer, J.-L. 1998. La déesse du riz et la « révolution verte » à Java. In Traditions et modernisation des économies rurales : Asie-Afrique-Amérique latine. Mélanges en l’honneur de Gilbert Etienne. (Dir.) C. Auroi et J.-L. Maurer. Paris: Presses universitaires de France, IUHEI.
46Maurer, J.-L. 1986. Modernisation agricole, développement économique et changement social. Le riz, la terre et l’homme à Java. Paris: Presses universitaires de France.
Marcel Mazoyer
47Professeur émérite, AgroParisTech et Université Paris XI, IEDES
48Vice-président, Alliés contre la faim
49Ingénieur agronome, ingénieur des Eaux et Forêts, Marcel Mazoyer est professeur à l’Université Paris XI, professeur émérite à AgroParisTech. Il a enseigné à l’Institut d’étude du développement économique et social (IEDES) et est vice-président d’Alliés contre la faim, France.
50Il a été auparavant: directeur de la filiale agricole de la Société d’économie et de mathématiques appliquées; directeur de recherche et chef du Département d’économie et de sociologie rurales de l’Institut national de la recherche agronomique; professeur titulaire de la chaire d’Agriculture comparée et président du Département des sciences économiques et sociales à l’Institut national agronomique Paris-Grignon; professeur titulaire de la chaire Francqui internationale, interuniversitaire, des Universités francophones belges; président du Comité du programme de la FAO; consultant pour la FAO, la Banque mondiale, l’OCDE, la Commission européenne et plusieurs gouvernements.
51Il a conduit de nombreuses études et recherches relatives à l’économie et au développement des exploitations agricoles, aux marchés des produits agricoles, aux systèmes agraires et aux projets, programmes et politiques de développement agricole et rural, dans plusieurs pays d’Afrique, d’Amérique latine, d’Asie et d’Europe. Il a assuré la direction scientifique du Larousse agricole 2002.
Publications
52Roudart, L. et M. Mazoyer. 2006. La fracture agricole et alimentaire mondiale. Nourrir l’humanité aujourd’hui et demain. Paris: Universalis.
53Mazoyer, M. et L. Roudart. 2002. Histoire des agricultures du monde. Paris: Éditions du Seuil. Parution originale 1997.
54Mazoyer, M. 2001. Protéger la paysannerie pauvre dans un contexte de mondialisation. Rome: FAO.
Leonilde Servolo de Medeiros
55Professora permanente, Desenvolvimento, Agricultura e Sociedade
56Université Fédérale Rurale de Rio de Janeiro
57Leonilde Servolo de Medeiros est sociologue et professeure dans le programme d’études supérieures en sciences sociales sur le développement, l’agriculture et la société à l’Université fédérale rurale de Rio de Janeiro, au Brésil. Après avoir obtenu un premier diplôme en sciences sociales et un master en sciences politiques de l’Université de São Paulo, elle a fait son doctorat à l’Université Campinas en 1995. Ses recherches sont financées par le Conseil national de la recherche scientifique et technique (CNPq) et la Fondation pour le soutien à la recherche académique de Rio de Janeiro (FAPERJ). Ses thèmes de recherche sont les mouvements sociaux, les réformes des politiques agraires et les questions foncières au Brésil, incluant les luttes sociales autour de l’accès à la terre.
Publications
58Medeiros, L. 2008. Assentamentos rurais e gênero: temas de reflexão e pesquisa. In Mulheres na reforma agrária. A experiência recente no Brasil. (Ed.) A. Lopes and A. Butto. Brasilia: Nead/MDA.
59Medeiros, L. and C. D. Deere. 2007. Agrarian reform and poverty reduction: Lessons from Brazil. In Land, poverty and livelihoods in an era of globalisation. (Eds.) A. H. Akram-Lodhi, S. Borras Jr. and C. Kay. London: Routledge.
60Medeiros, L. 2007. Social movements and the experience of market-led agrarian reform in Brazil. Third World Quarterly. 28.
Marie Monimart
61Chercheuse associée
62International Institute for Environment and Development (IIED)
63Marie Monimart travaille depuis plus de 25 ans en Afrique subsaharienne, notamment dans les pays du Sahel en Afrique de l’Ouest, à Madagascar et en Afrique centrale, ainsi que dans des projets de plus courte durée en Haïti et au Cambodge. Son travail porte sur les questions de genre, et plus particulièrement sur la gestion équitable des ressources naturelles, la sécurité des moyens de subsistance des ménages, et le mode de vie pastoral. Après un séjour de quatre ans au Niger (2002-2006) comme coordonnatrice du programme de CARE Danemark, elle travaille maintenant pour l’IIED à Londres dans un projet sur le genre, le régime foncier et la décentralisation en Afrique subsaharienne. Elle travaille aussi à l’adaptation de formations et d’outils pour renforcer les capacités des partenaires de terrain et les compétences des agents dans leur travail quotidien avec les communautés, afin de permettre aux marginalisés de prendre la parole. Elle garde un intérêt particulier pour l’appui à la société civile pastorale, notamment par l’accès durable à l’eau et aux pâturages et une meilleure compréhension de la diversité cruciale des modes de vie nomades en Afrique subsaharienne. L’un des plus grands défis est de promouvoir une intégration réelle et durable des questions de genre, en prenant en compte les concepts et visions des sociétés locales, dans les interventions de lutte contre la pauvreté – un domaine où bien peu de progrès ont été faits depuis les questions posées par Ester Boserup en 1970.
Publications
64Diarra, M. et M. Monimart. 2007. Déféminisation de l’agriculture au sud Niger: un lien avec la crise? In Niger 2005 : Une catastrophe si naturelle. (Dir.) X. Crombé et J.-H. Jézéquiel. Paris: Fondation MSF, Karthala.
65Diarra, M. et M. Monimart. 2006. Femmes sans terre, femmes sans repères? Genre, foncier et décentralisation au Niger. In Drylands Issue Paper. London: International Institute for Environment and Development.
66Monimart, M. 1989. Femmes du Sahel : la désertification au quotidien. Paris: Karthala.
Alix Morales
67Dirigente campesina
68Asociación de mujeres campesinas de Inza Tierradentro, Colombia
69Alix Morales Marin est une leader paysanne de la région du Cauca, en Colombie. Elle compte plus de 10 ans d’expérience de l’organisation communautaire et du travail social, particulièrement dans le domaine de la souveraineté alimentaire dans une perspective de genre, à travers des processus de production et de transformation des produits locaux comme moyens de résistance et de permanence sur le territoire. Elle est l’une des fondatrices du comité de femmes au sein de l’Asociacion campesina de Inza Tierradentro, à partir duquel elle a mis en place des activités de formation et de sensibilisation, ainsi que des campagnes de prévention et d’élimination des différentes formes de violences envers les femmes. Le comité existe depuis 2000, et est né de la préoccupation des femmes qui se heurtaient à l’impossibilité d’accéder au travail rémunéré, à l’éducation formelle et informelle, aux formations politiques, et plus généralement à la non-reconnaissance systématique de leurs droits humains. Le comité œuvre à l’équité de genre et à l’empowerment des femmes à travers la promotion de leurs droits, l’amélioration de leur qualité de vie, l’élimination des violences dont elles sont victimes et la mise en valeur de leur travail politique, productif et reproductif.
Sabine Pallas
70Programme Officer – Women’s Access to Land
71International Land Coalition
72Sabine Pallas est chargée de programme au secrétariat de l’International Land Coalition (ILC), où elle est responsable depuis cinq ans de la mobilisation de ressources ainsi que des activités de l’ILC dans le domaine transversal de l’accès des femmes à la terre. Elle y facilite la collaboration entre les membres de l’ILC et supervise les projets financés par l’ILC, notamment des recherches en Amérique latine. Elle est aussi la personne référence pour les questions de genre, par exemple la représentation des femmes au sein des structures de gouvernance de l’ILC. Elle coordonne l’un des plus gros projets de l’ILC, un projet de recherche de trois ans en Afrique de l’Est et en Afrique australe, qui vise à créer des liens entre la recherche et l’action au niveau de l’accès des femmes à la terre, en collaboration avec des instituts de recherche, des ONG et des associations dans 7 pays de la région. Elle travaille actuellement au développement d’une approche de l’empowerment légal en se basant sur le travail de membres de l’ILC et sur une série de projets pilotes qui ont eu lieu en 2009-2010, et qui favorisent l’empowerment légal des femmes au niveau communautaire, en s’inspirant d’approches participatives et soucieuses d’équité de genre. Elle a une formation en sciences politiques et en études hispaniques (M. A., Université de Glasgow) et en études du développement (M. Sc., London School of Economics). De nationalité allemande, elle a passé les 16 dernières années à l’étranger, pour étudier et travailler en Grande-Bretagne, au Portugal, en Espagne, au Brésil, au Nigeria et en Italie.
Publications
73ILC (International Land Coalition) and IFAD. 2009. Module 4: Gender issues in land policy and administration. Gender in agriculture sourcebook. Accessible en ligne sur http://www.landcoalition.org/wp-content/uploads/ILCGender_web.pdf
74ILC. 2009. How to use CEDAW as an advocacy tool. Rome: International Land Coalition. Accessible en ligne sur http://www.landcoalition.org/wp-content/uploads/infonotesWeb.pdf
75FAO, IFAD and ILC. 2004. Rural women’s access to land and property in selected countries. Progress towards achieving the aims of the Convention on the Elimination of all forms of Discrimination Against Women. Rome: FAO, IFAD and International Land Coalition. Accessible en ligne sur http://www.landcoalition.org/pdf/cedawrpt.pdf
Carine Pionetti
76Chercheuse indépendante, Consultante en genre et développement
77Consultante en genre et développement, Carine Pionetti travaille sur le rôle et les stratégies des femmes en milieu rural, la valorisation de leur savoir-faire et la recherche de solutions adaptées. Titulaire d’un doctorat en écologie politique sur la question du contrôle des semences en Inde du Sud, elle travaille avec divers organismes internationaux (PNUD, Oxfam) pour développer une analyse de genre plus fine au sein de projets de développement en Azerbaïdjan, Tanzanie, Népal, Palestine.
Publications
78Pionetti, C. 2006. L’agrodiversité et les semences dans les stratégies vivrières des paysannes de l’Inde du Sud. In Empreintes et inventivités des femmes dans le développement rural. (Dir.) H. Guétat-Bernard et A.-M. Granié. Toulouse, Paris: Presses Universitaires du Mirail-IRD.
79Pionetti, C. 2006. Sowing autonomy: Gender and seed politics in semi-arid India. In Reclaiming diversity and citizenship. London: International Institute for Environment and Development.
80Pionetti, C. 2004. Jugement paysan des politiques agricoles et technologiques en Inde du Sud. In Les OGM. Mesure de l’innovation et contrôle du risque. (Dir.) P. Metay. Rennes: Presses universitaires de Rennes.
Elisabeth Prügl
81Professeure
82Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
83Elisabeth Prügl est professeure à l’IHEID depuis l’automne 2009; elle était auparavant professeure à la Florida International University de Miami, où elle était aussi codirectrice du Miami-Florida European Union Center of Excellence. Ses recherches portent sur la gouvernance globale, les relations internationales et l’économie politique internationale dans une perspective féministe. Ses travaux actuels portent sur les impacts genrés de la libéralisation du commerce agricole en Allemagne et les effets de la formation d’une expertise de genre sur les politiques féministes. Elle a reçu des financements de l’Union européenne, de l’International Studies Association, de la Commission Fulbright et de l’American Association of University Women.
Publications
84Prügl, E. forthcoming. Transforming masculine rule: Agriculture and rural development in the European Union. Ann Arbor, MI: University of Michigan Press.
85Prügl, E. 2010. Feminism and the postmodern state: Gender mainstreaming in European rural development. Signs: Journal of Women in Culture and Society 35 (2): 447-475.
86Prügl, E. 2009. Does gender mainstreaming work? Feminist engagements with the German agriculture. International Feminist Journal of Politics. 11 (2): 174-195.
Nitya Rao
87Senior Lecturer, Gender and development
88University of East Anglia
89Nitya Rao a obtenu son doctorat en genre et développement à l’Université d’East Anglia en Grande-Bretagne. Ses recherches actuelles portent sur les changements genrés dans les rapports agraires et fonciers, les migrations, les moyens de subsistance et le bien-être, les problèmes d’équité dans les politiques d’éducation et l’accès à l’éducation, les aspects genrés de l’accès et de la mobilité, et les rapports sociaux au sein du mouvement pour l’environnement et d’autres mouvements populaires. Son travail a porté principalement sur le sous-continent indien, mais aussi sur la région Asie-Pacifique et plus récemment sur l’Afrique. Elle est responsable de la section livres pour le Journal of South Asian Development.
Publications
90Rao, N. 2009. Conflicts and contradictions: land laws in the Santhal Parganas. In Legal grounds: Natural resources, identity, and the law in Jharkhan. (Ed.) N. Sundar. New Delhi: Oxford University Press.
91Jackson, C. and N. Rao. 2008. Gender inequality and agrarian change in liberalizing India. In The gendered impacts of liberalization. (Ed.) S. Razavi. London: Routledge.
92Rao, N. 2008. «Good women do not inherit land»: Politics of land and gender in India. New Delhi: Social Science Press.
Shahra Razavi
93Coordonnatrice, responsable des programmes de recherche en genre
94Institut de recherche des Nations unies pour le développement social (UNRISD)
95Shahra Razavi est coordonnatrice de recherche à l’UNRISD où elle supervise le programme Genre et développement. Shahra Razavi est spécialiste des dimensions genrées du développement social, avec un intérêt particulier pour les moyens de subsistance et les politiques sociales. Elle a obtenu son doctorat en économie agricole à l’Université d’Oxford en 1992; sa thèse portait sur une analyse des dimensions genrées de la commercialisation agricole dans le sud-est de l’Iran. Elle a conçu et coordonné un grand nombre de projets de recherche comparative globale, portant notamment sur: changement agraire, genre et droits fonciers; genre et politiques sociales; et l’économie politique et sociale des soins.
Publications
96Razavi, S. 2009. The gendered impacts of liberalization: Towards «Embedded Liberalism»? London: Routledge.
97Razavi, S. and S. Hassim. 2006. Gender and social policy in a global context: Uncovering the gendered structure of ‘the Social’. New York: Palgrave.
98Razavi, S. (Ed.). 2003. Special issue: Agrarian change, gender and land rights. Journal of Agrarian Change.
Fenneke Reysoo
99Chargée d’enseignement et de recherche, genre et développement
100Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
101Fenneke Reysoo est enseignante à l’IHEID depuis 2000. Titulaire d’un doctorat en sciences sociales de l’Université Radboud à Nimègue (aux Pays-Bas), elle a une longue expérience de l’enseignement académique et des recherches anthropologiques engagées dans différents pays du monde (Pays-Bas, Suisse, France, Maroc, Bangladesh, Mexique, Mali et Afrique du Sud). Ses intérêts de recherche portent surtout sur les questions de santé sexuelle et reproductive. Récemment, elle a terminé une recherche sur « Islamic stakeholders in Burkina Faso: Challenges for international co-operation » et obtenu un financement du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS), avec Yvan Droz, pour effectuer une étude sur « Genre, générations et égalité dans l’agriculture:Transformations des configurations familiales et des représentations de la masculinité et de la féminité en Suisse ».
102Dans les années 1990, elle était chercheuse senior au Centre de recherche et de documentation femmes et autonomie (VENA) à l’Université de Leiden (Pays-Bas). Dans ce cadre, elle a participé à de nombreux réseaux de recherche internationaux, dont le Gender Reproductive Health and Population Policies Research Network, avec Health Action International Network (HAIN) aux Philippines et l’Institute of Development Research Amsterdam (INDRA) de l’Université d’Amsterdam. Avant d’intégrer l’IUED à Genève, elle était Professeure adjointe au Département de méthodologie de la recherche à l’Université Radboud, à Nimègue. Elle a participé à la conception et au développement de cursus d’enseignement au niveau du BA, du MA et du doctorat.
Publications
103Reysoo, F. 2007. Ambivalent developments of female migration: Cases from Senegal and Lebanon. In Global migration and development. (Eds.) T. van Naerssen, E. Spaan, A. Zoomers. 253-268. New York: Routledge.
104Reysoo, F. 2005. Reproductive rights violations: A comparison of export-oriented industries in Mexico and Morocco. In The Gender question in globalisation. Changing perspectives and practices. (Eds.) T. Davids and F. Van Driel. 125-142. London: Ashgate.
105Reysoo, F. et C. Verschuur (Dir.). 2004. Femmes en mouvement. Genre, migrations et nouvelle division internationale du travail. Berne, Genève: Commission nationale suisse pour l’UNESCO, DDC et IUED.
Annemarie Sancar
106Point focal genre
107Direction du développement et de la coopération suisse (DDC)
108Annemarie Sancar est anthropologue spécialiste d’anthropologie sociale avec une expertise en migration et ethnicité. De 1995 à 2003, elle a été responsable de la communication et de la politique de migration et de la paix dans une ONG suisse féministe. Depuis 2003, elle est chargée des questions d’égalité de genre à la DDC (DFAE). En dehors de ses activités professionnelles, elle est active au sein du parti vert, et a été membre du conseil communal de Berne entre 1996 et 2004.
Publications
109Sancar, A. 2010. Gender-responsive development cooperation. Widerspruch. 38: 109-122.
110Sancar, A. 2009. Wirtschaftliches Empowerment für Frauen: Wege aus der Armut. In: Denknetz Jahrbuch 2009. 118-126.
111Sancar, A. 2009. Care-Oekonomie – ein neuer Ansatz, um Geschlechterungleichheiten in der Entwicklungszusammenarbeit sichtbar zu machen. In Care-Ökonomie. Neue Landschaften von feministischen Analysen und Debatten. Heft 30. Olympe – feministische Arbeitshefte zur Politik. 44-51.
Sandra Uwantege Hart
112Étudiante à l’Institut universitaire de hautes études internationales et du développement (IHEID)
113Sandra Uwantege Hart termine actuellement son Master en études du développement à l’IHEID. Après avoir obtenu un Bachelor à l’Université de Princeton, elle a travaillé pour le Programme alimentaire mondial en tant que chercheuse et consultante en charge du reporting, de l’information du public et des relations avec les bailleurs à Nouakchott en Mauritanie de 2007 à 2009. Plus récemment, elle a travaillé à Port-au-Prince à Haïti à la suite du séisme du 12 janvier 2010 en tant que coordinatrice adjointe du groupe pour l’alimentation et responsable de l’information. Elle est maintenant responsable de la gestion de la performance sociale et de la recherche de marché pour Fonkoze, une institution de microfinance qui propose des services financiers, de santé et d’éducation aux femmes à Haïti. Parallèlement, elle termine son mémoire de Master qui porte sur le genre et développement et dont le titre est « Gran Fanm Rete Anlè, Ti Fanm Rete Anba: Discourse and disconnect between Haitian women’s associations and the international humanitarian community in post-earth-quake Port-au-Prince, Haiti ».
Publications
114Uwantege Hart, S. 2011. Challenges and lessons learned in humanitarian response to urban disasters. Geneva: World Vision International in collaboration with the Graduate Institute for International and Development Studies.
115Uwantege Hart, S. 2008. Climate change? We need climate justice. Next Generation Press, Nouakchott, Mauritania. 10 March.
116Uwantege Hart, S. 2008. The Education for All Fast Track Initiative: School feeding programmes in Mauritania bring universal education a step closer. In Public Information Handbook, Education for All Fast Track Initiative. Washington D. C.: World Bank.
Christine Verschuur
117Chargée d’enseignement et de recherche, genre et développement
118Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
119Christine Verschuur est chargée d’enseignement et de recherche en genre et développement à l’IHEID, où elle est responsable du Pôle genre et développement. Elle est associée à l’IUED (qui est devenu en 2008 l’IHEID) depuis 1995. Elle est anthropologue et a soutenu sa thèse de doctorat à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne, sur le développement rural au Mozambique après l’indépendance en 1975. Elle a travaillé à l’Université Ed. Mondlane de Maputo ainsi qu’au Ministère du développement rural du Mozambique durant cinq années où elle a conduit des recherches sur les villages communautaires et les transformations des rapports sociaux. Ses intérêts de recherche portent sur la dimension de genre dans le développement rural, les théories féministes postcoloniales, les migrations, les mouvements populaires urbains. Durant dix ans, elle a coordonné une recherche dans sept pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Europe de l’Est, avec un réseau d’équipes de chercheurs de ces pays, dans le cadre du programme Management of Social Transformations (MOST) de l’UNESCO, sur les mouvements populaires urbains et les changements des rapports de genre. Elle dirige la collection des Cahiers Genre et Développement, qui paraissent depuis 2000 chez L’Harmattan.
Publications
120Verschuur, C. (Dir.). 2010. Genre, postcolonialisme et diversité des mouvements de femmes. Cahiers Genre et Développement n°7. Paris: L’Harmattan.
121Verschuur, C., 2009. Quel genre? Résistances et mésententes autour du mot genre dans le développement. Revue Tiers-Monde. N°200: 785-803.
122Hainard F. et C. Verschuur. 2005. Mouvements de quartier et environnements urbains. La prise de pouvoir des femmes dans les pays du Sud et de l’Est. Paris, Dakar: Karthala, ENDA.
123Meillassoux C. et C. Verschuur. 1985. Les paysans ignorés du Mozambique. Le Monde Diplomatique. Octobre.
Marcela Villarreal
124Directrice, Division genre, équité et emploi rural
125FAO
126Marcela Villarreal est directrice de la division Genre, équité, et emploi rural de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). Depuis ses débuts dans l’organisation en 1996, elle a été senior officer pour la recherche socio-culturelle; cheffe du service population et développement; cheffe du service genre et développement; et directrice de la division genre et population. Avant de travailler à la FAO, elle a obtenu son doctorat en sociologie rurale de l’Université Cornell, aux États-Unis, et travaillé comme senior officer au Fond des Nations unies pour la population (UNFPA) et pour le programme régional d’emploi de l’Organisation internationale du travail (OIT) à Santiago, au Chili. Elle a travaillé et publié sur des sujets tels que la lutte contre la pauvreté, le développement rural, l’emploi, les inégalités sociales, le VIH/SIDA et la sécurité alimentaire et les questions de genre, entre autres. Elle a dirigé ou participé à des missions d’assistance technique dans 40 pays.
127M. Villarreal est titulaire d’un doctorat de l’Université Cornell et d’un BA/MA en ingénierie des systèmes de l’Université de Los Andes de Bogotá. Elle est de nationalité colombienne.
Publications
128Villarreal, M. 2010. Gender and land rights. Understanding complexities, adjusting policies. In Economic and social perspectives. Rome: FAO.
129Jayne, T. S., M. Villarreal, P. Pingali, and G. Hemrich. 2006. HIV/AIDS and the agricultural sector in eastern and southern Africa: anticipating the consequences. In AIDS, poverty, and hunger: Challenges and responses. Highlights of the International conference on HIV/AIDS and food and nutrition security, Durban, South Africa, April 14-16, 2005. (Ed.) S. Gillspie. Washington, DC: International Food Policy Research Institute.
130Villarreal, M. 2006. Changing customary land rights and gender relations in the context of HIV/AIDS in Africa. Colloque international « Les frontières de la question foncière – At the frontier of land issues ». Montpellier, France: Institut de recherches pour le développement.
Cherryl Walker
131Department Chair, Department of sociology and social anthropology
132Stellenbosch University
133Cherryl Walker est professeure de sociologie et directrice du département de sociologie et d’anthropologie sociale à l’Université Stellenbosch en Afrique du Sud. Elle possède une vaste expérience de chercheure et de praticienne dans le domaine du développement rural, des réformes agraires et des études de genre, aux niveaux de l’État, des ONG et dans le milieu académique. Entre 1995 et 2000, elle a participé à la Commission pour la restitution des terres en tant que Commissaire régionale pour les réclamations foncières pour la province du KwaZulu-Natal. Ses recherches actuelles portent notamment sur les revendications foncières, la restitution des terres et les réformes foncières en Afrique australe et plus particulièrement en Afrique du Sud; les droits fonciers des femmes en Afrique; et la conservation de l’environnement dans le contexte du changement social et environnemental. Elle est membre du Comité consultatif international du Journal of Peasant Studies, et participe aux comités éditoriaux de Social Dynamics et Kronos. En 2008, elle était membre d’une équipe consultative d’experts pour le développement d’un cadre continental et de recommandations pour les politiques foncières en Afrique, sous la direction de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique.
Publications
134Bohlin, A., C. Walker, R. Hall and T. Kepe. 2010. Land, memory, reconstruction and justice. Perspectives on land claims in South Africa. Athens, OH: Ohio University Press.
135Walker, C. 2008. Landmarked: land claims and land restitution in South Africa. Johannesburg: Jacana Media & Ohio University Press.
136Walker, C. 2003. Piety in the sky? Gender policy and land reform in South Africa. Journal of Agrarian Change. 31 (2):113-148.
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Les silences pudiques de l'économie
Économie et rapports sociaux entre hommes et femmes
Yvonne Preiswerk et Anne Zwahlen (dir.)
1998
Tant qu’on a la santé
Les déterminants socio-économiques et culturels de la santé dans les relations sociales entre les femmes et les hommes
Yvonne Preiswerk et Mary-Josée Burnier (dir.)
1999
Quel genre d’homme ?
Construction sociale de la masculinité, relations de genre et développement
Christine Verschuur (dir.)
2000
Hommes armés, femmes aguerries
Rapports de genre en situations de conflit armé
Fenneke Reysoo (dir.)
2001
On m'appelle à régner
Mondialisation, pouvoirs et rapports de genre
Fenneke Reysoo et Christine Verschuur (dir.)
2003
Femmes en mouvement
Genre, migrations et nouvelle division internationale du travail
Fenneke Reysoo et Christine Verschuur (dir.)
2004
Vents d'Est, vents d'Ouest
Mouvements de femmes et féminismes anticoloniaux
Christine Verschuur (dir.)
2009
Chic, chèque, choc
Transactions autour des corps et stratégies amoureuses contemporaines
Françoise Grange Omokaro et Fenneke Reysoo (dir.)
2012
Des brèches dans la ville
Organisations urbaines, environnement et transformation des rapports de genre
Christine Verschuur et François Hainard (dir.)
2006