Repères bibliographiques
p. 273-280
Texte intégral
Bachelard, G.
1972 La poétique de l’espace, Paris, PUF.
Gaston Bachelard nous invite ici à développer notre imagination poétique afin de découvrir au moyen d’images simples, c’est-à-dire premières, primordiales, des « espaces heureux ».
« Nos enquêtes mériteraient, dans cette orientation, le nom de topophilie ». Ces espaces heureux sont délimités par des formes, des odeurs, des couleurs, des lumières et des ombres. Nécessité donc de dépasser le monde de la simple description, en vue de vivre l’adhésion première : à la maison de la cave au grenier, aux tiroirs, aux coffres et aux armoires, aux images révélées par la coquille (le nid, le coin). Pour cela, aller au-delà des « fossiles linguistiques » et se méfier de la vue qui « dit trop de choses à la fois », bref tout un programme de phénoménologie débouchant sur une dialectique du dehors et du dedans, programme constamment guidé par des repères poétiques concrets. Ce livre est en lui-même à la fois méthodologique et poétique.
Berger, J.
1972 Voir le voir, Paris, Alain Moreau.
A partir d’une série d’émissions de télévision de la BBC réalisées avec la collaboration de John Berger, Voir le voir est un livre composé de chapitres ne comportant que des images (essais picturaux), et des chapitres où l’écrit a le dessus. L’ouvrage a pour but d’une parte de d’é-construire ou mettre en lumière les présupposés culturels à propos de l’art (exemples : la beauté, la vérité, le génie, la civilisation, la forme, le rang, le goût, etc.) et d’autre part — sur un plan méthodologique — de proposer une façon nouvelle de poser les questions ayant trait au « voir » et au « être vu » dans un contexte historique et social donné, questions devant faire déboucher le lecteur sur une nouvelle conscience de la qualité et des déterminations de son regard.
Baudrillard, J.
1968 Le système des objets, Paris, Gallimard.
Parti de l’objet, l’auteur montre comment cet objet se convertit en signe, conversion qui implique simultanément une modification de la relation humaine. « Pour devenir objet de consommation, il faut que l’objet devienne signe, c’est-à-dire extérieur de quelque façon à une relation qu’il ne fait plus que signifier — donc arbitraire et non cohérent à cette relation concrète, mais prenant sa cohérence, et donc son sens, dans une relation abstraite et systématique à tous les autres objets-signes ». Ainsi se construit ce système des objets, là où les objets ne sont pas consommés dans leur matérialité, mais dans la différence (le plus souvent minime ou illusoire) qui les séparent (et les lient) les uns aux autres.
Sur les objets, le premier ouvrage qui en fasse une analyse sociologique très dense et stimulante jusqu’à la provocation, tout en se concentrant au niveau du quotidien.
Baudrillard, J.
1978 A l’ombre des majorités silencieuses ou la fin du social, Paris, Utopie.
« Peut-on s’interroger sur ce fait étrange qu’après plusieurs révolutions et un siècle ou deux d’apprentissage politique, en dépit des journaux, des syndicats, des partis, des intellectuels et de toutes les énergies mises à éduquer et à mobiliser le peuple, il se trouve encore (et il se trouvera exactement de même dans dix ou dans vingt ans) mille personnes pour se dresser et vingt millions pour rester ”passives” — et non seulement passives, mais pour préférer franchement, et en toute bonne foi et dans la joie et sans même se demander pourquoi, un match de football à un drame humain et politique ». (p. 25).
Autour de cette réflexion, Baudrillard examine le concept de « masse ». Il cherche à en évaluer les capacités d’implosion. La question n’a pas à être résolue : elle devait être posée. L’auteur voulait préparer le terrain à d’autres analyses que celles dénonçant rituellement « un pouvoir tout-puissant dans la manipulation », (p. 25). Pour lui, l’explication des mystères politiques se situe ailleurs. « Le peuple est devenu public ». (p. 58).
L’enjeu fondamental pourrait bien résider dans les virtualités implosives des restes du Spectacle.
Boorstin, D. J.
1963 L’image, Paris, René Julliard.
« Le mot anglais “image”, tiré du latin imago, est lié au verbe latin imitari qui signifie : imiter. Selon la définition courante des dictionnaires américains, une image est l’imitation factice ou la représentation de l’aspect externe de quelque objet, et tout particulièrement d’une personne ». (p. 249).
Selon Boorstin, notre siècle se caractérise, entre autres bien sûr, par la production industrielle d’images. Les motivations entourant cette production, sa propagation, son inadéquation croissante à l’environnement pertinent de l’individu créent un phénomène général que l’auteur a baptisé « pseudo-événement ». Le pseudo-événement désigne tout aussi bien la vedette de cinéma placé sur orbite par les appareils d’information spécialisés, le Paris du touriste et des cartes postales, le paysage et l’infrastructure d’une autoroute, que le slogan publicitaire ou les « fausses nouvelles » qu’on s’empresse de démentir, occasionant par là une information de plus.
« J’appellerai “pseudo-événements” la forme de nouveauté synthétique dont nous avons été envahis ». (p. 22).
Par la promotion de son concept et son application à l’ensemble du champ de la quotidienneté moderne, Boorstin a œuvré en pionnier. Il n’a certes pas poussé la logique du pseudo-événement dans ses derniers retranchements, comme l’avaient déjà fait un Debord ou un Lefebvre, et comme l’a fait par la suite un Baudrillard. Mais, même inachevée, ambiguë et superficielle, sa démarche n’en a pas moins contribué à démonter quelques pans fondamentaux du système de la consommation induite et planifiée.
Boudon, P.
1969 « Sur un statut de l’objet », in Communications, no 13, Paris, Seuil.
Cet article à grandes ambitions sur le plan théorique nous a été utile surtout par l’introduction de trois « variétés principales » dont il se sert pour définir l’objet. La variété phonique de « l’objet » (c’est-à-dire ce qu’en propagent les magazines, la télévision, la publicité, etc.), la variété scopique de « l’objet » qui définira « les possibilités de recherche de ses qualités sous ses formes visuelles d’appréhension, à l’observation naïve, ... » et la variété scripturale de « l’objet » qui, elle, décrit la marque, l’inscription, la trace sociale imprimée par « l’objet ». L’objet sans guillemets est l’objet compris dans ses trois ‘varités’. Une partie intéressante concerne la distinction faite par Boudon entre codes et réseaux (endogènes, exogènes).
Bourdieu, P.
1972 Esquisse d’une théorie de la pratique précédé de Trois Etudes d’ethnologie kabyle Genève, Droz.
Cette théorie de la pratique est avant tout une réflexion épistémologique fondamentale. Les pratiques des peuples ethnologisés n’enfermant pas forcément en elles leur propre théorie, Bourdieu examine les modalités selon lesquelles les théories des ethnologues viennent combler ce manque.
Bourdieu, P.
1975 « Méthode scientifique et hiérarchie sociale des objets », in Actes de la recherche en sciences sociales, no 1, janvier 1975.
« L’expérience montre que les objets que la représentation dominante traite comme inférieurs ou mineurs attirent souvent ceux qui sont le moins préparés à les traiter ». Ce bref article de P. Bourdieu suffirait à expliquer, sinon justifier, les dissonances entre plusieurs articles autour d’un même thème. On ne saurait en effet oublier que le choix d’un objet d’étude s’inscrit dans une stratégie globale des rapports sociaux, ou il peut aussi bien traduire un progrès dans la démarche scientifique qu’une adhésion aux modes intellectuelles les plus vulgaires du moment.
Cayrol, J.
1968 De l’espace humain, Paris, Seuil.
L’essai de J. Cayrol se prévaut de l’intuition, titre de la collection. Les impressions d’un écrivain sur les transformations de l’espace urbain sont toutefois plus fécondes que beaucoup d’arguties théoriciennes.
Du drugstore au cimetière, du café au grand-ensemble, l’auteur interroge l’environnement construit et en révèle les défauts, en décèle les failles, en dénombre les promesses.
Debord, G.-E.
1967 La société de spectacle, Paris, Buchet/Chastel.
« Le spectacle n’est pas un ensemble d’images, mais un rapport social entre des personnes, médiatisé par des images » (Thèse 4). En 221 « thèses », le principal chef de file des situationnistes analyse notre société, où l’autonomie de la marchandise fonde la toute-puissance de l’apparence. « Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux » (Thèse 9), le pseudo-événement préfabriqué y domine et oriente le réel : il est le réel ! Cet événement n’est plus visible pour ce qu’il contient et il n’a pas d’autre contenu que d’être visible : « Le spectacle est le capital à un tel degré d’accumulation qu’il devient image » (Th. 34). Les analyses que Debord a faites du spectacle et de la marchandise trouvent un écho toujours plus grand chez des auteurs d’horizons fort divers.
Dolle, J.-P.
1972 Le désir de révolution, Paris, Grasset.
« J’étais, comme on dit, un marxiste, qui plus est, un léniniste. Je connaissais mes textes ». Rupture d’avec un « avant » militant dans un mai 1968 qui fait naître l’espoir d’un « retour de l’exceptionnel » : la révolution, « et pour la faire cette révolution, il faut et il suffit que des hommes la désirent ». Là se situent les origines d’un livre qui, nous dit l’auteur dans sa préface à la 2ème éd., « croyait participer d’un cycle qui débuterait par la libération et se clôturerait dans son effet tendre et inéluctable : que chacun puisse dire Je ». Et d’ajouter : « Depuis, le désir est devenu marchandise ». Le désir a rejoint ce monde des objets que Dolle analyse au Chapitre 2.
Tout objet n’a de sens que dans un système d’objets, lequel n’est rien d’autre que le système d’échange généralisé de ces objets. La réalité n’est que système de signes : « on est dans le discours du semblant » où la réalité « a besoin de l’image qui la redouble pour exister (...) l’image est le semblant du réel... ». Nous retrouvons là un des échos de Debord et faisons un parallèle avec Boorstin et le concept de pseudo-événement (L’image, 1971) lequel nous ramène également à des pages de l’Internationale Situationniste.
Flüsser, V.
1973 La force du quotidien, Paris, Marne.
Analysés sous l’angle essentiellement de la communication (préface de A. Moles), les objets examinés dans cet essai appartiennent à la quotidienneté : la canne, le mur, la pipe, le livre, la bouteille, les lunettes etc. Comme l’indique le titre, ces objets quotidiens possèdent une force, des forces plutôt : celle de prolonger les sens de l’homme, celle de se constituer en écran ou en fenêtres sur le monde, celle de projeter l’image d’une certaine société, celle d’émettre toute une série de messages. La force du livre, elle, réside dans la prolongation d’intuitions de départ jusqu’à un niveau d’analyse concrète où se posent alors de nouvelles questions.
Gardin, J.-Cl.
1974 Les analyses de discours, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé.
Oeuvre de rigueur, l’étude de Gardin se fixe deux objectifs : d’une part démasquer la fraude intellectuelle sous-jacente à certaines démarches qui, telles la linguistique et la sémiologie, se présentent explicitement comme des super-sciences, ou sciences des sciences ; d’autre part, fonder par quelques critères des Sciences de la Nature, une évaluation possible des procédures utilisées en Sciences Humaines, et ouvrir par là certaines voies rigoureuses dans l’analyse de textes (au sens large).
Gardin distingue entre sciences dites « dures » et sciences dites « molles ». Il montre avec brio combien les systèmes d’analyse employés par la linguistique et la sémiologie ont tendance à se poser en point de vue de Sirius. Il s’efforce ensuite d’examiner les efforts analytiques de sciences particulières, empruntant des méthodes particulières également, à la lueur de tests de vérification/validation — conditions indispensables au label de « science », impliquant la capacité de prédiction à partir de l’observation de récurrences (test de pertinence, test de compatibilité, test par les diagnostics, test par les faux).
Ces procédures devraient mettre un peu d’ordre dans les pratiques d’analyse du discours en Sciences Humaines.
Enzensberger, H. M.
1973 Culture ou mise en condition, Paris, UGE (coll. 10/18).
« Le rationalisme au sens le plus large du terme, est la condition préalable de toute industrialisation de l’opinion... ...La condition politique préalable du façonnement industriel des esprits est la proclamation (mais non suivie de réalisation) des droits de l’homme... » (p. 14). A partir de ces prémisses, somme toute scandaleux, l’auteur exerce sa verve caustique sur différentes manifestations de l’industrie culturelle, le journalisme, la littérature, etc. On lira avec profit une théorie du tourisme (p. 202-234), antithèse de la liberté.
Gauchet, M.
1977 « La dette du sens et les racines de l’Etat. Politique de la religion primitive », in Libre, no 326, Paris, Pavot.
Pour se constituer dans l’unité les sociétés primitives reporteraient au dehors d’elles l’explication de leur principe fondateur, l’origine de leur mode d’organisation, les attribuant aux dieux, aux ancêtres. Cette mise en extériorité fournirait les bases même du principe de l’Etat. Une nouvelle façon d’ancrer la genèse du politique.
Horkheimer, M.
1974 Eclipse de la raison, Paris, Payot.
Cet ouvrage offre un bon aperçu des thèses pessimistes de l’école de Frankfort. « Plus le savoir technique se développe et plus, semble-t-il, l’homme voit se réduire l’horizon de sa pensée et de son activité... Le progrès menace d’anéantir le but même vers lequel il tend en principe : l’idée de l’homme » (p. 10). Il n’est pas inutile de voir comment la théorie critique les formes de domination sociale du capitalisme tardif. Le déterminisme économique relégué (déjà) au second plan, l’œuvre de Marx sert encore à comprendre la disparition de l’individu dans le consommateur. La problématique des objets confine à une dimension supérieure où sont remises en cause la raison et l’autonomie du sujet de la société bourgeoise.
Kepes, G. (sous la direction de)
1968 L’objet créé par l’homme, Bruxelles, La Connaissance.
Différents auteurs (dont G. Dorfles, M. Mc Luhan, H. Read) s’emploient à rendre compte de l’importance croissante du monde des objets. La diversité des points de vue ne suffit pas à dissimuler la pauvreté moderne de la production matérielle, qui ressort d’une étude photographique. Elle donne pourtant à l’ouvrage une coloration optimiste exprimée dans la capacité de l’homme à se parfaire au travers de ce qu’il crée.
Klossowski, P.
1970 La monnaie vivante, Paris, Losfeld.
La fabrication industrielle des objets conditionne non seulement une économie de besoins, mais une économie d’affects. « La terre d’abord ; les instruments ensuite ; les objets et enfin le signe des objets, jusqu’à leur interposition entre les êtres et leurs désirs, de signes valant pour les désirs et leurs objets en tant que ressources évaluables ». P. Klossowski fait relever l’aliénation par l’objet de causes plus profondes que la rationalité économique. La survie de l’espèce dans le système des objets et leurs besoins a pour prix le renoncement à leur usage pervers, à l’épanouissement inconséquent des fonctions de vivre.
Lefebvre, H.
1968 (a) « Eléments d’une théorie de l’objet », in Du rural à l’urbain, Paris, Anthropos.
1968 (b) La vie quotidienne dans le monde moderne, Paris, Gallimard (coll. Idées).
« L’exposé vise donc à l’élucidation du quotidien à partir d’une analyse du statut des objets » (p. 267).
On doit à l’auteur d’avoir sans doute le premier circonscrit l’étude des objets dans la vie quotidienne, seule garantie d’une possible adéquation de la théorie et de la pratique. Si la lecture de H. Lefebvre est toujours indispensable à qui veut pénétrer le quotidien, on recommandera plutôt le second de ces ouvrages. Le premier ne saurait constituer qu’une introduction à l’étude des objets, qui a considérablement progressé depuis lors.
Mander, J.
1978 Four Arguments for the Elimination of Television, New York, William Morrow and Co.
Tel un procureur général pourfendant les méfaits d’un fauteur de trouble, J. Mander développe quatre séries d’arguments, chacune contenant de nombreuses plantes vénéneuses, et formant un réquisitoire des plus radicaux contre la Télévision.
« Image disconnected from source » / « The unification of expérience » / « The replacement of human images by television ».
Nous ne voulons pas discréditer l’ouvrage en le réduisant à quelques unes de ses têtes de chapitres. La télévision ne fait pas l’objet d’un débat, mais d’une vivisection : dans ses restes encore fumants, on y découvre le vertige d’un piège diabolique et définitif. La séparation physique et communicationnelle des spectateurs surgit d’une gigantesque centralisation des modèles grâce auxquels des images-simulacre sont produites, diffusées et ingérées comme réelles et vraies. Les effets secondaires de ce vaccin contre la communication humaine, la créativité et l’exercice de l’imagination, détaillés au long des trois cent soixante pages de l’étude, plongent de manière décisive le téléspectateur dans un état d’infirmité sociale.
Pour Mander, la télévision n’est pas réformable, constituant un enjeu que seule une opération chirurgicale saurait résoudre. Cette utopie se nuance d’autres Possibles plus proches, suggérés subtilement par le négatif du rapport télévisé.
Moles, A.
1972 Théorie des objets, Paris, Editions universitaires.
La perte du sens de l’existence individuelle promeut l’objet au rang de médiateur social. Du medium au message, le pas est vite franchi qui cristallise dans le discours d’objets toute communication entre la société et ses membres. La psychosociologie d’A. Moles n’est pas sans intérêt pour déchiffrer les collections d’objets constitutives pour beaucoup de l’identité des acteurs sociaux. La circularité qu’établit impudemment la cybernétique entre une production d’objets et une théorie des besoins, sur le modèle des systèmes biologiques, en limite cependant la portée. A lire tout au plus comme un cauchemar de science fiction.
Morin, V.
1969 « L’objet biographique », in Communications, no 13, Paris, Seuil.
Violette Morin dans « l’objet biographique » fait la distinction entre deux usages antinomiques de l’objet : l’objet « biographique » fait partie de l’environnement et de l’intimité de l’usager, l’objet dit « protocolaire », c’est l’objet mécanisé moderne qui obéit à l’injonction du « tout le monde en a », celle qui finit par progressivement se réaliser. C’est sur cette opposition en filigrane que l’auteur développe une théorie de la médiation à travers l’objet biographique.
Perec, G.
1965 Les Choses, Paris, Julliard.
En refermant le roman de G. Pérec, le lecteur sera peut être tenté de ne pas s’y reconnaître. Ce court récit, heureusement couronné d’un prix Goncourt, montre pourtant excellemment les conséquences de la réification par et dans l’objet ; l’inauthenticité des rapports sociaux y est révélée à travers le prisme du vécu d’un couple, prisonnier du miroir aux alouettes de la société marchande. Dix-neuf ans après, seules ont pu changer nos illusions sur nous-mêmes, pas la réalité de notre sujétion.
Le texte seul est utilisable sous licence Creative Commons - Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International - CC BY-NC-ND 4.0. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Côté jardin, côté cour
Anthropologie de la maison africaine
Laurent Monnier et Yvan Droz (dir.)
2004
La santé au risque du marché
Incertitudes à l’aube du XXIe siècle
Jean-Daniel Rainhorn et Mary-Josée Burnier (dir.)
2001
Monnayer les pouvoirs
Espaces, mécanismes et représentations de la corruption
Giorgio Blundo (dir.)
2000
Pratiques de la dissidence économique
Réseaux rebelles et créativité sociale
Yvonne Preiswerk et Fabrizio Sabelli (dir.)
1998
L’économie à la recherche du développement
Crise d’une théorie, violence d’une pratique
Christian Comeliau (dir.)
1996