Chapitre X. Fondements et conceptions d’intellectuels
p. 297-302
Texte intégral
La communauté de droit
1Isidro Fabela écrit de Genève le 3 septembre 1939 au président Lázaro Cárdenas : « La France et l’Angleterre ont déclaré aujourd’hui la guerre à l’Allemagne. Cela devrait être. Il était très difficile, voire impossible, que des arrangements pacifiques intervinssent alors qu’il existe de la part de l’Allemagne une volonté impérialiste de continuer son expansion et, de la part de la France et de l’Angleterre, la ferme intention de s’opposer à l’hégémonie germanique en Europe... » [115]. Alfonso Reyes se demandait en 1936 si « l’Europe était encore en état de dicter avec autant de force ses directives spirituelles » [125] ; la réponse négative est, en 1939, implicitement donnée. La « drôle de guerre », pendant laquelle la Pologne est rapidement dépecée, et la propagande française (et franco-britannique) en cours d’organisation rationnelle au Mexique, ne changent rien à l’évidence de cette constatation des intellectuels mexicains : l’Europe est décidément vieille. Le président Lázaro Cárdenas déclare ainsi en 1939 que « toute la nation entière s’unit à lui pour déplorer profondément le fait qu’un groupe de grands Etats, pour une raison ou pour une autre, ait recouru à la lutte armée pour chercher une solution à leurs différends, substituant ainsi la violence à l’autorité de la loi et de la justice »1. Leçon magistrale de droit donnée en retour à une Europe latine, mère et traditionnellement marraine du droit écrit, du droit romain. L’héritage « latin », s’il est reconnu au Mexique, est assurément assimilé ; mais l’élève a dépassé le maître jugé « accablé », « sénile » ou « hypocrite ». La Latinité dépossédée de la latinité ? Il est dans ce cas presque inutile de s’interroger sur « l’explication juridique » de la latinité [F. Mauro, 361], puisque, devenue un phénomène proprement national, admis, elle n’est plus un facteur délicat pour l’affirmation d’une « mexicanité ».
2Pour ne s’être pas engagée définitivement dans le conflit européen pendant ces huit premiers mois de guerre immobile, l’Italie fasciste revendique encore en 1940, mais sans vigueur excessive, cette fraternité culturelle en ayant à son actif — omission faite de l’invasion de l’Ethiopie — le respect apparent du droit... Encore faut-il considérer que l’Italie, de septembre 1939 à mai 1940, est le principal acheteur européen de pétrole mexicain et que cela incline au respect mutuel ; que par contre sa participation à la guerre civile espagnole a été connue au Mexique et présentée sous un jour peu favorable ; que la présence au Mexique d’exilés démocratiques italiens ne favorise pas la cause politique et culturelle de l’Italie de Mussolini [197] dans ce rapprochement vis-à-vis du Mexique au sein d’une communauté de droit.
3Quoi qu’il en soit de la nature même de ce lien de filiation juridique entre contrées latines, il est donc sévèrement battu en brèche en pratique. Le Mexique, avec l’Amérique espagnole, devient, sous cet aspect particulier, le vecteur, l’unique héritier de cette « latinité », surtout après la déclaration de guerre de l’Italie à la France. Mais il ne se veut nullement orphelin, se considérant comme ayant largement atteint l’âge de l’indépendance et de la maturité. Le Mexique, pays économiquement important dans la région, pays à gouvernement qui finit par établir sa stabilité, pays démocratique de par sa constitution et son régime militaire (ensemble de facteurs rarement réunis au sud du Rio Grande sur le continent américain en 1939), peut revendiquer l’essentiel de l’héritage latin : il est le fils aîné, mais se veut original. Cet héritage latin tombe à point nommé, puisque la culture comme l’économie et la propagande nord-américaines font une entrée effective massive en terre mexicaine pendant la Seconde Guerre mondiale : le discours latin peut servir de rempart pour une opinion susceptible face au renforcement structurel des liens avec les Etats-Unis. En ce sens, et parce que la France ne peut plus servir de modèle, la latinité, appropriée par le gouvernement mexicain, facilite la pénétration culturelle du grand voisin du nord.
L’humanisme latin comme facteur de décadence
4Le 5 février 1942, le président du Comité central exécutif du Parti de la révolution mexicaine, Antonio Villalobos, proclame que « le Mexique est fier de jouir des garanties individuelles et sociales qu’offrent les Droits de l’homme et du citoyen... » [87, p. 517].
5Et le 12 octobre 1942, en l’honneur du « Día de la Raza », Villalobos se réfère explicitement à la civilisation latino-européenne :
« Avant qu’éclate la conflagration de 1939, les principaux porte-parole de l’intelligentsia révolutionnaire2 européenne, scrutant l’horizon chargé de nuages sinistres, désignaient l’Amérique comme le refuge de la civilisation occidentale menacée de laminage par les nouveaux courants. L’illustre écrivain Paul Valéry disait “si l’Europe doit voir mourir ou périr sa culture..., l’Amérique sauvera l’Europe de la menace des barbares et rendra indestructibles les principes de liberté”... » [87, p. 519].
6Même si la référence au poète du « Cimetière marin » est un peu outrancièrement extraite du contexte de l’Amérique du Nord anglo-saxonne, cette interprétation d’un Mexique prédestiné à sauver l’Europe latine et sa culture constitue un exemple éloquent de la filiation évoquée ci-dessus... L’universitaire Mario de la Cueva écrivait quelques années auparavant que « la France a sauvé l’Amérique hispanique. Les peuples d’Amérique ont vécu à la française et ont pu se conserver latins. L’université de México fut une université française ; et l’on doit à la France par-dessus tout l’amour de la liberté, désir inextinguible de l’homme hispano-amérivain, sentiment d’autant plus profond que l’oppression de certains de nos gouvernements a été forte »3.
7Un autre universitaire, Salvador Azuela, écrit vers 1940 à propos de cette « prédominance » de la France dans la culture mexicaine : « Avec l’influence chrétienne de l’Espagne et la nuance indigène incorporée au métissage, la culture française a été pour nous, pendant de nombreuses années, d’une portée fondamentale ; il en a été de même en politique comme en littérature, en philosophie comme dans le domaine scientifique » [197, p. 20].
8Quel changement pour l’homme cultivé de la terre aztèque, tel José Vasconcelos, qualifié récemment encore « d’Européen sans cordon ombilical »4 ! L’italo-mexicain Jorge Silva écrit à la fin de l’année 1944 dans le même ordre d’idée que « face au complexe d’infériorité lamentable et injustifié qu’ont certains Mexicains ne sachant pas aimer leur pays et leur peuple comme ils le méritent et les estimer à leur juste valeur, (la recherche sur les liens entre la France et le Mexique) pourra peut-être servir à montrer pourquoi dans un pays de si haute tradition culturelle comme la France d’éminentes personnalités des Lettres ont dirigé leur regard fortement intéressé vers ce coin d’Amérique » [197, p. 25].
9Un processus d’identification proprement mexicain s’accélère donc avec l’irrémédiable faillite européenne de la paix des Nations et de sa Société. Néanmoins, le cheminement vers une réelle indépendance et une entière autonomie culturelle n’est pas terminé pour une partie importante des élites mexicaines du début des années 1940... L’est-il jamais ? N’est-ce pas aussi une pure figure de l’esprit, une utopie souhaitable, que ce concept d’autonomie culturelle dans son sens le plus strict, au moment où les techniques et l’évolution commerciale internationale établissent entre les nations des liens nouveaux et plus immédiats ? N’y a-t-il plus d’identité possible qu’en tant que métissage ?
10Car persiste cette référence culturelle extérieure, permanente au sein d’une partie des élites mexicaines, qui englobe humanisme, philosophie des Lumières, et, corollaire immanent, les principes issus de la Révolution de 1789 ; or cette référence possède d’une certaine manière sa contrepartie européenne, et, par cela même, mexicaine : le sentiment européen, interne et profond, de « décadence ». Salvador Azuela ajoutait aux propos déjà cités :
« Il faut reconnaître qu’après la guerre de 1914-1918, l’ascendant (de la culture française) avait de façon lamentable beaucoup diminué, car elle représentait une force morale splendide dans la défense des valeurs de la latinité ».
11Amertume réservée d’un francophile peu critique. Concrètement, le ministre plénipotentiaire allemand Freiherr von Rüdt pouvait écrire à sa chancellerie le 22 octobre 1938 « qu’à l’exception des journaux communistes et radicaux comme El Nacional, El Popular et La Voz de México, le reste de la presse, la presse sérieuse et représentative de l’opinion publique, montrait sa sympathie pour l’Allemagne » [286]. Au premier rang des facteurs à l’origine d’une telle détermination, le sentiment de décadence profond en Europe, de décadence de l’Europe, sans renouvellement apparent en France, contrairement à la plupart des pays européens qui tentent à la même période des expériences de puissance et de force, non sans écho outre-atlantique.
12Ernest Renan avait prononcé devant Déroulède cette phrase terrible :
« La France se meurt, jeune homme, ne troublez pas son agonie »... [1360]
13A sa suite, Barrès, Bourget, Lemaître, avant l’orée même du xxe siècle, avaient été les sujets d’une telle réflexion à propos d’une France « dissociée et décérébrée » [452, ch. 9]. Les années 1930 attestent d’un type de réaction analogue [360]. Cependant, cette nouvelle vague de critique de la société française dépasse de loin, en violence, la révolte de la génération de 1890. Même si Drieu La Rochelle écrit : « Je crois à la décadence de l’Europe, de l’Asie, de l’Amérique, de la planète », plus précis, Maulnier demande « Sortirons-nous de l’abjection française ? » en novembre 1936 dans un article de Combat consacré à « la dégénérescence française » ; car, pour Maulnier, la France
« repliée sur sa bassesse et s’en faisant gloire par une sorte de bravade crapuleuse (...) incapable de jouer encore un rôle dans le monde (et considérant) comme des ennemis de la civilisation ceux qui ne prennent pas pour modèle sa propre décadence, cette France-là, haineuse et tremblante, claironnant à travers le monde les défis de la Démocratie et du Droit, mais suante de peur au moindre geste de ses voisins, troublant le repos des puissants par de vaines injures avec une sorte de lâcheté provocatrice, cette France-là, c’est la France d’aujourd’hui ».
14Ce thème du « déclin de l’Europe » [356], du « déclin de l’Occident » [359], de la « décadence de la liberté » [358], ou, plus précisément, de la « décadence de la nation française » [351], transmis par les intellectuels européens — et en particulier français —, ne peut que trouver un écho « bienveillant » en Amérique latine où l’on perçoit surtout de l’évolution européenne les rumeurs de la guerre. L’Europe latine, la France au centre, aux yeux d’un monde américain peu enclin dans ce domaine à l’indulgence, se discrédite elle-même : lucidité, honnêteté, pessimisme outrancier ou jeu de politique intérieure, une tradition de propagande politique ou culturelle reposant sur le prestige de la France est ainsi mise en contradiction violente avec les élites censées la soutenir. Le 10 juillet 1940, P.E. Flandin proclamait à la face du monde : « Si ce pays est descendu au point où il est tombé, il ne le doit pas seulement à la décadence des mœurs parlementaires, il le doit à une décadence généralisée »5. Pourtant, la guerre passant, la France libérée, l’idée d’une « latinité-parrainage » ressurgit discrètement.
15Lorsque se taisent les armes en Europe après l’écrasement nazi, se maintient en effet au Mexique un groupe soudé d’intellectuels réunis autour de l’« humanisme » français. La création de l’Institut français d’Amérique latine (ifal) fait écho à ce groupe en lui proposant un centre de polarisation. La guerre a permis l’expression d’une francophilie inaccoutumée — tant par son importance que par ses caractéristiques nouvelles — qu’anima la France libre. Des personnalités telles Paul Rivet ou Jules Romains, promoteurs de l'IFAL, veulent cultiver et extraire des circonstances particulières de sa naissance cette expression de francophilie : le renouveau ne serait pas conjoncturel mais structurel. Au Mexique, en 1945, il s’agit de fixer ce sentiment d’une génération d’intellectuels mexicains et de veiller à son futur renouvellement, par exemple dans le cadre de l'ifal (cet objectif n’est plus atteint dans les années 1980).
L’humanisme latin comme facteur de régénérescence
16Robert Escarpit, nouvellement arrivé de France, prononce à l’ifal son cours inaugural en 1945 sur « l’humanisme français », sous la présidence de cet « humaniste de la haute époque », cet « Erasme » [192, p. 8] qui voit dans la culture française « l’expression d’un humanisme universel » [192, p. 11], Alfonso Reyes. Pour conclure le cours, Reyes exalte l’humanisme français, « valeur commune au Mexique et à la France », « fertilisateur de la culture sudaméricaine » [184 b, no 6].
17Sous l’effet de ce que le « Mexicano universal » Alfonso Reyes aurait appelé avec sympathie « patriotisme fanfaron » ou, avec sévérité, « suffisance », cet appel à la France « fertilisatrice » se transforme souvent dans le discours officiel en panégyrique ; c’est alors un élément fondateur de la propagande française :
« Ne venez donc pas me dire : “Comme elle est pâle cette France”. Elle a versé son sang pour vous... “Quelle est pauvre !”. Pour votre cause elle a donné sans compter... Et personne n’ayant plus rien, elle a dit : “Je n’ai ni or ni argent mais ce que j’ai je vous le donne”. Alors elle a donné son âme et c’est de quoi vous vivez »6.
18Déjà en 1941, J. Soustelle énonçait comme thème de propagande : « Le général de Gaulle sauvera la France pour l’humanité ». Ainsi, ce thème de l’humanisme latin apparaît au lendemain de la guerre au centre du discours sur les relations entre la France et le Mexique, exprimé encore par le premier secrétaire de l’ambassade de France :
« Le Mexique est, aux côtés de la France, dans la recherche de la vérité humaniste »7.
19Inversement, cette omniprésence de l’« humanisme » comme thème de propagande français est en grande partie l’écho d’un discours mexicain qui incite à une telle exploitation ; et le terme de propagande ne nie aucunement la réalité du fait humaniste, de l’entendement humaniste commun aux deux nations. Le général Sanchez Hernandez, fidèle et efficace ami de la France libre, déclare à propos de la fondation de l’ifal :
« A la France correspond la prestigieuse succession culturelle de la Grèce immortelle ; la France, mère contemporaine des sciences, des arts et des lettres ; mère surtout du concept de liberté.
Si la France peut être fière de son illustre passé historique, elle doit l’être plus encore de sa tradition de maître spirituel.
Aujourd’hui ensanglantée, humiliée, incomprise elle a, au cœur de sa douleur, le geste généreux de se souvenir de ses filles spirituelles, les jeunes républiques latino-américaines et de les doter d’un établissement de haute culture... » [184 b, no 1].
20De même, lors de l’inauguration d’une Alliance française, le gouverneur de l’Etat de Toluca forme des vœux pour que « l’œuvre culturelle commencée maintenant fructifie dans un plus étroit rapprochement spirituel du Mexique et de la France, la mère immortelle et bénite de la latinité » [184 b]. Jamais, depuis le porfiriat et Auguste Comte, le Mexique n’a connu avec une vigueur comparable un tel courant d’expression de francophilie : le concept de latinité est alors précisément l’un des véhicules essentiels de cette expression ; car, « parmi les nations, au premier rang d’entre elles et avant nombre d’entre elles, la France immortelle, la maîtresse des nations, le paradigme de la civilisation et de la culture latine est en train de se relever » [184 b]. De là, souvent, un vocabulaire aux accents vasconcelliens notamment en ce qui concerne la race : « Ce qui fut chaîne de fer de l’esclavage est aujourd’hui guirlande de fleurs unissant ce peuple extraordinaire avec les autres du monde et en particulier ceux d’origine raciale latine (...). Il est nécessaire, indispensable que notre culture se latinise de nouveau si nous désirons qu’elle demeure ce qu’elle fut autrefois ; si nous voulons éviter qu’elle se déforme et qu’elle se dénature ; si nous souhaitons et désirons qu’elle demeure un reflet vivant et resplendissant de la culture européenne. Parce que la nôtre, bien formée et définie, avec toutes ses caractéristiques essentielles hispano-indiennes et correspondant à toutes les spécificités de notre propre identité spirituelle mexicaine, fut cependant très influencée surtout pendant le xixe siècle et au début du xxe siècle par la culture française, cette culture robuste et surabondante de sève vitale, qui franchit les Pyrénées, passa en Espagne, et, par cette route directe, arriva en Amérique qui fut un champ fertile, un sillon fécond... » [P. Martinez, 184 b].
21Récurrence de l’originel « latinidad vs sajonismo » et du traditionnel débat latinité/hispanité. Néanmoins, l’Espagne franquiste, dans la conception des intellectuels démocrates, dont nous examinerons le discours, ne peut être comparée à la France libérée de l’ancien chef de la France libre ; car « la France est l’unique nation latine qui figurera parmi les « grandes puissances » de l’après-guerre, et, en assumant avec courage sa responsabilité de gardienne de la culture latine, elle nous accueille de nouveau comme une grande mère spirituelle (...) flamme sacrée qui proclame la survie de l’esprit latin » [S. Martinez Cairo, 184 b].
22Cela permet de comprendre l’importance du cheminement accompli à la faveur des circonstances, grâce à l’efficace travail de sape réalisé par la propagande française depuis l’hiver 1939, grâce aussi au soutien de ses amis mexicains. Jacques Soustelle faisait remarquer en 1942 à ses supérieurs londoniens qu’au Mexique, « l’attitude à l’égard de Vichy est caractéristique d’un grand nombre d’intellectuels qui, après avoir fait confiance au Maréchal Pétain et lui avoir accordé le bénéfice du doute, avouent aujourd’hui leur amère désillusion »8.
Notes de bas de page
1 G/ Goiran à mae.
2 Révolutionnaire, au sens consacré au Mexique : ce terme est une projection automatique et maladroite d’une référence mexicaine puisque l’idéologie actuellement en vigueur et le gouvernement du Parti au pouvoir tiennent à cet enracinement dans la révolution, cette révolution dont le contenu conceptuel s’est peu à peu vidé.
3 De la Cueva, Mario, Prologue à l’Ariel de Rodo.
4 Lors du symposium sur la latinité organisé conjointement par le Mexique et la France et tenu à México en 1984.
5 cité par l’auteur des « Hommes malades de la paix », G. Suarez dans son ouvrage Pétain, Paris, 1941, p. 117.
6 Discours du Dr Raymond Fiasson, attaché culturel, 4 avril 1945, à rapprocher de Soustelle, L/ d. 266, 20-09-1941, Soustelle.
7 Discours à l’Institut français d’Amérique latine (ifal) de Jacques Leguèbe, premier secrétaire de l’ambassade de France au Mexique, 1945.
8 L/ d. 266, 27-02-1942, Soustelle à cnae.
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