Remerciements
p. 5-6
Texte intégral
1Ce livre est le fruit de multiples dialogues avec beaucoup de personnes, des migrants et des non-migrants du Guatemala, des professeurs, des collègues, des amis et des proches.
2Je tiens à remercier tout d’abord Mme María Eugenia Cosío Zavala pour sa confiance, pour ses qualités humaines et scientifiques d’écoute et d’analyse, et pour ses conseils précieux dans chacune des phases de ce travail. Elle m’a fait l’honneur d’écrire la préface de ce livre.
3Les habitants de Peña Roja m’ont ouvert leur porte et ont accepté de me faire partager leur monde. Merci à « Lucho », à « Wappy », à « Canche » et à « Chito », migrants et héros des Odyssées du monde moderne ; sans leur confiance, leur amitié et tous les moments qu’ils m’ont permis de partager du Guatemala aux États-Unis, cet ouvrage n’aurait pu voir le jour. Dans la vallée de Peña Roja, Anacleto Martinez et Eleonor, Juan Walfred Martinez et Patricia ont été mes guides, mes grands alliés.
4Cet ouvrage doit beaucoup au travail d’équipe mené au sein de l’ERSIPAL dont je remercie les coordinateurs, les professeurs Christian Gros et David Dumoulin-Kervran, ainsi que les membres du groupe Migrations : Céline Olivier, Marion Magnan, Marion Mirailles, et évidemment Orlando J. Trujillo-Irurita. De même, les échanges les mercredis soir dans l’Atelier Migrations au CEMS m’ont aidé à préciser ma recherche en la confrontant à d’autres expériences migratoires dans le monde. Enfin, les conseils, les critiques et les enseignements des professeurs Marielle Pepin-Lehalleur, Françoise Lestage, James Cohen, Leticia Calderón et Catherine Wihtol de Wenden ont continuellement stimulé ma recherche et mes questions.
5Le soutien de ma famille et de mes amis a été essentiel. Merci en particulier à ma mère Laïta Dubois, à mon père Luis Y. Aragón, à mon frère Ollantay Aragón, ainsi qu’à Federico-Ulric et Yahan Bermudez, à Louis Bertone, à la famille Dubois-Millot, à Isabelle Dubois-Mejía, à Iñaki Herranz, à François et Laurence Moulinier, et tout spécialement à Catherine Luuyt. C’est avec Nicolas Becuwe, Gustavo Bernal et Emmanuel Moulinier que j’ai découvert le Guatemala et la région de Peña Roja dans un voyage fondateur. Enfin, je ne saurais dire combien les relectures patientes, le regard vrai et la présence vive d’Awen Southern ont nourri et poli ce travail dans le quotidien que nous construisons ensemble.
6Pour autant, si toutes ces personnes ont contribué, de près ou de loin, à ce travail, j’en assume l’entière responsabilité.
7Je voudrais remercier enfin l’Université La Sorbonne Nouvelle-Paris III et le Crous de Paris pour leur appui financier qui m’a permis de réaliser mes enquêtes de terrain.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
S'affirmer Lacandon, devenir patrimoine
Les guides mayas de Bonampak (Chiapas, Mexique)
Julie Liard
2010
Représentations de l'Europe et identité au Mexique
Le Juan Panadero, un journal de Guadalajara (1877-1910)
Guillemette Martin
2008
Le lien migratoire
Migrations clandestines de paysans guatémaltèques vers les États-Unis
Argán Aragón
2008
Les fils du tabac à Bogotá
Migrations indiennes et reconstructions identitaires
Luisa Fernanda Sánchez
2007
Trajectoires féminines et mobilisation d’exilées à Bogotá
Des destins déplacés aux futurs éclairés
Marjorie Gerbier-Aublanc
2013
L'Institut international de Coopération intellectuelle et le Brésil (1924-1946)
Le pari de la diplomatie culturelle
Juliette Dumont
2008
Démocratie et sexualité
Politisation de la pilule du lendemain dans le Chili de la Concertación (1990-2010)
Lila Le Trividi Harrache
2013
De la parole avant le discours
Communication pré et post-natale dans une « communidad campesina » d’Amazonie péruvienne
Émilie Massot
2007
Le transfert d'un modèle de démocratie participative
Paradiplomatie entre Porto Alegre et Saint-Denis
Osmany Porto De Oliveira
2010