Voyager au Brésil
p. 233-239
Texte intégral
1Voici à peine un demi-siècle que partir pour le Brésil relevait moins du voyage que de l'expédition. Rares étaient les Européens qui pouvaient se vanter d'avoir fait une autre chose que d'admirer la baie de Rio de Janeiro ou jouir de l'hospitalité d'un riche planteur de café. Les Brésiliens, pour leur part, rêvaient davantage d'un séjour en Europe que de connaître leur propre pays.
2Les changements, perceptibles déjà vers 1935, se sont accélérés depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Vous rencontrerez dans les avions des lignes intérieures du Brésil, ou dans un motel au bord d'une grande route, un groupe de touristes nord-américains ou européens. Ce n'est pas non plus une rareté de voir à Salvador de Bahia ou à Bélem do Para des voitures immatriculées à São Paulo ou Rio Grande do Sul. Le Brésil a cessé d'être considéré comme une terre périlleuse, encore qu'attirante.
3L'attrait, on le sait tient d'abord à la grandeur des paysages que l'on connaissait autrefois par des descriptions des voyageurs émerveillés que leurs images diffusées par les mass media rendent plus désirables encore. Le voyageur rapportera, comblé, dans ses souvenirs plus que le décor carioca avec l'inoubliable Pâo de Açucar (Pain de Sucre). Il gardera la vision de l'étendue infinie de la forêt et des fleuves de l'Amazonie, celle des impressionnantes chutes du rio Iguaçu ou d'autres paysages tropicaux, car le Brésil, grâce à sa position géographique et à son immensité, en possède à peu près toute la gamme, si l'on excepte la haute montagne et le désert. Mais voyager au Brésil ne se réduit pas à la contemplation des « beautés de la nature ». C'est aussi la découverte d'un peuple et de sa culture.
4L'originalité de la civilisation brésilienne découle de la coexistence et du mélange des apports culturels des différents groupes humains qui, au cours des temps, ont contribué à la formation de la population. La survie de, peut-être tout au plus, 200 000 Indiens rappelle les quelques emprunts que les premiers colonisateurs ont pu leur faire. Mais c'est la marque du Portugal qui est le caractère fondamental de la civilisation brésilienne. Sa manifestation la plus éclatante est d'ordre linguistique puisque la langue portugaise est parlée par tous les Brésiliens et qu'il n'existe donc pas de groupes que leur langue isole de la communauté nationale. C'est là un élément de cohésion que l'on ne retrouve pas dans d'autres pays de l'Amérique Latine. Les trois siècles de domination portugaise ont laissé des traces visibles dans les régions du Brésil qui furent les premières touchées et peuplées par les Portugais : l'allure de rues et des types de maisons des petites villes, surtout au Minas Gerais, l'architecture et décorations des églises de Salvador, Olinda, Recife ou celles des vieilles cités du Minas qui prolongent en terre d'Amérique l'architecture religieuse du Portugal du xviie et du xviiie siècle ; le Brésil colonial témoigne de l'expansion de l'art baroque hors d'Europe. Mais l'on ne s'est pas borné à copier le modèle importé de la métropole. Car les conditions propres à la Colonie ont entraîné l'élaboration d'un art spécifique au Brésil. Il n'est pas un aspect de la culture brésilienne qui ne porte l'empreinte portugaise, de la cuisine à la musique savante comme du folklore aux comportements sociaux.
5Pour durable qu'elle ait été, l'influence portugaise n'a pas été la seule source de la civilisation brésilienne. L'introduction des esclaves noirs dans la colonie a eu pour effet l'élaboration d'une culture qui doit beaucoup à l'Afrique. Culture afro-brasileira qui ne peut échapper à l'observation du voyageur. Il la perçoit dès sa descente de l'avion avec l'extraordinaire variété des couleurs de peaux, des sons de voix, des démarches des premiers Brésiliens auxquels il a affaire. Il aura bien d'autres occasions de ressentir la présence de l'Afrique au Brésil : rythme de musique populaire, attrait des cultes afro-brésiliens jusque dans les milieux les plus cultivés, place du Noir dans la recherche socio-éthnologique et dans la littérature, plus modestement recettes culinaires africaines. S'il existe un problème des Noirs, il se pose en termes bien différents de ceux qu'on lui connaît ailleurs.
6On ne saurait parler en aucune manière d'une absorption de la culture africaine par celle des Portugais. « Juxtaposition » serait plus exact. La réalité est complexe et nuancée, outre qu'elle propose bien des variantes à travers l'espace brésilien. La présence des deux cultures, leurs rapports, leurs échange sont l'un des traits les plus marquants du Brésil peut-être le plus passionnant à découvrir et à comprendre.
7Après que la traite des esclaves eut cessé au xixe siècle, une autre vague d'immigrants est venue ajouter à la bigarrure du peuple brésilien, comme au fond culturel afro-brésilien. Il s'agit d'abord des immigrants partis de l'Europe méditerranéenne, Italiens et Espagnols, mais aussi de l'Europe Centrale et Sud-Orientale, Allemands et Polonais, Ukrainiens et Hongrois. Vinrent aussi les Libanais, les Syriens et, plus récemment, les Japonais. La magie brésilienne fit que tous, installés dans des régions différentes du Brésil, les uns davantage urbains, les autres ruraux, ne sont pas restés repliés sur eux-mêmes. Plus ou moins rapidement, plus ou moins profondément, ils se mêlèrent à leurs prédécesseurs ; ils adoptèrent leur langue, souvent leur manières de vivre, leurs attitudes et leurs mentalités. Sans jamais toutefois renoncer à leur héritage culturel. Ceci, on s'en rend compte aisément dans les campagnes et même à São Paulo ou dans des autres villes du Sud. Mais la fidélité aux lointains ancêtres s'effiloche de génération en génération. Le petit-fils d'un Allemand, d'un Italien, d'un Libanais, voire d'un Japonais ne s'irrite pas qu'on lui rappelle son ascendance mais il se sent et se proclame Brésilien.
8Ainsi, aussi bien pour les descendants d'Africains que pour ceux des immigrants de la fin du xixe siècle et du début du xxe, on ne saurait parler de cloisonnement ethnique ou culturel sans pour autant qu'il soit pleinement satisfaisant de parler d'un melting pot brésilien. L'un des charmes du Brésil réside dans la diversité de ses habitants et dans les facettes de sa civilisation.
9Si la plasticité portugaise a facilité le mélange des ethnies, toutes ont eu à affronter des milieux naturels difficiles, à défricher des terres nouvelles et peupler d'immenses espaces aux dépends d'une population indienne relativement peu nombreuse. Dans l'histoire du Brésil un continuel mouvement de pionniers est peut-être plus essentiel que les affrontements avec les Etats voisins. Les genres de vie des défricheurs ont des similitudes qui estompent leurs différences originelles. On ne rencontre guère de Brésilien qui ne puisse évoquer, à défaut de sa propre expérience, tel ou tel ascendant, fils ou frère qui riait connu dans le passé ou ne mène actuellement la vie du pionnier. Aujourd'hui le Brésil possède encore ses « Terres Neuves », au Mato Grosso ou en Amazonie. Brésil profond que le voyageur peut atteindre par l'autocar ou l'avion. Et si, quelques années plus tard, il retourne là où il a pu voir crouler la forêt, il sera surpris par le changement de décor : l'Européen est habitué à une plus grande stabilité des paysages ruraux.
10Dans les villes, la soudaineté et l'ampleur des transformations ne sont pas moins déroutantes. En une vingtaine d'années la majorité de la population a cessé d'être rurale pour devenir urbaine. On vit actuellement la révolution urbaine que l'Europe a connu au siècle passé. Sans doute, et par bonheur, les plus anciennes cités fondées par les Portugais ont conservé leurs églises et préservé leurs vieilles rues. Ainsi Diamantina, au Minas Gerais, a gardé son charme et son visage du xviiie siècle et les rues anciennes de Salvador leur pittoresque. Par un contrat saisissant, des villes dont on a vu planter la première pierre ont réuni en quelques années plusieurs centaines de milliers d'habitants. Brasilia, l'extraordinaire, n'est plus une ville fantôme, elle est devenue l'indiscutable capitale d'un grand pays. Avec leurs banlieues qui s'étendent sans fin, Rio de Janeiro et surtout São Paulo sont des sortes de monstres urbains. Demeures coloniales, maison de style 1900, édifice d'une architecture « Arts Décoratifs » ont croulé sous l'assaut des gratte-ciel. Ils n'abritent pas que des bureaux et des banques car, par commodité et par mode, on quitte volontiers la maison individuelle et son beau jardin tropical pour le confortable appartement dans un haut immeuble d'une belle allure moderne. Ainsi les quartiers centraux des grandes villes expriment le côté « américain » de la civilisation brésilienne d'aujourd'hui.
11Ces métropoles proposent encore d'autres aspects : quartiers des classes moyennes avec de petites maisons à jardinets, zones des grandes usines dont la silhouette moderne est un autre étonnement pour nous, pitoyables étendues de l'habitat spontané, celui des bidonvilles. C'est un phénomène difficile à éviter si grand est l'afflux de ceux qui fuient les misères des campagnes. Une sorte de pudeur, un sentiment de responsabilité collective peuvent faire hésiter à aller voir de près, sous prétexte de pittoresque, cette affreuse réalité. Elle est pourtant, elle aussi, une expression du Brésil actuel.
12Il n'a, on l'aura compris, rien de monolithique. Chacune des parties qui le composent possède son originalité, tant par ses paysages que par son passé, ses activités traditionnelles ou son essor industriel, ou enfin par ses habitants aux multiples origines et aux manières de vivre et de penser bien distinctes. Où que l'on se rende, on découvre en même temps la diversité du Brésil et ce qui fait l'unité de son peuple.
13Recherche de l'exotisme dans la nature ou dans la fidélité à des héritages lointains, curiosité pour les problèmes urbains d'une civilisation en mutation, désir de mieux connaître la vie littéraire et artistique de la plus grande nation latino-américaine du Nouveau Monde, autant de motifs pour aller au Brésil.
14Pour organiser son voyage, il faut avant tout tenir compte des dimensions du Brésil et de l'énormité des distances. Notre échelle européenne cesse d'être valable. Il devient nécessaire de compter en plusieurs centaines, parfois en quelques milliers de kilomètres. Le temps n'a pas non plus la même valeur qu'en France : la frénésie de rues de Rio ou de São Paulo dissimule les moments consacrés au bavardage en sirotant une petite tasse de café, un cafezinho. Le rythme de vie (exception faite pour les hommes d'affaires) est différent de celui qui règle notre existence et l'impatience est inutile, voire une entorse à la politesse. Aussi est-il prudent de faire son plan de voyage en laissant quelque souplesse à l'emploi du temps prévu. On peut envisager de se limiter à la visite de quelques grands foyers urbains dont chacun réunit des centres d'intérêts variés, visite complétée par celle de leurs environs. D'autre part la rapidité et la fréquence des moyens de transport permettent d'accomplir de longs parcours traversant des régions différentes.
15Tout comme on n'utilise plus guère le bateau pour aller au Brésil, de même une fois arrivé on ne voyage guère en train. Encore que pour qui n'est pas trop pressé le chemin de fer fournit une bonne occasion de se frotter à la foule. Mais mieux vaut emprunter les nombreuses et rapides lignes d'autocars (appelés ônibuses) qui rattachent entre eux tous les points du Brésil. Services de jour ou de nuit, aussi confortables qu'un voyage en avion. Celui-ci rien garde pas moins tous ses avantages. Les lignes aériennes sont multiples et les vols fréquents. Ainsi entre Rio et São Paulo fonctionne un « pont aérien », avec un vol dans chaque sens, chaque demi-heure ; il n'est pas indispensable de prendre une réservation, le seul risque étant de faire la queue pour embarquer. Les deux métropoles sont reliées à Brasilia et à Belo Horizonte par des vols moins nombreux mais largement satisfaisants. Les liaisons aériennes internationales permettent, à partir du Brésil, de gagner Buenos Aires ou Asunción ou encore les pays andins et les rives du Pacifique ; le Brésil devient alors une belle étape dans un voyage au long cours.
16Pour les courageux qui veulent voyager à sa guise, il est possible de louer une voiture. Au long des grandes artères routières ne manquent ni les stations services, ni les mécaniciens, ni les restaurants et les hôtels. En cas de panne, la solidarité routière, qui est une réalité au Brésil, fera s'arrêter un chauffeur de camion ou un autre voyageur. Sans oublier la police de la route, redoutable pour les dépassements de vitesse, fort utile pour donner un conseil ou un coup de main.
17La croissance de la circulation et du tourisme a entraîné celle de l'industrie hôtelière. Il n'y a plus que les petits bourgs pour n'offrir comme abri que l'auberge (la pensão ou pension) aux commodités rustiques. Partout ailleurs on trouve des hôtels accueillants, à des niveaux et à des prix différents. Pour qui n'est pas pris en charge par une entreprise touristique, il est sage de faire se réservation plusieurs jours à l'avance. Prudence particulièrement valable au temps du Carnaval, tant à Rio que dans les autres villes grandes ou moyennes ; elle est encore valable pour les jours des matchs de football les plus sensationnels.
18Les craintes que la cuisine brésilienne inspirait jadis aux Européens doivent être bannies. Ils trouveront partout la plupart de leurs plats coutumiers, et de bonne qualité. Les citadins utilisent massivement les lanchonetes, bars où l'on peut trouver des repas rapides, simples et bon marché. Il faut aussi tâter de la cuisine brésilienne ou mieux, des cuisines brésiliennes. Car si deux plats, le riz et les haricots noirs (arroz e feijão) sont dans tout le Brésil quasiment sur toutes les tables deux fois par jour, les apports des groupes ethniques et les productions locales assurent une nette diversité régionales : davantage de viande grillée (churrasco) chez les Gauchos de l'extrême sud ou de poisson d'eau douce en Amazonie ; mille façons d'accommoder le manioc, qui pousse un peu partout, d'autres pour le maïs, dont l'immigration italienne avait en son temps accru la consommation ; viande séchée au soleil (xarque) qui reste le plat des paysans les plus démunis, mais plus encore les spécialités afro-brésiliennes de Salvador, dont tous les palais ne supportent pas les épices. Les recettes familiales traditionnelles surprennent par le volume des ingrédients requis et par la longueur des préparatifs demandés. C'est qu'elles ont été élaborées à l'époque des familles nombreuses et de l'abondante main d'œuvre des esclaves. La mère de famille aujourd'hui n'a ni le temps ni les moyens de suivre les recettes de Grand-Mère. On peut avoir l'occasion d'en goûter si l'on a la chance d'être reçu par un planteur de canne à sucre du Nord-Est.
19La halte du déjeuner lors des longs parcours routiers permet une double expérience : culinaire et gastronomique. L'arrêt de l'autocar est à côté d'un restaurant de bord de route, une churrascaria. On pose sur votre table riz, haricots, pâtes, frites ou purée, salades cuites ou crues. Des serveurs passent et repassent porteurs de longues broches où sont piquées des saucisses, des morceaux de bœuf, de porc, de poulet ; ils les font glisser adroitement dans votre assiette, veillant à ce qu'elle ne soit jamais vide. Les autres convives sont des conducteurs des énormes camions qui sillonnent les routes, des familles de touristes, des notabilités du cru, des agriculteurs, des représentants de commerce, des fonctionnaires locaux, parfois aussi des étudiants en voyage d'étude. Tout ce large échantillonnage du monde rural regarde l'étranger avec curiosité peut-être, jamais avec agressivité.
20Personne ne croit plus que les serpents prolifèrent sur l'asphalte des villes, ni qu'on paye inexorablement son tribut aux maladies tropicales. Beaucoup d'entre elles sont dûes à la sous-alimentation, au manque d'hygiène, d'éducation et de moyens. L'Amazonie reste une aire de paludisme en dehors des villes, mais il est facile de prendre de la Novaquine ou autre produit à base de quinine. Des sursauts de fièvre jaune éclatent parfois dans les coins les plus reculés de la grande forêt équatoriale, donc loin des parcours touristiques habituels. Si l'on se connaît quelques points faibles, on peut toujours consulter son médecin traitant avant le départ. Les recommandations données pour d'autres pays tropicaux ont un caractère moins astreignant pour le Brésil.
21Il faut apporter au moins autant d'attention aux rapports avec les hommes. La gentillesse est la vertu dominante des Brésiliens, à quelques milieux qu'ils appartiennent. L'espèce des grognons existe aussi parmi eux, mais il est très rare qu'un étranger essuie une rebuffade. Une lettre d'un ami, un lien professionnel suffisent à faire ouvrir des portes d'un foyer familial dont la généreuse hospitalité remplira le visiteur de confusion. La chaleur de l'accueil sera d'autant plus grande que l'on manifestera une volonté sincère de connaître et de comprendre le Brésil. Rien n'agace autant le Brésilien que le touriste trop avide du faux pittoresque ou trop questionneur sur les imperfections du pays. On n'apprécie pas plus un intérêt abusif pour les bidonvilles que nous ne goûtons une excessive curiosité pour Pigalle et sa faune. On vous saura gré d'un effort pour prononcer correctement les mots usuels, plus encore si vous n'êtes pas totalement ignorant de la langue portugaise. Quoique l'on dise qu'au Brésil tout le monde parle français ou anglais, un garçon de restaurant ou un chauffeur ne sont pas nécessairement polyglottes.
22Il est à la fois exact et banal de présenter le Brésil comme une terre de contrastes. Des écrivains brésiliens préfèrent dire de leur pays qu'il est surréaliste : riche en contradictions, en coqs à l'âne, on croit suivre un fil continu et soudain éclate le court circuit de l'illogisme. Ainsi voici un alignement de gratte-ciel ultra-modernes et, nichée entre ces jeunes géants, aberrants, une vieille et fragile demeure. Autre illogisme à nos yeux : la participation active aux cérémonies de cultes afro-brésiliens de Dames élégantes et de Messieurs distingués, tous élevés dans la religion catholique et la pratiquant formellement, tous bien au fait de la peinture ou de la musique les plus intellectuelles, ou hommes d'affaires très réalistes. A tout instant on voit côte à côte, mais sans étape intermédiaire, l'archaïque et le moderne : l'orpailleur peinant avec sa pelle et sa battée et la monstrueuse excavatrice de minerai, le paysan qui gratte la terre avec sa houe et les puissantes machines agricoles.
23Monde insolite, tropique original, Brésil source de réflexions... Et pour ceux qui partent pour le Brésil en souhaitant seulement y faire une belle excursion, la majesté de ses fleuves, les étendues sans fin des savanes et des forêts, les longues plages de sable fin, les fleurs aux étranges couleurs lui permettront de rapporter une riche moisson de souvenirs.
24Introduction inédite d'un ouvrage préparé par P. MONBEIG, et J. ROCHE, Nous Partons Pour Le Brésil
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