Table des matières
Introduction
Philippe Bezes
Pour une histoire de la régulation des finances publiques. Le regard d’un politiste- I. POURQUOI UN SÉMINAIRE SUR L’HISTOIRE DE LA RÉGULATION DES FINANCES PUBLIQUES ?
- II. LES COMPOSANTES DE LA RÉGULATION DES FINANCES PUBLIQUES
- III. TROIS PERSPECTIVES POUR UNE HISTOIRE ET UNE SOCIOLOGIE DU « DROIT BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE » : ANALYSER L’ÉTAT PAR LE BIAIS DE LA RÉGULATION DE SES FINANCES PUBLIQUES
- A. LE « DROIT BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE », RÉVÉLATEUR DE RELATIONS DE POUVOIR
- B. LE « DROIT BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE » COMME SAVOIR(S)
- C. LE DROIT BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE COMME TECHNIQUES ET PRATIQUES
- IV. UNE INTERROGATION TRANSVERSALE AU PROJET DE RECHERCHE : PEUT-ON SÉPARER ET OPPOSER LE « DROIT » BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE ET LA « GESTION » ?
- 1. Une signification large et diffuse : la gestion synonyme d’administration et marqueur de l’extension des interventions et compétences de l’État.
- 2. Une signification minimale : la gestion comme production d’états financiers et de comptes.
- 3. La gestion comme production d’informations régulières au triple sens de périodique, fiable et non entachée de fraudes.
- 4. La « bonne gestion » ou le bon usage des ressources publiques.
- 5. Du bon usage des ressources à l’optimisation et au calcul des coûts.
- 6. L’intégration du calcul des coûts et de la régulation budgétaire dans le management de l’organisation : la « révolution » du management scientifique.
Lucile Tallineau
Le cadre juridique de la gestion financière de l’État- Le particularisme de la matière financière.
- La démarche juridique en finances publiques.
- I. LA DYNAMIQUE D’UN PRINCIPE CONSTITUTIONNEL : LE PRINCIPE DU CONSENTEMENT À L’IMPÔT
- A. LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE LA DYNAMIQUE
- B. LES CONSTITUTIONS RÉVOLUTIONNAIRES
- C. L’APPORT DES MONARCHIES CONSTITUTIONNELLES
- II. LES PROBLÉMATIQUES OUVERTES
- A. LE BUDGET, CADRE DE LA GESTION FINANCIÈRE
- 1. La rationalisation de l’exercice du pouvoir législatif en matière budgétaire.
- Les données de la problématique dans le cadre des lois constitutionnelles de 1875.
- La mise en perspective de Jèze : du budget, acte de haute administration, à l’utilité de la dépense.
- 2. L’intégration des rationalités économiques.
- L’intégration du budget au sein de l’économie nationale.
- La démarche économique appliquée à l’évaluation des dépenses de l’État.
- B. LA GESTION FINANCIÈRE, OBJET DU CONTRÔLE
- 1. Les insuffisances du contrôle.
- Les informations nécessaires au contrôle.
- L’insuffisance du contrôle sur les ordonnateurs.
- 2. L’intégration du contrôle dans l’articulation autorisation-exécution.
La fabrique d’un droit budgétaire et comptable
Valérie Goutal-Arnal
Transparence dans les finances publiques de l’Ancien Régime à la Restauration : continuités et rupturesStéphanie Flizot
Aux origines de la loi du 16 septembre 1807 créant la Cour des comptes : le contrôle des comptes publics de 1790 à 1807- Introduction.
- I. L’APPLICATION DE L’ARTICLE 14 : APPLICATION DU PRINCIPE DE LA SOUVERAINETÉ NATIONALE AU CONTRÔLE DES COMPTES PUBLICS
- II. L’APPLICATION DE L’ARTICLE 15 : LA DIFFICILE MISE EN JEU DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE DES ORDONNATEURS
- A. LA VOLONTÉ DE GÉNÉRALISER LA RESPONSABILITÉ DES AGENTS CHARGÉS DE L’EMPLOI DES DENIERS PUBLICS : POUR UNE MISE EN CAUSE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE DES ORDONNATEURS ET DES MINISTRES
- B. L’IMPOSSIBLE MISE EN PLACE D’UNE JURIDICTION APPELÉE À SE PRONONCER SUR LES COMPTES RENDUS PAR LES COMPTABLES PUBLICS
- C. LES PROPOSITIONS INITIALES TENANT À LA JURIDICTIONNALISATION DU CONTRÔLE DES COMPTES PUBLICS
- 1. La proposition d’adjoindre au Bureau de comptabilité un tribunal chargé de juger les différents nés de l’examen des comptes.
- 2. La méfiance de l’Assemblée.
- III. LA LOI DU 16 SEPTEMBRE 1807 : RÉPONSE À L’INEFFICACITÉ DU SYSTÈME DE CONTRÔLE MIS EN PLACE SOUS LA RÉVOLUTION FRANÇAISE ?
- A. DES DÉBUTS DIFFICILES TENANT À LA DISSOCIATION INITIALE DE LA VÉRIFICATION DES COMPTES, DU JUGEMENT DES CONTESTATIONS NÉES DE L’EXAMEN DES COMPTES ET DE LEUR APUREMENT DÉFINITIF
- B. DES RÉSULTATS TANGIBLES
- C. L’ATTRACTION DU POUVOIR EXÉCUTIF : DE L’ARRÊTÉ DU 29 FRIMAIRE AN IX À LA LOI DU 16 SEPTEMBRE 1807
- 1. Le Consulat.
- 2. L’Empire.
- IV. IMPORTANCE ET INFLUENCE DE L’ORGANISATION DU CONTRÔLE FINANCIER MIS EN PLACE SOUS LA RÉVOLUTION FRANÇAISE
- A. LA CENTRALISATION DU CONTRÔLE DES COMPTES PUBLICS
- B. CE SYSTÈME ALLAIT, EN OUTRE, EXERCER UNE INFLUENCE DÉTERMINANTE SUR L’ORGANISATION DU CONTRÔLE DES COMPTES PUBLICS DANS LE RESTE DE L’EUROPE
- Conclusion.
Michel Bottin
Gestion publique et contrôle des finances publiques sous la Restauration- I. LE TRAVAIL GOUVERNEMENTAL DE PRÉPARATION
- A. LA RESTAURATION DU MINISTÈRE DES FINANCES
- B. LA RÉFORME DE LA COMPTABILITÉ PUBLIQUE
- II. LE TRAVAIL PARLEMENTAIRE D’AUTORISATION
- A. LA PORTÉE DE L’AUTORISATION
- B. LE CADRE DE L’AUTORISATION
- Le principe d’annualité.
- Le principe de spécialité.
- Le principe d’universalité.
- Le principe d’unité.
- III. LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE
- A. LE CONTRÔLE ADMINISTRATIF
- B. LE CONTRÔLE JURIDICTIONNEL
- C. LE CONTRÔLE LÉGISLATIF
Sébastien Kott
La gestion publique dans l’ordre juridique des monarchies censitaires- I. L’ORGANISATION DU SYSTÈME COMPTABLE TRADUIT UNE PRÉOCCUPATION GESTIONNAIRE
- A. LA FORMALISATION JURIDIQUE D’UN COMPTE ADMINISTRATIF COMME OUTIL DE GESTION DE LA DÉPENSE PUBLIQUE
- 1. Les comptes de dépenses des ministres sont des outils de gestion.
- 2. Les formalisations comptables de l’incitation à bien gérer.
- B. UN SYSTÈME COMPTABLE POUR MIEUX APPRÉHENDER LES MOUVEMENTS FINANCIERS : LA BONNE ÉCONOMIE DE LA TRÉSORERIE DE L’ÉTAT
- 1. Organiser l’administration financière et ses différents comptes.
- 2. Les comptes du ministère des Finances sont des outils gestionnaires.
- II. LES MANIFESTATIONS JURIDIQUES DE LA PRÉOCCUPATION GESTIONNAIRE DANS L’ORDRE COMPTABLE
- A. LA DOUBLE FINALITÉ DE L’INFORMATION COMPTABLE : PRÉSENTER ET RENDRE DES COMPTES
- 1. Rendre des comptes.
- 2. Présenter des comptes.
- B. QUELLE RESPONSABILITÉ POUR LES ADMINISTRATEURS ?
- 1. Distinguer la responsabilité des administrateurs de la responsabilité des comptables.
- 2. Quel contrôle sur la responsabilité des administrateurs ?
- Conclusion.
Hélène Lemesle
Concurrence et publicité pour tous les marchés publics ? De la naissance d’un principe à sa mise en application dans la France du xixe siècle- I. L’APPARITION DU THÈME DE L’ACHAT PUBLIC DANS LE DÉBAT POLITIQUE
- A. CRÉER UN DROIT DE L’ACHAT PUBLIC : QUELS ACTEURS, QUELS PRINCIPES ?
- B. GÉNÉRALISER LA CONCURRENCE ?
- C. LA QUESTION DE LA « PUBLICITÉ »
- II. LE CADRE JURIDIQUE DE LA FIN DU xixe SIÈCLE
- III. DU DROIT AUX PRATIQUES D’ACHAT : LA RÉDACTION DES CAHIERS DES CHARGES
Matthieu Conan
La loi de règlement, victime collatérale de la guerre de 1870- I. LA LOI DE RÈGLEMENT VICTIME DE LA SITUATION DE CHAOS GÉNÉRÉE PAR LA GUERRE
- A. LA LÉGITIMITÉ DU RETARD PRIS PAR LA COUR DES COMPTES EN VUE DU RÈGLEMENT DE L’EXERCICE
- B. L’ANORMALITÉ DU RETARD PRIS PAR LE PARLEMENT DANS L’ADOPTION DE LA LOI DE RÈGLEMENT
- II. LA LOI DE RÈGLEMENT VICTIME D’UNE CONCEPTION PASSÉISTE DU CONTRÔLE A POSTERIORI
- A. UN CONTRÔLE SUR PIÈCES MATÉRIELLEMENT IMPOSSIBLE À RÉALISER
- B. UNE RESPONSABILITÉ MINISTÉRIELLE IMPOSSIBLE À METTRE EN JEU
Rationalité juridique, rationalité gestionnaire et science des finances publiques : débats de doctrine
Sébastien Kott
La controverse Masson-Lafontaine relative à l’ordre financier en 1822- I. LE CONSERVATISME FINANCIER FACE AUX REVENDICATIONS GESTIONNAIRES
- A. LE VOLET FINANCIER DE LA « BATAILLE D’HERNANI »
- B. LE REGARD PORTÉ SUR LES COMPTES DÉPEND DE LA CONCEPTION QUE L’ON A DU SYSTÈME FINANCIER
- II. L’OPPOSITION DES BUREAUCRATIES
- A. L’APPROCHE GESTIONNAIRE ET LA RÉFORME ADMINISTRATIVE
- B. QUELLE ADMINISTRATION POUR TENIR LES COMPTES ADMINISTRATIFS ?
- Conclusion.
Gilbert Orsoni
La doctrine des finances publiques en France à la fin du xixe et au début du xxe siècle- Introduction.
- I. L’ILLUSTRATION DE CONCEPTIONS « CLASSIQUES »
- A. LA PERSPECTIVE POLITIQUE D’UNE DIMINUTION DE LA DÉPENSE, DONC DE LA RECETTE ET, PARTANT, DU RÔLE DE L’ÉTAT
- B. LA PERSPECTIVE « TECHNIQUE » D’UNE MEILLEURE RATIONALITÉ
- II. DES EXIGENCES D’UNE GRANDE PÉRENNITÉ (OU LES PRÉMISSES D’UNE GESTION PUBLIQUE RATIONNELLE)
- A. DES EXIGENCES TOUCHANT AUX STRUCTURES ET GESTIONS ADMINISTRATIVES
- B. DES EXIGENCES TOUCHANT AUX OPÉRATIONS DE CONTRÔLE
- C. LA PRÉSENCE DE CONCEPTS DE NOUVELLE GESTION PUBLIQUE
Gilles J. Guglielmi
L’émergence d’une rationalité gestionnaire dans les théories du droit administratif au début du xixe siècle- Introduction.
- I. L’IDÉE DE GESTION, ÉLÉMENT DE DÉFINITION FONCTIONNELLE DE L’ACTEUR PRINCIPAL DU DROIT ADMINISTRATIF
- II. LA GESTION DU PATRIMOINE, ÉLÉMENT DE STRUCTURATION JURIDIQUE DE L’ACTEUR PRINCIPAL DU DROIT ADMINISTRATIF
- A. L’ADMINISTRATION PUBLIQUE COMME SIÈGE D’UNE COMPÉTENCE GÉNÉRALE DE GESTION DU PATRIMOINE PUBLIC
- 1. Une mission essentielle.
- 2. Un centre d’imputation.
- 3. La primauté de la gestion.
- B. L’ADMINISTRATION PUBLIQUE COMME GARANT D’UN RÉGIME DE GESTION DES BIENS
- III. LA GESTION PUBLIQUE, ÉLÉMENT D’ÉLABORATION TÉLÉOLOGIQUE D’UNE SCIENCE DE LA « FORTUNE PUBLIQUE »
- Conclusion.
Paolo Napoli
Pour une histoire juridique de la gestionCorinne Delmas
L’émergence d’une rationalité gestionnaire au sein des doctrines administratives et des enseignements de l’École libre des sciences politiques à la fin du xixe siècle- I. MATRICE LIBÉRALE ET RIGUEUR BUDGÉTAIRE
- A. LE POIDS DU LIBÉRALISME
- B. LE SOUCI DE RIGUEUR BUDGÉTAIRE…
- C. …TRÈS PRÉSENT CHEZ DES HOMMES D’AFFAIRES LIBÉRAUX ET DE GRANDS COMMIS DE L’ÉTAT
- II. RATIONALISER L’ADMINISTRATION
- A. UNE REMISE EN CAUSE DE L’OMNIPOTENCE PARLEMENTAIRE
- B. DES SAVOIRS DE GESTION PUBLIQUE
- C. LA PROMOTION DES MODÈLES D’ADMINISTRATION ANGLO-SAXONNE
- III. RATIONALISER LES MÉTHODES BUDGÉTAIRES
- A. LE POIDS DES ENSEIGNEMENTS DE FINANCES PUBLIQUES
- B. UNE VÉRITABLE SCIENCE DES REVENUS PUBLICS
- C. LE CONTRÔLE DES ACTES BUDGÉTAIRES D’UN POUVOIR PERÇU COMME DÉPENSIER
Renaud Bourget
Paul Laband et la construction d’un droit public financier « vraiment scientifique » : la systématisation des pratiques constitutionnelles de Bismarck lors du conflit budgétaire prussien (1862-1866)- I. LE CONFLIT CONSTITUTIONNEL PRUSSIEN
- A. L’ORIGINE ET LA NATURE BUDGÉTAIRE DU CONFLIT CONSTITUTIONNEL
- 1. La volonté monarchique de réorganiser l’armée prussienne contre le Parlement.
- 2. La radicalisation du conflit avec l’arrivée au pouvoir d’Otto von Bismarck.
- B. BISMARCK ET LA RÉDUCTION DU CONFLIT CONSTITUTIONNEL À UNE LUTTE DE FORCES
- 1. La position de force de la Couronne.
- 2. La fixation du budget par ordonnances royales de 1863 à 1866.
- C. LE VOTE DE LA LOI D’INDEMNITÉ DE 1866 ET LE TRIOMPHE DE LA DEUTSCHE KONSTITUTIONELLE MONARCHIE
- II. LABAND ET L’APPLICATION DU PRINCIPE DE PURETÉ DE LA DOGMATIQUE JURIDIQUE AU DROIT DES FINANCES PUBLIQUES
- A. L’ÉCOLE FORMALISTE ET CONCEPTUALISTE DE GERBER ET LABAND
- B. LES PRÉSUPPOSÉS MÉTHODOLOGIQUES DE LABAND : L’INFLUENCE DE LA MÉTHODE ROMANISTE
- 1. La fondation d’un « pandectisme du droit des finances publiques ».
- 2. La justification d’une science juridique formaliste.
- III. LA FONCTION POLITIQUE DE LA THÉORIE JURIDIQUE DU BUDGET DE LABAND
- A. LA CONCEPTION DUALISTE DE LA LOI ET SON APPLICATION À LA LOI DE FINANCES
- 1. L’acte budgétaire comme loi formelle et non matérielle.
- 2. Les effets juridiques de l’acte budgétaire comme loi formelle.
- B. L’EXAMEN DES CONSÉQUENCES JURIDIQUES DU REJET DE LA LOI DE FINANCES PAR LES DÉPUTÉS ALLEMANDS
- 1. La solution « purement logique » de Laband.
- 2. Principe monarchique, gouvernement parlementaire et droit budgétaire.
La régulation des finances publiques au concret : une histoire des pratiques
Sébastien Kott
L’invention d’outils « gestionnaires » dans le système financier de la Restauration- I. DÉPENSER MOINS : L’ÉCONOMIE COMME STANDARD DE GESTION DE LA RESTAURATION
- A. UN IMPÉRATIF POLITIQUE : RÉORIENTER LA DÉPENSE PUBLIQUE
- 1. La dépense comme variable d’ajustement.
- 2. La réallocation des marges de manœuvre.
- B. RATIONALISER LES DÉPENSES DES ADMINISTRATIONS
- 1. Repenser l’organisation administrative.
- 2. Repenser les modalités de l’action administrative.
- II. DÉPENSER MIEUX : LES OUTILS DE LA GESTION DE L’ÉTAT SOUS LA RESTAURATION
- A. LE CADRE FINANCIER DE L’ACTION DE L’ÉTAT
- 1. L’économie politique comme élément d’analyse de l’action administrative.
- 2. Le compte de l’administrateur.
- B. LES OUTILS D’ANALYSE DU COÛT DES ACTIONS ADMINISTRATIVES
- 1. L’évaluation de l’habileté et de la valeur morale de la « gestion-administration ».
- 2. Apprécier le service utile de la dépense publique pour en perfectionner l’emploi.
- Conclusion.
Fabien Cardoni
La construction d’une architecture budgétaire formelle et l’orthodoxie financière au xixe siècle- Introduction.
- I. ORDRE BUDGÉTAIRE
- A. LA HIÉRARCHISATION DES LOIS DE FINANCES
- B. LA SECTION BUDGÉTAIRE
- Une concession de l’exécutif ?
- Histoire d’un Sisyphe budgétaire.
- C. LES CHAPITRES DU DÉSORDRE
- II. RES PUBLICA ET FINANCES PUBLIQUES
- A. LA PERSISTANCE ET L’AGGRAVATION DES DÉSORDRES FINANCIERS
- B. LA RÉPUBLIQUE AUX FINANCES
- C. UNE DÉMOCRATIE BUDGÉTAIRE ? LA PUBLICITÉ DES FINANCES PUBLIQUES
- Conclusion.
Bernard Lutun
Marine et comptabilité ; une incompatibilité ?- I. COLBERT, LOUIS XVI ET MOLLIEN
- II. L’INTRODUCTION D’UNE COMPTABILITÉ DES MATIÈRES EN VALEUR
- III. UN CALCUL DES FRAIS GÉNÉRAUX DE LA MARINE EN 1882
- A. CONSIDÉRATIONS D’ORDRE GÉOGRAPHIQUE SUR LES PORTS DE GUERRE
- B. DE L’UTILITÉ DU CALCUL DES FRAIS GÉNÉRAUX DANS LA MARINE
- C. LE CALCUL DES FRAIS GÉNÉRAUX DES CINQ PORTS DE GUERRE
- D. VERS LA SPÉCIALISATION DES PORTS
- Conclusion.
François Caron
Chemins de fer et budget- I. HISTOIRE DES CONVENTIONS 1859-1921
- A. LES CHOIX INITIAUX (1838-1859)
- B. DES CONVENTIONS DE 1859 À LA CONVENTION DE 1883
- C. LE FONCTIONNEMENT DU SYSTÈME JUSQU’EN 1914
- D. LA CONVENTION DE 1921
- II. HISTOIRE DU CONTRÔLE FINANCIER
- A. LE CONTRÔLE FINANCIER JUSQU’EN 1859
- B. LE CONTRÔLE FINANCIER À LA FIN DU xixe SIÈCLE
- C. LE CONTRÔLE FINANCIER ENTRE 1900 ET 1937
Jean-Charles Asselain
Le budget du ministère de la Justice de la Restauration au seuil du xixe siècleSources et bibliographie
- ASSELAIN (Jean-Charles)
- BEZES (Philippe)
- BOTTIN (Michel)
- BOURGET (Renaud)
- CARDONI (Fabien)
- CARON (François)
- CONAN (Matthieu)
- DELMAS (Corinne)
- DESCAMPS (Florence)
- FLIZOT (Stéphanie)
- GOUTAL-ARNAL (Valérie)
- GUEX (Sébastien)
- GUGLIELMI (Gilles J.)
- KOTT (Sébastien)
- LEMESLE (Hélène)
- LUTUN (Bernard)
- NAPOLI (Paolo)
- ORSONI (Gilbert)
- TALLINEAU (Lucile)