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Remerciements

p. vii-viii


Texte intégral

1Mes premiers remerciements vont à C. S. Chellappa lui-même.

2C’est en effet sur l’édition de 1959 et sa pagination qu’est établie cette traduction, mais à partir de l’exemplaire offert par l’auteur lui-même au traducteur sur le campus de l’Université de Madras où il en faisait encore modestement la promotion presque dix ans plus tard, en même temps que de son journal littéraire Ezhuttu, à l’occasion de la Seconde Conférence Internationale d’Études Tamoules qui s’y déroulait alors, en janvier 1968.

3C’était pour moi la découverte d’un tamoul littéraire contemporain que j’ignorais encore. Ma compréhension du texte ne fut pas immédiate ; elle s’est approfondie vers 1993–1994 quand je l’ai relu avec Kannan M., et enrichi d’un intérêt croissant pour son contenu par la fréquentation d’Ulrike Niklas qui m’a communiqué amicalement son enthousiasme et son expérience des jallikkattu qu’elle photographiait abondamment autour de Madurai.

4Nous parlâmes alors de publication, mais les éditeurs français approchés furent tous trop frileux pour prendre un tel risque. Il ne resta de cet effort qu’une brève présentation recueillie dans Deep Rivers (2008–2009).

5C’est seulement en 2013 que Kannan M. revint à la charge, assumant toutes les responsabilités de l’édition, à commencer par les tracasseries de la nouvelle révision que je lui imposais encore une fois…

6De plus, c’est grâce à lui que Chellappa Subramanian, le propre fils de l’auteur, m’a autorisé à utiliser largement dans mon introduction les quelques pages émouvantes, « CSC : My Appa » qui figurent en tête de la version anglaise de 2013 et m’a communiqué quelques documents photographiques conservés dans les archives de son père. J’exprime à tous deux toute ma profonde gratitude.

7Je dois aussi une reconnaissance particulière à Elisabeth Sethupathy qui a eu l’obligeance de prendre sur un emploi du temps déjà très chargé à l’INALCO le temps d’une relecture riche en suggestions pertinentes.

8Je remercie Anurupa qui dans le cadre de l’I.F.P. assure avec énergie et efficacité les multiples tâches de coordinations qui permettent à ce petit volume de voir le jour.

9La fabrication du livre me donne le plaisir de lui associer autour de Sathi Patel ma reconnaissance à l’amitié constante et efficace de Prerana Patel, assistante de direction à l’EFEO, et de « Gopi », Gopinath Sricandane, responsable de la jaquette de couverture.

10Enfin je remercie amicalement Pierre Grard, le directeur actuel de l’IFP qui a retrouvé la dynamique et l’ouverture de son fondateur, pour l’accueil qu’il a réservé à ce bref ouvrage.

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