1Mes premières pensées et remerciements vont à la famille Grenier-Godard, Jean, Julienne, Évelyne et Luc, qui m’a permis d’avoir accès à des documents inédits, m’a accueilli à Sospel à plusieurs reprises, mais surtout qui m’a fait confiance pour écrire l’histoire du réseau dirigé par Blanche ; je leur en suis infiniment reconnaissant et suis très honoré de compter parmi leurs amis. Sans eux, ce travail n’aurait pu aboutir.

2En second lieu, je veux remercier vivement Édouard Bouyé pour ses conseils avisés, ses encouragements bienveillants et ses relectures rigoureuses.

3Cette étude m’a aussi permis de faire de très belles rencontres avec les familles des membres du réseau. Elles m’ont fait l’honneur de me confier une partie de leur histoire familiale intime. Elles sont nombreuses alors je ne peux pas toutes les citer mais souhaite adresser un amical souvenir à plusieurs d’entre elles. Je pense tout d’abord à James Borne-Bansac, premier descendant retrouvé au tout début du travail de recherches, si sensible, qui a enfin eu la joie et l’honneur de voir son père recevoir sa carte de combattant volontaire de la Résistance. Je n’oublie pas la bonté et la confiance de Nicole Beurtheret, celle de Jean Louvier, un des derniers survivants du réseau, de Patricia Darcis dont l’accueil chaleureux nous a fait penser à celui témoigné par sa grand-mère Fernande Beaufays aux prisonniers évadés, de Michèle Mergey dont le père Albert Sire a tant fait à Perrigny avec ses camarades pour tous ceux qui étaient pourchassés, d’Hervé Courtay et de Romain Matrot et son épouse, neveu de Blanche, rencontrés au commencement de cette étude.

4L’accueil professionnel des services d’archives à Dijon, Vincennes, Pierrefitte, Besançon, Mâcon, Montpellier et Lyon a rendu les conditions de recherche optimales.

5Par leurs relectures et corrections, Frédérique Margarito, Morgane Ciret, Michèle Chevalier, Hervé Joly et Virginie Fayseler ont grandement contribué à l’achèvement de ce travail. Grâce aux talents de traductrice de Lisa Depeyre-Krausewald, les documents en allemand ont pu être exploités pleinement.

6Je n’oublie pas mon père Georges et ma grand-mère Yvonne qui m’ont transmis leur rigueur et le goût de l’Histoire et remercie vivement Carole pour sa patience et son abnégation, et Simone sans qui ce livre n’existerait pas.