Remerciements

1Arrivé au terme de ce livre, je tiens à remercier les personnes et les institutions sans lesquelles ce travail n’aurait pas pu aboutir. Mes remerciements s’adressent premièrement à Serge Paugam, qui a dirigé la recherche à la base de ce livre. La confiance constante qu’il m’a témoignée tout au long de ce travail, son exigence et sa rigueur, m’ont permis de mener à bien cette aventure intellectuelle et humaine. Je tiens aussi à exprimer ma profonde gratitude envers mon codirecteur de thèse, Marcel Bursztyn, qui m’a transmis sa passion pour le Nordeste du Brésil. C’est un énorme privilège de pouvoir compter sur sa direction et son amitié depuis 2008.

2Je remercie Benoît de L’Estoile, Camille Goirand et Eric Sabourin qui, faisant partie de mon jury de thèse, m’ont apporté des critiques importantes pour le développement de mes recherches suite à mon doctorat.

3Un immense merci à Laurent Henry, qui a passé de très nombreuses heures à la correction et à la révision de ce texte. J’ai eu la chance de pouvoir compter sur lui dans l’élaboration de ce travail, ainsi que sur son amitié pendant de nombreuses années.

4Ce travail doit également beaucoup aux différentes institutions qui m’ont apporté les conditions nécessaires à sa réalisation. Tout d’abord, l’Équipe de recherche sur les inégalités sociales du Centre Maurice Halbwachs – merci à mes collègues pour toutes leurs suggestions et leurs questions qui m’ont aidé à approfondir ma réflexion sur mon objet d’étude. Et notamment à Linda Haapajärvi, Marion Arnaud, Natalia Briceño et Elsa Carvalho pour leur disponibilité, leurs relectures et leurs précieux conseils.

5Merci à mes collègues du Centre de Développement durable de l’Université de Brasília qui m’ont permis depuis 2010 de réfléchir au caractère interdisciplinaire de mes recherches, en particulier Diego Lindoso et Carolina Milhorance pour leurs relectures attentives.

6Bien entendu, je remercie l’ensemble de mes interviewés : l’enthousiasme de leurs récits, la confiance qu’ils m’ont accordée et le temps qu’ils m’ont offert constituent le cœur de ce livre. Pour des raisons qui seront éclaircies ensuite, je ne peux pas remercier nommément les personnes qui m’ont soutenu dans l’enquête de terrain au Ceará. J’espère l’avoir déjà fait personnellement, et je le ferai à chaque nouvelle rencontre.

7Merci à ma famille, qui même de loin — à Brasília et en Galice — m’a donné un indispensable soutien moral, matériel et affectif. Pour les mêmes raisons, je remercie Annemarie Bouwman, Henk Oosterling et Sasha Baron. Enfin, je remercie Yukio Oosterling pour tout ce qu’elle m’a apporté pendant ces dix ans depuis que j’ai commencé ce travail.