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    Publications de l’École nationale des chartes
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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral I. — Une image à retrouver : le monarque source de bienfaits II. — L’héritage artistique de l’Ancien Régime III. — Les chasses anachroniques ? Le rôle du grand louvetier Notes de bas de page

    Le grand veneur de Napoléon Ier à Charles X

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    Introduction. Évolutions et permanences dans la représentation des souverains

    p. 472-478

    Texte intégral I. — Une image à retrouver : le monarque source de bienfaits II. — L’héritage artistique de l’Ancien Régime III. — Les chasses anachroniques ? Le rôle du grand louvetier Notes de bas de page

    Texte intégral

    I. — Une image à retrouver : le monarque source de bienfaits

    1Les actions charitables sont l’un des aspects les plus importants de la construction de la légende napoléonienne. Aux plus modestes, Napoléon fit ainsi distribuer ou donna lui-même de nombreuses gratifications et pensions1. Comme les rois avant lui, il offrit aussi des charges de cour, des titres de noblesse et des dotations dans les pays conquis. Les Bourbons qui lui succédèrent eurent quant à eux à cœur de remettre au goût du jour le mythe du roi généreux du Moyen Âge et de l’Ancien Régime.

    2La chasse eut un rôle important dans la construction de cette image. En effet, des dizaines, voire des centaines de curieux venaient profiter du spectacle de l’équipage de chasse du souverain, et parfois tenter de l’approcher. Les récits des chasses furent fréquemment utilisés afin de présenter Napoléon comme un monarque accessible.

    3La générosité impériale puis royale eut d’autres occasions de s’exprimer jusqu’en 1830, les apparitions publiques des souverains étant fréquentes. L’abondance de récits d’actes charitables concernant les chasses et la conservation d’une mémoire comptable de ces aumônes permettent de proposer une analyse des identités des solliciteurs, de leur origine sociale et du montant des sommes offertes. Il devient dès lors possible d’étudier la perception de ces gestes par l’opinion, qu’ils soient instrumentalisés par les journaux ou les artistes fidèles au pouvoir, ou déformés et récupérés par l’opposition politique.

    II. — L’héritage artistique de l’Ancien Régime

    4Depuis l’Ancien Régime, les représentations des chasses occupaient une place bien définie dans les discours sur le pouvoir : elles servaient à conserver le souvenir des exploits cynégétiques du monarque et à matérialiser son autorité sur l’espace, ses forêts et ses châteaux. Sur une des toiles du Grand Trianon, Jean-Baptiste Martin l’Ancien avait ainsi peint Louis XIV en train d’inspecter le grand chenil de Versailles avant son départ à une chasse2, mais il avait prolongé la vue jusqu’au château en construction, afin de bien mettre en avant la richesse du roi et de sa cour. Art de mémoire, la peinture des chasses servait à fixer le souvenir des réalisations architecturales et à immortaliser la puissance du monarque lancé à la poursuite du cerf, entouré de ses courtisans. Ces peintures reprenaient les mêmes codes iconographiques que les représentations des batailles, qui plaçaient le roi au milieu de son état-major, avec une ville assiégée ou des armées en train de combattre en arrière-plan. Dans les petits appartements de Saint-Germain-en-Laye en 16693, puis dans ceux de Marly, l’accrochage fit alterner les peintures de guerre et de chasse. Des portraits des chiens de Louis XIV, qui rappelaient que la chasse était aussi une pratique privée, furent également installés à Marly4.

    5De nouvelles voies apparurent avec Alexandre-François Desportes et Jean-Baptiste Oudry, qui peignirent les chasses royales en resserrant l’action sur la figure du roi, représenté en chef d’équipage. À partir de 1728, Oudry, autorisé à suivre le roi en forêt5, peignit ainsi sa série des dix Chasses, qui furent également tissées. Sous Louis XVI, des chasses peintes sur porcelaine firent aussi leur apparition dans les petits appartements du roi à Versailles : le transfert de l’art cynégétique vers un support de petites dimensions montre que la chasse était désormais considérée comme relevant de la vie privée.

    6À l’époque de la Révolution, à la suite de Pierre de Valenciennes, la chasse ne fut plus considérée que comme un accessoire de la peinture de paysage6, avec ses « arbres remarquables » et ses « empilements de roches »7, ou de la peinture de genre, avec « les scènes du peuple, celles des villageois »8. Réapparues sous l’Empire, les peintures des chasses officielles, marquées par le goût du paysage pittoresque, se perpétuèrent sous la Restauration et firent à nouveau partie intégrante de l’iconographie politique. Carle Vernet joua un rôle central dans l’histoire de la peinture des chasses au début du xixe siècle. Héritier de l’Ancien Régime, il porta à son apogée le canon mis en place par Van der Meulen sous Louis XIV pour la représentation du cheval, en reprenant dès ses débuts la pose du « cabré allongé », où le cheval n’a que les postérieurs posés sur le sol. Il y ajouta le « galop volant », où aucun des sabots du cheval ne touche le sol, qui influença les peintres de chevaux et de batailles comme Géricault9 et les peintres de chasses et de paysages comme Jean-François Robert.

    7Dans l’iconographie de l’Empire et de la Restauration, les scènes de chasse renouèrent avec la tradition de l’Ancien Régime en montrant les loisirs privés d’un souverain dans une nature idéalisée, entouré de ses courtisans et de ses sujets, image d’une monarchie stable et prospère. Comparées aux représentations des victoires napoléoniennes, ces représentations figées purent paraître anachroniques. Elles passaient de plus sous silence les faiblesses du pouvoir, que d’autres types d’images, plus souples, mettaient en scène en retournant les codes iconographiques ou en les parodiant10. Les représentations fantasmées des chasses par les caricatures se combinèrent ainsi avec les critiques, déjà plus anciennes, des traditions royales.

    III. — Les chasses anachroniques ? Le rôle du grand louvetier

    8En rétablissant un service du grand veneur, Napoléon endossa aussi le rôle du monarque protecteur de ses sujets contre les loups autrefois assumé par le roi de France11. Après 1789, la disparition des chasses avait aussi entraîné la fin de l’équipage de la louveterie royale, dans une forte période de multiplication des attaques de loups sur l’homme12. La plupart se localisaient dans le Morvan, la Saône et les Cévennes, où sévit la dernière « bête » de 1809 à 1817. Napoléon donna à Berthier le titre de grand louvetier, par le décret du 26 août 1804. Peu de temps après, celui du 22 mars 1805 [1er germinal an XIII] organisa la louveterie dans tout l’Empire : « le grand veneur donne des commissions honorifiques de capitaine-général, de capitaine et de lieutenant de louveterie, dont il détermine les fonctions et le nombre par conservation forestière et par département ». Des récompenses étaient accordées après déclaration du nombre de loups tués auprès du préfet et du capitaine de louveterie, qui prévenaient le ministre de l’Intérieur et le grand veneur. L’état des loups tués dans l’Empire était publié dans les journaux tous les trimestres.

    9Dès novembre 1804, des loups furent signalés en forêt de Fontainebleau, où ils firent plusieurs victimes. Afin d’assurer la sécurité des forêts de la Couronne, « l’ordre arriva de créer à Fontainebleau une Vénerie permanente destinée à détruire ces animaux »13 : Berthier recruta un louvetier anglais, Hudson, « piqueur des toiles de la Vénerie », qui fut employé pour traquer les loups de 1805 à 180714. Napoléon chassa rarement le loup, et ne le fit qu’à la suite d’annonces d’attaques meurtrières. Le 7 avril 1806, une attaque en Lozère fit quatre victimes15. Quelques jours plus tard, l’empereur, informé par la presse, décida d’éliminer la menace lupine près de Rambouillet, une des seules forêts d’Île-de-France où les loups sévissaient encore. Le 16 mai, il chassa au loup pour la première fois16, avant de traquer quatre loups le 23 et le 24 août17. Il fut acclamé par la foule du village de Dourdan, près de Rambouillet, et un projet de plaque commémorative fut même évoqué18. Au début de 1807, un loup dans le département de la Loire attaqua et tua quatre personnes19. Au mois de juillet, le « loup du Beauvaisis » fit à son tour de nombreuses victimes. En réaction, le 29 octobre 1807, Napoléon chassa une louve, qui fut tuée dans le canal du parc de Fontainebleau20. Le 7 et le 12 novembre, deux autres loups furent pris21. En octobre 1810, Napoléon fit capturer « un loup qui ravageait les campagnes » près de Fontainebleau, avant de le chasser et de le faire mettre à mort22. Le 14 novembre 1810, Berthier chassa deux loups, mais Napoléon n’était pas présent23. Enfin, trois « loups monstrueux » furent tués dans la forêt de Bondy en 1812 par l’équipage impérial, à la grande satisfaction de la presse parisienne24. Toutes ces chasses furent décrites dans les journaux, Napoléon captant l’héritage des Bourbons, grands destructeurs de loups, en s’imposant comme un monarque protecteur contre les animaux sauvages.

    10En revanche, la Restauration oublia ce rôle traditionnel des chasses royales. Le principal gibier couru fut le cerf, chassé pour le seul plaisir du roi et de sa famille. Le rapport de l’opinion publique à la chasse s’inversa progressivement, les sujets n’y voyant bientôt plus qu’une tradition anachronique, source de dépenses inutiles pour l’État.

    Notes de bas de page

    1 P. Branda, Le prix de la gloire…, p. 55.

    2 J.-B. Martin, dit l’Ancien, Vue de la ville et du château de Versailles prise de la butte de Montbauron, Louis XIV et Louvois visitent les nouveaux réservoirs, vers 1696, huile sur toile, 260 x 184 cm, Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, inv. MV 749.

    3 G. Sabatier, « Le portrait de César, c’est César. Lieux et mise en scène du portrait du roi dans la France de Louis XIV », dans L’image du roi…, p. 214.

    4 C. Kayser, De chasse et d’épée…, p. 40.

    5 D. Reytier, « Voyage au cœur des chasses de Louis XV »…, p. 115.

    6 P.-H. de Valenciennes, Éléments de perspective pratique…, p. 415.

    7 J.-M. Leniaud, Napoléon et les arts…, p. 192.

    8 Paris, Arch. musées nationaux, X-Salon, d. « Salon de 1810 », rapport de Denon à Napoléon, Paris, 11 novembre 1810.

    9 G.-R. Mennessier de La Lance, Essai de bibliographie hippique…, t. II, p. 617.

    10 A. Duprat, « Le roi, la chasse et le parapluie… », p. 118.

    11 La chasse au loup est considérée comme moins agréable, plus dangereuse et plus éprouvante que les autres types de chasse. Elle n’eut que peu d’adeptes, le plus connu étant le grand dauphin, fils de Louis XIV (P. Salvadori, La chasse sous l’Ancien Régime…, p. 199).

    12 F.-A. Fauveau de Frénilly, Souvenirs…, p. 273 ; J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 221-224.

    13 A. Durand, Napoléon à Fontainebleau…, p. 14.

    14 AN, O2 126, d. 1, pièce 78, lettre de Daru à Berthier, Munich, 27 octobre 1805 [5 brumaire an XIV] ; O2 127, fol. 35.

    15 J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 602.

    16 A. Granger, « Les chasses du Premier Empire… », p. 91.

    17 AN, O2 127, fol. 46.

    18 J. Guyot, Chronique d’une ancienne ville royale…, p. 344.

    19 J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 602.

    20 Journal de l’Empire, 2 novembre 1807, p. 3.

    21 H.-G. Nicolet, Histoire de Melun…, p. 574 ; Journal de l’Empire, 16 novembre 1807, p. 3.

    22 A. Durand, Chronologie des fastes de Fontainebleau…, p. 267.

    23 Journal de l’Empire, 18 novembre 1810, p. 3.

    24 Journal de Paris, 18 janvier 1812, p. 1.

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    1 P. Branda, Le prix de la gloire…, p. 55.

    2 J.-B. Martin, dit l’Ancien, Vue de la ville et du château de Versailles prise de la butte de Montbauron, Louis XIV et Louvois visitent les nouveaux réservoirs, vers 1696, huile sur toile, 260 x 184 cm, Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, inv. MV 749.

    3 G. Sabatier, « Le portrait de César, c’est César. Lieux et mise en scène du portrait du roi dans la France de Louis XIV », dans L’image du roi…, p. 214.

    4 C. Kayser, De chasse et d’épée…, p. 40.

    5 D. Reytier, « Voyage au cœur des chasses de Louis XV »…, p. 115.

    6 P.-H. de Valenciennes, Éléments de perspective pratique…, p. 415.

    7 J.-M. Leniaud, Napoléon et les arts…, p. 192.

    8 Paris, Arch. musées nationaux, X-Salon, d. « Salon de 1810 », rapport de Denon à Napoléon, Paris, 11 novembre 1810.

    9 G.-R. Mennessier de La Lance, Essai de bibliographie hippique…, t. II, p. 617.

    10 A. Duprat, « Le roi, la chasse et le parapluie… », p. 118.

    11 La chasse au loup est considérée comme moins agréable, plus dangereuse et plus éprouvante que les autres types de chasse. Elle n’eut que peu d’adeptes, le plus connu étant le grand dauphin, fils de Louis XIV (P. Salvadori, La chasse sous l’Ancien Régime…, p. 199).

    12 F.-A. Fauveau de Frénilly, Souvenirs…, p. 273 ; J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 221-224.

    13 A. Durand, Napoléon à Fontainebleau…, p. 14.

    14 AN, O2 126, d. 1, pièce 78, lettre de Daru à Berthier, Munich, 27 octobre 1805 [5 brumaire an XIV] ; O2 127, fol. 35.

    15 J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 602.

    16 A. Granger, « Les chasses du Premier Empire… », p. 91.

    17 AN, O2 127, fol. 46.

    18 J. Guyot, Chronique d’une ancienne ville royale…, p. 344.

    19 J.-M. Moriceau, Histoire du méchant loup…, p. 602.

    20 Journal de l’Empire, 2 novembre 1807, p. 3.

    21 H.-G. Nicolet, Histoire de Melun…, p. 574 ; Journal de l’Empire, 16 novembre 1807, p. 3.

    22 A. Durand, Chronologie des fastes de Fontainebleau…, p. 267.

    23 Journal de l’Empire, 18 novembre 1810, p. 3.

    24 Journal de Paris, 18 janvier 1812, p. 1.

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    Vial, Charles-Éloi. « Introduction. Évolutions et permanences dans la représentation des souverains ». Le grand veneur de Napoléon Ier à Charles X, Publications de l’École nationale des chartes, 2016, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.enc.10788.

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