Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1Ce livre est issu de ma thèse de doctorat, soutenue à l’Université Paris 8 en décembre 2018, en co-tutelle avec l’Université de Bologne. Je souhaite remercier ici toutes celles et ceux qui ont contribué, de près ou de loin, à l’aboutissement de ce travail. Ma reconnaissance va tout particulièrement à Marie-Anne Matard-Bonucci et à Patrizia Dogliani qui ont accompagné et guidé ces recherches avec intérêt, bienveillance et efficacité, me permettant de travailler à la fois sereinement et dans un environnement stimulant. Je tiens également à remercier les membres de mon jury – Fabien Conord, Valeria Galimi, Marc Lazar, Maurizio Ridolfi – d’avoir accepté de lire et de discuter de ces travaux.
2Merci aussi à ceux qui ont apporté, au moment du cadrage du sujet, lors de son développement ou de sa conclusion, leurs encouragements et leurs conseils pour mener à bien cette recherche ou d’autres projets parallèles et tout particulièrement Fabien Archambault, Amélie Balcou, Gilles Candar, Antonio Canovi, Luciano Casali, Frédéric Cépède, Roberto Colozza, Sante Cruciani, Jean-Numa Ducange, Jean Faury, Marco Fincardi, Fabrice Jesné, Jacqueline Lalouette, Paolo Mattera, Frédéric Monier, Rémy Pech, Christophe Prochasson et Jean-François Sirinelli.
3Ces travaux ont aussi bénéficié du soutien de l’Université Franco-italienne et de l’École française de Rome qui ont permis un approfondissement serein des sources italiennes en offrant des conditions de travail idéales. De même, l’EA 1571, l’Université de Bologne et l’IHTP ont constitué des lieux de travail et d’échanges stimulants. Plus récemment, mon séjour à l’École française de Rome m’a permis de reprendre le manuscrit dans les meilleures conditions.
4Enfin, je tiens à remercier les archivistes des centres que j’ai visités qui ont souvent permis de mettre à profit des périodes de travail parfois courtes et de m’aider à appréhender certains fonds. Je remercie par ailleurs Giuseppe Cacciatore et Michela Sessa à Salerne pour l’accès au fonds Luigi Cacciatore et les archivistes et la direction de la Fondation Di Vagno de Conversano.
5Je n’oublie pas non plus mes collègues de Paris 8 et de Lyon 3 et tout particulièrement Gwenaëlle Le Goullon, ainsi que tous ceux qui m’ont hébergé dans mes pérégrinations archivistiques ou lyonnaises et notamment Tullio Ottolini, Tatjana et Anoushka Nardone, Alix Laubez, Mathieu Montoy, Elsa Crousier.
6Merci enfin au cercle des camarades et souvent des relecteurs : Monica Lanzoni, Grégoire Le Quang, Romain Loriol, Mathias Burgé, Anne-Laure Mercier, Léo Cayeux, Théo Gaglione, Véronique, Bruno, Eva Cirefice et bien sûr, Joanne, autant de gens bienveillants qui réalisent des cartes depuis le Sénégal, prient S. Giuseppe Proletario, tracent des parallèles entre René Viviani et Lucrèce, s’émeuvent du sort de Daniel Mayer chahuté un Premier mai ou, tout simplement, cultivent une obsession malsaine pour les « : ».
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« L’espoir quotidien »
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