Remerciements
p. IX-X
Texte intégral
1Ce livre est issu de la thèse de doctorat que j’ai soutenue à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales en janvier 2000. Je me suis efforcé de l’amender en tenant compte des remarques et des conseils aimablement formulés par les membres du jury.
2Il n’aurait pu prendre place dans la collection de la BEFAR sans l’aimable soutien de Michel Gras, directeur de l’École française de Rome, et de Brigitte Marin, directrice des études pour l’histoire moderne et contemporaine, et sans le concours patient et scrupuleux du service des publications, de Franco Bruni et de son directeur, François-Charles Uginet. Qu’ils en soient chaleureusement remerciés.
3Je veux dire combien l’École française de Rome, en m’accueillant en qualité de membre entre 1997 et 2000, a permis l’achèvement de ce travail dans les meilleures conditions. André Vauchez, son directeur d’alors, et Catherine Brice, qui était directrice des études pour l’histoire moderne et contemporaine, avaient bien voulu que je fisse des infidélités à Rome au profit de la patrie de Paolo Sarpi pour les besoins des dépouillements. Je souhaite ne pas avoir déçu la confiance et la liberté qu’ils m’avaient accordées.
4Avant mon départ pour l’Italie, la formation doctorale d’histoire de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, où j’ai travaillé pendant trois ans, fut un lieu de formation et d’échange intellectuel irremplaçable. Dans le même temps, le Centre de recherches historiques (CNRS-EHESS) et le Centre d’histoire urbaine de l’École normale supérieure de Fontenay/Saint-Cloud contribuèrent au financement des microfilms que je n’avais de cesse de commander. Je suis redevable à toutes ces institutions du soutien qu’elles m’ont apporté.
5Jacques Revel, qui n’a pas ménagé son temps pour me faire part, plume à la main, de ses suggestions sans jamais chercher à les imposer, fut un directeur de thèse exigeant, attentif et généreux. Je ne pouvais espérer meilleur maître.
6Giovanni Levi a non seulement accompagné mes premiers pas aux archives de Venise, mais a su, au cours de ces années avec une déconcertante habilité, transformer mes doutes en questionnement et mes abattements en énergie.
7Philippe Braunstein et Reinhold Mueller ont répondu avec bienveillance et générosité à toutes mes sollicitations. Gérard Béaur, Élizabeth Crouzet-Pavan, Jean-Yves Grenier, Christiane Klapisch-Zuber, François-Xavier Leduc, Bernard Lepetit, Marie-Vic Ozouf-Marignier, Daniel Roche et Paul-André Rosental m’ont permis d’affermir ma réflexion. À Venise, Alfredo Viggiano a été mon meilleur guide des archives avant de devenir mon maître de voga. Luciano Pezzolo et Andrea Zannini m’ont éclairé de leur savoir bibliographique. Marino Berengo, Donatella Calabi, Ennio Concina, Gigi Corazzol, Giuseppe Del Torre, Renzo Derosas, Mario Infelise et Paola Lanaro m’ont apporté leur aide à un moment ou à un autre de cette recherche. Le personnel et les archivistes de l’Archivio ont su répondre, avec efficacité et gentillesse, à mes requêtes. Vittorio Mandelli, sans qui les archives ne seraient pas ce qu’elles sont, m’a tout dit des notaires et plus encore.
8Lors de mes premiers séjours à Venise, Franca Trentin-Baratto et Xavier Tabet m’ont offert le gîte et le couvert. Leur générosité reste une leçon. Nadia Filippini, Paola Pavanini et Giorgio Nubar Gianighian m’ont fait un accueil chaleureux qui ne s’est jamais démenti.
9Pierre Bastide, qui fut le grand maître d’œuvre informatique, enrage encore au souvenir du travail que je lui ai donné. Liliane Adolphe, après m’avoir beaucoup encouragé, s’est montrée fidèle à son dévouement légendaire.
10Olivier Poncet et Géraud Poumarède avaient accepté de consacrer beaucoup de leur temps à la relecture du manuscrit de la thèse. Ils s’étaient acquittés de cette tâche ingrate avec une telle rigueur et un si grand dicernement que la mise au point de ce livre en a été facilitée. Francesca Trivellato, qui a tant contribué à mon intégration vénitienne, a traqué les fautes d’italien et rendu bien d’autres services encore, trop sans doute. J’exprime à tous ma plus sincère reconnaissance.
11Laurence fut la première à se réjouir de la conclusion de ce travail. Il est vrai que mes sollicitations étaient peut-être de trop alors qu’elle venait d’achever sa propre thèse et de mettre au monde Étienne. Madeleine, qui n’avait pas été fâchée de mettre un point final aux deux thèses qu’elle disait avoir entreprises, s’étonnera sans doute de la voir réapparaître, telle une hydre, sous la forme d’un livre. Ils savent combien l’aventure fut collective.
12Septembre 2003
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La Circulation des biens à Venise
Ce livre est cité par
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- Gasperoni, Michaël. (2018) Les ghettos juifs d’Italie à travers lejus chazakah: Un espace contraint mais négocié. Annales. Histoire, Sciences Sociales, 73. DOI: 10.1017/ahss.2019.44
La Circulation des biens à Venise
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