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Les auteurs

p. VII-XI


Texte intégral

1 Miguel Canino Zanoletty : licencié en histoire (Université de Grenade, Espagne), histoire de l’Église (Université pontificale Grégorienne, Rome) et en théologie dogmatique (Université pontificale salésienne, Rome), il est également docteur en histoire de l’Église (Université pontificale Grégorienne, Rome) et membre de l’Institut historique salésien (Rome).

2 Vicente Cárcel Ortí est docteur en histoire de l’Église, droit canonique, lettres et philosophie. Parmi ses ouvrages les plus récents : Historia de la Iglesia en la España contemporánea (Madrid, Palabra, 2002) ; Caídos, víctimas y mártires. La Iglesia y la hecatombe de 1936 (Madrid, Espasa-Calpe, 2008) ; Pío XI entre la República y Franco e Mártires del siglo XX en España (Madrid, BAC, 2008). Il poursuit la publication de La II República y la Guerra Civil en el Archivo Secreto Vaticano. Documentos desde 1931 hasta 1939 (Madrid, BAC, 2011-2016), dont cinq volumes ont déjà paru.

3 Ion Cârja est professeur associé à la Faculté d’histoire et de philosophie de l’Université Babes-Bolyai (Cluj-Napoca). Ses recherches portent sur l’histoire religieuse, les relations entre l’Italie et la Roumanie et l’archivistique. Il a publié : Un italiano a Bucarest : Luigi Cazzavillan (1852-1903), Cluj-Napoca, Center for Transylvanian Studies, 2011 / Rome, Viella, 2012 (avec Ioan-Aurel Pop) ; Die Rumänische Unierte Kirche am Ersten Vatikanischen Konzil, Francfort, Peter Lang Verlag, 2013 (avec Nicolae Bocșan).

4 Francesco Castelli est directeur de l’Institut supérieur des sciences religieuses « R. Guardini », où il enseigne également l’histoire de l’Église moderne et contemporaine. Il est directeur des Archives historiques diocésaines de Tarente et a été conseiller historique pour la postulation de la cause de Jean-Paul II. Ses recherches portent principalement sur la Congrégation du Saint-Office à l’époque contemporaine.

5 Andrea Ciampani est professeur d’histoire contemporaine à l’Université LUMSA de Rome, chairman du réseau Encounters of European Elites in the 19th Century, coordinateur scientifique des Groupes étrangers de l’Institut pour l’histoire du Risorgimento italien et membre de la direction du projet de recherche Concilio Vaticano I e modernità. Il a récemment dirigé le volume National Identities and Transnational European Élites (avec Rita Tolomeo, Soveria Mannelli, Rubbettino, 2015).

6 Giovanni Coco travaille à l’Archivio Segreto Vaticano depuis 2002. Il a récemment publié I Fogli di Udienza del cardinale Eugenio Pacelli, Segretario di Stato, I (1930) (avec Sergio Pagano et Marcel Chappin, ASV, 2010) ; I Fogli di Udienza del cardinale Eugenio Pacelli, Segretario di Stato, II (1931) (avec Alejandro M. Dieguez, ASV, 2014).

7 Paolo Cozzo est professeur associé d’histoire du christianisme et des Églises au Département des études historiques de l’Université de Turin. Ses travaux portent sur les institutions ecclésiastiques et la vie religieuse à l’époque moderne et contemporaine, notamment dans les États de la Maison de Savoie. Il a récemment publié Andate in pace. Parroci e parrocchie in Italia dal Concilio di Trento a papa Francesco (Rome, Carocci, 2014).

8 Magali Della Sudda, chargée de recherche en science politique au Centre Émile Durkheim (CNRS), est spécialiste de la citoyenneté et du genre. Elle s’est intéressée aux mobilisations féminines avant le droit de suffrage, en mettant l’accent sur le rôle de l’Église dans la politisation des femmes en France et en Italie. Ses post-doctorats à l’École française de Rome et à l’Institut européen de Florence lui ont permis de souligner l’importance des archives vaticanes pour différents champs de recherche en science politique.

9 Alejandro Mario Dieguez travaille à l’Archivio Segreto Vaticano depuis 1999, où il s’occupe des fonds du XXe siècle, notamment les papiers privés des papes sur lesquels il a publié L’archivio particolare di Pio X. Cenni storici e inventario (ASV, 2003), Le carte del « sacro tavolo ». Aspetti del pontificato di Pio X dai documenti del suo archivio privato (avec Sergio Pagano, ASV, 2006) ; « Carte Pio X ». Scritti, omelie, conferenze e lettere di Giuseppe Sarto. Cenni storici, inventario e appendice documentaria (ASV, 2010) ; I « fogli di udienza » del cardinale Eugenio Pacelli segretario di Stato 1931 (avec Giovanni Coco, ASV, 2014).

10 Piero Doria travaille à l’Archivio Segreto Vaticano, où il s’occupe notamment depuis une dizaine d’années du fonds du Concile Vatican II, dont il a rédigé un inventaire analytique en cours de publication. Il a récemment publié Storia del Concilio Ecumenico Vaticano II. Da Giovanni XXIII a Paolo VI (1959-1965), Prefazione di Marcello Semeraro, Todi, 2016.

11 Marie Gayte est maître de conférences en civilisation nord-américaine à l’Université de Toulon. Ses travaux portent sur l’interaction entre Église catholique et politique aux États-Unis, aussi bien sur le plan de la politique étrangère qu’intérieure. Ses articles ont été publiés dansVingtième Siècle, Catholic Historical Review, Journal of Church and State et Journal of Transatlantic Studies.

12 François Jankowiak est professeur d’histoire du droit à l’Université Paris-Sud (Paris-Saclay) et directeur du centre Droit et Sociétés Religieuses (EA 1611) ainsi que de la Fédération Paris-Sud de Sciences Juridiques. Membre de la direction du projet de recherche Concilio Vaticano I e modernità, il a notamment publié La Curie romaine de Pie IX à Pie X. Le gouvernement central de l’Église et la fin des États pontificaux (1846-1914) (BEFAR, 2007) et La décadence dans la culture et la pensée politiques : Espagne, France et Italie (XVIIIe-XXe siècle) (avec J.-Y. Frétigné, dir., CEFR, 2008).

13 Frédéric Le Moigne est maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bretagne Occidentale (Brest). Spécialiste de l’épiscopat au XXe siècle, il travaille actuellement sur le thème des mobilisations de masse dans le catholicisme français. Il a codirigé Les Évêques français de la Séparation au pontificat de Jean-Paul II (Paris, Cerf, 2013), et édité les Billets de Rome. Monseigneur Paul Gouyon, archevêque de Rennes, au concile Vatican II (1964-1965) (Rennes, Société archéologique et historique d’Ille-et-Vilaine/Amis des archives historiques du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo, 2014).

14 Marie Levant est chercheuse à la Fondazione per le scienze religiose Giovanni XXIII, et engagée actuellement dans une recherche sur l’œcuménisme. Elle a collaboré au Dictionnaire du Vatican et du Saint-Siège (direction de C. Dickès, Paris, Robert Laffont, 2013). Elle a récemment publié Pie XI, un pape contre le nazisme ? L’encyclique Mit brennender Sorge (14 mars 1937), en codirection avec F. Bouthillon et prépare la publication de sa thèse de doctorat sous le titre Pacelli à Berlin. La diplomatie vaticane en Allemagne, de Weimar à Hitler.

15 Andrea Merlotti, docteur en histoire sociale de l’Europe moderne, dirige depuis 2008 le Centre d’études de la Reggia de Venaria. Il est l’auteur de nombreuses études sur les États de la Maison de Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècles, notamment sur les pratiques et les savoirs des milieux dirigeants et de la cour. Depuis 2010, il enseigne dans le cadre de l’école doctorale du Politecnico de Turin.

16 Gérard Pelletier est prêtre du diocèse de Paris, professeur d’histoire et de théologie à la Faculté Notre-Dame du Collège des Bernardins. Il a notamment publié Rome et la Révolution française, la théologie et la politique du Saint-Siège devant la Révolution française 1789-1799 (Rome, CEFR, 2004) ; Le cardinal Lustiger et le sacerdoce, Actes du colloque des 4 et 5 mars 2011 au Collège des Bernardins (Paris, 2011) et plusieurs contributions dans Notre-Dame de Paris, Coll. La grâce d’une cathédrale, Strasbourg, La nuée bleue, 2012.

17 Laura Pettinaroli est maître de conférences en histoire contemporaine à l’Institut catholique de Paris et membre de l’unité de recherche « Religion, culture et société » EA 7403. Ses travaux portent sur l’histoire de la papauté, le monde russe et les relations internationales au XXe siècle. Elle a notamment publié Le gouvernement pontifical sous Pie XI : pratiques romaines et gestion de l’universel (direction, CEFR 2013) et La politique russe du Saint-Siège (1905-1939) (BEFAR, 2015).

18 Claude Prudhomme, professeur émérite de l’Université de Lyon, est spécialiste de l’histoire de la diffusion du catholicisme par les missions. Sa thèse d’État est publiée par l’École française de Rome : Stratégie missionnaire du Saint-Siège sous Léon XIII, 1878-1903 centralisation romaine et défis culturels (1994).

19 Roberto Regoli est professeur d’histoire contemporaine de l’Église à l’Université pontificale Grégorienne où il dirige le département d’histoire de l’Église et la revue Archivum Historiae Pontificiae. Il s’intéresse plus particulièrement à l’histoire de la papauté, de la Curie romaine et de la diplomatie pontificale du XIXe au XXIe siècle. Membre de la direction du projet de recherche Concilio Vaticano I e modernità, il a publié Ercole Consalvi. Le scelte per la Chiesa (Roma, PUG, 2006) et Oltre la crisi della Chiesa. Il pontificato di Benedetto XVI (Turin, Lindau, 2016).

20 Gilles Routhier est professeur et doyen à la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval (Québec, Canada). Ses recherches portent principalement sur Vatican II, son enseignement, son histoire, son herméneutique et sa réception.

21 Olivier Sibre est agrégé et docteur en histoire, actuellement secrétaire scientifique au labex EHNE (Écrire une Histoire Nouvelle de l’Europe, Paris-Sorbonne). Il travaille sur l’activité globale de l’Église, notamment à travers la représentation pontificale, en particulier en Asie orientale. Il a publié Le Saint-Siège et l’Extrême-Orient (Chine, Corée, Japon) de Léon XIII à Pie XII, 1880-1952 (CEFR, 2012).

22 Christian Sorrel est professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Lyon (Lyon 2). Spécialiste de l’histoire du catholicisme français, il a travaillé en particulier sur les crises du début du XXe siècle (congrégations religieuses, Séparation des Églises et de l’État, modernisme) et poursuit des recherches sur l’épiscopat français et l’évolution religieuse de la France des années 1950 aux années 1970. Il a récemment codirigé : Le Catholicisme en chantiers. France, XIXe-XXe siècles, Rennes, PUR, 2013 ; Les Évêques français de la Séparation au pontificat de Jean-Paul II, Paris, Cerf, 2013 ; La France et le concile Vatican II (Bruxelles – Paris, Ministère des Affaires étrangères (Direction des Archives) – P. I.E. Peter Lang, 2015) ; Gouverner l’Église catholique au XXe siècle. Perspectives de recherches (Lyon, LARHRA – RESEA, coll. Chrétiens et sociétés 2015).

23 Jean-Marc Ticchi est membre associé du Centre d’études en Sciences sociales du religieux (CéSor/EHESS). Ses recherches portent sur les formes de dévotion et la diplomatie pontificale aux XIXe et XXe siècles. Il a publié Le voyage à Paris de Pie VII pour le couronnement de Napoléon, Paris, Champion, 2013.

24 Massimiliano Valente est professeur associé d’histoire contemporaine à l’Università Europea de Rome. Il a publié et dirigé plusieurs ouvrages sur l’activité internationale du Saint-Siège, notamment sur les rapports avec l’Allemagne bismarckienne au XIXe siècle et la Yougoslavie au XXe siècle : Diplomazia pontificia e Kulturkampf. La Santa Sede e la Prussia tra Pio IX e Bismarck (1862-1878) (Rome, Studium, 2004) et Diplomazia pontificia e Regno dei Serbi, Croati e Sloveni (1919-1929) (Split, Filosofski Fakultet, 2012).

25 Paolo Valvo est chercheur en histoire contemporaine à l’Université catholique du Sacré Cœur de Milan, où il collabore avec le Département « Mario Romani ». Il a publié plusieurs articles sur la diplomatie pontificale dans l’entre-deux-guerres, ainsi que deux ouvrages : Dio salvi l’Austria ! 1938 : il Vaticano e l’Anschluss (Milan, Mursia, 2010) e Pio XI e la Cristiada. Fede, guerra e diplomazia in Messico (1926-1929) (Brescia, Morcelliana, 2016).

26 Audrey Virot est docteur en histoire du droit. Sa thèse de doctorat porte sur Les négociations diplomatiques entre la France et le Saint-Siège, 1870-1939 et a été soutenue en 2013 à l’Université Paris-Sud. Elle est l’auteur de plusieurs articles sur des questions de droit en lien avec le Saint-Siège et la papauté.

27 François Weiser est docteur de l’École Pratique des Hautes Études. Sa thèse, rédigée sous la direction de Denis Pelletier et soutenue en 2016, porte sur une socio-histoire du groupe des experts au concile Vatican II. Il a récemment publié Réseaux et débats théologiques dans le catholicisme des années 1960, au prisme du groupe des experts au concile Vatican II, dans Archives de sciences sociales des religions, 175, octobre-décembre 2016, p. 231-252.

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