1Cet ouvrage est le fruit d’une recherche effectuée sous la direction de M. Lenoir dans le cadre d’un doctorat d’archéologie intitulé Les royaumes d’Afrique du Nord de la fin de la deuxième guerre punique à la mort du roi Bocchus II (201-33 av. n. è.), soutenu à l’Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne en 2006. Les publications sur lesquelles se fonde notre réflexion sont donc antérieures à cette date. Nous avons néanmoins pris connaissance de celles qui, parues depuis 2007, concernent tout particulièrement les fouilles archéologiques qui ont atteint des niveaux d’époque préromaine au Maroc, comme à Lixus, à Thamusida, dans la région de Tétouan, ou encore en Tunisie à Althiburos et en Algérie à Alger1. Ces recherches récentes apportent des informations qui permettent de reconsidérer les interprétations ou de les enrichir. C’est notamment le cas des derniers résultats de la mission archéologique hispano-marocaine de Tamuda, des missions archéologiques franco-marocaines de Banasa, de Rirha, de Kouass et de celle consacrée aux monuments religieux de Maurétanie tingitane, mais aussi des derniers travaux de L. Callegarin sur les monnaies de Maurétanie2.

2Nous remercions chaleureusement toutes celles et ceux qui nous ont permis de mener à bien cette étude, en premier lieu les responsables des institutions scientifiques et des musées archéologiques du Maroc et de l’Algérie : A. Akerraz, directeur de l’INSAP de Rabat, R. Arharbi, ancien chef du Service des Musées à la Direction du patrimoine culturel de Rabat, M. Betrouni, ancien directeur du Patrimoine algérien, A. Ghessab, ancien directeur de l’Agence Nationale d’Archéologie et de Protection des Sites et Monuments Historiques à Alger, L. Driass, ancien directeur du musée des Antiquités d’Alger, K. Kitouni-Daho, ancienne directrice du musée de Cirta à Constantine, H. Meshoub, ancien directeur du musée National A. Zabana d’Oran, Y. Rebahi, ancienne conservatrice du musée de Cherchell, S. Bensaada, ancienne conservatrice du musée d’Hippone, S. Ferdi, ancienne conservatrice du musée de Tipasa.

3Nous adressons de plus nos vifs remerciements à tous les autres collègues avec qui nous avons partagé de riches échanges scientifiques et qui nous ont souvent prodigué de précieux conseils : M. Lenoir, ancien directeur de recherche à l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; É. Lenoir, ancienne chargée de recherche à l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; Chr. Hamdoune, professeur émérite à l’Université Paul Valéry-Montpellier 3 ; J. Pérez Ballester, professeur à l’Université de Valence (Espagne) ; P. Rouillard, directeur de recherche émérite à l’UMR 7041, CNRS-ArScAn ; A. Hesnard, ancien directeur de recherche à l’UMR 7299, CNRS-CCJ ; N. André, architecte - ingénieur de recherche à l’USR 3155, IRAA/CNRS-AMU ; J.-J. Malmary, architecte - ingénieur de recherche à l’USR 3155, IRAA/CNRS-AMU ; G. Poccardi, maître de conférence à l’Université de Lille 3 ; L. Callegarin, directeur des études à la Casa de Velázquez (époques ancienne et médiévale) ; A. Ichkhakh, conservateur de la médina d’Essaouira ; A. El Khayari, enseignant-chercheur à l’INSAP de Rabat ; H. Hassini, conservateur du site de Lixus ; M. Kbiri Alaoui, enseignant-chercheur à l’INSAP de Rabat ; H. Naji, conservateur à la division d’inventaire et de documentation du patrimoine, Direction du patrimoine culturel de Rabat ; H. Dridi, professeur à l’Université de Neuchâtel (Suisse) ; M. Sebai, maître de conférence à l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne ; Th. Jullien, chercheur associé à l’UMR 7298, CNRS-LA3M, Université d’Aix-Marseille ; S. Biagi, chercheur associé à l’UMR 8585, CNRS-Centre Gustave Glotz ; N. Brahmi, chercheur associé à l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; E. Grisoni, chercheur associé à l’UMR 5608, TRACES, Toulouse ; V. Brouquier-Reddé, chargée de recherche à l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; A.-A. Malek, chargée de recherche à l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; M. Coltelloni-Trannoy, professeur à l’Université de Paris IV-Paris-Sorbonne ; C. Aranegui Gascó, ancien professeur à l’Université de Valence (Espagne) ; E. Papi, professeur à l’Université de Sienne (Italie) ; D. Bernal Casasola, professeur à l’Université de Cadix (Espagne) ; D. Briquel, St. Verger et Chr. J. Goddard, directeurs successifs de l’UMR 8546, CNRS-ENS Paris Ulm ; M. Gras et C. Virlouvet, directeurs successifs de l’École française de Rome ; M. Espagne, directeur du laboratoire d’Excellence TransferS.

4Enfin nous remercions M.-L. Maraval, membre associé à l’UMR 5608, CNRS-TRACES, pour sa collaboration à la réalisation des illustrations de cet ouvrage.