1À l’heure de clore une décennie de recherches consacrées aux caupones, je ne saurais jamais témoigner tout ce que je dois aux professeurs, aux collègues, aux proches qui ont rendu possibles ma thèse de doctorat et la publication de cet ouvrage, qui en est issu.

2Je tiens d’abord à exprimer ma profonde reconnaissance à ma directrice de thèse, Catherine Virlouvet, qui a été présente avec une grande générosité à chaque étape de ce travail, de ses prémices à sa parution finale. Ma gratitude s’adresse également à Jean Andreau, dont les conseils, prodigués avec humour et humanité, sont une précieuse source d’enseignements depuis de nombreuses années. Je le remercie, ainsi que Julien Dubouloz, Andrea Giardina, Claudia Moatti et Nicolas Tran, de m’avoir fait l’honneur de participer au jury qui a évalué ma thèse de doctorat. Leurs remarques ont été déterminantes pour transformer ce travail universitaire en livre. Je suis en outre particulièrement reconnaissante à Philippe Leveau, Dario Montovani et Andrew Wallace-Hadrill pour leurs observations sur différents aspects de mon étude.

3J’adresse ensuite mes remerciements à l’École française de Rome, qui a accepté de publier cet ouvrage au sein de la BEFAR, à sa directrice Catherine Virlouvet, ainsi qu’au directeur du service des Publications, Richard Figuier, et à Sophie Duthion qui a assuré, avec une efficacité jamais démentie, l’édition du manuscrit.

4Durant mes années de thèse, puis de post-doctorat, j’ai bénéficié de l’appui de nombreuses institutions qui m’ont donné le temps et la sérénité indispensables pour mener à bien mes recherches. Je suis d’abord extrêmement reconnaissante à l’Université Aix-Marseille, où j’ai mené ma thèse entre 2009 et 2014, et à l’École française de Rome, dont j’ai été boursière puis membre post-doctorante à partir de 2015 ; Stéphane Bourdin et Nicolas Laubry, directeurs des études successifs de la section Antiquité de l’EFR, ainsi que Giulia Cirenei et Capucine Camplong, assistantes scientifiques, m’ont accompagnée tout au long du processus de publication de cet ouvrage. La bourse de recherches octroyée par la Fondation Thiers pour l’année 2013-2014 a considérablement facilité les derniers temps de mon doctorat : je tiens à témoigner de ma gratitude à Georges-Henri Soutou, ainsi qu’aux membres de la Fondation, qui m’ont honorée de cette marque de confiance. Je dois beaucoup à Andrew Wallace-Hadrill, qui m’a invitée au Sidney Sussex College de Cambridge au printemps 2011, et à la Maison française d’Oxford, où j’ai séjourné en 2013 en tant que boursière. L’École normale supérieure de Lyon et le laboratoire HiSoMa ont accueilli une part importante de mes recherches post-doctorales : je les en remercie, ainsi que Claire Fauchon-Claudon, avec qui j’ai le bonheur de travailler sur l’hospitalité antique depuis près de cinq ans. J’ai enfin une pensée affectueuse pour mes collègues de l’Université Aix-Marseille et de l’Université de Picardie-Jules Verne, où j’ai eu le grand plaisir d’enseigner pendant plusieurs années.

5Je ne saurais m’acquitter de la dette contractée à l’égard de tous ceux qui, par les travaux menés en commun, leurs observations, leurs encouragements, leurs relectures, leurs communications d’articles et d’ouvrages, leurs réponses à mes mille questions, leur aide pratique, leur hospitalité, et surtout leur patience, ont permis de donner à ce livre sa forme finale : Olivia Adankpo-Labadie, Bertrand Augier, Anne-Florence Baroni, Reine-Marie Bérard, Maria Luisa Bonsangue, Mathilde Carrive, Clément Chillet, Elen Cocaign, Cristina Corsi, Florent Coste, Charles Davoine, Louis Delespierre, Hélène Dessales, Claire Fauchon-Claudon, Marie-Claire Ferriès, Jenna Leclercq, Yves-Guénolé Le Guennec, Éloise Letellier-Taillefer, Stéphane Martin, Ségolène Maudet, Hélène Ménard, Nicolas Monteix, Haude Morvan, Julien Ollivier, Lucia Rossi, Hélène Rougier, Julien Schoevaert, Cécile Troadec, Enrico Zanini et les membres de l’équipe HospitAm. Des remerciements tout particuliers vont à Thomas Crognier, qui a réalisé les plans publiés dans ce livre, à Patrick Pentsch, qui en a conçu les cartes, ainsi qu’aux musées et aux sites qui m’ont communiqué les images qui y sont reproduites. Je n’aurais jamais pu mener à bien ce travail sans le soutien indéfectible de mes proches, dans la joie et dans les épreuves : je rends grâce à tous ceux qui, de près ou de loin, me témoignent de leur affection depuis de nombreuses années, en regrettant de ne pas pouvoir tous les citer ici.

6Rome, juillet 2019