Remerciements
p. vii
Texte intégral
1Un livre n’est jamais le résultat d’un parcours individuel et les pages qui suivent ne font pas exception. Cette recherche, qui s’est développée durant mes années de doctorat, passées entre Venise et Rouen, mais aussi Paris et Pasadena, a pu bénéficier de nombreuses rencontres qui ont donné lieux à des discussions et des débats qui ont participé à nourrir ma réflexion. Avec une extrême bienveillance, professeurs, chercheurs et amis, m’ont aidé à enrichir mon travail et continuent encore aujourd’hui à me suivre dans mon parcours académique. Il est donc juste que les premiers mots de ce livre leur soient dédiés.
2Mes premiers remerciements s’adressent à Anna Bellavitis et Luciano Pezzolo, mes directeurs de thèse, pour m’avoir toujours encouragé dans ma recherche et permis d’exprimer mes idées librement tout en m’accordant leur confiance. Leur soutien et leur disponibilité en plus de leurs conseils avisés m’ont permis de mener à bien cette recherche avec enthousiasme.
3Je remercie également Jean-Laurent Rosenthal pour m’avoir fait l’honneur de me suivre tout au long de la préparation de cet ouvrage : ses conseils ont grandement contribué à alimenter ma réflexion. Aussi, j’exprime ma gratitude envers les professeurs Jean-François Chauvard, Giuseppe De Luca, Maria Fusaro et Carmen Sarasùa, dont les remarques et les conseils m’ont permis de parfaire ce travail.
4Je voudrais remercier pour leur aide précieuse Andrea Caracausi, Erasmo Castellani, Isabella Cecchini, Benedetta Crivelli, François Delisle, Emilie Fiorucci, Giorgia Foscarini, Serena Galasso, Lucie Guyard, Robin Quillien, Solène Rivoal, Mattia Viale, Eckhard Wallis.
5Je remercie le personnel des archives d’État de Venise et l’Université de Rouen, en particulier le personnel du laboratoire du GRHis (Groupe de Recherche en Histoire) ; je tiens à remercier aussi la région Normandie pour avoir financé ma recherche, ainsi que l’École Française de Rome pour m’avoir permis de la publier. Enfin, ce livre n’existerait pas sans mes proches. Mes pensées vont donc vers ma famille et Anna, il serait superflu d’en dire plus.
6Ce livre est un partiel remboursement de ma dette envers eux. Si parfois quelques maladresses apparaissaient dans les pages qui suivent, sachez qu’elles ne sont pas le résultat d’un manque de volonté de son auteur mais plutôt de l’inexpérience d’un jeune historien.
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