Figures
p. 201-220
Texte intégral

Fig. 1. Formes naturelles de la calcite : rhomboèdre (a), prisme hexagonal (b), scalénoèdre (c) et dodécaèdre pentagonal (d) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 2. Formes naturelles de la fluorite et de la pyrite : cube (a) et octaèdre (b) (ibid.).

Fig. 3. Passage par troncatures selon les arêtes de la forme cubique (a) au rhombododécaèdre (c) (ibid.).

Fig. 4. Goniomètre de Carangeot grâce auquel Romé de l’Isle établit sa loi de constance des angles dans une même espèce minérale (ibid.).

Fig. 5. Bergman : Le scalénoèdre de calcite (a) est produit par un « noyau » rhomboédri-que auquel s’ajoutent des « lames de décroissement ». Il en est de même du scalénoèdre tétragonal (b) à partir du dodécaèdre et du dodécaèdre rhomboïdal (c) (extrait de T. Bergman, Nova Acta Reg. Soc. Scient. Upsal).

Fig. 6. Passage du prisme hexaèdre régulier de calcite à son « noyau » rhomboédrique, par clivages d’une arête sur deux (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 7. Passage du rhomboèdre obtus de calcite au « noyau » rhomboédrique (ibid.).

Fig. 8. Passage de la forme naturelle cubique de la fluorite (a) à son « noyau » octaédrique (b) par troncatures sur les sommets (c) (ibid.).

Fig. 9. La barytine possède comme « noyau » un prisme droit à bases losangiques (ibid.).

Fig. 10 Le rhombododécaèdre (a) possède un « noyau » cubique. Ses faces sont formées par la superposition de couches de... 49, 25, 9 et 1 cubes (b). La forme simple résulte de cet empilement (c), les faces sont constituées d’escaliers dont le pas est invisible aux plus puissants microscopes (d) (a et d extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5 ; b et c extrait de R.-J. Haüy, l’Exposition abrégée de la théorie des cristaux, Édition du cercle social, Paris, 1792).

Fig. 11. Le « spath boracique », cubique, présente (a) les faces du cube -p-, du rhombododécaèdre -b1-, de l’octaèdre -a1-. Ces deux dernières séries de facettes peuvent être considérées comme des troncatures sur les arêtes et les sommets d’un cube (b) (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 12. La tourmaline est pyroélectrique. Les deux sommets des cristaux naturels prismatiques peuvent être dissymétriques, l’un présentant trois facettes, l’autre six (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 13. Le pentagonododécaèdre de la minéralogie (que présentent par exemple les cristaux de cobaltite) ne sont pas des solides réguliers : leurs arêtes et leurs angles sont inégaux (ibid.).

Fig. 14. Des « lames de superposition » qui s’élèvent parallèlement aux arêtes et sont inégalement inclinées sur celles-ci (a) produisent un pentagonododécaèdre (b) (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 15. Les scalénoèdres (« dents de cochons ») de calcite ont un « noyau » rhomboèdrique (a). Ils peuvent être considérés comme des assemblages de ces rhomboèdres (b) produits par des « lames de superposition successives », subissant des décroissements (c) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 16. On peut passer d’un cube (a) à un octaèdre (e) en intersectant les angles de ce cube par des plans successifs (b. c, d) (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 17. A. partir de trois décroissements réguliers sur les sommets d’un cube (a), on obtient un solide à vingt quatre faces (b) (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, sixième édition, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 18. Un rhomboèdre peut être déduit d’un cube, par décroissements à partir d’une arête sur deux) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 19. Selon le développement des décroissements, un même minéral peut se présenter sous forme de cube, de rhombododécaèdre, d’octaèdre ou de formes intermédiaires (a, b, c). Ainsi s’expliquent toutes les « métamorphoses des cristaux » (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 20. La combinaison de décroissements donnant l’octaèdre et le pentagonododécaèdre (a) conduit à l’obtention de l’icosaèdre de pyrite (b) (d’après A. De Lapparent, Précis de minéralogie, Paris, Masson, 6e éd., 1914).

Fig. 21. Les différents parallélépipèdes (a) : le cube (non représenté), les prismes triclini-que (b), monoclinique (c), orthorombique (e), rhomboédrique (d), quadratique (f) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 22. Toutes les formes primitives peuvent se ramener à trois : le tétraèdre (a), le prisme triangulaire dont la juxtaposition donne les prismes rhombique (c) et hexagonal (b), le parallélépipède (d) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 23. Le rhombododécaèdre de grenat (a) peut être considéré comme la juxtaposition de vingt-quatre tétraèdres (b) (extrait de R.-J. Haüy, Traité de minéralogie, chez Louis, Paris, 1801, t. 5).

Fig. 24. Toutes les formes observées (a, b, c...) peuvent en dernière analyse se ramener à une unité : le parallélépipède (d).

Fig. 25. La troncature d’un sommet sur deux du cube (a) donne un tétraèdre (b). C’est une mériédrie (ici hémiédrie).

Fig. 26. Bouteille de Leyde (extrait de R.-J. Haüy, Traité élémentaire de physique, chez Louis, Paris, t.1, 1803).

Fig. 27. Balance de Coulomb (ibid.).

Fig. 28. Électromètre (extrait de R.-J. Haüy, Exposition raisonnée de la théorie de l’électricité et du magnétisme d’après les principes de M. Aepinus, 1787).

Fig. 29. Carillon électrique (extrait de R.-J. Haüy, Traité élémentaire de physique, t.I, 1803).

Fig. 30. Aiguilles face à sphère chargée (ibid.).

Fig. 31. Lame de verre pour l’explication du principe de la bouteille de Leyde (ibid.).

Fig. 32. Électrophore de Volta ((ibid.).

Fig. 33. Cristal de borate magnésio-calcaire (ibid.).

Fig. 34. Balance magnétique de Coulomb (ibid.)

Fig. 35. Armure d’un aimant (ibid.)

Fig. 36. Méthode d’aimantation par le double contact (ibid.).

Fig. 37. Méthode d’aimantation d’Aepinus (ibid.)

Fig. 38. Aimantation de deux barreaux (ibid.)
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