Table des matières
Première partie. La secte des Nath Yogis
Chapitre 2. L’association des Nāth Yogīs et les modes traditionnels d’organisation de la secte
- Les initiations
- L’association et ses statuts : une entreprise de régulation
- Les différents niveaux d’organisation traditionnels
- Les subdivisions formelles : les « douze » et les « dix-huit »
- L’importance des Yogīs itinérants : la jamāt et les deux mahant
- Les pélerins de la jhuṇḍī
- Un emblème identitaire, le pātradevatā
- Qu’entend-on par dalīcā : une assemblée ?
- L’organisation monastique : monastères communautaires et monastères personnels
- Retour sur la Yogī Mahāsabhā : une volonté de contrôle
Deuxième partie. Un monastère collectif (pañcayati math) : le monastère de Kadri (Karnataka)
Chapitre 4. Mangalore et les Nāth : un passé lointain
- Mangalore, la ville et ses temples
- Relecture de la légende de Paraśurām : l’apparition de Mañjunāth
- Le Kadalī Mañjunātha Māhātmyaṁ : un māhātmya Nāth
- Le temple de Mañjunāth et son histoire
- Les statues du Xe siècle : bouddhistes ou shivaïtes ?
- Lokeśvara : un dieu de transition
- Kadri ou Kadalī Van : la « forêt de bananiers », la déesse Mangalādevī et l’ancrage Nāth
- Hypothèses historiques : changements dans le paysage religieux
Chapitre 6. L’intronisation du rājā
- L’arrivée de la jhuṇḍī
- L’attente : les Yogīs en assemblée
- Pourquoi un rājguru ? Le monastère de Viṭṭal d’un statut à l’autre
- La consécration du rājā : paṭṭābhiṣek
- L’onction ou lustration : abhiṣek
- Adhikār, « habilitation » : intronisation et couronnement
- L’adieu au pātradevatā
- Comparaison avec d’autres rites de consécration et analyse
- Qu’en est-il d’autres monastères Nāth ?
- D’autres investitures monastiques : Salemabad et Sringeri
- Les rites de couronnement royal
- Un dernier modèle : la consécration du maître spirituel
- Retour sur Kadri : une synthèse originale
Troisième partie. Des monastères personnels (niji math) : les monastères de Fatehpur (Rajasthan) et Asthal Bohar (Haryana)
Chapitre 10. Le réseau des monastères de la Shekhavati : le modèle de Fatehpur
- Les ashrams en amont : les fondateurs
- Ṭāīn, la tombe de Mannāth
- Jhunjhunu et le « grand-père guru » d’Amritnāth
- Bisāū, une lignée parallèle
- Les ashrams en aval : le développement
- Les fondations par les disciples directs d’Amritnāth
- Bāūdhām, une propriété agricole
- Churu, l’ensemble le plus vaste
- La génération suivante : une expansion continue
- L’exemple de Śraddhanāth à Lakshmangarh
Chapitre 12. Amrit Mahotsav : la grande célébration d’Amritnāth
- Temps et lieux
- Le « hall sacrificiel » ou yajña śālā : la fidélité aux normes « védiques » ?
- La disposition
- Les fosses à feu
- Les autels
- Les rituels : entre fidélité aux textes et réinvention de la tradition
- Durgāpūjā : l’hommage à la déesse
- Atirudra : les rites dédiés à Śiva
- La pūjā à l’autel principal (mūlvedī)
- - L’hommage initial et l’abhiṣeka
- – La réinstallation des liṅga
- – L’hommage final
- Le homa, oblations au feu
- Innovations rituelles
- Les spectacles du mukhya paṇḍāl
- Le Śiva Purāṇa
- Le théâtre rituel : rāslīlā et rāmlīlā
- L’Amritlīlā
- La danse sur le feu : Agni nritya
- Les divertissements
- L’atmosphère
- Le pôle ascétique : une légitimation
- Conclusion