Remerciements
p. XI-XII
Texte intégral
1L’ensemble des missions de Cambay ont bénéficié de financements divers ainsi que de soutiens logistiques et administratifs. Je tiens ici à remercier les différentes institutions qui y ont participé : le ministère des Affaires étrangères (mae), l’Institut français de Pondichéry (ifp), le Centre de sciences humaines (csh) à New Delhi, le gdr 743 (cnrs), les « Sciences de la cognition », l’ehess, le gdr 957 (Sciences cognitives de Paris). Plus particulièrement, je tiens à remercier Francine d’Orgeval (mae), Vincent Grimaud (Service culturel de l’ambassade de France), M. Legris (ifp), Jacques Pouchepadass (ifp), Olivier Guillaume (csh) et Catherine Perlès (upr 7549) qui, chacun à leur manière, ont encouragé un projet dont il importait qu’il soit inscrit dans des structures de recherche installées en Inde. Je tiens également à remercier l’Archaeological Survey of India et plus particulièrement M.C. Joshi qui, alors directeur général, nous témoigna un soutien continu. Les moulages des perles de Kalibangan sur lesquels devait travailler, par la suite, Francesco D’Errico furent exécutés à Purana Qila, à la section des Antiquités de Kalibangan. Je sais gré à Madhu Bala, responsable de la collection, de nous en avoir grandement facilité l’accès. Les collections de Dholavira ont également fait l’objet de moulages, sur le site même, où nous accueillit R.S. Bisht, en 1992. Je tiens ici à lui exprimer ma reconnaissance pour le grand soutien qu’il accorda à l’ensemble du projet.
2Toutes ces missions ne se seraient jamais déroulées avec tant de succès si nous n’avions pas bénéficié de l’accueil extraordinaire de la famille Akikwala qui mit son atelier à notre disposition autant de fois qu’il s’avéra nécessaire. Que trouvent ici toute ma reconnaissance Shashikant Akikwala, le frère aîné et le chef de famille, Vijay Akikwala qui fut mon principal informateur et interprète, Rajanikant et Harish Akikwala, Vinodini, Hansai, Ranjan et Asmitha. Je tiens également à exprimer ma gratitude aux nombreux artisans qui participèrent aux enquêtes, films et expérimentations. Leur concours nous a permis de mener des recherches dans les meilleures conditions.
3Une fois les données collectées, les recherches ne faisaient que commencer. Leur exploitation bénéficia de collaborations étroites de chercheurs qui n’eurent pas l’occasion d’aller à Cambay, mais qui enrichirent considérablement les différentes analyses. Que soient ici remerciés Gilles Dietrich, Yveline Dumond, Francesco d’Errico, Pierre Matarasso et Antonio Sela qui, j’espère, auront l’occasion un jour de se rendre à Cambay. De même, je tiens à remercier tout particulièrement Gérard Monthel pour l’illustration remarquable de l’ouvrage et pour ses suggestions toujours judicieuses sur une présentation qui posait des problèmes techniques complexes. Enfin, mes remerciements vont à Bernard Bombeau qui contribua à améliorer la rédaction d’une écriture parfois difficile.
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