1 En français dans le texte (N. d. T).
2 Helmholtz 1896b, p. 184-185 ; cf. aussi du même 1896a, p. 171-179.
3 Zola 1928, p. 10. Le texte de Zola a suscité, jusqu’à nos jours, des débats sur la démarche scientifique du romancier. Cf. à ce propos l’annexe de Zola (1928, p. 331-354) et, avec une bibliographie complémentaire, Albers 2002. La distinction rigoureuse qu’opère Bernard entre l’art et la science se trouve in Bernard 1945, p. 382-383.
4 Bölsche 1976, p. 22, 55 ; Alberti 1973, p. 166. Cf. à ce propos Schmidt 1985, vol. II, p. 172-177.
5 Bölsche 1976, p. 65.
6 Sur ce point, on se référera à ce qui reste le texte fondamental, Canguilhem 1977.
7 Griesinger 1867, p. 142. Sur la neurasthénie, cf. Radkau 1998 ; Gijswijt-Hofstra et Porter 2001. Sur la critique psychopathologique de la civilisation, cf. Roelcke 1999.
8 Moreau de Tours 1859, p. 120. Cf. Link-Heer 1986, p. 56-59.
9 Morel 1857, p. 683. Sur les multiples aspects de la dégénérescence, cf. Nye 1984 ; Chamberlin et Gilman 1985 ; Pick 1989.
10 Veraguth 1904 ; Hoffmann 1904 ; Hellpach 1906 ; Buschan 1906.
11 Nordau 1896, vol. II, p. 557.
12 Sur la dégénérescence chez Nordau et sa critique psychopathologique de la civilisation, cf. Schulte 1997, notamment p. 201-252.
13 L’histoire de la pathographie a été insuffisamment étudiée, aussi bien dans une perspective d’histoire de la médecine que d’études littéraires. Sur l’histoire de la pathographie en Russie, cf. Sirotkina 2002.
14 On considère généralement que la première pathographie est Le démon de Socrate de François Lélut, en 1836. On le sait, et le fait est remarquable, les nombreuses études sur l’anthropologie criminelle de Lombroso ne traitent que marginalement, voire pas du tout, de ses études consacrées au génie, bien que les deux soient directement liées.
15 Lombroso 1887, p. 3.
16 Cf. la manière dont Nordau (1896, vol. I, p. 45-46) se démarque de Lombroso sur ce point et sa distinction tranchée entre les génies véritables et sains, d’une part, apparents et corrompus de l’autre. Lombroso (1894a, p. 29-30) prend de nouveau une distance prudente à l’égard des positions extrêmes de Nordau, tout en l’assurant de toute sa sympathie.
17 Lombroso 1887, p. 341-342
18 Cf. Pick 1989, p. 111-122.
19 Lombroso 1887, p. 11-33, 74-76.
20 Ibid., p. 338-340 ; Lombroso 1894a.
21 Lombroso 1890, p. 411-419 ; Lombroso 1894a, p. 279-293.
22 Dans la bibliographie abondante sur l’histoire de l’épilepsie, c’est toujours Temkin (1971) qui ressort. Sur Fritsch et Hitzig, cf. Hagner 1993.
23 Lombroso 1890, p. 412.
24 Schlöss 1894, p. 320-337.
25 Sur ce musée, cf. Colombo 1975. Sur la signification des collections scientifique au XIXe siècle, cf. te Heesen et Spary 2001.
26 Schlöss 1890, p. 337 ; Lombroso 1887, p. 432-434 ; Lombroso 1890, p. 10-15 ; Lombroso 1894a, p. 91-95.
27 Meynert à Theodor Billroth, 15 avril et 15 mai 1891, in Stockert-Meynert 1930, p. 279, 280. En 1891, Meynert, déjà gravement malade, consacre son dernier texte à une critique de Lombroso. Cf. Meynert 1893.
28 Le premier traducteur de Lombroso lui-même ne se gêna pas, dans sa postface à Genie und Wahnsinn (« Génie et folie »), pour prendre la défense de l’auteur malgré ses erreurs et les incohérences de sa pensée, en indiquant, ce qui ne manquait pas de piquant, que l’édifice de cet « auteur génial » n’en était pas mis en péril (Lombroso 1887, p. 435). Lombroso est ainsi présenté, dans son propre livre, comme un phénomène de dégénérescence.
29 Lombroso 1887, p. 3.
30 Link-Heer (1986, notamment p. 46, 59) souligne à juste titre cette imbrication du progrès et de la pathologie. Pour ma part, j’insisterais cependant sur le fait qu’il existait dans cette articulation du pathologique une séparation de plus en plus nette entre la maladie utile et la maladie nocive, dont les paradigmes sont la névropathie et l’épilepsie.
31 Cf. Pogliano 2001.
32 Cf. ibid., p. 368 ; Baima Bollone 1992, p. 217-223.
33 Sperino 1900, p. 800.
34 Le visiteur actuel du Museo Lombroso, à Turin, peut trouver macabre que Lombroso y ait même une triple présence : par le biais de son squelette, de son cerveau et de sa tête, qui baigne dans le formol, à l’instar de son cerveau.
35 Foà 1909, p. 648. Il va de soi que ce constat ne fut à aucun moment mentionné dans la biographie écrite par l’admirateur et factotum allemand de Lombroso, Hans Kurella (Kurella 1910).
36 Nordau 1896, vol. II, p. 444-453. La traduction française de Entartung avait paru sous le titre Dégénérescence, traduit de l’allemand par Auguste Dietrich, Alcan, 1894. Sur Zola, cf. p. 187-192.
37 Cabanès 1895 ; sur La chronique médicale, cf. Guthmüller 2003a.
38 Lombroso 1894b, p. 430-437.
39 C’est la thèse que défend Link-Heer 1983.
40 Zola in Toulouse 1896, p. VI.
41 Albert 1885, p. 96-97. Peut-être inspiré par cette vision, Kurt Lasswitz (1928) invente dans son récit Gehirnspiegel (« Le miroir du cerveau ») un produit contrastant qui fait immédiatement apparaître sur un écran, par éclairage intensif du crâne, les représentations optiques d’une personne.
42 Albers 2002, p. 243.
43 Toulouse 1896, p. 7-18, 45-70. Durkheim 1930, p. 45. On n’a pas suffisamment rendu hommage, jusqu’ici, à l’étude de Toulouse. Cf. au moins Pick 1989, p. 76-78, ainsi que Guthmüller, 2003b, qui ne prend cependant pas en compte un aspect décisif dans mon interprétation, le fait que Zola est à la fois sujet et objet.
44 Zola in Toulouse 1896, p. VII. Bien entendu, Zola, dans Les Rougon-Macquart, a aussi brossé le portrait d’artiste dégénérés, mais cela n’est pas la même chose que d’être lui-même considéré, après l’attaque de Nordau, comme un épileptique dégénéré.
45 Toulouse 1896, p. IX, 47. En 1903, Leopold Loewenfeld (1903, p. 39) déplore que, hormis Zola, aucune personne de haut niveau intellectuel ne se soit encore déclarée prête à participer à une telle analyse. Dans son tout dernier livre sur le génie, Lombroso revient sur Zola et analyse, en termes franchement critiques, l’étude de Toulouse en regrettant – ce qui n’était pas du tout aberrant – la trop grande valeur accordée à des éléments psychophysiques accessoires, mais s’appuie ensuite, incorrigible, sur les œuvres de Zola pour tirer des conclusions sur la psychopathologie de leur auteur. Il nuance cependant son ancien diagnostic en affirmant « que la névrose de Zola doit être, pour l’essentiel, considérée « comme une sorte d’hystérie ou d’hystéro-épilepsie » (Lombroso 1910, p. 110-127, citation p. 127).
46 Sous le IIe Reich aussi, le lien entre talent et neurasthénie jouait un rôle important. Cf. Radkau 1998, p. 263-271.
47 Toulouse 1896, p. 65-70.
48 Ibid., p. 128-130, 173.
49 Ibid., p. 279-280.
50 Cf. Guthmüller 2003a, p. 11-12.
51 On trouve une confirmation marginale, mais non négligeable, de la thèse selon laquelle Zola ne s’identifiait pas seulement au contenu du livre de Toulouse, mais le considérait aussi comme son propre livre : au cours de l’été 2003, l’antiquaire Geoffriault, à Montpellier, proposait un exemplaire de l’Enquête médicale de Toulouse dédicacé par Zola en personne.
52 Sperino 1900, p. 801.
53 Pour plus de détails sur Meynert, cf. Hagner 1997, p. 268-271 ; Hagner 1999c, p. 183-187.
54 Cité d’après Stockert-Meynert 1930, p. 38.
55 Leidesdorf 1865, p. 45-55, plus en détail in Meynert 1867-1868 ; Meynert 1872, p. 697-701 ; Meynert 1892a.
56 Meynert 1892b, p. 174.
57 Meynert 1892a, p. 36 ; Meynert 1892b, p. 171-172.
58 Meynert 1892c, p. 205-206.
59 Meynert 1892b, p. 178.
60 Meynert 1892c, p. 205.
61 Meynert 1893, p. 4-5.
62 Ibid., p. 5.
63 Meynert 1868, p. 591.
64 Meynert lui-même (1893, p. 2) utilise le terme de « réseau » (Netzwerk).
65 Meynert 1893, p. 9.
66 Stockert-Meynert 1930, p. 111-112 ; en 1890, Meynert a étudié le crâne de Johann Nestroy lorsque l’on exhuma sa dépouille pour la transférer dans un tombeau d’honneur. Cette brève publication montre le manque d’intérêt total de Meynert pour ce type de craniologie (Meynert et Weisbach 1890).
67 Cf. Exner 1894 ; Freud 1987. [Il s’agit de Entwurf einer Psychologie, traduit en français par « Naissance d’une psychologie », mais que l’on désigne souvent par son titre allemand. (N. d. T.)]
68 Meynert 1872, p. 771-772. Flechsig 1876, 1894. Cf. aussi la présentation rétrospective dans l’autobiographie de Flechsig (1927, p. 8-9).
69 Flechsig 1896a, p. 43-44 ; Flechsig 1896c, p. 59-64 ; Flechsig, 1897, p. 61-66 ; Flechsig 1905, p. 82-86. Cf. aussi la présentation concise chez l’élève de Flechsig qu’était Richard Arwed Pfeifer (1920, p. 42-48).
70 Sur le fond, ce point était clair depuis la découverte par Carl Wernicke, en 1874, d’un centre sensoriel du langage. Cf. Hagner 1997, p. 279-288.
71 Sur la théorie de la localisation à la fin du XIXe siècle, cf. Harrington 1987 ; Hagner 1996, p. 52-67.
72 Flechsig 1905, p. 74.
73 Flechsig 1896a, avant-propos, non paginé.
74 Flechsig 1896b, p. 87.
75 Ibid., p. 35.
76 Flechsig 1896c, p. 68.
77 Flechsig 1896a, p. 29-35. Sur le lien établi par Forel entre anatomie cérébrale et hygiène nerveuse, cf. par exemple Forel 1894-1895, 1907 et 1914.
78 Ceci concorde avec le fait que Flechsig, dans son autobiographie (1927, p. 51), s’exprime en termes littéralement conciliants à l’égard de Lombroso et souligne les points communs.
79 Pfeifer 1930, p. 258. Cf. également Schröder 1930.
80 Depuis son époque et jusqu’à nos jours, les points de vue ont considérablement divergé sur la place à accorder dans l’histoire à la personnalité et à l’œuvre de Flechsig, pour employer une formule prudente. Cf. par exemple Sachse 1955 ; Busse 1988 ; Stingelin 1989 et 1990 ; Steinberg 2001, p. 29-68. Si le nom de Flechsig est resté, c’est surtout parce qu’il a joué un rôle central dans l’autobiographie de son patient le plus célèbre, le président de la Cour d’appel (Senatspräsident) de Dresde Daniel Paul Schreber. Cette association entre la théorie cérébrale et la folie a eu des conséquences non négligeables pour la théorie récente des médias. Cf. sur ce point Kittler 1984.
81 Flechsig 1897, p. 68.
82 Flechsig 1896a, p. 43.
83 Ibid., p. 47.
84 Gudden 1870, p. 372. Rieger (1882, p. 48-126) dresse une critique globale de la doctrine physiologique des crânes. Cela ne suffit pas, bien entendu, à régler son compte à la craniologie, comme on allait le voir dans la suite de l’histoire de l’anthropologie physique et surtout de la « science raciale ».
85 Ce dont se plaint Welcker (1883, p. 122) en estimant que la science a le droit de procéder comme il lui plaît avec les objets intéressants.
86 Kupffer et Bessel Hagen 1881. Toldt ne semble pas avoir publié le résultat de ses études.
87 His 1895, p. 392.
88 Ibid., p. 400-401.
89 Cf. sur ce point son résumé in Flechsig 1927, p. 95-103.
90 Pour éviter tout malentendu : Nietzsche se réfère ici à la musique « de nos maîtres allemands » (Nietzsche 1988, p. 121) [Traduction légèrement modifiée, (N. d. T.)] ; Helmholtz 1896a, p. 179.
91 Flechsig 1927, p. 116-117.
92 Cf. Königsberger 1903, p. 134-135.
93 Hirschberg 1894, p. 736 ; du Bois-Reymond 1912, p. 569.
94 Hansemann à L. Edinger, 29 septembre 1894. Neurologisches Institut (Ludwig Edinger-Institut) à la Johann Wolfgang Goethe-Universität de Francfort, H 0803a. Je remercie Jürgen Peiffer (†), qui a défriché la collection de lettres de l’institut Edinger, de m’avoir laissé des copies des lettres de Hansemann à Edinger et deux lettres d’Edinger à Gustaf Retzius entrant dans ce contexte.
95 Hansemann 1899, p. 3.
96 Flechsig 1898, p. 983.
97 Hansemann 1899, p. 6, 7.
98 Ibid., p. 5, 11 ; Edinger 1912, p. 188.
99 Hansemann 1899, p. 10-11.
100 Hansemann 1907, p. 2.
101 Ibid., p. 3-4, 10-11, 13-14.
102 Retzius 1898, p. 5-6, 22. Sur Retzius, cf. Gustafsson 1994.
103 Edinger à Retzius, 24 janvier 1899. Neurologisches Institut (Ludwig Edinger-Institut) de l’université Johann Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main, H 0803a.
104 Möbius 1907, p. 205-222. Sur Möbius, cf. Schiller 1982.
105 Retzius 1900, p. 16. Möbius dut faire quelques pirouettes pour maintenir sa théorie débile de la « débilité physiologique de la femme » face au nombre incontestablement important de mathématiciennes. Dans le cas de Sonia Kovalevski, il tenta de le faire à l’aide d’un modèle d’explication particulièrement original : il lui déniait toute originalité mathématique et la présentait de surcroît comme une psychopathe lamentablement dégénérée (Möbius 1907, p. 80-94).
106 Edinger 1908, p. 491. Auerbach 1906, 1908, 1911 et 1913. Cf. également Tandler (1909), qui croit aussi trouver sur le crâne de Joseph Haydn une confirmation de la théorie des lobes temporaux, ainsi que Klose (1920) qui offre un aperçu global de la localisation du talent musical.
107 Cf. le résumé chez Monakow 1905, p. 936.
108 Retzius 1898, p. 2-3.
109 Retzius 1904, p. 89.
110 Edinger et Wallenberg 1903, p. 95-96 ; Edinger et Wallenberg 1909, p. 149.
111 His 1901a, p 79. Cf. aussi son projet détaillé (His 1901b).
112 Il a fallu attendre une période toute récente pour que l’on reprenne un projet de ce type, là encore sous forme d’association internationale d’instituts de recherche – mais pourvue cette fois, grâce à l’informatique, de tout autres possibilités de stockage et de représentation. Cf. Abbott 2003.
113 Le rapport sur cette assemblée constituante a été rédigé par Flechsig et His (1903). Richter (2000a) donne un bref aperçu de la Brain Commission, mais on ne dispose pas d’étude plus détaillée.
114 Flechsig et His 1903, p. 158. Ce rapport publié est fondé sur l’expertise de Flechsig que nous avons évoquée. Cf. Paul Flechsig, « An die Specialcommission für Erforschung der Anatomie des Gehirns ». Archiv der Berlin-Brandenburgischen Akademie der Wissenschaften, n° II-VIa 17, 868/1.
115 Horsley 1909, p. 117. Horsley était lui aussi l’un des membres fondateurs de la Brain Commission.
116 Anonyme 1906.
117 Donaldson 1890-1991.
118 On ne dispose pas d’histoire de l’Anthropometric Society, et le manque d’archives ne devrait pas permettre de la reconstituer. J’ai puisé l’essentiel de mes informations dans l’étude instructive de Burrell, chez Feindel, 1990 et Roberts 1996. L’unique étude américaine que j’aie trouvée sur les cerveaux d’érudits avant 1889 est celle de Dwight (1878).
119 Cf. Gardener 1893. Sur cette controverse, cf. Russett (1989, p. 35-39) et Kern (1996, p. 104-112), dont je suis largement ici les interprétations. Helen Gardener est décédée en 1925 et a légué son cerveau à la collection de la Cornell University. Deux ans plus tard, James Papez publiait déjà son étude, dans laquelle il pouvait indiquer que le cerveau de cette femme extraordinaire n’avait rien à envier à ceux des hommes extraordinaires (Papez, 1927). Ce constat suscita sans doute l’attention du public, mais à cette date la vague d’examens de cerveaux d’érudits était déjà retombée aux États-Unis.
120 Gardener 1893, p. 100, 104, 122-124.
121 Sur Osler, cf. Bliss 1999 ; sur Spitzka, cf. Haines 1995, p. 240-248.
122 Cf. Roberts 1996, p. 336-337. Sur Spitzka, cf. aussi Haines 1995, p. 248-256 ; Burrell 2003, p. 107-112.
123 Spitzka 1905, p. 319, 322, 324, 327, 328.
124 Spitzka 1907, p. 212, 215.
125 Monakow 1905, p. 18.
126 Ibid., p. 942-943 ; Waldschmidt 1887 ; Donaldson 1890-1891.
127 Spitzka 1901, p. 942-943.
128 Spitzka 1907, p. 232-234, 230, 298-299.
129 Mall 1909, p 32, 24. Poynter (1912) est tout aussi critique et conteste lui aussi la possibilité de prouver le lien entre le schéma des circonvolutions et la fonction.
130 Donaldson 1928. Sur l’histoire du cerveau d’Osler, cf. Feindel 1990 ; Rodin et Key 1990 ; Bliss 1999, p. 502-504. Pour le reste de l’histoire de l’Anthropometric Society, cf. Burrell 2003, p. 128-129.
131 Stieda 1908, p. 121-135. Cf. aussi Stieda 1906 et 1910.
132 Edinger et Wallenberg 1909, p. 148 ; Edinger et Wallenberg 1912, p. 155.
133 Bechterew et Weinberg 1909, p. 15, 21-22.
134 Jaspers 2000, p. 37.
135 Brahn 1902-1903, p. 8.
136 Ramón y Cajal 1906, p. 49.
137 Kraepelin 1886, p. 163 ; Kraepelin 1887, p. 9.
138 Sur ces liens, cf. Mayer 2002.
139 Ces nouveaux types de lésions provoquèrent notamment un immense essor de la recherche cognitive sur le cerveau, mais c’est une autre histoire. Cf. Jacyna 2000 ; Hagner 2000.
140 Weinberg 1904-1905, p. 697. Cf. aussi Matiegka 1904-1905 ; Buschan 1906 ; Woltmann 1906-1907 ; Dräseke 1906 ; Bayerthal 1911.