Remerciements
p. 13-15
Texte intégral
1Une telle recherche n’aurait pas été possible sans l’appui de l’institution ni la collaboration d’un grand nombre de personnes, plusieurs associées à la FMSH et à l’EHESS, d’autres à diverses institutions universitaires. Il me faut les remercier tous-toutes, en espérant ne pas en oublier un-e.
2Politesse oblige, je tiens à remercier en premier lieu les membres de la direction de la FMSH, l’administrateur devenu, depuis le changement des statuts, président de la Fondation, Michel Wieviorka, et le secrétaire général, Nicolas Catzaras, sans oublier le directeur des Éditions, Pascal Rouleau, pour leur appui indéfectible dans le respect de mon autonomie de chercheur et d’auteur. La distance et l’autonomie sont, avec la familiarité, les conditions de réalisation de toute étude d’une institution qui se veut « objective » et non pas seulement, comme c’est souvent le cas, hagiographique. Merci aussi aux membres du nouveau Directoire de la FMSH, en particulier à Pascal Buléon, vice-président, qui a supervisé minutieusement le travail de réécriture final du manuscrit.
3Ensuite, et surtout pourrais-je dire, un grand merci à l’équipe des Éditions de la MSH et d’abord à Nathalie Fourrier, éditrice de l’ouvrage, pour son travail de longue durée (pour parler comme Braudel), à la fois minutieux et attentif, de lecture et de correction du manuscrit. Guillaume d’Estève de Pradel, tout aussi minutieux, l’a secondé pour la dernière étape des corrections des épreuves. La collaboration de Nathalie Fourrier a été d’autant plus précieuse qu’elle a une très grande connaissance de la MSH et de ceux et celles qui l’ont faite. L’histoire d’une telle institution comprend une infinité d’activés et événements et implique une multitude de personnes (dont les prénoms sont souvent oubliés !).
4Un grand merci au service des archives de la FMSH, et en particulier à Julien Pommard qui a depuis cette époque quitté le service et qui est lui-même l’auteur de plusieurs textes sur divers fonds d’archives et sur l’histoire de la construction du bâtiment de la MSH ; il m’a servi de guide, me dirigeant vers tel ou tel fonds et me faisant découvrir toutes sortes de documents, dont de magnifiques plans du bâtiment du 54 boulevard Raspail que l’on ne peut malheureusement pas reproduire dans l’ouvrage. Du côté d’un autre fonds d’archives, celui de l’EHESS, tout proche par son contenu de celui de la FMSH, j’ai pu m’appuyer sur la compétence de Brigitte Mazon, auteure d’une excellente histoire de l’EHESS (Mazon 1988). Enfin, aussi paradoxal que cela puisse sembler, la MSH possède très peu de documents photographiques, qu’il s’agisse d’anciens membres de sa direction ou d’événements marquants de son histoire : tout au plus un dossier dit « iconographique » dans le fonds Braudel, une série d’une dizaine de photos de la démolition de l’ancien bâtiment du ministère de la Justice au 54 boulevard Raspail. Pour des photos de la construction de MSH au même endroit, il a fallu faire appel au Centre d’archives d’architecture du xxe siècle. Heureusement, la situation s’est améliorée depuis qu’Emmanuelle Corne, ancienne directrice des Éditions de la MSH et photographe, est attachée au service audiovisuel. Nous lui devons de très belles photos du 54 boulevard Raspail. Qu’elle en soit félicitée (pour la qualité de son travail) et remerciée.
5Enfin, un immense merci à tous ceux et celles qui ont accepté d’être interviewés, plus ou moins formellement selon le cas : Hélène Ahrweiler, Maurice Aymard, Philippe Besnard, Luc Boltanski, Raymond Boudon, Pierre Bouvier, Hinnerk Bruhns, Éric Brian, Jean-Pierre Dozon, Patrice Duran, Brigitte Dufeutrelle, Nicolas Catzaras, Emmanuelle Corne, Olivier Corpet, Philippe Descola, Alain d’Iribarne, Marie-Louise Dufour, Jean-Louis Fabiani, Marc Ferro, Nancy Green, Afrânio Garcia, Maurice Garden, Françoise Gaspard, Joseph Goy, Maurice Godelier, Patrick Janicot, Jean-Luc Lory, Serge Moscovici, Martine Ollion, Jacqueline Pluet, Jean-Luc Racine, Ignacy Sachs, Monique de Saint-Martin, Alain Schnapp, Dominique Schnapper, Jacky Thoumine, Alain Touraine, Immanuel Wallerstein, Claudie Weill et Michel Wieviorka.
6Leurs témoignages, réflexions personnelles et analyses sont autant de matériaux qui me furent indispensables pour connaître la vie de la FMSH de l’intérieur et pour rédiger une histoire de l’institution qui soit aussi un récit avec des histoires de vie, des anecdotes, des mystères, des intrigues, des rebondissements, un ou deux drames…
7Un grand merci spécial à Yolande Cohen pour son appui indéfectible.
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